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Et relecture-révision de l’important article du 29 décembre 2020 « Comment j’ai fini par repérer la place (et bientôt la connexion) des trois discrètes dames Rey au sein de la branche « algérienne » des Ducos du Hauron… »…

01déc

Et voici ce matin, 1er décembre 2021, ma relecture-révision, avec corrections et ajouts d’après ce que j’ai pu apprendre depuis,

de mon important article du 29 décembre 2020  :

C’est presque avec surprise que j’ai fini par prendre conscience de la place (et de la connexion entre au moins deux d’entre elles _ mais bien, au final, les trois ! _  des trois très discrètes dames Rey (Marie-Eugénie-Hortense, puis Aimée-Laurence et Marie-Louise) dans la constellation familiale de ce que j’ai nommé la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, d’abord à partir du fait, premier, de la difficulté à réussir à donner une identité précise, à chacune de celles qui se présentaient, dans les différents faire-part d’État-civil accessibles le plus aisément sur le web, chaque fois, seulement comme la mère de tels et tels enfants _ pour le cas de la première épouse de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (1835 – 1927) : Marie-Eugénie-Hortense (Le Grand-Serrre, 21 mars 1848 – Le Grand-Serre, 9 septembre 1880) _, ou la veuve d’un autre _ pour le cas de l’épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (1872 – 1930) : Aimée-Laurence Rey (probablement Orléansville, entre fin 1879 et le 9 novembre 1883 – probablement Alger entre 1939 et 1942…). Et je passe ici sur la rareté des références (accessibles sur le web) à l’identité de celle _ Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ qui a été l’épouse de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ et non pas son frère Henri-Amédée-Lionel Ducos, décédé à l’âge de deux mois et cinq jours : Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866 _, et la mère de leurs _ au moins _ cinq enfants…

Presque trois fantômes d’épouses, ces trois-là, pour le moment de cette recherche _ mais bien d’inconnues demeurent toujours, après un an de recherches… _ tant font défaut, jusqu’ici, les environnements familiaux de naissance de chacune d’entre elles : de quels parents sont-elles, chacune d’elles, les filles ?.. Cela me demeure _ assez étrangement : pour quelles secrètes raisons ?_, pour le moment, inconnu _ mais, cela, j’ai fini par l’apprendre : Marie-Eugénie-Hortense Rey est fille de Jean-François-Régis (dit Benjamin) Rey (Le Grand-Serre, 8 décembre 1816 – Le Grand-Serre, 11 juillet 1880 ; lui-même fils de Jean Rey et son épouse Marianne Manin) et son épouse, le 5 août 1844, au Grand-Serre, Eugénie-Catherine-Louise Sibert (Le Grand-Serre, 1824 ; fille de Nicolas Sibert et son épouse Marguerite Sancy) ;

quant aux sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, elles sont les filles de Jean-Anatole-Firmin Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890 ; lui-même fils de Jean Rey et son épouse Marianne Manin) et son épouse Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886 ; elle-même fille de Laurent Gentet (Satolas, 7 avril 1821 – Orléansville, ?) et son épouse, à Orléansville le 21 janvier 1852, Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean-Rohrbach, 1822 – Orléansville, 27 décembre 1904).

Car c’est à peine si, quand je suis parvenu à accéder à la réalité de leur nom de jeunes filles, le même, « Rey« , pour toutes les trois, j’ai pensé à effectuer une connexion tant soit peu concrète entre elles trois ; probablement faute de pouvoir disposer, pour chacune de ces trois-là, du moindre contexte familial de naissance et d’enfance : ni père, ni mère, ni frères et sœurs, ni parenté plus ou moins proche, n’apparaissant, en effet, assez étrangement _ il me faudrait tacher d’un peu comprendre aussi cela… _, pour aucune d’entre elles, dans les faire-part d’État-civil (décès, mariages, naissances) les plus aisément accessibles _ sans se déplacer _ pour elles trois _ probablement du fait des tremblements de terre d’Orléansville du 9 septembre 1954 et 10 octobre 1980 : les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région ont alors été détruites…

Et c’est seulement face au faire-part de décès paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint au Trésor« , dans lequel l’identité de sa veuve demeurait en quelque sorte _ comme fantômatiquement… _ en blanc (« Mme Vve Victor Gadel« , sans nul prénom sien _ sinon celui de ce mari, Victor, la laissant veuve… _, pas davantage que de nom de jeune fille), que j’ai fini par me demander les raisons, forcément familiales (!), de la présence au sein de la liste des proches parents du défunt, de « Mme _ toujours sans prénom, ni nom de jeune fille _ et M. _ mais là, c’est une très malencontreuse déchirure de la feuille du journal ainsi reproduite, qui me privait (vilainement) du prénom de son mari ainsi caviardé ! Et il ne manquait plus que cette malencontreuse déchirure !!! _ Ducos du Hauron, et de leurs enfants«  _ pas de prénoms pour eux non plus : desquels des Ducos du Hauron « algériens » pouvait-il bien s’agir là ???  _, renforcé de la présence, aussitôt, de la mention de « Mme _ toujours, bien sûr, sans prénom, ni nom de jeune fille _ et M. Henri _ Ouf ! enfin un prénom pour mieux se rapprocher, enfin !, de ce couple… _ Ducros«  _ sans enfants, eux, ces Ducros-là, à cette date du 30 mars 1930… : c’était, en effet, à relever…

Car, dans ce second faire-part de décès, tout à fait important, et même crucial _ oui ! _, pour les petits progrès de ma recherche d’identification de ces personnes citées de trop nombreuses fois sans leurs prénoms, ni leurs noms de jeune fille,

après la référence au mari veuf de la défunte, « M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix« , et « ses enfants«  _ cités ici sans leurs prénoms _ ;

après la référence à « MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger«  _ ici les prénoms des deux frères de la défunte sont parfaitement clairement donnés _ ;

et après une « Mme Jacquet«  _ que je réussirai à identifier : la compagne de Gérard _,

venait enfin, et juste avant la liste de sept noms (« Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure« ) de parents et alliés,

 

venait, ou plutôt revenait, ce 2 janvier 1939, pour le décès d’Eveline Ducos du Hauron, cette mention encore sibylline _ et quasi fantômatique _ de « Mme Vve Gadel et ses enfants«  _ à nouveau (décidément !) sans indication de prénoms et de noms, pour ces enfants Gadel.

