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Quelques repères, au moins géographiques, sur l’environnement familial de Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, et mère de ses six fils…

03mar

Il y a un moment que je m’intéresse à l’identité de l’épouse première de Paul Bonopéra, et mère de ses six fils :

Jean, né à Pontéba, le 18 juin 1877 ;

Paul, né à Pontéba, lui aussi, le 19 septembre 1878 :

Alphonse, né à Charon, le 1er janvier 1881 ;

Auguste, né à Orléansville, le 3 avril 1883 ;

Julien, né à Charon _ à nouveau : comme son frère Alphonse _, le 9 janvier 1887 ;

et enfin Georges, né à Rabelais _ commune de Ténès _, le 21 février 1892.

Voilà qui nous fournit au moins quelques indices _ bien que non absolument décisifs ; mais c’est quand même mieux que rien… _ sur la localisation possible de l’enracinement familial _ éventuel : cela devra, bien sûr, être complété ; c’est ce que je me propose de faire ici… _ de la première épouse de Paul Bonopéra, né, lui, à Miliana, le 1er octobre 1856.

À la date de la naissance de leur fils aîné, Jean Bonopéra, le livret militaire commencé de remplir lors du passage de celui-ci à son conseil de révision, à Orléansville, en 1898, commence par donner à la fois la date et le lieu de sa naissance _ le 18 juin 1877, à Pontéba _, ainsi que le lieu de sa résidence _ à Rabelais _ et de sa profession _ cultivateur _ actuelles _ en 1898 _ ; avec le nom de ses deux parents : « Paul Bonopéra » et « feue Giraud Joséphine« …

Déjà, la confrontation des 6 livrets militaires, au moment du passage de chacun d’entre eux à son conseil de révision, à Orléansville,

va nous livret de semblables indications _ tout administratives, réglementaires, prévues sur les formulaires _ ;

et si les renseignement fournis ne nous donneront rien sur les domiciliations successives de Joséphine Girot (ou Giraud), puisque celle-ci était déjà décédée en 1898,

au moins nous connaîtrons les lieux où celle-ci a de fait accouché de chacun de ses 6 fils :

à Ponteba, le 18 juin 1877, pour son fils aîné Jean Bonopéra ;

à Pontéba, à nouveau, le 19 septembre 1878, pour son deuxième fils Paul ;

puis à Charon, le 1er janvier 1881, pour son troisième fils, Alphonse ;

ensuite _ et pour quelles raisons : liées à sa famille Girot ? _ à Orléansville, le 3 avril 1883, pour son quatrième fils, Auguste ;

puis, à nouveau, à Charon, le 9 janvier 1887, pour son cinquième fils, Julien ;

et enfin à Rabelais _ où cette famille Bonopéra semble avoir résidé un bon moment, peut-être jusqu’en 1905 ou 6 _, le 21 février 1892, pour son sixième et dernier fils, Georges.

Ensuite, plus aucun indice de vie concernant Joséphine Girot…

Et Paul Bonopéra contractera, en 1897, à Rabelais _ où était né en 1892 son fils Georges _, un second mariage _ bientôt suivi d’un divorce _, avec une résidente de Rabelais _ fille de César-Florentin-Armand Claudet-Fricand (né le 27 août 1844 à Bannans, Doubs), et Marie-Julie-Séraphine Laignier, née à Bannans, Doubs _, Marie-Jeanne-Virginie Claudet.

Je me suis mis en recherche de membres de familles Girot ayant résidé dans la région d’Orléansville, durant la période où a pu y vivre aussi Joséphine Girot, probablement née en 1856 _ comme est né en 1856 aussi Paul Bonopéra _,

ainsi que le fait est déductible d’un des actes de naissance d’un de leurs enfants, attribuant le même âge à chacun des deux parents, Joséphine comme Paul :

à Orléansville même,

ou bien à Pontéba, Charon et Rabelais, les villes où Joséphine Girot a accouché de ses six enfants Bonopéra…

