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Le suicide d’une philosophe : de la valeur de vérité (et de justice) dans le marigot des (petits) accommodements d’intérêts (2 _ ou élargissement)

09nov

A propos de l' »affaire » comportant « le suicide d’une philosophe« ,

et ayant, à mon tour, envisagé l' »affaire«  soulevée,

au-delà des prudents « voiles de fumée », ou « jets d’encre de seiche », que peut conseiller à ses clients quelque, un tant soit peu, madré juriste, en espérant lasser ainsi la patience des quelques uns qui oseraient vouloir s’essayer à y regarder d’un peu plus près, voire, officiellement et « dans les règles », demander quelque compte _ comme s’il n’y avait, en France, ou ailleurs, « que des fous pour faire avancer la Jurisprudence » _,

ayant envisagé l' »affaire » soulevée

par les amis de la philosophe Marie-Claude Lorne,

qui s’est donnée la mort en se jetant dans la Seine du pont Simone-de-Beauvoir à Paris _ le 22 septembre dernier : son corps a été retrouvé dans le fleuve, le 3 octobre _, possiblement à la suite de ses difficultés de titularisation universitaire,

c’est non sans _ un mélancolique, ainsi _ plaisir

_ au vu de cette très pénible tragique circonstance _

que je constate que Yves Michaud,

ayant « repris »

_ après une interruption de tout un été et un demi-automne _

la rédaction de son blog « Traverses » sur le site de Libération,

consacre l’énergie de toute son alacrité _ retrouvée _ et perspicacité _ coutumière _ à cette misérable « affaire » (professionnelle) :

de « jeu » tragique

broyant une personne

entre les rouages pas assez bien « huilés » d’une institution (de modalités de « titularisation ») trop tardivement « révisée » ;

« affaire » que,

naïvement, à la seule lecture de l’article du blog de François Noudelmann et Eric Aeschimann « Une philosophe broyée par l’université de Brest« , sur le même site de Libération, en date du 3 novembre _ et concomitamment avec mes propres (petites) réflexions (« dans mon coin »), depuis la mi-octobre, sur la « crise » _ ;

« affaire » que

je m’étais permis d’un peu extérieurement intituler « Le suicide d’une philosophe : de la valeur de vérité (et de justice) dans le marigot des (petits) accommodements d’intérêts«  ;

et que je constate, donc, aussi, qu’il en dégage, avec la clarté d’analyse qui le caractérise,

une « leçon » _ éminemment « pratique » _ « de « déontologie » (républicaine)

immédiatement _ ou quasi _  appliquable : pour constituer une « règle »(de droit) un peu plus fiable…

Je renvoie donc à la séquence _ non achevée à ce jour _ des articles d’Yves Michaud (sur son blog « Traverses« )

_ au nombre, jusqu’ici, de 3 : intitulés

(1) « Un suicide dans les règles« , en date du 28 octobre ;

(2) « Un suicide dans les règles (2) : où l’on apprend, entre autres, la différence entre Brest et Morlaix« , en date du 30 octobre ;

et (3) « Un suicide dans les règles (3): de l’irresponsabilité réglementaire« , en date du 4 novembre _

éloquents par leur argumentaire,

ainsi que par l’appoint de commentaires _ modérés (par Yves Michaud), désormais _ d’intervenants relativement assez bien informés et compétents, du moins m’a-t-il semblé,

et faisant « avancer » l’analyse même de la question ;

et dans la perspective on ne peut plus pratique, voire pragmatique, d’un « règlement » faisant « vraiment » progresser les solutions de pareilles « difficultés« …

Quoique naïves et bien trop « générales »

_ sur les symptômes d’une « crise » endémique (depuis plus de trente ans : 1976, pour s’arrêter au simili « prix Nobel d’Économie » décerné à Milton Freedman…) _,

les (petites) « réflexions » de mon propre article précédent, me semblent

ne pas n’être qu’impertinentes…

Titus Curiosus, ce 9 novembre 2008

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