Une première hypothèse qui m’est venue à l’esprit était que cette « Mme Vve Gadel » pouvait avoir eu pour nom de jeune fille le nom de « Ducos du Hauron« …

Mais c’est alors que m’est venue à l’esprit l’étincelle éclairante que le lien de parenté de cette « Mme Vve Victor Gadel » avec les « Ducos du Hauron » d’Algérie, ne provenait pas du côté du défunt lui-même, de ce Victor Gadel _ le mari de ce couple _, ni d’autres Gadel de sa parenté,

mais bien du côté de cette « Mme Vve Gadel » elle-même _ cette épouse-veuve mentionnée ici sans son nom de jeune fille _ ;

surtout si cette « Mme Vve Gadel« , née « Aimée Laurence Rey« , et étant bien ainsi une « Rey« , avait, elle, un tout à fait effectif _ mais resté jusqu’ici fort discret : comme volontairement gommé, effacé.. ; mais ici j’ironise... _, lien de parenté avec les Ducos du Hauron :

un très précis lien de parenté avec, en cette occurence, Marie-Louise Rey, l’épouse de Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, le père de Gérard et Roger, ainsi que d’Eveline, la défunte « Mme Henri Ducros » du faire-part de décès du 2 janvier 1939…

Et même si ce lien de parenté n’avait jusqu’ici pas encore été élucidé…

Dernier point _ et énigme peut-être _ à affronter : la similitude _ en effet ! _ des deux mariages « algériens » des deux Victor Gadel, le père et le fils :

_ d’une part, le remariage, à Birkaden, le 9 décembre 1886, de Victor-le-père, veuf _ et à une date que j’ignore encore : ce fut le 9 septembre 1880 que Marie Eugénie-Hortense Rey décèdera, au Grand-Serre _ de sa première épouse Marie-Eugénie-Hortense Rey, avec sa seconde épouse (et belle-mère des deux enfants de son premier mariage), Marie Morlier _ qui décèdera, elle, à Marseille, le 8 janvier 1921 _que venait donc faire en Algérie Victor-Alexandre-Philémon Gadel ? Y venait-il tout exprès pour s’y marier ?..

_ et, d’autre part, presque vingt ans plus tard, le mariage, à Orléansville, le 11 mars 1905, de Victor-le-fils, avec son unique épouse _ et future veuve, le 30 mars 1930 _, Aimée-Laurence Rey.


Existe donc, et _ pleinement _ révélé par la confrontation de ces deux faire-part de 1930 et 1939,

un lien fort, une puissante connexion familiale

entre certains des Ducos du Hauron _ dont Eveline, mais aussi Gérard et Roger _ et cette « Mme Vve Gadel » _ voilà !

Même si la précision de cette parenté effective entre Marie-Louise, l’épouse d’Amédée, et Aimée-Laurence, l’épouse de Victor, ne m’est pas encore _ tout à fait _ apparue jusqu’ici en pleine lumière _ faute de disposer, sur ces divers faire-part de décès, des prénoms et noms de jeune fille des veuves…

Et cela, alors même que j’épluchais patiemment les diverses relations familiales de la nombreuse famille des Rey autour d’Orléansville, Malakoff, Hanoteau, etc. ;

autour d’un Denis Rey, par exemple _ qui décède à Malakoff, au mois de novembre 1935.

Mais je viens de découvrir _ surtout ! _ qu’un Jean-Anatole Rey avait été, en 1880-1882, maire d’Orléansville :

voilà qui ouvre tout d’un coup une bien prometteuse piste de travail…

Puis, je revenais à ce précédent faire-part de décès, décisif celui-ci _ oui, vraiment, pour le progrès de ma recherche (et prise de connaissance) du devenir en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et sa famille ! _, que je pouvais désormais relire en meilleure connaissance de cause, je veux dire celui, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès de « Mme Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron«  _ et cette fois sont bien présents le prénom et le nom de jeune fille de la défunte _, annoncé par « M. Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, et ses enfants«  _ à nouveau, hélas sans les prénoms de ces derniers ! : les enfants Ducros…

Faire-part que revenait hanter l’ombre fantômatique _ et décisive ! _ de « Mme Vve Gadel » :

telle la confirmation bienvenue de la bien effective parenté de ces deux dames toutes deux d’ascendance Rey…

À suivre…

Ce mardi 29 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Oui, un article décidément important dans la progression de ma recherche du devenir en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron,

et les divers membres de sa famille :

les Ducos du Hauron, les Rey, les Gentet, les Gadel, les Ducros…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture avec corrections de l’article « Second point d’étape sur les avancées et les taches aveugles de ma recherche sur l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron » du 18 décembre 2020

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

j’entreprends la relecture-révision de mon article du vendredi 18 décembre 2029. 

