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Ma curiosité Tansman : suite, au piano en 1939-40 et 1955, avec de nouvelles prometteuses ouvertures aussi…

10mai

La satisfaction éprouvée à l’écoute de 5 CDs consacrés, pour tout ou pour partie, à des œuvres d’Alexandre Tansman (Lodz, 11 juin 1897 – Paris, 15 novembre 1986),

dont témoignent mes deux articles d’avant-hier mercredi 8 mai «  » et hier jeudi 9 mai « « ,

a soulevé une vive curiosité de ma part d’en découvrir bien davantage par le disque ;

et c’est ainsi que j’ai pu, d’une part, dénicher ce matin chez mon disquaire préféré le CD de piano « Tansman – Piano Music » _ le CD Dux 1688, enregistré à Lodz les 11 et 12 août 2020 _ de la pianiste polonaise Hanna Holeksa interprétant les « 24 Intermezzi » (Paris, 1939, et Nice, 1940) ainsi que la « Sonate pour piano n°5 « À la mémoire de Bela Bartok » (Paris, 1955) ;

et, d’autre part, passer commande de 5 autres CDs consacrés, pour tout ou pour partie, à des œuvres d’Alexandre Tansman : 3 de pianos (d’époques diverses) _ et en avant-première, écoutez donc déjà ceci (61′ 02), par Maria Argenterio : c’est proprement jubilatoire ! _, et deux de musique de chambre _ mes répertoires préférés, avec la mélodie : j’aime les lignes claires…

Sur ce CD de l’excellente pianiste Hanna Holeksa (Bytom, 15 juillet 1977),

voici deux commentaires qu’en ont donné Jean-Charles Hoffelé en son article « Intermèdes de guerre« , en date du 15 novembre 2021,

et Bénédict Hévry, en son article « Vingt-quatre Intermezzi pour piano d’Alexandre Tansman, sublimés par Hanna Holaksa« ; le 22 novembre suivant :

INTERMÈDES DE GUERRE

La peste brune allait ravager l’Europe, mais Alexandre Tansman _ juif polonais, installé à Paris depuis la fin 1919, et ayant obtenu la nationalité française en 1938 _ n’avait pas encore quitté Paris lorsqu’il composa les deux premiers cahiers de ses 24 Intermezzi qui seront son carnet de notes d’exil. Les deux suivants furent mis au net à Nice _ en 1940 _ où, hébergé chez des amis, il attendait le sésame de son visa pour le Nouveau Monde.

Rien ne transparaît du drame, ces haïkus pianistiques sont vifs, débordés par cette plénitude _ voilà _ d’harmonies épicées, cette suractivité _ oui, oui _ rythmique pleine d’ostinatos, et une nostalgique discrète y paraît parfois, à peine avouée : la pudeur était le fort de ce petit homme_ deux points communs avec son maître Ravel _ qui cachait admirablement son génie _ et le mot n’est en effet pas galvaudé ! Mais un cri se fait entendre dans le chromatisme tortueux de l’Adagio lamentoso à la plage 21 du CD _ qui soudain colore de noir le 4e cahier _ de 1940 ; des 6 pièces de ce 4e cahier, regardez-ici la vidéo (de 14′ 33) _ : Tansman le reprendra tel quel pour en faire le mouvement lent de sa Quatrième Sonate _ dédiée à Elizabeth Sprague Coolidge, en 1941, à New-York. Hanna Holeksa en donne une lecture puissante _ voilà _, faisant entrer une dimension orchestrale dans ces pièces brèves _ oui _ qui résument l’esthétique comme l’artefact d’un compositeur parvenu à l’acmé de son art.

Quinze ans plus tard, la 5e Sonate _ en 1955 _, dédiée « à la mémoire de Béla Bartók » pour la commémoration des dix ans de sa mort, peut être qualifiée de chef-d’œuvre _ oui ! _, les ostinatos sont jouissifs au long du Molto vivace, et le Finale, commencé par un largo funèbre, impressionne, tout comme les souvenirs de Bach qui emplissent l’admirable Lento. Là encore, Hanna Holeksa est admirable de poésie, de brio et sait émouvoir _ oui.

