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Commencer par faire un point sur l’arbre généalogique des deux filles aînées, Augustine-Marguerite et Angèle, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra, épouses successives, vers 1886 et l’année 1895, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval…

03mar

Toujours dans l’esprit de rechercher des réponses les plus précises possibles aux 3 questions « Qui ?« , « Quand ? » et « Où ? » de mon enquête sur les familles d’Orléansville apparentées, directement ou indirectement, à Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), mariés à Orléansville, le 10 juin 1896,

voici un tout premier effort de tracer un tableau de la  descendance des deux premiers enfants, Augustine-Marguerite, née en 1866, et sa sœur cadette Angèle, née en 1870, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) _ leur relation ne fut officialisée par le mariage, qu’au mois de juin 1875 , à Orléansville, après les naisssances d’au moins les trois premiers de leurs sept enfants : Augustine-Marie (en 1867), Angèle (en 1870) et Alphonse-Jean (né à Orléansville le 7 juin 1872, merci à son livret militaire qui nous en livre la date !) _ y compris donc la naissance, à Orléansville le, de leur frère Alphonse-Jean Morand de la Genevray…

En l’absence, bien fâcheuse pour la recherche, de toutes les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, détruites lors des terribles séismes de 1954 et 1980,

la très précieuse, mais toujours trop partielle, ressource qui nous demeure est celle la presse locale, dont L’Écho d’Alger et Le Progrès d’Orléansville, comportant en particulier les avis de décès rassemblant les membres des familles faisant-part de leur deuil partagé,

mais le plus souvent sans les prénoms des dames et demoiselles, celles-ci n’y figurant que par leur lien de parenté avec le défunt _ ou avec les hommes qui sont apparentés à celui-ci…

Voici donc des liens utiles à quatre de ces précieux faire-part de décès familiaux permettant un regard un peu panoramique sur ces liens de parenté entre les membres des familles un moment orléansvillaises Morand de la Genevraye et Revillon d’Apreval, en particulier :

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du décès, à Orléansville, le 19 mars 1922, d’Alphonse-Jean Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872.

celui, paru dans Le Progrès d’Orléansville du 21 septembre 1922, du décès, à Affrevile, le 16 septembre 1922, de Julie-Pulchérie Morand de la Genevraye. Veuve Michel Reder, la plus âgée de la fratrie née en Algérie d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; Julie-Pulchérie est née à Aïn Tedeles le 22 juillet 1849.

celui, paru dans L’Écho d’Alger du 21 juin 1925, du décès, à Bône, le 16 juin 1925, du petit Georges-Lucien d’Apreval, né à Bône le 22 septembre 1909.

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, du décès, à Orléansville, le 7 octobre 1935, de son plus jeune frère Georges Morand de la Genevray, né à Orléansville le 21 février 1888.

Je dois dire aussi que la très peu fréquente apparition, dans les avis familiaux d’état-civil parus dans les journaux, du nom d' »Angèle » Morand de la Genevraye, la seconde épouse de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, en « succession maritale » de sa sœur aînée « Augustine-Marguerie » ; et d’abord le fait principiel que pour les femmes n’existaient pas bien sûr de livrets militaires donnant leurs lieu et date de naissance, ainsi que les commodes aussi, pour la recherche, mentions des noms et prénoms de leurs deux parents, compliquait la quête d’obtenir de telles données en l’absence de documents d’état-civil demeurés accessibles pour la ville d’Orléansville et sa région, à la différence des identités des citoyens masculins _ tels, par exemple, les renseignements fournis par les livrets militaires de chacun des hommes de la famille Morand de la Genevraye : Alphonse-Jean (classe 1892), Jules-Charles (classe 1901), Georges (classe 1908) ; ou bien de la famille Revillon d’Apreval : Auguste-Georges (classe 1907), René-Paul (classe 1916), Marcel-Ale, Lucien-Georges-Omar (classe 1919)