Voici _ les correction, précisions et ajouts sont en rouge et en gras _ ce que cela va donner :

Le 14 décembre dernier,

j’avais proposé un tout premier récapitulatif de mes recherches sur l’entourage familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

entourage si important à tous égards pour ce chercheur assez solitaire _ et lui-même célibataire, et sans descendance directe… _ :

Depuis, j’ai proposé 3 nouveaux articles :

et _  ;

et, surtout,

je continue d’affiner et préciser mes acquis et mes interrogations persistantes de l’article du 15 décembre :  ;

qui ne me satisfait, d’ailleurs, toujours pas :

il me faut donc continuer à y retravailler…

C’est surtout, d’ailleurs, sur le parcours « algérien » de l’aîné des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1966 – Alger 1935),

que j’achoppe,

faute de disposer, sur le web, de données suffisamment consistantes, et sans trop de « trous » :

ce que je nomme ici des « taches aveugles« …

Surtout,

je n’ai pas encore réussi à identifier les 5 enfants que prête à Amédée et son épouse Marie-Louise, un très précieux article de L’Écho d’Alger, en date du 4 mars 1927,

au moment de la retraite d’administrateur adjoint, résidant à Rébeval _ maintenant Baghlia _, d’Amédée, à l’âge de 60 ans _ Amédée Ducos du Hauron est né, à Agen, le 24 mars 1867…

Et puis un magnifique avis de décès _ magnifique, parce que particulièrement détaillé, celui-ci !_, paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,

pour le décès, la veille 30 mars, à Alger, de Victor Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), Payeur adjoint du Trésor d’Algérie, à Alger l’époux d’Aimée-Laurence Rey, elle-même la sœur cadette de Marie-Louise Rey, épouse d’Amédée Ducos du Hauron ;

mais j’ignorais encore à cette date du 14 décembre 2020 la sororité très effective de Marie-Louise Rey et Aimée-Laurence Rey _,

auxquels étaient apparentés _ par mariages _et les Ducos du Hauron _ en la personne d’Amédée, époux de Marie-Louise Rey _ et les Ducros _ en la personne de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, fille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey… _ 

_ mais je n’avais pas encore réussi, à cette date du 14 décembre 2020, à découvrir précisément comment existaient ces apparentements : par quels liens de quels mariages (entre ces familles Ducos du Hauron, Rey, Gadel, Gentet)… : je le découvrirai bientôt : les 31 décembre 2020, 1er et 2 janvier 2021 ; cf mes trois articles à venir :  ;  et  _

présente un terrible défaut pour le chercheur que je suis : un petit coin, mais hélas crucial, de cet avis de décès, en date du 30 mars 1930 _ et là même où justement auraient dû apparaitre les prénoms précis des divers membres de ces familles Ducos du Hauron et Ducros apparentés aux Gadel…a été malencontreusement arraché _ un phénomène assez rare dans les collections d’archives légalement conservées… _ ;

et constitue très littéralement, pour le regard de qui le consulte, une vraie « tache aveugle« , noire

_ qui vient nous priver d’indices décisifs _ ;

et je n’ai hélas pas réussi à  dénicher, sur le web, un exemplaire de cette page qui, lui, aurait été complet !!!

À suivre…

Ce vendredi 18 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà quelques bien utiles précisions de relecture a posteriori…

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Nouvelle relecture (très féconde) de l’article du 16 décembre 2020 « Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron »

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

je poursuis mes exercices de re-lecture-révisions _ avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras _,

cette fois de mon article du 16 décembre 2020 « « …

Voici donc ce que cela donne :

Ce jour _ il s’agissait là du mercredi 16 décembre 2020 _, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :  ; ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour, donc,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de la « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore _ et demeure toujours, à cette nouvelle date du 7 novembre 2021 ! _ très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! Et toujours pas ce 7 novembre 2021… _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 60 ans _ Marie-Louis- Amédée Ducos du Hauron, en effet, est né le 24 mars 1867 ; et non pas le 9 février 1866 (qui est la date de naissance de son frère aîné Henri-Amédée-Lionel, né, lui aussi à Agen, le 9 février 1866 ; et prématurément décédé à l’âge de 5 mois et un jour, à Agen, le 11 juillet 1866… La similitude du prénom Amédée, commun aux deux frères, m’avait alors égaré ; je n’avais pas été aller chercher plus loin dans les archives d’Etat-Civil d’Agen… _, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie _ cf mon indispensable (et magnifiquement précis) article à venir, le 5 janvier 2021 : … Un article riche de très nombreuses ressources pour la recherche, et sur lequel il me faudra, bien évidemment, revenir travailler en profondeur…

Même si un moment,

et forcément avant, novembre 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu

_ semble-t-il, du moins au regard de l’article rétrospectif re-publié dans ce numéro de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, un article précédemment paru dans un journal parisien, dont le nom n’était pas cité… ; et je reprends ici la citation de ce bien intéressant article de L’Écho d’Alger :  » Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants. Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire. Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans _ et Amédée, né le 24 mars 1867, atteindra l’âge de 28 ans le 24 mars 1894… ; peut-on tirer certaines conclusions, déjà, de ces dates?.. _, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle«  _

aux côtés de son oncle Louis, à seconder _ voilà ! _ les recherches photographiques de celui-ci _ et il y a bien là toute une recherche à mener… _, lui aussi ; comme son frère Gaston, et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis _ voilà la recherche qu’il faudrait engager et mener systématiquement de manière méthodique…

De la modeste _ oui … _ carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie _ dans lesquels Amédée a exercé les fonctions d’administrateur-adjoint _, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc encore pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 68 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les questions que je me pose concernent les raisons, peut-être, voire probablement, multiples,

de la cruciale décision d’Amédée Ducos du Hauron de ne pas accompagner ses parents Alcide et Cézarine-Marie, son oncle Louis, son frère Gaston et ses deux sœurs Marguerite et Alice, qui retournent en France _ non pas à Agen, mais à Paris _,

mais de demeurer, lui, et seul de sa famille, en Algérie _ où réside-t-il alors ? à Alger ? à Orléansville ? _, ce mois de novembre 1896…

Ces raisons de demeurer en Algérie sont-elles, de la part d’Amédée, uniquement professionnelles ?

