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La question d’identifier précisément une des soeurs Confex et une des filles Wachter d’Elisabeth Confex (épouse Wachter) : la future « Veuve Paul Bonopéra » de 1916, et la future « Veuve Louis Gentet » de 1906…

01nov

Pour résumer très simplement le fond de mon questionnement d’hier («  « ),

les identités de deux personnes continuent de constituer deux importantes taches aveugles de ma recherche à propos de l’environnement familial, via son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935) ;

il s’agit :

d’une part, et premièrement,

de l’identité d’une des sœurs Confex d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) _ Élisabeth Confex, un (discret) personnage-pivot de mon enquête _devenue, à la mort de Paul Bonopéra, le 18 janvier 1916, à Orléansville, « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex » _ Paul Bonopéra : né à Miliana le 1er octobre 1856, et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916… _ ;

et que la mention, dans Le Progrès d’Orléansville, du 10 avril 1925 _ « Nous avons appris avec peine le décès survenu à Alger, à l’âge de 89 ans, de Madame Veuve Wachter, née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter d’Orléansville, et sœur de Madame Veuve Bonopéra _ voilà ! Très aimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte _ Élisabeth Confex, veuve Wachter de Jean-Baptiste-Antoine Wachter _ ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont connue. En cette pénible circonstance, nous adressons aux familles atteintes par ce deuil cruel nos bien sincères condoléances «… _ du décés, survenu à Alger le 30 mars 1925, d’Élisabeth Confex « Veuve Wachter« ,

affirme on ne peut plus explicitement être bien une sœur de cette défunte Élisabeth Confex ;

ainsi qu’une tante de l’orléansvillais Émile Wachter _ né à Mustapha le 15 mai 1869, et époux, à Orléansville, de Hélène-Etiennette-Sophie Janet ; parents de 5 enfants Wachter ; cf mon article du 2 février 2021 : _un des enfants _ le quatrième de la fratrie : après Élisabeth-Marie-Louise Wachter (née à Médéa, le 9 mars 1858) ; Aimée-Marie Wachter (née à Mustapha, le 2 septembre 1859) ; Louis-Jules Wachter (né à Orléansville, le 29 juillet 1866) ; et avant Marie-Emélie Wachter (née probablement à Orléansville, en 1874 ou 75)… _ d’Élisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ;

et jusqu’ici, j’ai ai pu identifier,

outre 2 frères Confex, soient Marius-Ernest-Jules Confex (Alger, 19 février-1841 – ?, ?) et Marius-Etienne Confex (Alger, 29 novembre 1843 – Relizane, 30 décembre 1894),

3 sœurs Confex

d’Élizabeth Confex, la future « Veuve Wachter, née Confex » _ j’ignore cependant à quelle date Élizabeth Confex est devenue veuve de son mari Jean-Baptiste-Antoine Wachter… _ ;

qui sont :

_ Aimée-Justine-Marie Confex (Alger, 7 août 1839 – ?, ?), devenue, à Alger, le 2 décembre 1889, la « Veuve Philippe Ferrand, née Confex » _ mais j’ignore le lieu et la date du décès de cette Aimée-Justine-Marie Confex _  et mère d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand (Alger, 1869 – Alger, 18 décembre 1927 ; qui deviendra l’époux de la nièce de sa mère : en l’occurrence, sa cousine Marie-Emélie Wachter, fille d’Elisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter ;

 

_ Marie-Léontine Confex (Alger, 28 mars 1846 – ?, ?) _ sans aucune autre précision jusqu’ici… _ ;

_ et Zoé-Marie-Thérèse Confex (Alger, 19 août 1852 – ?, ?), épouse, à Mustapha, le 13 mai 1876, de Henry-Anastas Clément (Vallerest, 15 juin 1850 – ?, ?) _ sans davantage de précision…


Laquelle d’entre ces trois sœurs Confex est-elle devenue la troisième « Madame Paul Bonopéra » _ la première Madame Paul Bonopéra (et mère de leurs 6 garçons), est Joséphine Girot, née à Ténès, en 1856, et décédée à Orléansville, le 11 juillet 1892 ; et Paul Bonopéra ayant divorcé de sa deuxième épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet, le 25 juillet 1897 ;

cf là-dessus mes articles du 13 février 2021 :  ; et du 7 mars 2021 : _puis, le 18 janvier 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra » ?..