Et de fait, j’ai bien trouvé, ayant résidé à Pontéba, ainsi qu’à Orléansville, la famille de Jean-Claude Girot (né à Menoncourt, dans le département du Haut-Rhin, le 25 octobre 1793) et son épouse Marie-Catherine Herbelin (née à Offemont, dans le département du Haut-Rhin, le 10 septembre 1796), mariés à Offemont le 22 février 1816 ; et ayant eu, à Ménoncourt où ils étaient domiciliés _ le père de famille exerçant la profession de menuisier _ de très nombreux enfants _ pas mal d’entre eux décédés en bas âge…

Toujours est-ils que Jean-Claude Girot et son épouse ont quitté leur Alsace natale pour venir s’installer en Algérie, avec au moins trois de leurs enfants Girot _ dont j’ai pu retrouver trace _

_ Catherine Girot, née à Menoncourt le 23 juillet 1826 ;

_ Jean-Pierre Girot, né à Menoncourt le 3 avril 1832 ;

et _ Auguste Girot, né à Menoncourt le 28 mars 1835.

En 1856, Jean-Claude Girot avait 63 ans ; et son épouse Marie-Catherine, 60 ans. Ils n’ont donc plus l’âge d’être les parents de Joséphine Girot ; mais toujours celui d’être ses grands-parents…

Joséphine pourrait ainsi être la fille de l’un de leurs deux fils présents eux aussi en Algérie :

_ Jean-Pierre Girot, qui a épousé à Ténès, le 1er août 1854, Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger le 18 février 1838) ;

_ ou bien Auguste Girot, qui a épousé à Alger _ mais sept années plus tard _, Antonia Brinis _ et le jour même de leur mariage, Auguste a aussi reconnu que la petite Augustine, née à Alger le 21 novembre 1861, était une « enfant procréée de leurs œuvres« , comme cela est spécifié dans leur acte de mariage…

Toujours est-il que j’ai pu relever les fait suivants concernant Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin :

_ au moment du mariage, le 1er août 1854, à Ténès, de leur fils Jean-Pierre, Jean-Claude Girot et son épouse, les parents du marié, « présents et consentants« , sont mentionnés dans l’acte de mariage comme exerçant la profession de « cultivateurs » à Pontéba ;

_ et au moment du mariage, le 24 décembre 1861, à Orléansville, de leur autre fils Auguste Girot, les parents du marié sont à nouveau « présents et consentants » ; et le père du marié est mentionné dans l’acte de mariage comme exerçant la profession de « menuisier » à Orléansville ;

_ en revanche, au moment du remariage, le 15 décembre 1873, à L’Alma, de leur fille Catherine Girot (née à Menoncourt le 23 juillet 1826),

devenue veuve de son premier époux _ qui était venu en Algérie, de Menoncourt, avec elle ; et avec leurs deux enfants, Jacques-Joseph et Pierre Dezoteux, nés à Menoncourt tous les deux, en 1848 et 1852) _ Jacques Dezoteux (né à Menoncourt, et décédé à Marengo le 10 octobre 1872),

avec Augustin Rocher (né à Châtellerault le 11 décembre 1819),

Catherine Girot déclare que sa mère Catherine Herbelin est déjà décédée, et en un lieu qu’elle ignore ; et qu’elle ignore aussi le lieu de la résidence actuelle de son père Jean-Claude Girot ;

_ cependant, Auguste Girot, au moment du décès, à Mustapha, le 2 mars 1874, de son petit enfant Auguste, âgé de 18 mois, Auguste Girot, époux d’Antoinette Brinis, déclare que son père Jean-Claude Girot est menuisier à Orléansville ;

_ mais à la fin, lors du décès de Catherine Girot _ successivement épouse de Jacques Dezoteux, puis d’Augustin Rocher _, à L’Alma, le 29 août 1879,

les deux parents, de la défunte, Jean-Claude Girot et Marie-Catherine Herbelin, sont tous deux déclarés « déjà décédés« …

Reste que jusqu’ici je n’ai pas pu mettre la main sur une pièce officielle attestant la filiation de cette Joséphine Girot, la mère des six fils de Paul Bonopéra.