Au mois de novembre 1896, Amédée a atteint, depuis le 24 mars, l’âge de 29 ans _ cf mon article du 5 janvier 2021 : 

Ou bien, entre-t-il aussi, dans cette cruciale décision de novembre 1896, voire en priorité, des raisons beaucoup plus personnelles et sentimentales, telle que sa rencontre, puis son mariage _ probablement à Orléansville où demeure, auprès de son tuteur (et oncle maternel) Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), Marie-Louise Rey, née en 1879 à Orléansville ; mais j’ignore encore à quelle date ce mariage a eu lieu… ;

pour le moment je ne sais toujours rien de plus précis sur la date ni le lieu de naissance de Marie-Louise Rey (très probablement à Orléansville, donc, où résidaient encore, en 1879, ses parents, Jean-Anatole Rey et son épouse orléansvillaise Adélaïde Gentet, avant de s’installer à Oran, le 29 novembre 1883 (cf mon article du 31 mars 2021 : ) ;

Oran, où décèderont Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855) le 21 juillet 1886, et Jean-Anatole Rey (né au Grand-Serre, le 10 juin 1845), le 28 janvier 1890 ;

janvier 1890, le moment où, faisant fonction de tuteur de ses nièces Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence Rey, Louis Gentet, avec son épouse (née Wachter), accueillera  les deux orphelines Rey en leur foyer, à Orléansville

(cf cet article, lui aussi décisif, en date du 2 janvier 2021 : ) ;

Orléansville constituant ainsi, dès lors, un lieu doublement crucial, tant affectif que professionnel, pour la destinée définitivement « algérienne«  de l’agenais de naissance Amédée Ducos du Hauron ! _

avec celle qui deviendra, mais à quelle date au juste, son épouse, l’orléansvillaise née en 1879 Marie-Louise Rey ?

En ce mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey, qui vit à Orléansville, a 17 ans ;

et Amédée Ducos du Hauron, lui, a 29 ans…

Ce sont assurément là d’importantes questions dont les réponses me font toujours défaut, dans mon effort continué de mieux connaître et comprendre le passionnant parcours d’existence d’Amédée Ducos du Hauron en Algérie ;

ainsi que le devenir, en Algérie aussi, de ses enfants et petits-enfants… 

La recherche se poursuit donc !

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise avec corrections de l’article du 15 décembre 2020 « Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron »…

06nov

Pour cet article un peu synthétique  du mardi 15 décembre 2020,

j’ai pas mal de correctifs, précisions et ajouts à apporter…

Voici donc ce que cela donne _ avec en rouge et gras ce que je reprends et rectifie _, à cette date d’aujourd’hui  samedi 6 novembre 2020 :

Afin d’être mieux à même de compléter la généalogie de la famille Ducos du Hauron, que j’essaie d’établir le plus exhaustivement possible,
voici en rouge, afin de bien les repérer, les éléments que je n’ai pas, à ce jour, réussi à identifier,
parmi la descendance d’Amédée-Jérôme-Mathias Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), époux à Coutras le 21 juin 1829, de Marguerite Zénaïde Boivin (Coutras, 6 octobre 1807 – Clermont-Ferrand, 18 janvier 1874),
 parents de 3 enfants :
Jean-Marie-Casimir-Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), époux au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 de Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen 19 mai 1923 _ elle sera inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen, le 21 mai 1923 _),
Louis-Arthur-Montalembert du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), demeuré célibataire,
et Berthe Ducos du Hauron (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), épouse à Agen le 11 février 1866 de Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).
J’ignore où et quand Berthe Ducos est décédée.
Alcide Ducos du Hauron et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld
sont les parents de 5 enfants, dont l’aîné décédé à l’âge de 5 mois et 2 jours :
Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866 ;
Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935 ), époux _ où (à Orléansville ? à Alger ?) et quand ? _ de Marie-Louise Rey (? , ? 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ où et quand Marie-Louise Rey est-elle née ? Probablement à Orléansville, en 1879 _ ;
Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912 ), époux à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) ;
Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971), demeurée célibataire, ;

