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Et de nouvelles avancées sur l’ascendance Langlois de Pauline et Théotime Langlois de Swarte : à Sévres et à Eschlkam, à la frontière de la Bohème…

10juin

Dans la poursuite de la recherche initiée hier dans l’article ,

voici que la découverte d’un nouvel arbre généalogique élaboré par Bertrand Langlois,

et venant compléter un autre arbre construit par Manuel-Raymond Protat _ arbre qui, lui, situe Bertrand Langlois au sein de la généalogie de la famille Mantelet (et qui intègre certains des membres de la famille Fizet) : Bertrand Langlois, époux de Sylvie Poinsot, se trouve en effet être un des gendres de Ginette Mantelet (Paris-1, 4 avril 1924 – Neuilly-sur-Seine, 18 juin 2006), elle-même sœur de Janine Mantelet (Paris-1, 16 mai 1920 – Paris-17, 24 septembre 2015), l’épouse de Roger Fizet (Paris-10, 12 mars 1919 – Ligny-le-Châtel, 27 janvier 2021) ; dans la descendance desquels Fizet nous rencontrons Guillaume Fizet (né le 3 novembre 1975), son épouse Camille Sartre et leur fille Romane Fizet… _

vient m’apporter quelques nouvelles précisions, bien qu’encore partielles _ avec des blancs laissés volontairement _, concernant l’ascendance d’Hervé _ Alexandre-Yves _ Langlois,

second mari de Bertille de Swarte _ divorcée de Pierre Sartre, le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

et père de Pauline _ Marie-Béatrice _ Langlois de Swarte, et son frère cadet Théotime Langlois de Swarte (né à Céret en 1995).

Même si, pour le moment, je demeure dans l’incapacité de relier cet arbre de Bertrand Langlois _ où, d’ailleurs, lui-même n’apparaît pas ; mais où se manifeste, en revanche, la place d’Hervé Langlois : dans la descendance de Robert Langlois (Sèvres, 16 février 1900 – Montreuil-aux-Lions, Aisne, août 1944) et son épouse Denise Dubourg (Rambouillet, 20 mai 1904 – Château-Thierry, Aisne, septembre 1944)… _

avec l’arbre de Manuel-Raymond Protat _ cf aussi l’arbre de Patrick Robin-Isaya : époux de Florence Poinsot, la sœur de Sylvie Poinsot, qui est elle-même l’épouse de Bertrand Langlois, Patrick Robin-Isaya est donc le beau-frère de Bertrand Langlois… _, dans lequel Bertrand Langlois, ainsi que ses enfants Thibault, Matthieu et Xavier Langlois, sont clairement situés.

L’arbre généalogique dont il faudrait compléter les blancs volontaires, est donc bien celui élaboré par Bertrand Langlois :

dans le schéma que j’ai choisi ici, je remonte de la personne de Théotime Langlois de Swarte, à son père, Hervé _ Alexandre-Yves _ Langlois, ainsi qu’à son grand-père Langlois, tous laissés en blanc par l’auteur de l’arbre ;

pour arriver, en amont de cette fiiation paternelle, aux arrière-grands-parents paternels Langlois : Robert Langlois (Sèvres, 16 février 1900 – Montreuil-aux-Lions, Aisne, août 1944), accompagné de son épouse Denise Dubourg (Rambouillet, 20 mai 1904 – Château-Thierry, Aisne, septembre 1944)…

Toutefois, j’apprends aussi ici que les parents de la mère _ née Kuntz ; son prénom n’étant pas mentionné… _ d’Hervé Langlois,

étaient Jacob Kuntz _ sans plus de précisions que « Menuisier, Uhlan au premier régiment de uhlans bavarois durant la guerre de 1914-1918«  _ et son épouse Katharina Hastreiter (Eschlkam, Haut-Palatinat, Bavière, 26 novembre 1890 – Bamberg, Franconie, Bavière, 14 avril 1973) ;

et que, elle-même, Katharina Hastreiter, était la fille de Wenzl Hastreiter (musicien _ cf son arbre de descendance élaboré par Bertrand Langlois _) et son épouse Mathilde Würz…


Eschlkam est limitrophe de la Bohème…

En dépit de ces divers blancs laissés par Bertrand Langlois,

tout cela est bien intéressant…

Ce jeudi 10 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Musiques de joie : l’élégance splendide du tendre lullyste megevois Georg Muffat (1653 – 1704)

19juin

Parmi mes compositeurs préférés

du XVIIe siècle baroque,

le tendre et magnifique megevois _ et lullyste _ Georg Muffat

(Megève, 1er juin 1653 – Passau, 23 février 1703).

Parmi les musiciens à s’être rendus à Paris prendre des leçons de Jean-Baptiste Lully

(Florence, 28 novembre 1632 – Paris, 22 mars 1687)

puis à Rome, celles de Bernardo Pasquini

(Massa di Valdinievole, 7 décembre 1637 – Rome, 21 novembre 1710)

_ à Rome, où Muffat fut particulièrement séduit par les réalisations de son contemporain Arcangelo Corelli

(Fusignano, 17 février 1653 – Rome, 8 janvier 1713) _,

le savoyard (d’ascendance écossaise) Georges Muffat

voyagea pas mal entre Savoie, France, Italie, Allemagne et Autriche :

en Alsace (Strasbourg, Molsheim et Selestat) ;

en Italie (Rome) ;

en Bavière (Ingolstadt) ;

en Autriche (Vienne, Salzburg) ;

en Bohème (Prague) ;

pour achever sa carrière à Passau, sur le Danube,

maître de chapelle du Prince-Evêque Johannes-Philipp von Lamberg.

Sa musique,

de style français,

est d’une splendide élégance,

et d’une tendresse merveilleusement touchante, et sans excès.

De son œuvre _ de très grande qualité _,

j’ai choisi son recueil inaugural de cinq Concerti Grossi

_ les premiers de ce genre nouveau à être publiés : avant ceux de Corelli, en 1715... _

intitulé Armonico Tributoet publié à Salzbourg en 1682.

Et pour l’interprétation discographique,

_ après écoute attentive de 4 CDs de ma discothèque_,

j’ai choisi celle, magnifique, de l’Ensemble 415, dirigé par la violoniste Chiara Bianchini et le claveciniste Jesper Christensen,

en un superbe enregistrement d’octobre 1995, publié par Harmonia Mundi en 1996 :

soit le CD HMC 901581.

Georg Muffat,

ou une des premières réalisations,

et merveilleusement aboutie,

de ce que François Couperin

(Paris, 10 novembre 1668 – Paris, 11 septembre 1733)

nommera, quelques années plus tard, en 1724, « les Goûts réunis« …

Et voici, par l’Ensemble 415,

le podcast du Concerto n°3, en La majeur ;

ainsi que le podcast du Concerto n°4, en mi mineur,

de cet Armonico Tributo.

 Ce vendredi 19 juin 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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