Les archives de l’INA conservent d’ailleurs une interprétation de cette Sonate sous les doigts de compositeur _ lui-même _, Hanna Holeksa l’aurait-elle entendue ? D’ailleurs, quantité d’œuvres d’Alexandre Tansmansont conservées dans des interprétations de première force au sein des archives de la Maison ronde, quel éditeur _ voilà ! _ prendra l’initiative de les exhumer ?

LE DISQUE DU JOUR

Alexandre Tansman
(1897-1986)


24 Intermezzi (1939-1940)
Sonate pour piano No. 5 “À la mémoire de Béla Bartók”

Hanna Holeksa, piano

Un album du label DUX 1688


Photo à la une : le compositeur Alexandre Tansman – Photo : © Famille Tansman

Instagram

La pianiste polonaise Hanna Holeksa nous offre une nouvelle et superbe version discographique des rares Vingt-quatre intermezzi d’Alexandre Tansman composés à la veille _ pas tout à fait : à Paris en 1939, et à Nice au printemps et à l’été 1940 _de la Seconde Guerre mondiale. L’anthologie est complétée par l’imposante Sonate pour piano n° 5, de quinze ans postérieure _ en 1955 _ et dédiée à la mémoire de Béla Bartók.

Après des études musicales poussées en sa Pologne natale, Alexandre Tansman gagne Paris dès 1919, où il est présenté à Ravel _ voilà _, subjugué par le talent protéiforme et iconoclaste du jeune homme. Fort de cette relation le jeune compositeur pianiste pourra rencontrer Bartók, Prokofiev, Stravinsky, le groupe des Six, Roussel et sympathiser avec d’autres jeunes loups venus de l’Est parfaire leur art en bord de Seine : Martinů, Harsanyi, Tcherepnine, Mihalovici et lui-même fonderont l’école de Paris, mouvement renouvelant considérablement la donne néo-classique par l’apport des musiques populaires, folkloriques, voire extra-européennes, ou encore de jazz _ en effet, et c’est très important. On ne cesse de redécouvrir_ oui, oui… _  cet important compositeur qui, farouchement indépendant, a traversé le XXᵉ musical avec un exil forcé aux États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale. Et en particulier son œuvre pour piano protéiforme, _ c’est très juste _ partagée entre ravissantes pièces pédagogiques et substantiels projets compositionnels, suscite de plus en plus l’intérêt des interprètes _ en effet.

Les Vingt-quatre intermezzi datent de la période incertaine de la « drôle de guerre » : ils sont ordonnés en quatre cahiers de six, rédigés entre Paris pour les deux premiers (fin 1939) et à Nice (printemps et été 1940 _ et l’Occupation a alors bel et bien commencé ! _) où Tansman réside, sur le départ, près du consulat américain. Car pourtant naturalisé français par décret deux ans plus tôt _ en 1938 _, il sent monter dans la France, peu après partiellement occupée par l’envahisseur nazi, une vague d’antisémitisme sans précédent et craint _ non sans d’excellentes raisons !!! _ pour la sécurité de sa famille et de lui-même _ il est Juif. Il pourra s’exiler au départ du port méditerranéen aux États-Unis, où plusieurs tournées de concerts lui avaient valu de très solides amitiés, dont celle de Charlie Chaplin.

Ces vingt-quatre instantanés musicaux (entre une et trois minutes chacun) renvoient obliquement au cycle des 24 préludes de Chopin (l’on peut trouver même ça et là quelques citations cryptées) à la fois comme véritable art poétique de l’auteur et comme journal de bord tour à tour nostalgique (l’hommage à Brahms en guise de pénultième pièce _ ainsi que le titre d’« Intermezzi«  _) inquiet (le vingt-et-unième, de loin le plus développé, adagio lamentoso, réutilisé tel quel d’ailleurs comme mouvement lent de la quatrième sonate) ou ironique (les conclusions des deux premiers cahiers).

Ce cycle avait trouvé en Vladimir Jankélévitch, philosophe du je-ne-sais quoi et du presque-rien (dans l’esprit de ces bagatelles des profondeurs) ami proche du compositeur _ oui, oui _, un très fervent défenseur. On s’explique d’autant plus mal que ces magnifiques et magistrales miniatures extrêmement caractérisées aient attendu 70 ans pour être enfin gravées au disque ! En effet, la pianiste belge Éliane Reyes avait livré sa vision de ce quadruple cycle pour Naxos voici une douzaine d’années en première mondiale (Clef d’or ResMusica) : une interprétation fervente, toujours actuelle, mais peut-être un rien trop objective et quelque peu oblitérée par une prise de son trop directe et surtout un piano assez quelconque à la mécanique bien bruyante.

Hanna Holeksa, nouvelle venue, donne une approche plus diversifiée quant à ses intentions et plus fruitée dans sa réalisation. Elle peut compter sur un excellent instrument _ oui _, et surtout sur une captation assez capiteuse _ oui, oui _, nimbant le Steinway Modèle D d’une très légère mais agréable réverbération. La pianiste polonaise, déjà bien connue pour son travail chambriste au sein du Trio Vivo et lauréate de plusieurs concours internationaux, joue d’avantage sur la fluidité métrique (n° 4) ou l’ambivalence harmonique de ces pages (les numéros 1, 3, 7, 9, 15). La qualité du toucher (en particulier dans les n° 2 ou n° 19) est toujours au rendez-vous, la sonorité est variée et mordorée (n° 16, n° 19) ainsi que constamment la différenciation impeccable des plans sonores démêlant les écheveaux contrapuntiques les plus intriqués des pièces les plus cérébrales. Hanna Holeksa trouve la juste ambiance dès les premières notes de ces très brèves pages, du spleen laiteux du n° 2 à l’accablement grisâtre du n° 5, de la triste tendresse désabusée du n° 7 à l’ironie la plus amusée du n° 10, du rire sarcastique du n° 22 aux réminiscences d’ambiances tantôt ravéliennes (n° 11) ou romantiques et salonardes à jamais révolues (n° 15, l’hommage à Brahms du n° 23) dans une nostalgie teintée d’inquiétude (n° 17) _ très bien perçu.

Mais ailleurs, l’interprète se rappelle du sillage de la Nouvelle Objectivité dans la veine d’un Toch ou d’un Hindemith (n° 3), par les ostinati rythmiques implacables (n° 5) ou le néo-classicisme scriptural le plus austère (fugue du n° 6). Cette lucidité objectale l’amène à s’amuser des sortilèges du texte : sont ainsi délicieusement croqués les gruppetti et trilles néo-scriabiniens du n° 8, la savante désarticulation rythmique de l’allegro barbaro (clin d’œil bartokien _ oui _) dans un tempo di marcia du n° 12, l’incisivité implacable des accents presque jazzy _ oui _ du n° 14, ou la brutalité délibérée du n° 18. Cette approche idéalement versatile atteint à juste titre le comble de l’expression anxieuse et désespérée au fil du terrifiant _ voilà !adagio lamentoso du n° 21, tout en jouant aussi la carte de la distanciation amère pour boucler le cycle (n° 24) sur la ponte des pieds, porte ouverte vers un avenir incertain.

Là où Éliane Reyes avait choisi pour compléter son disque d’enregistrer (également en première mondiale) la Petite suite de 1917-19, délicieusement poétique malgré (ou à cause de ?) son projet pédagogique, et la brève valse-impromptu de 1940, Hanna Holeksa a opté pour la beaucoup plus substantielle Sonate pour piano n° 5 de 1955, composée à l’occasion du dixième anniversaire de la mort de Béla Bartók. Les qualités de toucher et de poésie déjà remarquées font mouche dans les deux mouvement centraux, tandis que les temps extrêmes, roidement menés, révèlent une pianiste aussi irréprochable que brillante et virtuose, qui se joue de toutes les chausse-trapes rythmiques et de l’aspect délibérément plus percussifs des temps extrêmes. De quoi conclure en beauté et avec éloquence ce maître-disque _ oui, oui.

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Alexandre Tansman (1897-1986) : Vingt-quatre intermezzi pour piano, en quatre cahiers ; Sonate pour piano n° 5 à la mémoire de Béla Bartók.

Hanna Holeksa, piano Steinway modèle D-274.

1 CD DUX.

Enregistré en la grande salle de concert de l’Académie de musique Grażyna et Kiejstut Bacewicz de Lódź du 8 au 12 août 2020.

Texte de présentation en polonais et en anglais. Durée : 63:00


En remarquant aussi, au passage, le travail discographique important, et de très grande qualité musicale, qu’accomplit en Pologne, à Lodz, en faveur de la diffusion discographique de l’œuvre musical d’Alexandre Tansma, le très intéressant label Dux, distribué en France par Distrart…

Qu’attend donc l’édition discographique française ?..

À suivre, bien évidemment, avec le plus vif intérêt !

Quelle splendide _ et originale _ musique !!!

Ce vendredi 10 mai 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Confirmation ce mois de mai d’un avéré tropisme Alexander Tansman (1897 – 1986) au sein de ma discothèque personnelle ; avec un piano percussif, à la Bartok, ou aussi jazzy…

09mai

La sortie toute récente, le 10 avril dernier, du CD Dux « Tansman Trio plays Tansman« , le CD Dux 2014 _ enregistré à Luszlawice les 25 et 26 septembre 2023 _, comportant la splendide « Suite-Divertissement » pour violon, alto, violoncelle et piano (de 1929) _ avec un électrisant Finale Molto vivace ! _, la « Sérénade n° 2 » pour violon, alto et violoncelle (de 1937) et le « Trio à cordes n°2 » (de 1946), vient confirmer ce que je pourrais qualifier d’un certain mien « tropisme Alexander Tasman« …

Il s’agit en effet là du cinquième CD Tansman de ma discothèque personnelle, pour un compositeur auquel je ne me suis pourtant que très récemment attaché _ faute de l’avoir jusqu’alors repéré, identifié, lui, Alexander Tasman (Lodz, 11 juin 1897 – Paris, 15 novembre 1986), et d’avoir connu, par le CD, une part au moins de son œuvre riche (comportant plus de 300 opus…) : ainsi Tansman était-il un peu étrangement passé jusqu’ici sous les radars de ma curiosité… _, comme le confirme le nombre de seulement deux articles de mon blog comportant son nom _ mais pas exclusivement : c’étaient en effet les œuvres de Grazyna Bacewicz et de Laszlo Lajtha qui m’avaient le plus marqué alors… _, rédigés aux dates du 30 août 2022 et du 18 février 2024 :

« « , en 2024

et « « , en 2022 : et c’est à ce moment-là, au mois d’août 2022, que j’ai vraiment  découvert Alexandre Tansman, en tant que membre de la très intéressante (et originale) « École musicale de Paris« , fondée en 1928 par Marcel Mihailovici (Bucarest, 22 octobre 1898 – Paris, 12 août 1985) _ « Figure marquante de la vie musicale et partie prenante de l’avant-garde pendant l’entre-deux-guerres, Marcel Mihailovici fonde en 1928 l’École de Paris, qui réunit plusieurs compositeurs amis étrangers, Bohuslav Martinu, Conrad Beck et Tibor Harsanyi, auxquels se joindront peu après Alexandre Tansman, Alexandre Tcherepnine, Igor Markevitch et Alexandre Spitzmüller« 

Ces 5 CDs de ma discothèque comportant des œuvres d’Alexandre Tasman sont les suivants :

_ le CD Naxos 8.570235 « Alexander Tasman – Chamber Music for Clarinet« , par le Quatuor Elysée, Jean-Marc Fessard, Eliane Reyes et Francis Pierre _ enregistré à Paris du 20 au 23 avril 2006 _avec le « Triptyque pour quatuor à cordes » (de 1930), les « Trois Pièces pour clarinette, harpe et quatuor à cordes » (de 1970), la « Musique à Six pour clarinette, quatuor à cordes et piano » (de 1977) et la « Musique pour clarinette et quatuor à cordes » (de 1982) de Tansman ;

_ le CD CPO 777 987-2 « Alexander Tasman – Ballet Music – Sextuor – Bric-à-brac « , par le Polish Radio Symphony Orchestra dirigé par Lukasz Borowicz et Wojciech Michiniewski _ enregistré au Festival Tansman le 9 octobre 2002 et le 19 novembre 2014 _avec le « Sextuor – Ballet-bouffe » (de 1923) et « Bric-à-brac – Ballet en 3 tableaux » (de 1935) de Tansman _ une œuvre splendide ! Écoutez-ici, mais par un autre ensemble, un peu moins percutant, le Bamberger Symphoniker… _ ;

_ le CD Sony Classics 19439986682 « Paris Bar – Françaix – Lajtha, Tansman« , par le Notos Quartett _ enregistré à Leipzig du 16 au 19 février 2021 _avec la « Suite-Divertissement » pour violon, alto, violoncelle et piano (de 1929) de Tansman ;

_ le CD Dux 1792 « Bacewicz – Tansman – Piano Quintets« , par la pianiste Julia Kociuban et le Messages Quartet _ enregistré à Lodz du 25 au 27 juillet 2021 _avec la « Musique à Cinq pour quintette avec piano » (de 1955) de Tansman _ un pur chef d’œuvre, là !!! Savourez-ici ses 5 mouvements : Praeludium, Toccata, Elegia, Divertimento et Finale _  ;

_ et le CD Dux 2014 « Tansman Trio plays Tansman« , par le Tansman Trio et le pianiste Tomasz Ritter _ enregistré à Luszlawice les 25 et 26 septembre 2023 _avec la « Suite-Divertissement » pour violon, alto, violoncelle et piano (de 1929), la « Sérénade n° 2 » pour violon, alto et violoncelle (de 1937) et le « Trio à cordes n°2 » (de 1946) de Tansman.

Pour le moment,

je me contente de remarquer la place éminente, et en quelque sorte concertante, que joue le piano percussif _ à la Bartok ?..  ; mais aussi jazzy… _ dans ces diverses œuvres de musique de chambre avec piano (en 1929, 1955 et 1977) d’Alexandre Tansman…

À suivre…

Ce mercredi 8 mai 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

« Funérailles », l’océanique chef d’oeuvre symphonique de Lucien Durosoir en hommage aux Poilus de la Grande Guerre, superbement chroniqué par Res Musica

26juil

Ce dimanche 26 juillet, sur le site de ResMusica,

voici que je découvre

en m’en réjouissant, bien sûr !

_ cf mon article du 11 novembre 1919 : _

une très belle chronique de Patrice Imbaud

intitulée Échos de la Grande Guerre par Lucien Durosoir et Patrice Hersant ,

consacrée au CD Hortus 736 : Sous la pluie de feu, de Philippe Hersant, & Funérailles, de Lucien Durosoir ;

un splendide CD

qui vient clôturer en apothéose la très belle collection « Les Musiciens et la Grande Guerre« 

que ce label Hortus a consacré aux Musiciens de 14-18

_ ce CD en étant le volume XXXVI et dernier.


La voici :

Échos de la Grande Guerre par Lucien Durosoir et Philippe Hersant

Un grand merci à Patrice Imbaud et au site ResMusica

de faire aussi justement largement partager

la réjouissance tellement méritée de ces œuvres splendides !!!

Ce dimanche 26 juillet 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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