Et c’est l’acte de mariage réalisé à Blida le 19 avril 1911 pour l’union de Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen,  11 juillet 1912 _ cf cet avis de décès de Madame Maréchal née Jenny d’Apreval, paru dans le jounal Le Tell en date du 13 juillet 1912 _) avec Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 9 avril 1949), qui allait me fournir le lieu et la date de décès de la mère de Jenny-Marguerite, en l’occurrence de cette Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, qui m’échappaient jusque là : Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye _ née en 1867 hors mariage de l’union de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; et officiellement reconnue par son père le 28 juin 1871, à l’âge de 4 ans… ; ses parents officialisant leur propre mariage à Orléansville un peu plus tard encore : au mois de juin 1875… _ était décédée à Orléansville le 8 février 1895

Et Augustine-Marguerite, née donc en 1867, avait donné naissance à au moins deux enfants de son union avec Georges-Auguste Revillon  d’Apreval _ le père de cette Jenny-Marguerite mariée à Blida le 19 avril 1911, présent et consentant à ce mariage de sa fille avec Hugo-Alphonse Maréchal _ :

_ Auguste-Georges d’Apreval, né à Orléansville le 15 septembre 1887 ;

_ Jenny-Marguerite d’Apreval, née à Orléansville le 15 août 1888 _ celle-ci décédera précocément à Tlemcen, au mois de juillet 1912, peu après avoir donné le jour, à Tlemcen, le 25 juin 1912, à une petite Jenny-Odette-Paule Maréchal…

Quant à la sœur cadette de cette Augustine-Marguerite _ née en 1867 et décédée à Orléansville le 8 février 1895 _Angèle Morand de la Genevraye, née à Orléansville en 1870,

elle n’allait pas tarder à devenir très peu après le décès de sa sœur aînée la seconde épouse de son beau-frère Georges-Auguste Revillon d’Apreval, né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et devenu donc veuf ce 8 février 1895 _ celui-ci décèdera à Alger en 1946, en sa quatre-vingt-dixième année… _ ; et Angèle allait lui donner bientôt (en 1896, 1898 et 1899) trois nouveaux enfants :

René-Paul d’Apreval, né à Orléansville le 9 octobre 1896 ;

Marcel-Ale Révillon d’Apreval, né à Alger le 8 novembre 1898, mais précocément décédé le 21 avril 1902 ;

Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval, né à Alger le 28 novembre 1899.

Je poursuivrai demain lundi cette amorce de généalogie de membres de la famille _ d’abord orléansvillaise : Georges-Auguste exerçait à Orléansville la profession d’avoué… _ Revillon d’Apreval,

issue des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – 1895) et Angèle (1870 – au moins après 1935) Morand de la Genevraye…

Mais, dans les divers actes état civils familiaus accessibles dans la presse, Le Progrès d’Orléansville ou L’Écho d’Alger principalement,

Angèle n’apparaît jamais sous son prénom de naissance « Angèle« , mais seulement en sa qualité d’épouse de son mari : « Madame Revillon d’Apreval« …

Or celle-ci va vivre durablement, au moins après le décès de son frère Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935 ;  et peut-être même _ il me faudra poursuivre mes recherches… _ survivre à son mari Georges-Auguste, qui décèdera en 1946…

Or, après 1940, la presse est bien moins accessible ;

et les faire-part familiaux de décès, beaucoup moins riches…

À suivre donc, dès demain…

Ce dimanche 3 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

De nouvelles découvertes à propos d’Amédée Ducos du Hauron (ainsi que son fils Roger) : la date de son mariage à Orléansville avec Marie-Louise Rey, le 10 juin 1896 ; et la date de la naissance de leur fils Roger, le 23 juillet 1918, à Alger (ainsi que le lieu et la date du mariage de Roger à Alger, le 5 octobre 1940, avec Sylvia Schiano-Lomoriello…

