Musiques de joie : le régal d’une autre « Apocalypse joyeuse », à Berlin cette fois, celle des Mélodies du very charming Kurt Weill (1900 – 1950)
07juin
Sur la lancée de mon article d’hier
consacré à l’hollywoodien Concerto pour violon du viennois exilé en Californie Erich-Wolfgang Korngold
(Brno, 29 mai 1897 – Hollywood, 29 novembre 1957),
et sa musique langoureuse, et furibonde, d’Apocalypse viennoise,
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voici, ce dimanche, une musique de l’Apocalypse berlinoise :
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celle du presque parfait contemporain de Korngold (1897 – 1957),
the very charming Kurt Weill
(Dessau, 2 mars 1900 – New-York 3 avril 1950).
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Et j’ai choisi pour cela un CD assez original
et resplendissant,
précisément intitulé Charming Weill _ Dance Band Arrangements ;
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soit le délicieux CD RCA 09026 63513 2,
enregistré et publié en 2001,
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par Das Palast Orchester
mit seinem Sänger Max Raabe,
sous la direction de HK Gruber.
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Un choix d’arrangements de 19 incomparables Mélodies de Kurt Weill,
composées
de 1928, à Berlin, pour Die Dreigroschenoper,
à 1949, aux États-Unis, pour Lost in the Stars...
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Avec ici ce podcast de l’irrésistible Speak low ;
et cet autre de September Song ;
et encore celui de ce fulminant Kanonen-Song !
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Des chansons du bord de l’abyme…
Un régal !
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Ce dimanche 7 juin 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa