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La rayonnante présence musicale de Johannes Pramsohler et Philippe Grisvard dans un puissant coffret de 3 CDs « A Cembalo concerto e Violine Solo » des Sonates pour Clavecin et Violon BWV 1014-1019, 1020, 1022 de Johann-Sebastian Bach (et quelques autres : CPE Bach, G-P Telemann, J-A Scheibe, C. Schaffrath, J-G Graun)…

11mai

C’est avec un vif intérêt que je suis de près, et depuis pas mal de temps déjà, les successives parutions discographiques du label Audax que dirige avec brio et inventivité le violoniste virtuose Johannes Pramsohler.

Et voici que le label Audax publie ces jours-ci un très brillant coffret de 3 CDS _ Audax ADX 13783 _ intitulé « A Cembalo certato e Violino solo« 

consacré aux Sonates pour Violon et Clavecin obligé _ BWV 1014-1019, 1020 et 1022 _ de Johann-Sebastian Bach (1685-1750)  ;

accompagnées ici de Sonates en trio similaires

de compositeurs du cercle de Bach :

 

son fils Carl-Philipp-Emanuel Bach (1714-1788)  _ la Sonate en B mineur, Wq 76 _,

son ami Georg-Philipp Telemann (1681-1767) _ le Concerto de D majeur, TWV 42:D6 _,

son ancien élève, puis critique, Johann-Adolf Scheibe (1708-1776) _ la Sonate I en D majeur, la Sonate II en B mineur et la Sonate III en en A majeur _,

son admirateur Christoph Schaffrath (1709-1763) _ le Duetto en A mineur, CSWV F:30 _,

et, collègue de son fils Carl-Philipp-Emanuel, Johann-Gottlieb Graun (1703-1771) _ la Sonate en B-flat majeur, GraunWV Av:XV:46.

Parmi les précédentes belles versions discographiques de ces Sonates présentes en ma discothèque personnelle,

je retiens aussi celle de Victoria Mullova et Ottavio Dantone _ soit le double CD Onyx Classics 4020, en mai 2007 _,

et celle de Leila Schayegh et Jörg Halubek _ soit le double CD Glossa GCD 923507, en janvier 2016.

Mais un des mérites très appréciables de cette nouvelle version de Johannes Pramsohler et Philippe Grisvard pour le label Audax,

est de confronter ces 8 Sonates de Johann-Sebastian Bach à 7 autres Sonates en trio _ également « pour Violon et Clavecin«  en quelque sorte « obligé »… _ de l' »Entourage » _ familial, amical, etc. _ de Bach,

dont 3 de Johann-Adolf Scheibe,

d’abord élève et disciple de Bach, avant de devenir, en 1737, dans le Critischer Musicus, son virulent critique ;

et c’est bien intéressant…

Ce mercredi 11 mai 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un beau CD « C.P.E. Bach Sonatas for flute and fortepiano » de François Lazarevitch et Justin Taylor

12avr

Parmi les récentes marquantes nouveautés discographiques du label Alpha,

un superbe CD consacré au plus brillant des fils de Johann-Sebastian Bach, Carl-Philipp-Emanuel Bach (Weimar, 8 mars 1714 – Hambouurg, 14 décembre 1788),

le CD Alpha 768 « C.P.E. Bach Sonatas for flute and fortepiano« , de François Lazarevitch et Justin Taylor,

comportant quatre Sonates en Trio, en Ré majeur, en si mineur, en ré mineur et en Do majeur, WQ. 83, 143, 145 et 149 ;

accompagnées de la Sonate en la mineur pour flûte seule WQ. 132 ;

et de la Fantaisie en fa bémol mineur pour pianoforte WQ. 67.

 

Ce mardi 12 avril 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’élégance musicale exaltante, sublime, des Mendelssohn : Felix et Fanny ; et la question de la perception de la singularité de la voix de Fanny…

30jan

Ce dimanche,

j’ai désiré percevoir davantage l’élégance musicale sublime des Mendelssohn,

Felix ainsi que sa sœur aînée Fanny.

