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Le baume de la douce folie rossinienne, par Michele Mariotti

03mai

Quel bonheur que celui de la douce folie rossinienne,

telle que sait si magnifiquement nous la donner-rendre

l’interprétation de neuf des Ouvertures d’opéra du maître de Pesaro

_ Gioacchino Rossini : Pesaro, 29 février 1792 – Paris, 13 novembre 1868 _

Michele Mariotti _ citoyen de Pesaro lui aussi !

Quel merveilleux chef ! _,

avec la troupe de l’Orchestra del Teatro Comunale di Bologna,

en un enthousiasmant

_ tonique et de toute beauté ;

ainsi que splendidement juste : idéalement rossinien !

et tellement bienfaisant à l’écoute… _

CD Pentatone Rossini Overtures PTC 5186 719 !


Rossini,

ou la délicate rayonnante allégresse

du Siècle des Lumières

lucidement continuée durant le lourd _ et tristement auto-complaisant _ XIXe…

Un très grand CD !!!

À faire rembourser par la Sécurité Sociale…

Ainsi qu’une très ludique leçon d’interprétation du génie rossinien.

Aussi guetterons-nous avec une particulière gourmandise

les prochaines prestations de ce jeune chef

_ de quarante ans à peine _ :

Michele Mariotti :

le successeur pour Rossini du magnifique Alberto Zedda (Milan, 2 janvier 1928 – Pesaro, 6 mars 2017) ?…

C’est l’évidence même !!!

Ce vendredi 3 mai 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’éblouissement immédiatement irradiant des sublimes Carnets de Goliarda Sapienza

22déc

L’ami René de Ceccatty

vient de me faire adresser

par les Éditions du Tripode

les Carnets

de Sapienza Goliarda,

à paraître le mois prochain

_ le 3  janvier _,

et qu’a traduits en français l’amie de si longtemps

_ de leurs années de lycée à Montpellier _ et toujours, de René,

Eilathan,

Nathalie Castagné.

Dès la lecture

de la présentation liminaire de l’éditeur lui-même,

Frédéric Martin

_ cf le podcast de mon entretien avec lui le 25 novembre 2015 pour son édition du sublime Vie ou Théâtre ? de Charlotte Salomon : Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’) le 25-11-2015 ;

ainsi que mon article du 29 novembre 2015 :   _,

aux pages 5 à 10 de ces Carnets,

puis le résumé très éclairant des péripéties complexes, et très souvent tragiques, de la vie (Catane, 19 mai 1924 – Gaeta, 30 août 1996) de Goliarda Sapienza

_ l’écriture lui sera donc aussi, du moins parfois, secours !

sinon la publication même,

et encore moins le baume éventuel de la reconnaissance du succès _,

aux pages 466 à 475 de ces Carnets

et surtout, forcément,

les premières pages _ sublimes !!! _ de ces Carnets

à l’écriture stupéfiante et renversante de justesse,

de force

et de beauté,

on reste confondu de bonheur

de pareille stupéfiante illuminante _ de la vie, de toute vie _ lecture !

Car Goliarda

entame en 1976 la rédaction de ces Carnets

afin d’essayer de survivre à la cessation de l’écriture de son grand œuvre désormais achevé,

L’Art de la joie

On comprend que cette force-là

de l’écriture

ait pu faire peur

aux éventuels éditeurs,

et en Italie d’abord…

puisque L’Art de la joie, terminé en 1976, n’aura pas connu la publication

du vivant de son auteur,

décédée en 1996…

Ce sera en effet l’obstination fidèle d’Angelo Pellegrino,

le compagnon puis mari très aimant de Goliarda ;

puis le succès en France de l’œuvre traduite par Nathalie Castagné,

et publiée, en 2005, aux Éditions Viviane Hamy,

qui fera reconnaître universellement

la grandeur magnifique de l’écriture

et de la personne

de Goliarda Sapienza !

Ce samedi 22 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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