et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 18 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) demeurée célibataire.   
Amédée Ducos du Hauron _ le fils aîné d’Alcide _ et son épouse Marie-Louise Rey
sont les parents d’au moins 5 enfants
_  c’est ce qu’indique du moins un intéressant (et évidemment précieux pour notre recherche) article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927, annonçant une exposition des « Anaglyphes«  de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger, et se permettant de citer à cette occasion un article d’un quotidien parisien,
que voici in extenso :
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur (sic : c’est moi qui souligne pareille affirmation) du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« .
Amédée Ducos du Hauron, désormais, en 1927, retraité (il est âgé de 60 ans) et domicilié à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie, non loin de Tizi-Ouzou, est donc dit ici avoir à charge une famille de 5 enfants _,
parmi lesquels j’ai identifié les suivants :
_ Edmée Ducos du Hauron (Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, 8 juillet 1904 – ? ? ) _ j’ignore où et quand celle-ci est décédée _,
_ Gérard Yves Alcide Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000) _ je n’en sais guère davantage sur lui ; s’est-il marié ? Il semble que oui : le 25 novembre 1939, à Alger, Gérard Ducos du Hauron s’est en effet marié avec Célestine Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 janvier 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972), précédemment mariée, le 30 juillet 1927, à Lyon, avec Eugène Jacquet. Or n’est-ce pas, précisément, une Mme Jacquet qui est présente sur le faire part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, immédiatement à la suite des deux frères Gérard et Roger Ducos du Hauron, et immédiatement avant Mme Vve Gadel et ses enfants ?.. Voilà qui est intéressant…
Voici in extenso ce faire-part : «  »M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« .
Mais j’ignore pour le moment les liens (attestés aussi dans d’autres faire-part de décès…) ayant pu exister entre les famille Ducros et Ducos du Hauron, et la famille Gadel…
Gérard Ducos du Hauron a-t-il une descendance ? C’est possible, mais cela paraît un peu difficile ; puisque, si lors de ce mariage, en novembre 1939, avec Mme Jacquet, celle-ci, Célestine, est déjà âgée de 46 ans ; il paraît assez peu probable (mais qui sait ?..) que celle-ci ait pu être, à 51 ans, en 1944, la mère de Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, qui est née à Alger le 4 avril 1944 (Non : Marie-José Ducos du Hauron, est fille du frère de Gérard, Roger Ducos du Hauron)...
_ Roger Ducos du Hauron _ à part son existence, attestée, au même titre que celle de son frère Gérard, en l’avis de décès (publié le 2 janvier 1939) de Mme Henri Ducros née Eveline Ducos du Hauron _ c’est-à-dire leur sœur ! _, faute d’avoir trouvé jusqu’ici la moindre autre mention de lui, j’ignore encore presque tout de lui, à commencer par ses dates et lieux de naissance et de décès… Et sur ce point, ma recherche n’a en rien avancé _,
_ Eveline Ducos du Hauron : j’ignore sa date et son lieu de naissance ; mais je sais qu’Eveline, épouse de Henri Ducros
_ j’ignore où et quand précisément a eu lieu ce mariage ; de même que les lieux et dates de naissance de son époux _ sur la naissance de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, cf mon décisif article du 31 mars 2021 : . : Henri Ducros est né à Alger le 25 juin 1887 _, cet Henri Ducros, qui a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon en 1930 et 1933 ; puis de Dupleix en 1938-39… _
décèdera à Alger au cours des vacances de Noël, dans les derniers jours de décembre 1938, et non en son domicile de Dupleix _ aujourd’hui Damous _ en Kabylie, où son mari était administrateur civil adjoint…
Eveline a été mère d’une petite Raymonde Ducros, décédée à Port-Gueydon _ aujourd’hui Azzefoun _ au mois d’octobre 1933 (on trouve en effet mention de cette petite Raymonde Ducros dans  l’avis de son décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933). Le numéro de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Yves-Henri Ducros ; de même que le numéro de L’Écho d’Alger du 30 mai 1931 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Raymond Ducros. Yves-Henri Ducros et Raymond Ducros font très probablement partie des enfants _ y en a-t-il eu d’autres ? _ de Henri Ducros et son épouse Eveline Ducos du Hauron, qui faisaient part, le 2 janvier 1939, en compagnie de leur père Henri, du décès de leur mère Eveline, à Alger. Que sont devenus par la suite ce Yves-Henri et ce Raymond Ducros ? Ils ont probablement été rapatriés en France métropolitaine en 1962 ; et se sont possiblement installés dans le Midi, et peut-être même dans le Vaucluse… Ont-ils eu, ou pas, une descendance ? Probablement…
D’autre part, Eveline Ducros du Hauron semble aussi avoir auparavant été mariée à un certain François Perez, si l’on se fie à un étrange très bref entrefilet intitulé « Pour affaires personnelles« , publié dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :
« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme née Eveline Ducos du Hauron. Dont acte » : semble ainsi se profiler l’existence d’un précédent mariage d’Eveline Ducos du Hauron avec ce François Perez…
Je suppose donc qu’Eveline Ducos du Hauron fait partie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (? 1879 – Agen, 1933) ; et qu’elle est une des sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron, ainsi que d’Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _ le 8 juillet 1904 ; et cela, sauf si il s’avérait, in fine, qu’ « Edmée » n’est qu’un autre des prénoms de cette Eveline !..
Je relève aussi que ce prénom d’Eveline était déjà celui de la grand-mère maternelle (côté de Fourcauld, du Temple-sur-Lot) d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) _ probable père de cette Eveline d’Algérie, même si cela demeure à confirmer… _ : Eveline Céleste Albaret.
Eveline Céleste Albaret, était en effet la belle-mère d’Alcide Ducos du Hauron (1830 – 1909), c’est-à-dire la mère de l’épouse de ce dernier, Cézarine-Marie de Fourcauld (1841 – 1923), et l’épouse, au Temple-sur-Lot, d’Antoine Martial Henry de Fourcauld (1817 – ?) _ mais j’ignore à ce jour les lieux et dates de naissance et décès d’Eveline Céleste Albaret…
Il est donc bien dommage (pour nous) que les prénoms des 5 enfants Ducos du Hauron évoqués dans ce bien intéressant article du 4 mars 1927 de L’Écho d’Alger, n’aient pas été spécifiés !
Ce qui fait que j’ignore ainsi si ces divers enfants d’Amédée et Marie-Louise
_ enfants Ducos du Hauron tous très probablement nés (mais c’est bien sûr à vérifier !) en Algérie ;
cette Algérie qu’Amédée n’aura, lui, peut-être plus quittée lors du départ pour la France, en novembre 1896, de ses parents Alcide et Cézarine-Marie, de son oncle Louis, ainsi que de son frère Gaston et de ses sœurs Marguerite et Alice : il faut cependant relever que l’épouse d’AmédéeMarie-Louise Rey, est décédée, elle, à Agen, le 20 septembre 1933 ! ; mais elle ne semble pas avoir été inhumée dans le caveau familial de sa belle-famille Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen… Et Amédée étant peut-être lui-même revenu parfois séjourner brièvement en France… _
se sont tous mariés _ Eveline, Gérard et Roger, oui … _ , ou pas ; et ont tous eu, ou pas, une descendance _ Eveline et Roger, oui…
Ainsi ai-je relevé, par exemple, aussi, l’existence d’une Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, née à Alger le 4 avril 1944, et décédée à Langrolaye-sur-Rance le 26 décembre 2009. Mais je n’en sais pas davantage sur celle-ci. Duquel des fils d’Amédée Ducos du Hauron _ Gérard ? Roger ? un autre ? : Roger ! _ Marie-José Sylvia Ducos du Hauron est-elle donc née en 1944  à Alger ? Oui !
Ce sont là de bien intéressantes données pour notre recherche… De même que l’histoire (algérienne) d’Eveline Ducos du Hauron…
Voilà donc un certain nombre de données factuelles qu’il serait intéressant d’éclaircir, afin de mieux connaître les divers membres de cette famille Ducos du Hauron ayant vécu _ à partir d’avril 1884, quand, avec leur mère Cézarine-Marie, Amédée (âgé de 17 ans) et Gaston (âgé de 14 ans), et leurs deux petites sœurs Marguerite et Alice (âgées de 5 et 4 ans) ont rejoint à Alger leur père Alcide ; accompagnés par leur oncle Louis _ en Algérie…
Au retour en France, en novembre 1896, de la plupart des membres de leur famille venus en Algérie, et cela à la possible, sinon probable, exception d’Amédée, Amédée, lui, qui a 29 ans, a choisi de demeurer en Algérie ; alors que son frère Gaston, qui a 26 ans, choisit de rentrer en France en compagnie de ses parents et ses sœurs.
J’ignore où et quand a eu lieu le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (en Algérie, probablement, et probablement à Orléansville, où Marie Louise Rey (et sa sœur Aimée-Laurence), doublement orphelines depuis le décès de leur père, le 28 janvier 1890, résidaient auprès de leur oncle maternel et tuteur légal, Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), frère de leur mère Adélaïde Gentet (décédée le 5 juillet 1886)… ; mais après tout je n’en sais rien, et j’ignore toujours, pour le moment, le lieu de naissance de Marie-Louise Rey, en 1879 _ au mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey est âgée de 17 ans.
En revanche, je sais que c’est le 7 janvier 1898, à Saint-Mandé, non loin de Paris, que Gaston Ducos du Hauron a épousé Edmée de Lamarque.
Des enfants nés du mariage d’Amédée et Marie-Louise, le premier né, du moins à ma connaissance à ce jour, est Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, près d’Orléansville, le 8 juillet 1904…
Mais des autres enfants de ce couple d’Amédée et Marie-Louise, au nombre de 5 en 1927, au moment de la retraite à Rébeval _ aujourd’hui Baghlia _, d’Amédée, je ne connais jusqu’ici d’autre date de naissance que celle de Gérard : le 30 août 1909, à Berrouaghia …
Et je viens de me lancer dans le recensement des divers postes de travail occupés dans l’administration de l’Algérie profonde, par Amédée Ducos du Hauron ; mais les données que je trouve à recueillir demeurent encore parcellaires…
Voilà donc pour la branche « algérienne » des Ducos du Hauron…
Et retour maintenant au frère cadet d’Amédée,
Gaston
Gaston Ducos du Hauron _ le second fils d’Alcide, et donc frère cadet d’Amédée _ et Edmée de Lamarque,
eux, sont les parents de 2 filles :
Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), épouse, à Agen le 20 juillet 1920, de Marie-Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) ;
ainsi que sa sœur Marie-Simone-MadeleineAdrienne (Saint-Maurice-sur-Seine, 20 mai 1900 – Bayeux, 22 novembre 1955), épouse à Paris, le 27 janvier 1932 de Jacques-Antoine Engelhard (Gonneville, 31 juillet 1896 – ?, 1979).
Et, à ce jour du 15 décembre 2020, j’ignore presque tout de cette sœur cadette d’Étiennette,
sinon, et cela d’après la précieuse lettre d’Alice Ducos du Hauron à Joseph Lacroix (Agen, 14 juillet 1861 – Villeneuve-sur-Lot, 1949) ancien chef de laboratoire et ami fidèle de Louis Ducos du Hauron _, en date du 6 juillet 1948, que cette sœur cadette d’Étiennette pourrait être née en 1900, en fait le 20 mai 1900 (mais pas à Saint-Mandé ! mais à Saint-Maurice-sur-Seine), et serait devenue paralysée à l’âge de 44 ans, en 1944 ; et que Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron _ la sœur dAlice _ était demeurée dès lors en permanence auprès d’elle afin de la soigner… 
… 
Berthe Ducos du Hauron et Onézime de Bercegol 
sont les parents de
Raymond-Camille-Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), époux à Bélaye, le 28 octobre 1896, de _ sa cousine _ Marie-Caroline-Emérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905),
puis époux à Bordeaux, le 4 juin 1907, de Marguerite-Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – ? ?) _ j’ignore la date et le lieu du décès d’Yvonne Marinier.
De même j’ignore si Raymond de Bercegol (déjà, était-il, ou pas, fils unique ?) a eu, ou pas, d’autres enfants que ses 2 filles, Marie-Henriette et Simone, décédées toutes deux en 1912…
… 
Raymond de Bercegol et Emérancie David sont les parents de
Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) ;
et Raymond de Bercegol et Yvonne Marinier sont les parents de
Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912).
 
Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque 
sont les parents de 10 enfants :
Jacqueline Lamarque
Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse, à Neuilly-Sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecourbon, 24 août 2016)
Yves Lamarque
Marie-Madeleine Lamarque
Jean Lamarque
Xavier Lamarque
Marie-Odile Lamarque
Anne-Marie Lamarque
Marguerite-Marie Lamarque
et Claude Lamarque, le 10ème de cette fratrie.
J’ignore si ces enfants (autres que Geneviève) se sont mariés, et ont eu, ou pas, une descendance :
probablement que oui _ Claude Lamarque ne tardera pas à m’apprendre, le 19 décembre suivant, le nombre, 27, de ses neveux et nièces, et, 43, petits-neveux et petites-nièces _,
ne serait-ce que si je prends en compte le fait que Louis Allard _ présent à Agen le 31 août 2020, aux diverses cérémonies de commémoration honorant son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, pour le centenaire de son décès, à Agen le 31 août 1920 _, et fils de Jacqueline Lamarque et Jean Allard, a pour oncle Claude Lamarque, un de ces 10 enfants d’Étiennette et Alfred Lamarque.
… 
J’ignore à ce jour le prénom _ Simone _ de la sœur cadette d’Étiennette (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès _ je les ai indiqués plus haut… _), le prénom Jacques et le nom Engelhard de son mari (ainsi que les lieux et dates de naissance de ce dernier : Jacques Engelhard est né à Gonneville le 31 juillet 1896, et il est décèdé en 1979)
ainsi que les noms et prénoms de leurs deux enfants, Nadine et Philippe (ainsi que leurs dates et lieux de naissance, et éventuellement de décès : je les ai appris depuis…) ;
et de même si ils se sont mariées, ou pas, et ont eu eux aussi, ou pas, des enfants, et une descendance
… 
Enfin, existe aussi  la descendance _ très bien documentée, elle _ de Geneviève Lamarque et Bernard Viennot, 
issue de leurs 5 enfants Viennot : 
Benoît Viennot (né en 1963), et son épouse Anne-Catherine Goulletquer _ laquelle a rédigé une gigantesque généalogie familiale, mais pas tout à fait exhaustive (ainsi, par exemple, ignore-t-elle la sœur d’Etiennette…) ; et comportant d’infimes erreurs de détail… _,
Emmanuel Viennot et son épouse Nicole Grégoire,
Hubert Viennot et son épouse Irène Alonso,
Agnès Viennot et son époux Jean-Michel Gazeau,
et Dominique Viennot et ses deux épouses successives : Valérie Garcia et Cécile Dupré.
 …
J’ai relevé les noms et prénoms des enfants de ces 5 enfants Viennot, à la génération suivante : 
Damien, Emeric, Amélie Viennot ;
Anaïs, Antoine, Romain et Maïté Viennot ;
Aurélien Gazeau ;
et Marion Viennot.
… 
Et encore, à la génération suivante : 
Clémence, Lucie et Elise Viennot ;
Paul, Céleste et Oscar Viennot ;
Mahaut, Juliette, Eloi, Zita et Louis Le Motheux de Chitray…
Voilà donc les taches aveugles qui demeurent à ce jour
dans mon effort de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron,
ainsi, surtout, que les questions que je me pose, maintenant, afin, bien sûr, de les dissiper…
Ce mardi 15 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
Voilà donc pour cette relecture, avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras, de mon article du 15 décembre
Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