J’ai seulement relevé que parmi les six fils du méditerranéen Paul Bonpopéra et de l’alsacienne Joséphine Girot,

trois d’entre eux sont bruns aux yeux noirs,

et les trois autres blonds aux yeux bleus…

À suivre…

Ce mercredi 3 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quand Paul Bonopéra et sa famille ont résidé à Rabelais, avant Orléansville…

28fév

La naissance de Paul Bonopéra, le 1er octobre 1856, au sein de la famille de Jean (Juan-Dionis-Francisco) Bonopera qui résidait à Miliana depuis 1846, est désormais suffisamment étayée ; cf mon article du jeudi 11 février dernier :

Maintenant, je désire élargir la connaissance de la résidence de Paul Bonopéra (et de sa famille) à Rabelais _ en un assez opulent terroir viticole _ ;

à Rabelais où est né Georges Bonopéra, le 21 février 1892 ; Georges, le dernier des six fils que Paul Bonopéra a eus avec sa première épouse Joséphine Girot (ou Giraud)

_ dont j’ignore à ce jour le lieu (à Rabelais ?) et la date du décès : entre 1892, année de la naissance du dernier-né avéré de Joséphine et Paul : Georges ; et 1896, année possible du second mariage (après veuvage !) de Paul Bonopéra avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet, dont le père Armand-César, cultivateur, résidait à Rabelais, et 1897, année de la naissance (le 5 juin 1897) et du décès (le 25 juin 1897), à Rabelais, du petit Marie-André Bonopéra, à l’âge de 20 jours… J’ajoute ici, aussi, la date du divorce de Paul Bonopéra avec sa seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet : le 28 juillet 1897 (cf mon article du 26 février :  )…

Et Rabelais, où ont déclaré résider ses quatre premiers fils, Jean, Paul, Alphonse et Auguste, lors de leurs passages respectifs au conseil de révision _ à Orléansville, chaque fois _ :  en 1898 (pour Jean Bonopéra, né à Pontéba le 18 juin 1877), 1899 (pour Paul, né à Pontéba le 19 septembre 1878), 1902 (pour Alphonse, né à Charon le 1er janvier 1881) et 1904 (pour Auguste, né à Orléansville le 3 avril 1883).

Ce Rabelais _ où Paul décide de vendre ses propriétés : quand ? autour de 1906, probablement… _ qu’avec Paul Bonopéra, sa famille quitte pour gagner Orléansville, où Paul va répartir entre ses fils une partie du bénéfice des ventes de ses propriétés de Rabelais afin d’aider l’installation dans la vie professionnelle d’au moins certains d’entre eux ;

dont Paul, qui devient le boulanger de la rue d’Isly ;

et Auguste, qui devient le cafetier de la rue d’Isly.

Un Café qui semble avoir été créé _ cf mon article du mardi 23 février dernier :  _ « à la date du 29 avril 1874, par un arrêté du sous-préfet de Miliana qui autorisait un certain Jean Bonopéra « à ouvrir et exploiter un café rue d’Isly, à Orléansville« _ assez probablement ce Juan-Dionis-Francisco Bonopera, né à Tarragone le 9 mars 1814 ; puis résidant à Alger, avec ses parents Luis Bonopera (qui décède à Alger le 19 août 1835) et Jacinta Minguella (devenue veuve de Luis), dans la décennie des années 30 du XIXe siècle ; puis s’installant à Miliana à la fin de 1845, comme « limonadier« , ou « débitant de boissons » : le père, à Miliana, de Marguerite (née le 22 janvier 1849), de Jean-Baptiste-Nicolas (né le 19 février 1851 ; et qui sera de profession « cuisinier« , à la naissance de son fils Auguste, le 5 juillet 1894, à Mustapha) et de notre Paul Bonopéra (né le 1er octobre 1856)…

Orléansville, donc, où Paul Bonopéra, « propriétaire« , se fait élire _ et continuement _ conseiller municipal :

d’abord le 19 septembre 1907, lors d’une élection municipale complémentaire : il est élu par 239 voix, sur 279 ; puis au mois de mai 1908, sur la liste républicaine de M. Paul Robert ; ainsi que le 5 mai 1912, sur la liste républicaine de M. Joseph Robert, banquier.

À suivre…

Ce dimanche 28 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Dernier volet des des précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927)

20fév

Ce samedi 20 février, j’achève ma série de recherches sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possibles, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en terminant par le troisième de ces 6 frères, Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927), le garde-champêtre de diverses communes, dont Les Attafs et Orléansville.

Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927) est demeuré célibataire ; et l’essentiel des renseignements sur lui se trouvent contenus en son livret militaire.

Si, en 1902, alors qu’il réside à Rabelais, il indique comme profession « agriculteur« ,

ensuite, et en diverses localités des environs d’Orléansville, ainsi qu’à Orléansville même, Alphonse Bonopéra fera fonction de « garde-champêtre » : par exemple aux Attafs, en 1923 ; ou à Orléansville, en 1924.

Alphonse Bonopéra avait résidé aussi à Renault, en 1911 ; à Orléansville, chez son frère Auguste le cafetier, en 1912 ; ou encore à Paul-Robert, en 1919 _ comme c’est relevé sur son livret militaire.

Durant la Grande Guerre, rappelé à l’armée active par décret du 1er août 1914, c’est sur proposition de la commission de réforme du 14 avril 1915, qu’Alphonse Bonopéra sera classé au service auxiliaire : pour « éthylisme chronique« .

Et à son décès survenu le 5 mars 1927 à Orléansvillec’est tout spécialement à son plus jeune frère Julien (né en 1887), « notre sympathique conseiller municipal M. Julien Bonopéra« , que le journal L’Écho d’Alger adresse ses sincères condoléances _ probablement du fait de la situation de Julien Bonopéra au sein du Conseil municipal d’Orléansville… _ pour la disparition de l' »ancien garde-champêtre » de la ville…

L’avis du journal ne mentionnant alors ni sa mère, « Mme Vve Paul Bonopéra« , ni ses trois autres frères : Jean (né en 1877), Paul (né en 1878) et Auguste (né en 1883).

Une autre forme de destin.

Ce samedi 20 février 2020, Titus Curiosus -Francis Lippa

Quelques nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Jean Bonopéra…

15fév

Ce lundi 15 février, j’ai poursuivi mes recherches sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Rabelais _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possibles, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en commençant par l’ainé, Jean Bonopéra.

Ce n’est qu’assez tardivement que j’ai pris conscience que ce Jean Bonopéra _ dont j’ignore pour le moment la date et le lieu (Oued Fodda ?) de décès _ est devenu, à un moment de sa vie, agent, puis brigadier, puis inspecteur de police : à Oued Fodda, entre 1932 et 1939 ; après avoir été garde-champêtre à Masséna, puis Lamartine, en 1913.

Avec son épouse née Louise-Marie Hulné (Renault (= Relizane), 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ j’ignore où et quand Jean et Louise-Marie Hulné se sont mariés ; Louise-Marie Hulné est née le 5 mai 1881 à Renault-Relizane ; fille de Joseph-Charles Hulné (né à Breitenbach, Haut-Rhin, et décédé à Ténès le 30 janvier 1932) et de Joséphine-Marie-Apolline Bailly (née à Pussey, Haute-Saône, le 27 avril 1863, et décédée à Hussein Dey après 1932), c’est six mois après sa naissance à Renault-Relizane que Louise-Marie Hulné a été reconnue par son père le jour du mariage de ses parents, Jean-Charles Hulné et Joséphine-Marie-Apolline Bailly, à Renault, le 26 novembre 1881… _,

Jean Bonopéra et Louie-Marie Hulne ont eu au moins 6 enfants _ à la date du 13 mars 1917, il est en effet consigné sur le livret militaire de Jean Bonopéra qu’il a 6 « enfants vivants«  ; en vertu de quoi Jean Bonopéra a pu être renvoyé de la réserve de l’armée territoriale, en ses foyers ; et il se retire alors à Orléansville, rue de Rome, est-il précisé, le 24 mars 1917 _ :

 _ 1) Georges-Paul, apparemment l’ainé de cette fratrie des 6 enfants de Jean Bonopéra, est né à Rabelais le 25 juin 1902, et épousera _ probablement à La Ferme _ le 25 mai 1925 Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (née à Duperré le 20 janvier 1907 ; et qui décèdera à La Garde, Var, en 1985) ; Georges-Paul Bonopéra et son épouse Clémentine auront eux-mêmes 6 enfants :

Paul-Pierre-Auguste est né à La Ferme le 31 juillet 1926 (et décèdera à Toulon le 8 juillet 2000) _ son épouse Jeannine-Adrienne Tudury est née à Saint-Eugène le 7 septembre 1929, et décèdera à Toulon le 5 juin 2007 ; et ils auront plusieurs enfants, dont Jean-Stéphane Bonopéra, né le 5 décembre 1956 à Orléansville ; et peut-être aussi un Roger Bonopéra ; ainsi que Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950… _ ;

Hélène ;

Jacqueline est née à La Ferme le 15 janvier 1944 (et décèdera à Limoux le 17 janvier 2016) ;

Mireille ;

Stéphanie ;

et Vivianne est née à Saint-Cyprien des Attafs le 20 octobre 1951 (et décèdera à Hyères le 7 janvier 1997).

Et Georges-Paul Bonopéra, le père de ces 6 enfants _ et fils aîné de notre Jean Bonopéra _, décèdera à Toulon le 9 janvier 1977.

_ 2) Aimée _ probablement la seconde de la fratrie des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne _ est née, comme son frère aîné Georges-Paul, à Rabelais : le 13 novembre 1905.

Assiste comme témoin à la déclaration de la naissance de cette petite Aimée Bonopéra, en la mairie de Rabelais, le cousin germain du père du bébé, Jean Bonopéra, Alphonse Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922), le fils aîné de Marguerite Bonopéra (1849 – ?) et d’Auguste Morand de la Genevraye (1844 – 1904), c’est-à-dire le fils aîné de la sœur et du beau-frère de Paul Bonopéra (1856 – 1916), le père de Jean (1878 – ?) et grand-père de la petite Aimée (1905 – 1993).

En 1925, Aimée Bonopéra épousera Dominique Villanova, sous-officier au 1er régiment de Tirailleurs, en garnison à Orléansville ; puis, en un second mariage, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Klébert Riquier.

Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993 _ j’ignore si elle a eu une descendance Villanova ou Riquier.

_ 3) Claude _ c’est tout ce que je sais pour le moment de cet enfant.

_ 4) Joséphine, qui le 30 janvier 1923 _ d’après Le Progrès d’Orléansville, du 1er février 1923 _ épouse Kléber Defillon _ employé au P.L.M. à Affreville en 1929, d’après L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929.

Et il me faut ici noter un accident qui affectera, en gare de Tlemcen, le 6 novembre 1929, Kléber Defillon, alors employé au P.L.M. à Affreville, et Aimé Jouvence, sergent au 6e Tirailleurs à Tlemcen, tel qu’il est rapporté par L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929 : « Les nommés Defillon Kléber et Jouvence, ont été victimes d’un accident. Le cheval qui traîne la voiture qui assure le service postal de Tlemcen-ville à Tlemcen-gare, a versé en arrivant à la gare, quand le cheval a pris le mors aux dents. Le sieur Defillon a été atteint de plaies au genou gauche et de luxation au bras gauche ; le sergent Jouvence a été atteint de plaies aux genoux« . En effet, Kléber Defillon et Aimé Jouvence sont tous deux des gendres ou futurs gendres de Jean Bonopéra (cf l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra _ j’ignore le prénom de cette fille de Jean Bonopéra, épouse d’Aimé Jouvence, et bientôt mère, en décembre 1932, du petit Claude Jouvence. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale »).

_ 5) Jeanne, qui est née à Orléansville le 10 mars 1913 (et décèdera à Kindsbach, en Allemagne, le 25 mai 1949) ; le 22 septembre 1934, à Oued-Fodda, elle épousera Marcel-Auguste Louyot _ alors sous-officier au 9éme Régiment de Tirailleurs Algériens : né à Metz, le 3 mars 1910, Marcel Louyot décèdera à Fontaine-Les-Dijon le 13 décembre 1997 _ ; et ils auront _ au moins _ une petite Josianne Louyot, née à Oued-Fodda au mois de janvier 1936.

_ et 6) peut-être, né à Orléansville au mois de février 1915, un petit Georges Bonopéra, si ce dernier est bien le fils de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné… Peut-être, en effet, sont-ce bien Jean Bonopéra et son épouse née Louise-Marie Hulné qui sont les parents du bébé Georges né en février 1915, dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _ qui porterait alors le même prénom que son frère aîné Georges-Paul, né à Rabelais le 25 juin 1902. Et cela pourrait justifier l’indication du livret militaire de Jean Bonopéra, déclaré le 24 mars 1917, « père de 6 enfants vivants » ; une constatation ayant permis à ce père de famille de 6 enfants vivants, de se retirer à Orléanville, rue de Rome… _ mais cela fait tout de même un peu difficulté…

Mais de fait il s’avèrera que ce petit Georges Bonopéra né au mois de février 1915, n’est pas le fils de Jean Bonopéra et de son épouse Louise-Marie Hulné, mais le fils de son frère Auguste et de son épouse _ dont j’ignore toujours le prénom et le nom de naissance…

Il me faut donc continuer de rechercher quel est le sixième des enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné _ aux côtés de ses frères et sœurs Georges-Paul, Aimée, Claude, Joséphine et Jeanne Bonopéra _ et qui a pu permettre au père de famille nombreuse qu’était Jean Bonopéra de regagner ses foyers, et rejoindre sa famille, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, libérant des obligations du service actif les pères de famille d’au moins 4 enfants (Jean Bonopéra ayant déclaré, lui, avoir alors six enfants « vivants« ) ; et son livret militaire indiquant qu’à la date du 24 mars 1917, Jean Bonopéra regagne un domicile situé à Orléansville, rue de Rome…

Quant au parcours professionnel de Jean Bonopéra _ né, je le rappelle, à Pontéba le 18 juin 1877 _,

son livret militaire livre quelques très intéressantes informations, au moins sur quelques unes de ses domiciliations, jusqu’en 1917 :

_ au moment du conseil de révision de 1898, Jean Bonopéra, né à Pontéba, réside à Rabelais, et est « agriculteur« …

_ à la date du 13 avril 1913, il est dit résider à Masséna (commune-mixte du Chéliff)…

_ à la date 13 juin 1913, il réside à Lamartine, et y exerce, est-il précisé, l’office de garde-champêtre…

_ à la date du 12 avril 1917, il réside à Oued-Fodda…

_ et à la date du 2 novembre 1918, il se trouve à Duperré _ qu’y fait-il ?..

_ mais le 24 mars 1917, passé quatre jours plus tôt dans la réserve de l’armée territoriale, Jean Bonopéra, qui avait été renvoyé dans ses foyers en qualité de père de six enfants vivants, est dit se retirer à Orléansville, rue de Rome…

Le 2 avril 1925, Le Progrès d’Orléansville annonce les « fiançailles de Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Régiment de Tirailleurs en garnison à Orléansville« . 

Et au moment de l’annonce, le 28 mai suivant, toujours en 1925, par Le Progrès d’Orléansville, du prochain mariage de son fils Georges-Paul avec Melle Clémentine Petit, Jean Bonopéra, le père du futur marié, est encore dit être « cafetier à Orléansville« , ce qui ne laisse pas de surprendre un peu : il me semblait, en effet, que c’était plutôt Auguste Bonopéra, son frère né à Orléansville le 3 avril 1883, qui tenait le « Grand Café » Bonopéra de la rue d’Isly _ ce que confirmera l’information, par Le Progrès d’Orléansville du 1er juillet 1926, d’une réunion de Médaillés militaires d’Orléansville au « Café Bonopéra Auguste«  ; et je ne compterai pas les mentions dans la presse d’expressions telles que « M. Auguste Bonopéra, cafetier à Orléansville » (par exemple le 21 janvier 1932) ; ou « M. Auguste Bonopéra, propriétaire du Café d’Isly » (le 23 juin 1932)… _ ; à moins que la direction de ce Café était jusqu’alors conjointe entre les frères Auguste et Jean Bonopéra…

Et le 3 décembre 1925, c’est le mariage, cette fois, de « Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Tirailleurs« , qu’annonce Le Progrès d’Orléansville. Est-ce là une erreur de prénom _ Jean mis à la place d’Auguste, le cafetier du « Grand Café » de la rue d’Isly _ du père de la mariée ?..

À confronter aussi avec l’indication, rajoutée sur l’acte de naissance d’Aimée Bonopéra _ à Rabelais, le 13 novembre 1905, fille de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne,   _ du mariage, en 1950 à Orléansville, d’Aimée Bonopéra avec André-Klébert Riquier…

L’histoire de ce « Grand Café » de la rue d’Isly _ véritable institution orléansvilloise ! _ mériterait, d’ailleurs, qu’on s’y attarde un peu… :

c’est en effet le 29 avril 1874 qu’un Jean Bonopéra _ lequel ? Son propre grand-père Juan-Dionis-Franscisco Bonopera (dit Jean Bonopéra ; né à Tarragone le 9 mars 1814) ? ou son oncle _ frère de son père Paul, né à Miliana le 10 janvier 1856 _ Jean-Baptiste-Nicolas Bonopéra (né à Miliana le 19 février 1851 ; et père du cousin Auguste Bonopéra _ né, lui, à Alger le 5 juillet 1894, et fils de ce Jean-Nicolas Bonopéra _) ? _ a été autorisé par un arrêté du sous-préfet de Miliana à ouvrir et exploiter un café rue d’Isly à Orléansville…

Plus tard, au début du XXe siècle, ce sera un Auguste Bonopéra qui tiendra ce Café de la rue d’Isly, à Orléansville :

très probablement le quatrième des six fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot (ou Giraud) : Auguste Bonopéra, né à Orléansville le 3 avril 1883 _ et qui aura au moins quatre enfants, dont l’un sera à son tour prénommé Auguste… _ ;

et bien moins probablement le cousin Auguste Bonopéra, né à Alger le 5 juillet 1894, et qui décèdera à Alger le 13 février 1946 ; et qui s’est déclaré, lui, de profession « menuisier« , lors de son conseil de révision en 1914 ; et qui est fils de Jean-Nicolas Bonopéra, cuisinier de profession, un autre des frères de Marguerite Bonopéra et Paul Bonopéra _ tous nés à Miliana : Marguerite, le 22 janvier 1849 ; Jean-Baptiste-Nicolas, le 19 février 1851 ; et Paul, le 1er octobre 1856 ; et enfants de Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814) et son épouse Margalida-Miguela Saura (née à Santa Maria de Mahon, Minorque, le 21 mars 1820)…

Cependant, le livret militaire de Jean Bonopéra indiquait pour l’adresse de celui-ci à Orléansville : « Boulanger. Orléansville, rue d’Isly » ; ce qui pourrait tout simplement signifier que Jean Bonopéra était alors hébergé, provisoirement à Orléansville, par son frère Paul, le boulanger de la rue d’Isly…

Mais c’est bien à Oued-Fodda que l’on rencontre des mentions de Jean Bonopéra (et de sa famille), tout au long des années trente :

d’abord comme agent de police ; par exemple pour l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale » ; ou pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 juin 1933, des fiançailles, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de M. Jean Bonopéra, agent de police, avec M. Marcel Louyot, sergent au 9e régiment de Tirailleurs en détachement à Orléansville » ;

puis, comme brigadier de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Echo d’Alger du 20 septembre 1934, du mariage prochain, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de Mme et M. Bonopéra Jean, brigadier de police de notre ville, avec M. Marcel Louyot, sous-officier  au 9e R.T. A. » ; ou encore pour l’annonce, par le Progrès d’Orléansville du 17 janvier 1936, de la « naissance de Josianne Louyot, au domicile de son grand-père, M. Bonopéra, notre sympathique brigadier de police« , à Oued-Fodda ;

et enfin comme inspecteur de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 mars 1939, de la « nomination de M. Jean Bonopéra, Brigadier, au grade d’Inspecteur de police, à Oued-Fodda« …

À suivre…

Ce lundi 15 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Poursuite des recherches sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) : à propos de ses six fils, Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges Bonopéra…

14fév

Toujours à la recherche de précisions au sujet des membres composant la constellation familiale, notamment dans la région d’Orléansville, de la branche « algéroise-algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron _ l’aîné (Agen, 1866 – Alger, 1935) des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) _,

je continue à m’intéresser à la famille de celle qui apparaît dans divers faire-part de décès des familles Ducos du Hauron, Gadel et apparentés (Gentet, Ferrand, Wachter, etc.) sous l’appellation de « Madame Veuve Bonopéra« , à partir de 1916, et encore en 1935...

Et je dois donc poursuivre, en particulier, la recherche entreprise avant-hier samedi 12 février, en mon article   ; et qui, du fait de l’irrémédiable disparition des archives d’Etat-civil d’Orléansville, ainsi que de sa proche région (Pontéba, Oued Fodda, Vauban, Charon, etc.), rend bien difficile la tâche que me donne de reconstituer les généalogies des filiations et apparentements de ces familles liées…

Néanmoins, pas à pas, et bribe par bribe, je parviens à recueillir parfois de précieuses données (de mariage, de naissance, ou de décès) pouvant me faire avancer dans cette recherche des apparentements et filiations en cette Algérie de la période entre 1830 et 1940…

Aujourd’hui, dimanche 14 février, j’ai pu glaner quelques données concernant les six fils de Paul Bonopéra _ Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges _, nés entre 1877 et 1892 ;

ainsi que d’une bonne partie de leurs descendants, en commençant par ceux de la génération suivante, portant à leur naissance, eux aussi, le patronyme de Bonopéra.

Et j’ai orienté aussi ma recherche sur les épouses de ces fils de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) ; ainsi que sur leurs enfants et descendants.

Ainsi sais-je désormais que l’épouse de Jean Bonopéra, le fils aîné, né à Pontéba le 18 juin 1877 _ et futur cafetier à Orléansville, rue d’Isly _, est Louise-Marie Hulne : née à Relizane le 5 mai 1881 ;

que l’épouse du second fils, Paul Bonopéra junior, né à Pontéba le 19 septembre 1878 _ et futur boulanger à Orléansville, rue d’Isly _, est Marie Cathebras _ je ne sais rien de plus à son propos ; sinon qu’elle deviendra elle aussi une « Mme Vve Paul Bonopéra« , le 3 novembre 1930; et continuera de gérer la boulangerie Bonopéra de la rue d’Isly à Orléansville ; la veuve de son beau-père Paul Bonopéra (décédé le 18 janvier 1916), devenant désormais « Mme Vve Paul Bonopéra mère«  ! _ ;

que le troisième fils, Alphonse, né à Charon le 1er janvier 1881, est très probablement demeuré célibataire _ c’est à son frère Julien que s’adresseront les condoléances, lors de son décès à Orléansville, le 5 mars 1927 _ ;

que le quatrième fils, Auguste, né à Orléansville le 3 avril 1883 _ et futur cafetier, lui aussi, à Orléansville, rue d’Isly (à préciser…) ; et à ne pas confondre avec son cousin qui porte le même patronyme d’Auguste Bonopéra, fils du frère de Paul, Jean-Nicolas Bonopéra, et né  à Mustapha le 5 juillet 1894 _ a été lui aussi marié ; mais je ne me suis pas encore penché sur sa situation familiale pour être en capacité de l’évoquer pour le moment… ;

que l’épouse du cinquième fils, Julien Bonopéra, né à Charon le 9 janvier 1887 _ et futur commis aux Postes et Télégraphe, à Orléansville, puis à Alger _, est Germaine-Jeanne-Lucie-Geneviève Besse, institutrice ;

 et que j’ignore si le sixième fils, Georges Bonopéra, né à Ténès le 22 février 1892 _ et militaire de carrière _ a eu le temps de se marier et d’avoir des enfants, avant de mourir pour la France le 7 mars 1918, à Arbouans, dans le département du Doubs, entre Monbéliars et Beaucourt…

À suivre :

en commençant par l’identification des Bonopéra de la génération suivante ;

et de leurs descendants…

Ce dimanche 14 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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