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Une perfection de récital Haendel : le CD « Mio caro Händel » de Simone Kermes

18fév

Haendel brille magnifiquement

tout particulièrement en ses opéras et oratorios.

Et il est très aisé aux gosiers les plus véloces

de faire leur miel (et marché)

parmi les dizaines et dizaines d’airs plus superbes et séduisants les uns que les autres.

Mais avec son récital

de onze airs d’opéra (en italien), trois airs d’oratorio (en anglais) et un air de mélodie allemande (en allemand)

de son CD Mio Caro Händel

_ le CD Sony 19075861772 _,

avec « ses » musiciens de l’ensemble Amici Veneziani,

dirigés par Boris Begelman, maître de concert,

la soprano virtuosissime Simone Kermes atteint

rien moins qu’au sublime !

et dans la plus grande justesse, toujours, de son jeu !

Parfaitement !

Ce récital

_ et avec quelques tubes :

« Piangero la sorte mia« , « Ombra mai fu« , « Moriro, ma vendicata« , « Se ‘l mio dol non e si forte« , « Scherza in mar la navicella« , « Lascia ch’io pianga« , tous merveilleusement donnés ! _

est un enchantement

extraordinaire

du début jusqu’à la fin,

sans la moindre chute de tension.

Brava !


Absolument recommandable

pour s’enivrer du plus beau Händel…

Ce lundi 18 février 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

« Abbandonata », ou Carolyn Sampson parmi le flamboiement irradiant des cantates italiennes de George Frideric Handel

23nov

A peine quatre années,

de 1706 à 1710,

dura le séjour italien,

et principalement à Rome,

de George Frideric Handel (1685 – 1759).

Ce fut, pour le jeune saxon qu’était Handel

une _ luxueuse _ période d’épanouissement _ flamboyant !!! _  de sa créativité,

parmi le raffinement des princes et cardinaux _ et lettrés hyper-raffinés _

de la très brillante cour pontificale.

Parmi les chefs d’œuvre

de ce glorieux moment

de sa jeunesse jetant sa gourme,

je pointe la série de ses magnifiquement véloces et aériennes cantates italiennes ;

au sein desquelles,

emblématique pour mon goût,

brille d’un parfait éclat

la merveilleuse Tra le fiamme,

dont continue de me demeurer dans l’oreille la réalisation céleste

d’Emma Kirby,

assistée de The Academy of Ancient Music,

l’ensemble dirigé par Christopher Hogwood ;

soit le CD L’Oiseau-Lyre 414 473-2,

paru en 1985 _ il y a 33 ans déjà…

Aussi,

quand Carolyn Sampson,

assistée de The King’Consort,

l’ensemble que dirige Robert King,

nous propose-t-elle un CD de quatre cantates italiennes de Handel,

le CD Abbandonata, le CD Vivat 117,

je commence par placer illico presto sur ma platine

la plage par laquelle débute la cantate adorée :

Tra le Fiamme

Et, là, je suis légèrement déçu : pas assez d’envol,

ni de vélocité aérienne.

Plus tard, forcément,

j’y reviens,

en suivant cette fois l’ordre du CD ;

c’est-à-dire en commençant par Armida abbandonata.

Le caractère bien plus dramatique de cette cantate

convient mille fois mieux

à la pointe de gravité du timbre comme de l’art du chant

de cette belle cantatrice

qu’est Carolyn Sampson !..

Ce vendredi 23 novembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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