Ainsi que la singularité, à découvrir-distinguer, de la voix spécifique, de compositrice, de Fanny Mendelssohn-Hensel (Hambourg, 14 novembre 1805 – Berlin, 14 mai 1847)…

Aussi, à cette fin, j’ai essayé de rassembler _ et c’est un défi ! _ les divers CDs de ma discothèque personnelle comportant une association d’œuvres de Felix et de Fanny…

Et je dois bien reconnaître que jusqu’à ce jour _ et bien à tort ! _ je n’avais prêté toute l’attention qu’elle mérite à l’œuvre personnelle de Fanny Mendelssohn ;

dont il faut bien admettre aussi que le réflexe des  producteurs de disques consistait à faire de l’œuvre de la sœur un simple « appoint » en quelque sorte anecdotique aux réussites éminentes _ elles, et universellement reconnues… _ de son cadet ;

ou bien _ et c’est, bien sûr, pire encore _ de simples exemplaires de certaines capacités de « réalisation artistique » de femmes compositrices :

en associant assez souvent Fanny Mendelssohn, par exemple, à Clara Wieck, l’épouse de Robert Schumann… 

Comme si notre attention envers certaines œuvres de ces femmes compositrices ne se justifiait, in fine, que comme une modeste toute petite « réparation » à l’encontre du sexisme endémique dont celles-ci avaient été, de leur vivant d’abord, et ensuite de la part de la postérité _ et encore toujours aujourd’hui… _ victimes, du point de vue de tout un chacun confronté à leurs noms, plutôt qu’à l’écoute vraie _ et en quelque sorte à l’aveugle _ de leurs œuvres…

Voilà.

Donc, j’ai entrepris de réunir les divers CDs de ma collection personnelle comportant au moins une œuvre de Fanny Mendelssohn,

afin d’écouter vraiment, et pour elle même seulement, la voix et l’idiosyncrasie de Fanny Mendelssohn – Hensel que l’on peut y percevoir…

Après, il faut absolument bénéficier d’une interprétation qui soit vraiment à la hauteur de l’œuvre ; et pas seulement anecdotique…

Mais est-ce si fréquent ?..

Et voilà que je suis tombé sur un magnifique CD de 2019, du label Pentatone _ PTC 5186 781 _, le CD « Felix & Fanny Mendelssohn _ Works for Cello and Piano« , par le violoncelliste Johannes Moser _ je l’apprécie beaucoup ! _ et le pianiste Alasdair Beatson _ regarder et écouter cette brève présentation par Johannes Moser…

Et je prends assez vite conscience que j’ai consacré deux articles de mon cher blog « En cherchant bien » à ce magnifique CD-ci :

_ l’article «   » du 11 septembre 2019 ;

_ et l’article «  » du 6 novembre 2019.

Retour au splendide Mendelssohn de Johannes Moser et Alasdair Beatson : une fête de fées…

— Ecrit le mercredi 6 novembre 2019 dans la rubriqueHistoire, Musiques”.

En un article de ce jour de son blog Discophilia,

par un article intitulé Ivresse,

Jean-Charles Hoffelé me permet de revenir

_ cf mon article du mercredi 11 septembre :  _

au très beau CD consacré

par le violoncelliste Johannes Moser et le pianiste Alasdair Beatson

à des œuvres de Fanny et Felix Mendelssohn :

le CD Pentatone intitulé Felix & Fanny Mendelssohn : PTC 5186781 _ regarder et écouter ceci pour percevoir la magnifique qualité de leur jeu si idoine…

Ivresse

IVRESSE



Le giocoso qui ouvre la Deuxième Sonate de Mendelssohn a un petit côté Songe d’une nuit d’été, c’est une pure musique de plaisir _ voilà, comme si souvent dans l’œuvre de Mendelssohn, surtout en sa jeunesse ; mais il est mort à l’âge de 38 ans seulement … _ où le violoncelle se fait chanteur _ oui _ avant que faire paraître Puck dans les pizzicatos du scherzando.