18fév

Alors que,

et pour répondre aux nécessaires précisions demandées par Matthias Bonopéra sur ce qui justifie pleinement les filiations que j’affirme très factuellement exister entre Luigi-Nicola Bonopéra et sa famille originaire d’Orléansville, je poursuis la _ nécessaire _ révision de mes articles concernant la famille Bonopéra (Macerata, Barcelone, Tarragone, Ceuta, Alger, Miliana, Orléansville, etc.),

voici que je viens de tomber, ce dimanche 18 février 2024, sur un arbre généalogique assez récent _ rédigé par Jean-François Rat, résidant actuellement à Londres _, dont j’ignorais forcément l’existence en 2021, et qui vient me révéler au moins deux faits concernant la branche algérienne-algéroise des Ducos du Hauron, qui avaient jusque là échappés à mes investigations :

_ d’une part _ et enfin, depuis le temps que je la recherchais !.. _, la date très effective du mariage à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron, alors rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville, et Marie-Louise Rey, sans profession, domiciliée à Orléansville _ chez son oncle-tuteur (et sa tante née Wachter, nièce de la future veuve de Paul Bonopéra, née Confex) Louis Gentet _ :

le mercredi 10 juin 1896 _ Jean-François Rat (dont j’ignore le lien qui le relie généalogiquement aux Ducos du Hauron ou aux Rey) ne donnant, lui, qu’une date approximative, celle de la publication des bans de ce mariage à venir, en page 2 du numéro du samedi 6 juin 1896 du Progrès d’Orléansville ;

alors que si nous nous reportons au numéro suivant de cet hebdomadaire, en date du samedi 13 juin 1896, à la page 3, nous apprenons que la célébration de ce mariage a effectivement eu lieu (« au milieu d’une affluence considérable d’amis« ) le mercredi 10 juin 1896.

Et c’est en novembre 1896 que les parents d’Amédée Ducos du Hauron : son père Alcide, sa mère Césarine-Marie, ses sœurs Marguerite-Jeanne et Marie-Alice, ainsi que son oncle Louis, le glorieux inventeur de la « photographie de couleurs« , quitteront l’Algérie pour retourner en France métropolitaine, résidant d’abord à Paris… ; son frère Gaston, toutefois, sera, lui, présent à Orléansville, le 21 janvier 1897, comme l’atteste une mention de résidence à Orléansville (chez son frère Amédée ?) inscrite sur son livret militaire : peut-être à l’occasion de la naissance ou du baptème de celle que suppose être la première née d’Amédée et Marie-Louise, Eveline Ducos du Hauron…

_ d’autre part, l’arbre généalogique esquissé par Jean-François Rat nous apprend aussi, en nous donnant un lien à son acte de naissance,

le lieu, à Alger, et la date, le 23 juillet 1918, de naissance du dernier né des enfants d’Amédée et son épouse Marie-Louise : Louis-Roger Ducos du Hauron ;

ainsi que les données biographiques concernant l’épouse de Roger Ducos du Hauron, dont jusqu’ici je connaissais seulement le prénom, Sylvia :

Sylvia-Adrienne Schiano-Lomoriello, née à Alger le 20 janvier 1920, et décédée à Rennes le 13 novembre 2002 ;

ainsi aussi que le lieu et la date du mariage de Roger et Sylvia :

à Alger, le 5 octobre 1940, grâce à une mention ajoutée sur l’acte d’état civil de naissance de Louis-Roger Ducos du Hauron_ une date que je pouvais supposer postérieure au mois de janvier 1939, puisque sur l’avis de décès de leur sœur Eveline Ducos du Hauron, épouse d’Henri-Bavolet Ducros, paru en page 6 du numéro du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, si la compagne du frère aîné de Roger, Gérard Ducos du Hauron, est mentionnée immédiatement à la suite du nom des deux frères de la défunte, Madame Jacquet, nul nom de fiancée ou épouse n’accompagne le nom de Roger, le benjamin de cette famille Ducos du Hauron d’Alger… 

