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Au concert, à Genève, comme au CD : la sublime clarté de jeu du rare Piotr Anderszewki, au coeur le plus intime et de chair, de l’idiosyncrasie des compositeurs (et des pièces) qu’il élit…

03fév

Comme pour ponctuer s’il le fallait mon intense immense admiration à l’écoute du tout simplement sublimissime CD « Bartok – Janacek – Szymanowski » _ le CD Warner Classics 5054197891274 _ de Piotr Anderszewski

dont viennent d’amplement témoigner mes 3 récents articles (avec podcasts) des 27, 29 et 30 janvier dernier : « « ,

« « 

et « « ,

 

de son intense enchantement à lui aussi envers le jeu exceptionnel au piano de Piotr Anderszewski, de Paul-André Demierre voici, en date du 1er février dernier, ce magnifique article-ci sur le site de l’excellent magazine Crescendo,

intitulé « À Genève, Un pianiste de classe : Piotr Anderszewski« ,

au sortir d’un concert enchanté du pianiste polonais au Victoria Hall de Genève :

A Genève, Un pianiste de classe : Piotr Anderszewski

LE 1 FÉVRIER 2024 par Paul-André Demierre


Pour sa prestigieuse série ‘Les Grands Interprètes’, l’Agence de concerts Caecilia a invité, au Victoria Hall de Genève le 30 janvier, un pianiste hors pair qui _ effectivement _ se fait _ très _ rare depuis plusieurs saisons, Piotr Anderszewski.

Son programme inclut nombre de nouveautés à son répertoire mais commence par l’un de ses chevaux de bataille, la Sixième Partita en mi mineur BWV 830 de Bach _ cf son magistral CD Erato d’octobre 2002. Dès les premières mesures de la Toccata, l’on retrouve cette clarté de jeu _ voilà _ n’utilisant les pédales qu’avec parcimonie, ce qui confère une extrême fluidité aux formules en arpège s’appuyant sur des basses de grand orgue. L’Allemande se confine dans les demi-teintes pour se développer rigoureusement en incorporant les ornements à la ligne mélodique, alors que la Courante joue sur les accents alternés entre les deux mains afin d’encadrer de virevoltants passaggi. L’Aria tient du dialogue à deux voix annonçant la Sarabande voilant un insondable mystère que dissiperont la Gavotte articulant délibérément les triolets de croches puis la Gigue, véritable kaléidoscope opposant les lignes de force en un fugato policé.

Piotr Anderszewski a ensuite la judicieuse idée de mettre en parallèle trois des mazurkas de Chopin à cinq extraites de l’opus 50 de Karol Szymanowski. De ce Chopin qui n’a jamais fait partie de son répertoire d’élection, il donne une lecture singulière en s’attachant à l’opus 59 dont il laisse affleurer un rubato rêveur libérant le cantabile sur de sombres accords, quand la seconde s’embue de douces larmes qu’assèche la troisième, plus extravertie, évoquant le souvenir des jours heureux. Les cinq mazurkas composées par Karol Szymanowski dans les années 1924-1925 passent de la confidence à fleur de clavier (n.3) à la veine folklorique à la Bartók (n.7) que tempèrent la 8e par ce triste dialogue à deux voix, la 5e par sa noble progression et la 4e, véritable mazurka aux contrastes virulents.

En seconde partie, leur font écho les Quatorze Bagatelles Sz 38 que Bartók  acheva en mai 1938. Le pianiste les aborde avec sobriété, prêtant à la Troisième un coloris translucide qui se durcit avec le choral en accords granitiques de la Quatrième, tandis que la Sixième tient de l’élégie désabusée, la Huitième, de l’étrangeté harmonique qui s’épaissit dans la Neuvième. Les cinq dernières focalisent l’attention par la véhémence des oppositions qui juxtaposent une Dixième dégingandée, une Onzième haletante, une Douzième intériorisée comme un nocturne à une saisissante marche funèbre sous-titrée « Elle est morte », expression de total désarroi que bousculera la valse « Ma mie quie dance » (sic !), truffée d’ironie mordante.