Il n’aura jamais sonné aussi enjoué et léger _ c’est là sa marque de famille ; d’où une certaine étrangeté en une période de romantisme assez souvent enclin au dolorisme et à un certain appesantissement… _ qu’ici, Alasdair Beatson jouant un Erard magique, piano-harpe éolienne qui fait la musique de Mendelssohn ce qu’elle est, celle des fées _ voilà ! Felix est aussi et peut-être d’abord un héritier en ligne directe, via ses maîtres à Berlin, de l’Empfindsamkeit de Carl-Philipp-Emanuel Bach _, bonnes ou mauvaises.

Dans un clavier si leste, l’archet de Johannes Moser ne pèse pas, qui envole _ oui _ la sonorité de grand alto du magnifique Guarneri joué à cette occasion. Et si l’on tenait enfin _ OUI !!! _ le duo parfait qu’attendaient les deux Sonates ? La Première est tout aussi réussie, comme les Variations concertantes si rarement enregistrées, et les deux amis ajoutent une Romance sans parole, un Feuillet d’album et deux pièces de Fanny Mendelssohn délicieuses à force de fantaisie discrète _ oui. Quelle fête ! _ c’est cela ! _, qui inaugure bien des futurs disques de ce duo inspiré.

LE DISQUE DU JOUR

Felix Mendelssohn-Bartholdy (1809-1847)


Sonate pour violoncelle et piano No. 2 en ré majeur,
Op. 58, MWV Q 32

Variations concertantes,
Op. 17, MWV Q 19

Lied ohne Worte,
Op. 109, MWV Q 34

Sonate pour violoncelle et piano No. 1 en si bémol majeur, Op. 45, MWV Q 27
Albumblatt en si mineur, MWV Q 25


Fanny Mendelssohn-Hensel (1805-1847)


Sonata o Fantasia in G Minor, H-U 238
Capriccio in A-Flat Major, H-U 247

Johannes Moser, violoncelle
Alasdair Beatson, piano Erard

Un album du label PentaTone PTC5186781

Photo à la une : le violoncelliste Johannes Moser et le pianiste Alasdair Beatson – Photo : © DR

Mendelssohn, sublime dans la joie…

Ce mercredi 6 novembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa


Outre l’immense plaisir de jouir de la Fantaisie en sol mineur et du Capriccio en La bémol Majeur de Fanny Mendelssohn _ deux œuvres composées en 1829 ou un peu avant _,

j’en retire la toute petite satisfaction d’avoir reconnu, même sans m’y être vraiment attardé, comme le mérite le génie propre _ à explorer vraiment ! _ de Fanny Mendelssohn.

Laquelle, Fanny, de cinq ans l’aînée de son frère Felix, avait elle-même été formée par l’excellent Carl-Friedrich Zelter (Berlin, 11 décembre 1758 – Berlin (15 mai 1832),

lui-même élève de Carl-Friedrich Fasch (Zerbst, 18 novembre 1736 – Berlin, 3 août 1800),

lui-même formé par son père Johann-Friedrich Fasch (Buttelstädt, 15 avril 1688 – Zerbst, 5 décembre 1758), un excellent compositeur _ une œuvre à explorer, avec ravissement assidu assuré ! ; à commencer par ses magnifiques Ouvertures _,

qui lui-même avait été l’élève, à Leipzig, de Johann Kuhnau (Geisig, 6 avril 1660 – Leipzig, 5 juin 1722), le prédécesseur de Johann-Sebastian Bach à Saint-Thomas de Leipzig…

Le génie musical de Fanny avait ainsi été, très tôt, formé-aidé à s’épanouir à la même vraiment excellente école que son frère Felix.

et c’est à l’école des descendants musicaux  _ berlinois : Zelter, donc, au tout premier chef… _ de CPE Bach et de l’empfindsamkeit, dont on perçoit les splendides échos de vie, en résonance, en les œuvres et de Felix et de Fanny, que leur merveilleuse élégante vivacité jubilatoire rayonnante, de chacun d’eux, s’est formée, à Berlin _ suite à l’installation en cette capitale de la Prusse, en 1811, de la famille Mendelssohn-Bartoldy venue de Hambourg… Même si, en une lettre à Fanny, en date du 16 juillet 1820, son père Abraham lui a écrit : « la musique deviendra peut-être pour lui [Felix] son métier, alors que pour toi elle doit seulement rester un agrément, mais jamais la base de ton existence et de tes actes »