Continuer à chercher est passionnant, et rarement infécond…

À suivre…

Ce dimanche 18 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture-révision de l’important article « Suite de la recherche des modalités de l’apparentement des Gadel aux Ducos du Hauron, en Algérie : en commençant par faire un point sur qui peut bien être celle qui figure sous l’appelation de « Mme Vve Gadel » dans le faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron… » du 27 décembre 2020

09nov

Et je continue mes relectures-révisions de mes articles de décembre 2020,

avec la révision-relecture _ avec en rouge et gras les rectificatifs, précisions et ajouts a posteriori _, ce jour,

de l’important article, pour le progrès de ma recherche, en date du 27 décembre 2020 :

 

 

Voici donc cette relecture-révision :

Dans ce cadre présent que je me suis donné afin de rechercher _ le plus méthodiquement possible _ les modalités effectives de l’apparentement de la famille Gadel à la famille Ducos du Hauron _ ou du moins à sa branche « algéroise – algérienne«  : celle issue d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse, née Marie-Louise Rey _,

tel qu’en fournit, en un premier crucial indicele faire-part du décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, tel qu’il est paru dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 » ;

soit une base décisive pour la présente recherche de cet apparentement de la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron aux Gadel _ à partir de 1896, quand Amédée Ducos du Hauron choisit de demeurer en Algérie, alors que tous les autres membres de sa famille choisissent, eux tous, sans exception, de rentrer en France, et de s’installer probablement à Paris, dans le quartier des Batignolles, comme le fait Louis Ducos du Hauron, qui réside au moins depuis le 23 octobre 1896, au numéro 27 de la rue des Batignolles… Pour la famille d’Alcide Ducos du Hauron, la date de leur retour-installation en France, de même que leur lieu de résidence (à Paris ? à Savigny-sur-Orge), restent à établir sérieusement… Cf mon article précédent, de ce matin même, mardi 9 novembre 2021 :  _,

aux Ducros, aux Gentet ;

et à travers eux, aux Bure ;

dans ce cadre présent, donc,

je dois tâcher de préciser l’identité de cette « Mme Vve Gadel« , présente dans la mention « Mme Vve Gadel et ses enfants » _ qui donc celle-ci est-elle ? et qui sont ses enfants ? _ ;

une mention qui fait suite, en cette liste du faire-part du décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, 

à la mention, inaugurale de ce faire-part, du mari de la défunte « Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix« , ainsi que « ses enfants » _ qui sont-ils donc, en plus du petit Yves-Henri Ducros, né à Port-Gueydon le 8 juin 1930, et suite au décès précoce, peu avant le 23 octobre 1933, à Port-Gueydon aussi, de la petite Mathilde Ducros ? Peut-être le petit Paul-Henri Ducros, né (peut-être à Aumale) le 22 octobre 1921, d’un premier mariage de M. Henri Ducros, avec sa première épouse, née Gibal… _,

à la mention qui suit, de « MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger«  _ les deux frères de la défunte : Gérard est né le 30 août 1909, à Berrouaghia ; mais j’ignore, en revanche, le lieu et la date de naissance de son frère cadet Roger… _,

et 3° à « Mme Jacquet«  _ la compagne, à ce moment de décembre 1938, de Gérard Ducos du Hauron ; et que celui-ci ne tardera pas à épouser, à Alger, le 25 novembre 1939 _ ;

et précédant la liste plus générale des familles parentes et alliées : « les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, CharavelFerrand, Bure« …

« Mme Vve Gadel« , donc :

veuve, depuis le 30 mars 1930, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Grandserre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930),

celle-ci est née Aimée-Laurence Rey _ j’ignore à ce jour, et c’est bien dommage, tant ses lieux et dates de naissance que ses lieux et dates de décès _ ;

et son mariage avec Victor-Nicolas-Benjamin Gadel a eu lieu à Orléansville le 9 mars 1905 ;

quant à ses enfants,

ce sont Robert Gadel (né en 1906 _ je n’en sais pas davantage pour le moment ; et pas davantage aujourd’hui 9 novembre 2021 _ ; appartenant à la classe 1926, celui-ci a demandé et obtenu en 1926 un sursis d’incorporation militaire afin de pouvoir accomplir et terminer ses études de pharmacie à la Faculté d’Alger) ;