_ Est-ce ou bien, Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 août 1839, devenue, à l’âge de 50 ans, le 2 décembre 1889, veuve de Philippe Ferrand ; celle-ci aurait pu épouser, aussi, un peu plus tard _ après le divorce de Paul Bonopéra d’avec sa deuxièle épouse, le 25 juillet 1897 _, Paul Bonopéra, à Orléansville _ la date exacte de ce troisième mariage de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) avec cette dame « née Confex », me demeurant, à ce jour, inconnue… _ ;

_ ou bien, Marie-Léontine Confex, née à Alger le 28 mars 1846 _ jusqu’ici je ne sais rien de plus sur sa vie ; ni son décès… _ ;

_ ou bien Zoé-Marie-Thérèse Confex, née à Alger le 19 août 1852 _ mais, si ce n’est son mariage, le 13 mai 1876, à Mustapha, avec Henry-Anastas Clément (né à Vallerest, Haute-Marne, le 15 juin 1850), je ne sais rien de plus, non plus, sur le reste de sa vie de cette sœur Confex, sixième de la fratrie des enfants Confex-Vidal ; non plus que sur son décès… ?

_ à moins qu’il ne s’agisse encore d’une autre sœur Confex, mais jusqu’ici inconnue de moi, d’Élisabeth Confex…

Puis, d’autre part, et deuxièmement,

la seconde tache aveugle qui fait l’objet de cette petite synthèse de ma part,

est l’identité d’une des filles Wachter_ fille d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et de son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – j’ignore le lieu et la date de son décès) : ce couple Wachter-Confex a eu au moins 5 enfants Wachter… _ 

en l’occurrence celle qui deviendra, le 9 août 1906, lors du décès de son époux Louis Gentet _ l’oncle et tuteur de ses deux nièces Marie-Louise Rey (épouse, à Orléansville, d’Amédée Ducos du Hauron) et Aimée-Laurence Rey (épouse, à Orléansville, de son cousin Victor Gadel), les deux filles de Jean-Anatole Rey et Adélaïde Gentet, précocementt décédés le 28 janvier 1890 et le 21 juillet 1886, à Oran _, la « Veuve Louis Gentet, née Wachter » de certains des faire-parts de divers décès de sa famille ; faire-parts sur lesquels celle-ci figure sous cette dénomination, mais _ hélas pour la facilitation de notre recherche _ chaque fois sans son prénom ;

en conséquence de cette ignorance du prénom de cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter« ,

je ne suis toujours pas en mesure d’identifier les lieu et date de naissance de cette demoiselle Wachter qui deviendra « Veuve Louis Gentet » à dater du 9 août 1906

_ et il semble, aussi, que ce couple Gentet-Wachter n’a pas eu d’enfant Gentet… _ ;

ni, non plus, d’affirmer laquelle des sœurs de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » est bien cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter » _ une des quatre filles jusqu’ici repérées de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex ;

à ne pas confondre avec, à la génération suivante, les filles Wachter de leur frère Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène-Etiennette-Sophie Janet : Mireille Wachter (Orléansville, 1907 – Orléanville, 19 octobre 1928) et Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004 ; épouse, à Orléansville, en juin 1930, de Camille Férise)… _ ;

sœurs Wachter, dont je connais, à ce jour, seulement les données concernant les naissances ; mais ignore, notamment, lesquelles de ces demoiselles Wachter-ci ont été mariées, ou pas ; non plus plus que les lieux et dates des  décès respectifs de chacune :

il s’agit ici d’Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

et d’Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859.

J’ai bien envisagé, aussi, qu’il aurait pu s’agir, éventuellement, d’une troisième de ces sœurs Wachter, en l’occurrence la benjamine et cinquième de la fratrie, Marie-Emélie Wachter, née _ probablement à Orléansville _ en 1874 ou 1875, et mariée _ j’ignore à quelle date précisément, et possiblement à Orléansville… _ à son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand, né _ probablement à Alger _ en 1869, où il décèdera, en son domicile, Avenue Gandillot, le 18 décembre 1927 ; faisant d’elle, à dater de ce jour de 1927, « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Mais il faut bien constater qu’existe une fondamentale impossibilité logique (!!!) que cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » proprement une nièce de la veuve Ferrand du défunt Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter, celle-là même qui annonce le décès de son mari _, soit la même personne que celle, en l’occurence « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« , qui annonce, dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927, le décès de son époux, et intègre à son faire-part, au rang protocolaire qui lui convient, sa sœur : « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

« Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter et ses enfants : Yvonne et Simone ; M. Henri Ferrand et Mme ; Mme Vve Bonopéra ; Mme Vve Louis Gentet, née Wachter ; Mme et M. Émile Wachter et leurs enfants ; Mme Vve Louis Wachter et sa fille ; Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants ; M. A. Gastaud ; les familles Ferrand d’Avancourt, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ; M. Albert Billiet ; MM. Tiné, le personnel de la Maison Tiné et Cie,

ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Albert FERRAND, Caissier aux Deux Magots, leur époux regretté, père chéri, neveu, beau-frère, cousin et allié, décédé à Alger le 18 décembre 1927, dans sa 59e année. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à quatre heures. Réunion au domivile mortuaire, 9 rue Rovigo. Regret éternel«

De la fratrie des cinq enfants du couple formé par Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth- Joséphine-Baptistine Confex _ Élisabeth-Marie-Louise, Aimée-Marie, Louis-Jules,Émile et Marie Emélie Wachter _, sont donc encore vivants à cette date du 18 décembre 1927, du décès, à Alger, d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand, que les deux plus jeunes de la fratrie, soient Emile Wachter, et Marie-Emélie Wachter, désormais veuve d’Albert Ferrand. 

……

L’hypothèse envisagée plus haut, est donc écartée !

« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , étant la belle-sœur du défunt, « Monsieur Albert FERRAND« ,

est bien la sœur de « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Ne demeurent ainsi plus que trois possibilités pour l’identification de la personne précise de cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

_ ou bien, Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

_ ou bien, Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859 ;

_ ou bien, encore, une autre sœur Wachter, qui serait demeurée totalement inaperçue de mes recherches jusqu’ici…

Voilà, pour ce jour de Toussaint 2021,

mon effort de synthèse concernant ces deux taches aveugles de ma recherche, que sont les deux identités à percer au jour, de « Mme Vve Paul Bonopéra, née Confex » et de « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ la seconde citée, née Wachter, étant la nièce de la première, née Confex…

La disparition des archives d’Orléansville et sa région lors des deux séismes du 9 septembre 1954, puis du 10 octobre 1980, ne facilitant certes pas la recherche des états-civils des personnes,

en empêchant de consulter les données d’État-civil qui, conservées à Orléansville, ont été alors détruites…

Ce lundi 1er novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

De prometteuses perspectives, du côté de la famille Bonopéra

01mar

Et voilà que, hier dimanche 28 février 2021, vers 16 heures,

je reçois un appel téléphonique en réponse à un message déposé la veille, samedi 27 février, vers 17 heures, sur le répondeur téléphonique, d’un autre membre de la famille Bonopéra, la niçoise Cécile Bonopéra,

fille de Paul-Jean-André Bonopéra (né à Orléansville le 5 mai 1933) et son épouse Anne-Marie Arnal,

petite-fille de Marcel Bonopéra (né à Renault le 10 janvier 1907) et son épouse Odette Sanchez (née à Orléansville le 23 décembre 1911

et arrière-petite fille de Paul Bonopéra-junior (né à Pontéba le 13 septembre 1878) et son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (née à Saint-Sauveur-de-Ginestoux (Lozère) le 12 janvier 1881 _ Paul Bonopéra-junior étant le second des 6 fils de Paul  Bonopéra-senior (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892) ; avec ici pour rappel ce précieux récapitulatif des 6 fils Bonopéra nés entre 1877 et 1892, extrait de mon article du 16 février 2021 « «  :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger (sic ; ce n’est que plus tard qu’il deviendra le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville…), et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913.

Et que l’échange extraordinairement sympathique qui s’ensuit avec Cécile Bonopéra, m’apprend l’existence de recherches généalogiques :

d’une part, menées par M. André Raymond

_ M. André Raymond est né à Mouzaïa-les-Mines, en avril 1930 ; il est le fils de Juliette Morand de la Genevraye (Orléansville, 25 janvier 1906 – Lagardelle-sur-Lèze, 22 octobre 1998), petit-fils de Jules Morand de la Genevraye (Orléansville, 17 juin 1881 – j’ignore la date et le lieu de son décès), arrière-petit-fils d’Auguste Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra : la sœur aînée (née à Miliana le 22 janvier 1849) de ce Paul Bonopéra (né lui aussi à Miliana : le 1er octobre 1849) dont m’intéresse l’identité de la veuve, née Confex… _ ;

et l’autre, réalisée probablement par un des petits-fils de ce Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), dont m’intéresse tant de découvrir l’identité précise de la veuve _ « née Confex«  _, « Mme Vve Bonopéra« , ou « Mme Vve Paul Bonopéra« , puis, partir de 1930, « Mme Vve Bonopéra mère » _ en l’avis de décès paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, de M. Georges Morand de la Genevraye _, « née Confex« , donc _ en un avis de décès de sa sœur aînée, Elisabeth Confex, « Mme Vve Wachter, née Confex » paru dans Le Progrès, d’Orléanville, le 2 avril 1925 _ ;

apparentée qu’elle est, par cette filation Confex, aux Wachter d’Orléansville,

et par là apparentée surtout à ces Gentet d’Orléansville,

et en l’occurence précise à « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« 

_ dont j’ignore aussi l’identité précise !!! _,

dont le défunt mari Louis Gentet, décédé le 9 août 1906, à Orléansville, a été _ nous y voilà ! _ le tuteur, aux décès de leurs parents Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son époux Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ cet Anatole Rey qui avait été maire d’Orléansville en 1880-1881 ; cf mon article du 30 décembre 2020 :  ; et celui du 2 janvier 2011 : _,

des deux sœurs orléansvilloises Marie-Louise Rey et Aimée-Laurence Rey :

l’aînée, Marie-Louise, épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

lui-même l’aîné des trois neveux qui ont secondé, en ses travaux, leur oncle, le génial inventeur _ en 1868, à Lectoure _ de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) ;

et la cadette, Aimée-Laurence, épouse de ce Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 10 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930),

dont le faire-part de décès, paru dans L’Écho d’Alger le 31 mars 1930 _ cf mon article (du 28 janvier 2021) récapitulatif de la lecture de ce faire-part de décès de Victor Gadel : _ comporte ce nom de « Mme Vve Bonopéra« ,

qui m’a mis sur la piste de ces Bonopéra d’Orléansville…

Un faire-part de décès éminemment décisif dans les avancées de ma recherche ;

et que voici _ on trouvera ici en rouge les éléments disparus dans le bien malencontreux déchirement de la page du journal reproduite _ce faire-part du décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor« , paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930, très probablement rédigé par Aimée-Laurence Rey, « Mme Vve Victor Gadel« , la sœur cadette de Marie-Louise Rey, et belle-sœur d’Amédée Ducos du Hauron

_ que nous retrouverons, sous cette même mention de « Mme Vve Victor Gadel« , dans le faire-part de décès, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, de « Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron« une mention qu’il m’a fallu, déjà, un certain temps, pour parvenir à la déchiffrer… _, devenue, ce mois de janvier 1939, la mémoire familiale de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, depuis les décès de sa soeur Marie-Louise Rey (le 20 septembre 1933, à Agen), et de son beau-frère, Amédée Ducos du Hauron (le 15 août 1935, à Alger) ;

et j’ajoute ici, au passage, que j’ignore encore la date et le lieu du décès de cette « Mme Vve Victor Gadel« , née, à Orléanville, j’ignore aussi à quelle date, Aimée-Laurence Rey, fille d’Anatole Rey et de son épouse, née Adélaïde Gentet… _ :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

À comparer avec le faire-part de décès, bien plus succinct, de « Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron »,
la fille aînée d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvilloise née Marie-Louise Rey, 
paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 :
M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ;
MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ;
Mme Jacquet ;
Mme Vve Gadel et ses enfants ;
les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,
vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron.
Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939.

Voilà donc un bref résumé de l’historique des emboîtements de mes recherches généalogiques :

des Ducos du Hauron, aux Rey ;

des Rey (et Gadel) aux Gentet, à Orléansville  ;

des Gentet aux Wachter, à Orléansville ;

des Wachter aux Confex ;

et des Confex aux Bonopéra et Morand de la Genevraye, à Miliana, Rabelais et Orléansville…

À suivre…

Ce lundi 1er mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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