Il nous reste maintenant à mieux percevoir, au disque, ou, plus rarement, au concert, la singularité idiosyncrasique _ pardon de la redondance _ du génie propre de Fanny Hensel – Mendelssohn,

en d’autres œuvres, et en d’autres CDs que ce sompteux CD d’œuvres pour violoncelle et piano interprétées si lumineusement par Johannes Moser et Alasdair Beatson _ ici,

pour lui donner-rendre, à elle, Fanny, la plus juste écoute possible…

Ainsi, aussi, qu’espérer que de nouveaux interprètes s’intéresseront à incarner maintenant, au concert comme au disque, l’œuvre entier, en la diversité de ses facettes et en toute sa richesse d’inspiration, de Fanny Mendelssohn-Hensel, pour d’enfin bonnes raisons, je veux dire des raisons enfin exclusivement musicales ! :

donner à nous faire entendre et partager la joie de l’épanouissement du génie musical de celle-ci en toute sa spécificité.

Et non simplement _ anecdotiquement, bien pauvrement _ parce qu’elle est la sœur de ;

ou une femme compositrice _ parmi quelques rares autres…

À suivre, donc…

Ce dimanche 30 janvier 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un voyage dans l’Allemagne baroque musicale, de Johann-Kaspar Fischer (1656 – 1746) à Johann-Balthasar Kehl (1725 – 1778)

30août

Ce soir, l’actualité discographique nous donne l’occasion d’un très intéressant voyage musical dans l’Allemagne baroque du XVIIIème siècle…

Avec un CD du label Encelade _ ECL 2002 _ intitulé « Ich schlief, da träumte mir« , par la claveciniste Anne-Marie Dragosits ;

que nous présente, sur son site Discophilia, un article de Jean-Charles Hoffelé, intitulé, lui, « Visages du sommeil« ,

 

autour d’œuvres de 7 compositeurs,

allant de Johann-Kaspar Fischer (1656 – 1746) à Johann-Balthasar Kehl (1725 – 1778),

en passant par Johann Kuhnau (1660 – 1722), Christoph Graupner (1683 – 1760),

et Johann-Sebastian Bach (1685 – 1750) et ses fils Carl-Philipp-Emanuel (1714 – 1788) et Wilhelm-Friedemann (1710 – 1784)

VISAGES DU SOMMEIL

Les rêves tendres, la mort, les voluptés du repos, les abîmes des songes noirs, Anne Marie Dragosits conduit les splendeurs de son grand Clavecin Zell dans le monde entre baroque et Aufklärung, où se pressent toutes les contradictions _ ou variétés _ du XVIIIe siècle.

L’idée même de sommeil renvoie à la tragédie lyrique  _ dont l’Atys de Lully... _ et à l’omniprésence du style français _ oui ! _ dévié de l’art des luthistes _ oui _ qui se prolonge dans les œuvres des clavecinistes allemands, Christoph Graupner en tête, dont l’abondante œuvre de clavecin mériterait _ assurément ! _ d’être plus courue, et qui fait entendre cette persistance dont son Sommeille de la Suite « Febrarius » ou dans celui de la Partita VII, alors que Johann Kuhnau, dans sa Sonata quarta compose un lamento qui pourrait être tiré d’une cantate italienne : cette Hiskia agonizante e risanato semble venir d’une autre planète, anticipant sur les sonates narratives qui feront la fortune de Dussek.

Entre deux mondes donc, cette claveciniste sensible et brillante dévoile les feux du grand clavecin signé par Zell en 1728 et restauré par Martin Skowroneck en 1973 – l’instrument est pieusement conservé au Musée de Hambourg -, éblouissant ce répertoire rare de ses couleurs si vives, faisant chanter les polyphonies dans ses registres contrastés, animant dans le foisonnement de sa richesse harmonique les libertés et les inventions _ en effet _ de tout un pan de l’histoire de la littérature du clavecin.