et Georges Gadel

_ sur ce dernier, voici ces quelques données : « M. Georges Gadel » est, lui le second fils du défunt Victor Gadel et son épouse née Aimée-Laurence Rey. En 1924-25, Georges Gadel est élève au lycée d’Alger ; et en 1933 et 1935, étudiant en droit à la Faculté d’Alger, il fait partie du Bureau directeur de l’Association des Étudiants d’Alger : il en est trésorier adjoint en décembre 1933, puis trésorier général en décembre 1935. Le 26 novembre 1936, Georges Gadel fait partie des vingt jeunes avocats qui prêtent leur serment professionnel, à la Faculté  d’Alger. Et le 8 juillet 1938, les noms de Georges Gadel, avocat à la cour, et Andrée Gaillard, sont présents sur la liste  des publications des prochains mariages, du journal L’Écho d’Alger… Enfin, L’Écho d’Alger du 12 juillet 1942, publie le faire-part de décès suivant : « Alger – Bordj-Bou – Arreridj. M. Georges Gadel, avocat, Mme née Gaillard, leur fille Colette et leur famille, vous font part du décès de leur cher petit Jean-Louis GADEL survenu à Alger le 10 juillet 1942, à l’âge de 10 mois. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité » : et je remarque ici le caractère plutôt succinct caractérisant ce « leur famille« , avec, en particulier, l’absence des noms de la grand-mère « Mme Vve Gadel«  _ vivait-elle encore, ou pas, à cette date ? je l’ignore… _ et de l’oncle « Robert Gadel« ….« ,

recueillies en mon article «  » du 20 janvier 2021… Fin de l’incise.

Les parents de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel étaient Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et la première épouse de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey

_ devenu veuf de Marie-Eugénie-Hortense Rey à une date que pour le moment j’ignore _ et je l’ignore encore ce 9 novembre 2021 _, Victor-Alexandre-Philémon Gadel se remariera, le 9 décembre 1886, et en Algérie (!), à Birkaden (arrondissement d’Alger), avec celle qui sera sa veuve, en 1927 : Marie Morlier. Mais je me demande, au passage, pour quelle occasion ce Provençal (né à Tarascon en 1835 et qui décèdera à Marseille en 1927) a pu traverser la Méditerranée pour venir jusqu’en Algérie se remarier, en 1886, et à l’âge de 51 ans, à Birkaden…

En cette Algérie que gagnera, à son tour, lui aussi, en 1902 (dans le cadre de sa carrière militaire), son fils Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (qui a alors 30 ans), pour, et à Orléansville, se marier avec Aimée-Laurence Rey le 9 mars 1905 (il a maintenant 32 ans) ; et accomplir en Algérie tout le reste de sa carrière (militaire d’abord, et jusqu’au grade de capitaine ; puis, à partir de 1912, à l’âge de 40 ans, au Trésor, où il débute comme commis de 5e classe), jusqu’à son décès, comme Payeur adjoint au Trésor, à Alger, à la Trésorerie d’Algérie : Victor-Nicolas-Benjamin Gadel décédant à l’âge de 57 ans…

Mais comment ne pas faire un lien _ un lien décisif pour le progrès de ma recherche de la destinée « algérienne«  d’Amédée Ducos du Hauron et de sa descendance _, en découvrant deux fois ce même nom de Rey porté par deux épouses Gadel _ Marie-Eugénie-Hortense, puis Aimée Louise _

avec le nom de Marie-Louise Rey, l’épouse de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron ?

De cette Marie-Louise Rey, je connais seulement le lieu (Agen) et la date (20 septembre 1933) de décès, à l’âge de 54 ans _ ce qui fait remonter sa naissance à l’année 1879 ; Amédée, son mari, étant né à Agen, le 24 mars 1867. Et Marie-Louise Rey est inhumée _ non pas ! _ à Agen, dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard _ mais j’ignore si Amédée Ducos du Hauron est inhumé lui aussi à Agen, en ce cimetière de Gaillard ; ou plutôt à Alger : probablement à Alger…

Amédée et Marie-Louise se sont probablement mariés en Algérie _ sans confirmation ni de lieu, ni de date pour le moment : peut-être à Orléansville ; et peut-être le 21 janvier 1897 : cf à nouveau mon précédent article de ce matin même :  _, dans les toutes dernières du XIXe siècle, ou les toutes premières du XXe ;

et des 5 enfants dont ils avaient charge de famille, à Rébeval, en 1927 _ d’après l’article d’un quotidien parisien reproduit dans L’Écho d’Alger du 4 mars 1927 ; article donné in extenso dans mon article du 15 décembre dernier :  _, alors qu’Amédée se trouvait à la retraite de sa carrière d’administrateur adjoint de diverses municipalités-mixtes d’Algérie _ dont je me suis efforcé d’établir une liste ; cf mon article du 16 décembre dernier : _je ne dispose, pour le moment que des prénoms de leurs deux garçons, Gérard et Roger (qui figurent dans divers faire-part de décès, dont surtout le faire-part de décès de leur sœur Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 ; et auxquels fait aussi allusion _ mais sans donner leurs prénoms _ la lettre d’Alice Ducos du Hauron à Henri Lacroix, du 6 août 1948 : Alice y parle de ses « deux petit-neveux, en Algérie, fils de (son) frère aîné« , Amédée _ cf cette lettre donnée in extenso dans le post-scriptum à mon article du 6 décembre dernier : _) ;

pour ce qui est de leurs trois filles _ dont aurait pu faire partie la « Mme Vve Gadel » du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, publié le 2 janvier 1939 par L’Écho d’Alger… _on peut déjà donner le prénom d’Éveline (décédée, donc, à Alger durant la dernière semaine de 1938) ; ainsi que celui d’Edmée, née à Lamartine, le 9 juillet 1904 _ à moins que cette Éveline et cette Edmée soient une seule et même personne… _reste donc à découvrir le prénom de la troisième de ces trois filles d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey (et sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron) : j’ignore s’il s’agit, ou pas (dans le cas où celle-ci serait Edmée), de celle qui serait peut-être devenue la veuve d’un Gadel (et duquel d’entre eux, je ne le sais pas non plus) ; à moins qu’elle n’ait été l’épouse d’un Eugène Gentet… Cela demeure à éclaircir…

Je dois ici ajouter que j’ai aussi été frappé par la mention, sur le faire-part de décès de M. Jean-Baptiste Bure _ survenu à Alger le 31 octobre 1934 _, publié par L’Écho d’Alger le 1er novembre 1934, et au sein de la liste de familles parentes et alliées des Bure, à côté de la famille Gadel et de la famille Ducros, d’une famille « Ducos-Gentet« … Serait-ce là faire allusion à un couple constituée d’une Ducos du Hauron et d’un Gentet ? Voire un Eugène Gentet ?..

Tout cela reste bien évidemment à débrouiller.

D’autant que dans le faire-part de décès de M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930

_ mais l’exemplaire de ce faire-part, et le seul qui soit accessible sur le web, est malencontreusement incomplet, déchiré (!) qu’il est, et en très fâcheux endroit. Le voici tout de même, et son détail est tout à fait précieux pour notre recherche :

« Mme Vve Victor Gadel _ née Aimée-Laurence Rey ; et épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel à Orléansville le 9 mars 1905 _,

Monsieur Robert Gadel, étudiant en pharmacie _ né en 1906 ; ce que j’induis de sa classe (1926) d’incorporation  _, Mme née Irène Bure _ ils se sont mariés, à Alger, le 22 décembre 1927 _ et leur fils Jean-Claude,