 

D’utiles corrections à l’article « Avancées et stagnations sur le front de ma recherche à propos de l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron… », en date du lundi 7 décembre 2020

05nov

Ma longue et précise (et très précieuse !) conversation téléphonique de plus de 2 heures, du 2 novembre dernier, avec Joël Petitjean

_ cf mon article du 3 novembre dernier : « «  _,

me permet d’apporter, pour commencer _ et je vais bien sûr poursuivre les corrections bienvenues et nécessaires, d’autres articles de ma recherche ! _, d’importants et très utiles correctifs _ ci-dessous en rouge _ à un de mes tous premiers articles de recherche (entamée le 2 décembre 2020) de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron,

l’article rédigé le lundi 7 décembre 2020 (« « ) ;

à propos de la date exacte de naissance d’Amédée Ducos du Hauron :

né à Agen, non pas le 9 février 1866, mais le 24 mars 1867…

Voici ce que désormais _ les corrections et ajouts sont en rouge _ cela donne 

Ce lundi 7 décembre 2020,

j’ai poursuivi ma recherche en tâchant d’élucider quelques points d’ignorance au sein de la constellation familiale de Louis Ducos du Hauron.

Grâce à la lettre d’Alice Ducos du Hauron _ dont j’ignore toujours les lieux et dates de naissance et de décès, pour cette fille d’Alcide Ducos et Cézarine-Marie de Fourcauld : Marie-Alice Ducos du Hauron est née à Agen le 18 décembre 1880, et décèdera à Neuilly-sur-Seine  le 17 novembre 1971 _ en date du 6 août 1948,

j’ai pu identifier qui était fille aînée de Gaston Ducos du Hauron et son épouse Edmée de Lamarque, tous deux précocément décédés : Étiennette Ducos du Hauron ;

et apprendre le nombre d’enfants qu’elle, Étiennette _ épouse d’Alfred Lamarque _, et sa sœurdont j’ignore encore jusqu’au prénom (elle s’appelle Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine, le 20 mai 1900, et est décédée à Bayeux le 22 novembre 1955)  ainsi que le nom de son mari (Jacques-Antoine Engelhard : né à Gonneville, le 31 juillet 1896, et décédé en 1979) _ ont eus :

au moins 8 enfants _ 10 en réalité, comme me l’apprendra le dernier né de la fratrie, Claude Lamarque (né en 1941 ; cf mon article du 21 décembre 2020 : ), en notre très précieuse longue conversation téléphonique du samedi 19 décembre 2020 _ pour Étiennette, l’aînée ;

et 2 enfants pour sa cadette Simone.

J’ai découvert aussi que Gaston n’était pas, comme je l’avais d’abord supposé, le frère aîné des enfants d’Alcide et Cézarine-Marie, mais que c’était Amédée _ Marie-Louis-Amédée, pour être très précis quant aux mentions de l’état-civil de l’enfant déclaré à la mairie d’Agen, à sa naissance, qui a eu lieu le 24 mars 1867 à Agen ; et à ne pas confondre, j’y insiste à nouveau, avec Henri-Amédée Lionel Ducos du Hauron, son frère aîné, né à Agen le 9 février 1866, mais décédé, lui, à l’âge d’à peine 2 mois et 5 jours, à Agen, le 11 juillet 1866… :

il a longtemps été d’usage, peut-être en raison de la fréquence, alors, de la mortalité infantile, qu’à plusieurs frères ou sœurs d’une même fratrie, soient donnés et re-donnnés d’identiques prénoms : cf ainsi , par exemple, les 3 sœurs Delouart nommées Marie et Marie-Baptiste (nées à Ciboure les 29 juin 1782, 17 juin 1784 et 17 août 1786), dans la généalogie, à Ciboure, des ancêtres Delouart de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Parisn, 1937) ; ce qui, bien sûr, peut abuser l’attention, parfois un peu trop impatiente, des généalogistes ; cf, par exemple, mon article du 12 avril 2019 : « « … _ ;

Amédée dont, en me penchant sur les dates et lieux de naissance de son frère Gaston (Étienne-Gaston à l’état-civil) et de lui-même, Amédée, connus pour l’un, mais inconnus jusqu’ici pour l’autre, je suis parvenu à découvrir cette date et ce lieu de naissance, à partir des dates, en amont, du mariage de leurs parents (le 11 septembre 1864, au Temple-sur-Lot) et, en aval, de la naissance de son frère cadet Gaston _ puisque c’est bien cet ordre effectif-là de naissance que m’a appris la lettre d’Alice Ducos du Hauron du 6 août 1948 _ : le 16 juin 1870, à Agen.