Si elle goûte tant la variété que lui autorisent ces disques aux programmes transversaux, oserait-elle revenir à un album monographique ? – après tout, elle l’a bien fait voici quelques lustres pour Froberger – et toujours sur ce Zell miraculeux, elle pourrait nous offrir tout un disque consacré à Johann Caspar Fischer ? La grande Passacaille de la Suite « Uranie », qu’on croirait tirée d’un opéra de Lully, le commande _ Johann-Kaspar Fischer étant un des tout premiers compositeurs allemands à diffuser en Allemagne le grand style des tragédies lyriques de Lully.

LE DISQUE DU JOUR

Ich schlief, da träumte mir

Carl Philipp Emanuel Bach(1714-1788)
La Stahl & La mémoire raisonnée (Nos. 25 & 30, extraites des « Petites Pieces per il cembalo solo, Wq. 117 »)
An den Schlaf, Wq. 202
Variations sur « Ich schlief, da träumte mir »


Wilhelm Friedemann Bach (1710-1784)
Réveille, F. 27
Fantasia, F. 15


Christoph Graupner (1683-1760)
Sommeille (extrait de la Suite « Febrarius », GWV 110)
Sommeille (extrait de la Partita VII, GWV 107)


Johann Kaspar Fischer (1656-1746)
Musicalischer ParnassusSuite No. 9 « Uranie »
(3 extraits : I. Toccata, IV. Sarabande, XI. Passacaglia)


Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Praeludium (Harpeggiando) en ut majeur, BWV 921
Komm süßer Tod (extrait du „Musicalisches Gesang-Buch, de Schemelli, 1736)


Johann Kuhnau (1660-1722)
Suonata quarta, « Hiskia agonizzante e risanato »


Johann Balthasar Kehl (1725-1778)
Wie schön leuchtet der Morgenstern

Anne Marie Dragosits, clavecin…

Un album du label L’Encelade ECL2002

Photo à la une : la claveciniste Anne Marie Dragosits – Photo : © DR

Ce lundi 30 août 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un récapitulatif commode de mes 106 « Musiques de joie » pour situation de confinement : du dimanche 15 mars au dimanche 28 juin 2020

29juin

Sous forme de courriels à certains de mes amis

avec lesquels je me suis initié à la recherche (et découverte !) de circonstances extra-musicales méconnues de la création musicale,

voici un récapitulatif commode de liens à mes 106 articles de « Musiques de joie« ,

au départ du dimanche 15 mars, premier tour des Élections Municipales 2020,

au dimanche 28 juin, second tour ;

pour temps de confinement…

Chers vous,
 
cette collection de 106 « Musiques de joie »
_ d’un dimanche d’Élections à un autre dimanche d’Élections,
avec cette expérience rare de confinement prolongé, qui m’a permis de mettre mieux (ou enfin !) à profit le trésor désordonné des piles de CDs de ma discothèque personnelle _
constitue, bien sûr, et forcément, un choix partiel et subjectif,  que j’espère cependant pas trop arbitraire.
 
Une sorte de vagabondage heureux à travers l’histoire, assez hiératique et imprévue, non calculée en tout cas, de la formation assez variée de mes goûts de mélomane vraiment curieux,
à défaut d’être effectivement musicien ;
ou comment retourner (un peu) à son profit les insuffisances rédhibitoires de sa formation…
 
Ce qui m’a offert d’étonnantes et bien belles rencontres, totalement imprévues et improgrammées, que j’ai appris aussi à cultiver avec passion en même temps que recul, de cette place un peu étrange et atypique, me semble-t-il, de mélomane inlassablement curieux, ouvert et …passionné !
 
Voilà pourquoi je tenais à inclure en ce bouquet de « Musiques de joie » ce qui a aussi marqué ce parcours personnel _ et atypique _ de réelles découvertes,
à travers l’attention méthodique que j’ai pu porter par exemple à La Fontaine et Marc-Antoine Charpentier, ou à Lucien Durosoir…
 
Ce qui a enrichi considérablement ce que j’ai naguère nommé « l’aventure d’une oreille »…
Et qui est aussi le charme d’une vie (un peu philosophique) épanouie à sa façon…
 
Avec reconnaissance,
 
Francis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
10) mardi 24 :  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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         73) mardi 26 :    

 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Réjouissez-vous !

Ce lundi 29 juin 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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