Pour achever son récital, Piotr Anderszewski revient au Bach de la Première Partita en si bémol majeur BWV 825 écrite en 1726 qu’il ébauche comme une invention à trois voix linéaire, enchaînant les divers segments de l’Allemande avec la régularité mécanique d’un solfeggietto pour parvenir à une Courante jubilatoire. Par contraste, la Sarabande a la nostalgie d’un spianato presque immatériel que vivifient la rigueur formelle des deux Menuets et de la Gigue conclusive en forme de brillante toccata. Devant l’enthousiasme du public, l’artiste si réservé le remercie par trois brèves pages de Bartók , Bach et Beethoven. Une éblouissante soirée ! _ voilà, c’est dit.

Genève, Victoria Hall, le 30 janvier 2024

Paul-André Demierre

Crédits photographiques : Parlophone Records

À son répertoire, Piotr Anderszewski demeure ainsi extrêmement fidèle,

et c’est avec une extrême exigence et minutie qu’il choisit de lui adjoindre quelques peu nombreuses nouvelles pièces, comme ici ces œuvres _ elles aussi choisies… _ de Janacek, de Szymanowski, de Bartok,

tant pour le concert que pour le disque…

Et pour chacune de ces pièces qu’il donne, et avec une belle rareté, à partager aux mélomanes,

il sait aller au cœur le plus intime, et de chair, de l’essentiel de l’idiosyncrasie de chacun des compositeurs, et des pièces, qu’il élit ainsi de servir !

Au concert comme au disque…

 Chapeau très bas, l’artiste !

Ce samedi 3 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce que j’apprends, en temps de patience écoulé entre son enregistrement, en juin 1015, et sa parution, en novembre 2023, à la lecture instructive du concis et sobre livret du CD de ces merveilleuses « Sonatae a Viola da Gamba et Cembalo Obligato » de Johann-Sebastian Bach sous les doigts inspirés et parfaitement accordés d’Andrea De Carlo et Luca Guglielmi _ ou l’italianité heureuse de Bach…

20jan

Quand j’ai rédigé, avant-hier jeudi 18 janvier, mon article « « ,

je ne possédais pas encore le CD Fineline Classics FL72415 de ces « Sonatæ a Viola da Gamba et Cembalo Obligato« ,

écouté seulement, et intégralement tout de même, via le site Internet de youtube (« écoutez ici… »)…

Mais ce matin,

je me suis rendu chez mon disquaire préféré, et en ai trouvé deux exemplaires, nichés au sein des étagères du rayon Bach ;

et me le suis donc procuré…

Et la lecture des quatre pages, pourtant concises, de texte du livret de ce très beau CD _ dont une demi-page de présentation, à la page 4, sous la plume du gambiste Andre De Carlo _ m’apprend pas mal de choses non accessibles sur les divers sites du web concernant ce CD…

D’abord,

que le projet musical dont est issu ce CD, enregistré du 22 au 24 juin 2015, à la Dorfkirsche de Frankenstein, en Allemagne,

est né d’une toute première rencontre _ « the very first meeting«  _ entre Andrea De Carlo et Luca Giglielmi, la nuit précédant un concert à Genève _ la date n’en est pas donnée ; probablement ce fut le 5 juillet 2014, la veille de deux Concerts donnés par eux à l’église Saint-Germain, à Genève : « 6 et 7 juillet 2014, Andrea De Carlo et Luca Guglielmi, Viole de gambe et pianoforte : Sonates de J.-S. Bach et C.P.E. Bach pour viole de gambe et pianoforte «  _,

« quand, à travers la musique de J. S. Bach, une vraie affinité tant humaine que musicale, se révéla _ entre eux ces deux interprètes _, qui n’avait pas besoin de mots, ni de regards«  _ je traduis de l’anglais…   

Ensuite,

« à la distance du temps d’évidence parfaitement fluide des heures d’écoute des pistes enregistrées de ce CD,

je m’aperçois _ poursuit sa concise et sobre présentation Andrea De Carlo _ que nous nous sommes parfaitement rencontrés et trouvés en la profonde italianité de Bach _ voilà ! _, dans le caractère chantant des mélodies qui font danser son contrepoint, dans l’ondulation rythmique de son écriture, mais par dessus tout dans l’humanité et la dimension d’éternité de la spiritualité de ce compositeur » _ voilà.

Enregistré, donc en un temps « de températures polaires » (!), du 22 au 24 juin 2015 à la Dorfkirsche de Frankenstein en Allemagne _ découvre-t-on aussi à la page 7 du livret _,

ce très poétique CD a tout de même dû patienter jusqu’au 24 novembre 2023 pour voir enfin sa parution discographique,

soit rien moins que 8 années et 5 mois… 

Pour quelles raisons un tel délai de patience pour une telle interprétation aussi réussie d’une telle merveilleuse musique ?..

Ce samedi 20 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Elargir la connaissance de l’oeuvre musical d’Adriaen Willaert (suite 2) : de l’importance de l’interprétation, ainsi que du niveau de qualité de la performance dans l’interprétation elle-même, avec quelques exemples de concerts enregistrés, à Gand et à Venise, de l’excellentissime Ensemble Dionysos Now ! de Tore Tom Denys ; ou la transcendance ressentie d’une grâce miraculeuse…

06août

Toujours dans la continuité de mes précédents articles « « ,

« « ,

et «  » ,

je me propose de mesurer aujourd’hui, dimanche 6 août 2024,

non seulement l’importance considérable de l’interprétation de cette musique d’Adriaen Willaert, en l’occurence tout particulièrement par l’excellentissime ensemble vocal Dionysos Now! dirigé par Tore Tom Denys _ que j’ai découvert tout récemment, et par hasard, par le CD « Adriano 4« , le CD Evil Penguin EPRC 0054, ainsi que je l’ai narré en mon article du 3 août dernier : c’est le seul nom du compositeur, Adriaen Willaert, qui a retenu alors mon attention, et m’a fait demander d’écouter le CD , écoute qui m’a aussitôt subjugué !.. _,

mais aussi le caractère tout aussi crucial de la qualité éminemment singulière de la performance, lors de l’enregistrement live du concert _ ou en studio : ce qui n’était pas le cas jusqu’ici au moins pour cet Ensemble Dionysos Now ! : l’enregistrement de leurs programmes « Adriano 1«  (EPRC 0041), « Adriano 2 » (EPRC 0043) et « Adriano 3 » (EPRC 0047) étant seulement accessibles sur disques vinyles ; et « Adriano 4 » étant lui seul accessible jusqu’à présent en CD : il s’agit du CD Evil Penguin EPRC 0054… _,

comme le fait si bien ressentir la comparaison entre les enregistrements _ outre, bien sûr, celui du CD « Adriano 4 » (EPRC 0054), comportant la « Passio Domini nostri Jesu Christi secundum Joannem » et les Motets « Tristis est anima meaT« , « Ecce lignum crucis – Crux fidelis » et « Da pacem Domine« … _ accessibles sur le web de deux de leurs concerts

donnés,

le premier _ absolument magique d’intensité ! Acoustique et prise de son aidant !!! _, sans public, à l’église Saint-Jacques, à Gand, le 27 décembre 2020, de l’intégralité de la « Missa Mittit ad virginem » ; et dont la vidéo _ proprement sublimissime !!! _, accessible sur le web, est d’une durée de 26′ 14 ;

et le second _ moins intense… _, avec public, à la Scuola Grande di San Rocco, à Venise, comportant plusieurs extraits de cette « Missa Mittit ad virginem« , divers Motets, et quelques Canzoni villanesche, dont « A quand’a quand’haveva una vicina« … ; la vidéo est d’une durée de 59′ 50.