Il me fallait aussi tâcher de passer en revue le mieux possible les lieux des postes successifs occupés par leur père Alcide, magistrat, entre ces deux dates du 11 septembre 1864 (comme juge suppléant) : à Agen ; et du 16 juin 1870 : à Agen, à nouveau (mais cette fois comme juge titulaire au tribunal d’instance). Entretemps, c’est-à-dire entre septembre 1864 et juin 1870, Alcide avait occupé, de 1868 à début 1870, un poste au tribunal de Lectoure.

J’ai donc passé en revue la liste des naissances à Lectoure ces années-là, et n’y ai pas trouvé ce que j’y cherchais ;

mais c’est en passant en revue la liste des naissances à Agen que j’ai découvert enfin la date de naissance de « Henri, Amédée, Lionel » Ducos du Hauron : à Agen, donc, le 9 février 1866 _ sauf que cet Amédée-ci, soit Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, né à Agen le 9 février 1866, et qui décèdera précocement à Agen le 11 juillet 1866, ne doit pas être confondu avec Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron, né à Agen le 24 mars 1867, et qui décèdera à Alger le 14 juillet 1935,

ainsi que me l’a appris (ou plutôt confirmé : dans mes articles j’avais contradictoirement indiqué pour Amédée ces deux dates et années (1867 et 1868) de naissance, à Agen), en notre longue conversation téléphonique de plus de heures mardi 2 novembre 2021, Joël Petitjean…

Voilà donc qui est notre Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935), que nous pouvons considérer comme l’aîné des trois neveux, Amédée Ducos du Hauron, Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), de Louis Ducos du Hauron, l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  ; et mes corrections sont réalisées ce vendredi 5 novembre 2021…  

Je tenais enfin là la confirmation de ce que m’avais laissé entr’apercevoir la lettre de sa tante Alice _ sauf que mon passage en revue de l’état-civil d’Agen ces années-là s’était trop vite interrompu ; et que j’avais manqué, à la fois  le décès de ce premier né d’Alcide et son épouse Cézarine-Marie, soit Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, à Agen, le 11 juillet 1866 ; et la naissance de son frère (notre Amédée !), Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron, à Agen, le 24 mars 1867…

J’ai aussi fait des recherches sur les dates et lieux de naissance des divers enfants d’Amédée en Algérie ; dont je ne suis pas encore parvenu à découvrir toutes les identités…

J’ai découvert aussi le nom de son épouse : Marie-Louise Rey ; ainsi que les lieux et dates du décès d’Amédée : à Alger, le 15 juillet 1935 _ non, c’est le 14 juillet qu’est décédé, à Alger, Amédée ; alors que le 15 juillet est le jour de ses obsèques, à Alger, ainsi que l’indique mon article du 23 décembre 2020 :  _ ;

et les lieux et dates du décès de son épouse Marie-Louise : à Agen, le 20 septembre 1933.

Pour leurs enfants nés en Algérie _ et à la date du 4 mars 1927, selon un article de L’Écho d’Alger : la famille résidait alors à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie ; et Amédée jouissait alors d’une mince pension de retraite de 500 francs par mois _, ces enfants Ducos du Hauron étaient _ au moins _ au nombre de 5.

Le 8 juillet 1904, alors que le couple résidait à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, dans la circonscription d’Orléansville, leur était née une petite Edmée _ le prénom de la belle sœur d’Amédée, l’épouse de son frère Gaston, qui venait de décéder à Saint-Mandé le 22 février 1902.

Et le 30 août 1909, alors que le couple résidait à Berrouaghia, au sud d’Alger, leur était né un petit « Gérard Yves Alcide« , qui décèdera le 27 janvier 2000, à l’âge de 90 ans, à Avignon.

Pour ce qui concerne la petite sœur d’Alcide et Louis, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1842,

ma moisson de renseignements demeure encore bien maigrelette : si je sais que son époux, Fabien Onézime de Bercegol _ peut-être originaire de Coutras : non il y fut seulement en poste de contrôleur des tabacs ; Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol est né au château de Bélaye (Lot) le 19 février 1834… _, l’a épousé à Agen, j’ignore encore à quelle date _ ce fut le 11 février 1866 _de même que j’ignore les prénoms, dates et lieux de naissance de leurs enfants ; alors que l’un d’eux _ peut-être (ou peut-être pas…) fils unique !.. _, Raymond de Bercegol _ Raymond-Camille-Marie de Bercegol_, né le 4 février 1869 _ en Gironde : à Lamothe-Landerron _, assista de très près son oncle pour plusieurs de ses inventions, au début du XXe siècle, tels l’appareil photo Sinnox, ou les plaques photographiques Omnicolors… À peine sais-je que Berthe est devenue veuve d’Onézime _ celui-ci décèdera à Cahors le 21 septembre 1896 ;

et je sais que Berthe était encore vivante en 1912 : elle figure en effet sur les deux faire-part de décès de ses deux-petites-filles, Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 3 septembre 1912) et Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) cf mon article du 10 décembre 2020 : …  

À (pour)suivre, donc…

Ce lundi 7 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les imprécisions et confusions de l’article du 7 décembre 2020 viennent donc d’être ainsi corrigées.

Et à nouveau, un grand merci à la vigilance méthodique de Joël Petitjean :

de tels échanges bienveillants constituent de très précieux atouts aux avancées de la recherche et de la connaissance !

 

Ce vendredi 5 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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