La différence d’intensité de la performance de ces deux concerts ainsi accessibles sur le web, ne me paraissant pas tenir à la qualité de leurs 7 interprètes, à Gand et à Venise, dont quatre des chanteurs sont identiques : Tore Tom Denys, ténor (et chef de l’ensemble) ; Bernd Oliver Frölich, altus-ténor ; Julian Podger, ténor ; et Tom Scott Whiteley, baryton-basse. Alors que se succèdent à Gand et à Venise : Terry Wey et Filip Damec, superius, ou contre-ténor ; Jan Petryka et David Munderloh, ténor ; Joachim Hölchbauer et Simon Whiteley, basse.

Mais plutôt à ces variables que sont la présence ou non du public ; l’acoustique du lieu ; la prise de son ; et surtout le degré d’état de grâce, ces soirs-là, des chanteurs…

Le concert de Gand de ce 27 décembre 2020 étant d’une intériorité transcendante proprement sublime...

Il en va d’ailleurs de même de l’enregistrement, en cette même église Saint-Jacques de Gand, et à nouveau apparemment sans public, mais lors d’un enregistrement ultérieur à celui de décembre 2020, de plusieurs Canzoni villanesche, accessibles sur les vidéos suivantes :

« O dolce vita mia: villanesche » (5′ 35),

« A quand’a quand’haveva una vicina » (2′ 42) : ces deux pièces étant présentes dans le vinyl « Adriano 2″

Ou encore, mais cette fois-là avec public, et avec, à nouveau, beaucoup d’intensité, cette vidéo-ci :

« Quando di rose d’oro » (3′ 13) : une pièce présente dans le vinyl « Adriano 3« …

La qualité d’interprétation musicale, telle qu’elle peut être saisie au concert ou à l’enregistrement, atteint _ ou reçoit… _ parfois, en sa singularité même, une grâce _ difficilement répétable ! _ qui tient lieu, ou s’approche, alors du miracle… 

Ce dimanche 6 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

La compositrice Graciane Finzi à l’honneur à l’Atelier du Théâtre National de Bordeaux-Aquitaine, pour un passionnant concert de sa musique par de brillants élèves du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud…

30juin

C’est pour aller écouter ma petite-fille Alma-Flore (âgée 11 ans) jouer « On frappe à la porte«  _ une œuvre pour harpe solo composée en 2000 par Graciane Finzi (née à Casablanca, 10 juillet 1945) pour sa petite-fille (née le 7 septembre 1995, et devenue, depuis, une excellente harpiste…), et interprétée sur cette vidéo, à Lorient, le 9 mai 2022, pour de précédentes master-classes... _, que je me suis rendu, hier soir, vendredi 29 juin, à un concert donné par des élèves du Conservatoire qui avaient très soigneusement travaillé _ avec leurs différents professeurs d’instruments (ou de voix), et, à l’occasion, sur la supervision de la compositrice elle-même, venue pour de telles master-classes à Bordeaux… _ les œuvres de Graciane Finzi, à l’Atelier du TnBA de Bordeaux,

et y ai découvert le superbe univers musical de cette compositrice contemporaine, Graciane Finzi, dont j’ignorais tout jusqu’ici…

Outre ce « On frappe à la porte » pour harpe solo, de 2000, d’une durée d’environ 3′ _ splendidement interprété hier soir par Alma-Flore Lepetit, donc ; et très loin d’un simple déchiffrage a-musical ici… _,

le programme de ce passionnant et très émouvant concert, très vivant, en conclusion très réussie des Master-classes avec la compositrice Graciane Finzi en personne,

était constitué des œuvres suivantes, très variées, de Graciane Finzi :

_ « On frappe à la porte« , de 2000, pour harpe seule, (d’une durée d’environ 3′)

par Alma-Flore Lepetit, harpe 

_ « La Confusion des sentiments et des idées« , de 2022, pour flûte et harpe (d’une durée d’environ 5′),

par Cécile Bernard, flûte, et Sirine Amarouche, harpe

_ « Nikkai« , de 2021, pour soprano et harpe (d’une durée d’environ 7′)

par Marie-France Koua, voix, et Elisa Balsamo, harpe

_ « Going up and down« , de 2020, pour violon et saxophone soprano (d’une durée d’environ 6′)

par Julie Boissel-Trunde, violon, et Margaux Lefebvre, saxophone soprano

_ « Winternacht« , de 2018, pour violon et piano, d’après la 3e Sonate de Johannes Brahms (d’une durée d’environ 19′) _ probablement l’acmé musical de ce très beau concert ; et une œuvre disponible, interprétée par Laurent Wagschal, piano, et Agnès Pyka, violon, sur le CD « Brahms aujourd’hui« , avec aussi des œuvres de Nicolas Bacri et Philippe Hersant, un CD Klarthe paru en février 2021 : Allegro ; Adagio ; Cantabile ; Presto (cliquer pour écouter les 4 podcasts, respectivement de 5′ 27 ; 4′ 15 ; 5′ 36 ; et 5′ 35) ; cf aussi le commentaire qu’en a donné Jean Jordy, sur le site utmisol. fr :

« L’œuvre de Graciane Finzi Winternacht s’inspire de la Troisième Sonate (1888) _ de Brahms _ par sa structure même en quatre mouvements et sa longueur. Elle s’ouvre Allegro par quelques mesures exacerbées précédant une ample plage mélodique que se partagent les deux instruments : tout ici se meut, avec intensité, voire gravité. L’Adagio et l’admirable Cantabile déploient une texture fluide, fine, quasi immatérielle où vibrent des sons étranges, des reflets irisés, des frissons en allés. Le Presto final confirme que la compositrice a relevé le défi, non en déjouant Brahms, mais en se confrontant à lui » _

par Gwenaëlle Burel et Kilian Mondot, piano, Julie Boissel-Trunde, Anggraini Tumino et Marie Morelle, violon 

_ »Les Jardins du possible« , de 2022, des mélodies pour voix moyennes et piano, sur des poèmes de Dominique Sampiero

par Annie Suck Gao, Lauriane Mathet, Margaux Vannicatte et Samuel Rouveure, voix, et Nicolas Contamine, Daiki Abe et Maximilien Wang, piano

_ et « Siguiriya« , de 2022, pour un ensemble de cordes _ au nombre ici de 24 : je les ai comptés, et en très grande majorité des violons… _ (d’une durée d’environ 11′), en guise de feu d’artifices final, très réussi, de ce magnifique concert,

par le Labo Violons du Conservatoire…

Un grand bravo aux interprètes, très engagés en leur interprétation, et à leurs professeurs, qui les ont fait travailler _ et très bien préparés _, avec tant de justesse et efficacité musicales : ce qui est bien l’essentiel d’une vraie formation musicienne…

Graciane Finzi,

une compositrice qui assurément retiendra désormais ma curiosité et mon oreille…

Ce vendredi 30 juin 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

En confirmation de mes précédents articles très élogieux de Benjamin Alard en musique française aussi, et tout spécialement les Couperin…

20mai

 

 

Eomme en confirmation de mes deux articles déjà très élogieux de Benjamin Alard aussi dans le répertoire français de l’époque dite baroque _ et pas seulement en sa magistrale Intégrale en cours de Johann-Sebastian Bach à divers claviers ; cf par exemple ici un lien au plus récent de ces articles, celui du 14 mai dernier : « «  _, des 17 et 21 janvier 2023,

« « 

et « « ,

voici, ce dimanche 14 mai dernier, sur le site de ResMusica, un nouvel article très laudatif pour ce CD « The Couperin Family«  _ MarchVivo MV007 _

sous la plume de Frédéric Munoz, et intitulé « La famille Couperin selon Benjamin Alard au clavecin » :

La famille Couperin selon Benjamin Alard au clavecin

 

Une merveille, je le redis…

Et en concert…

Ce samedi 20 mai 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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