M. Georges Gadel ,

M. et Mme _ née Jeanne Escudié _ Eugène Gadel _ leur mariage a eu lieu à Montpellier le 4 octobre 1910 _ et leurs enfants, de Paris,

Mme et M. _ Marie-Louise, née Rey, et Amédée Ducos du Hauron : c’est moi qui rétablis ici le prénom d’Amédée, qu’une fort malencontreuse déchirure du papier photocopié et reproduit, a coupé ! _ Ducos du Hauron et leurs enfants _ deux garçons : Gérard et Roger, et trois filles _,

Mme _ Eveline Ducos du Hauron _ et M. Henri Ducros _ qui n’ont pas encore eu d’enfant, à cette date du 31 mars 1930 : ni la petite Mathilde, ni le petit Yves-Henri ;

en revanche, Henri-Bavolet Ducros avait eu un fils d’un premier mariage avec une dame Gibal, ou plutôt E. Gibbal : le petit Paul-Henri Ducros, né à Aumale au mois de septembre 1921 _ cf mon article «  » du 12 janvier 2021 _, et qui devait décéder, accidentellement, à l’âge de 20 ans, le 28 mars 1942 ; ses parents, en cette occasion, procéderont à deux faire-part de décès distincts : la mère, E. Gibbal, à Alger, le 30 mars 1942 (sur ce faire-part, le nom du père est omis !) ; et le père, Henri Ducros, administrateur-adjoint en retraite à Birmandreis, en des Remerciements, le 3 avril suivant (on remarque la significative expression : « la mère, née Gibbal« …), parus tous deux dans L’Écho d’Alger ; j’ajoute ici que Henri-Bavolet Ducros a joui de ses droits à pension de retraite à partir du 1er août 1939, selon le Journal Officiel du 1er juillet 1941 ;  il était né à Alger le 25 juin 1887 ; et j’ignore encore le lieu et la date de son décès… Quant à sa carrière d’administrateur-adjoint, cf mon article «  en date du  6 janvier 2021… (ajout du vendredi 9 février 2024) _,

Mme et M. Eugène Gentet,

Mme Vve Gentet,

et les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille,

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros _ d’Azazga _, Jean, Bonopéra _ d’Algérie (et notamment d’Orléansville) _,

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL

Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’Honneur,

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans _ il était né à Grandserre (Drôme) le 8 juillet 1872 _,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques, qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32 rue Eugène Robe.

PF GUYE, 38 rue Rovigo, Alger. T. 51-71.« 

j’ai découvert, et se suivant, les expressions suivantes :

« Mme et M. Ducos du Hauron _ Sylvia et Roger ? Non pas (le faire-part du décès de Victor Gadel date du 31 mars 1930) ; mais Amédée et son épouse Marie Louise, née Rey ! _ et leurs enfants« ,

« Mme _ née Éveline Ducos du Hauron ? _ et M. Henri Ducros« ,

« Mme et M. Eugène Gentet« 

et « Mme Vve Gentet« …

Il me faudra donc y revenir…

Mais pour en revenir au nom de Rey,

j’ai relevé à trois reprises, parmi les (nombreux) parents et alliés (en l’occurence, de la famille Bure) faisant part d’un décès,

la mention de « Mme et M. Denis Rey et leur fils Marcel » _ Denis Rey décèdera à Malakoff le 7 novembre 1935 ; mais ces Rey-là n’ont pas un lien direct de parenté avec la famille de Jean-Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845  – Oran, 28 janvier 1890)... _ :

_ dans l’Écho d’Alger du 10 septembre 1929,

_ et dans Le Progrès d’Orléansville, pour l’annonce du décès, à l’âge de 27 ans, de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure ;

_ et dans L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932, pour l’annonce du décès, à l’âge de 29 ans, de M. Albert Bure _ un des frères de Gilberte Bure.

Et je dois ajouter que dans le faire-part du décès de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure, publié par L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929,

sont présentes aussi parmi les mentions des personnes parentes et alliées, les expressions suivantes :

« Mme Vve Ducros, d’Azazga » _ la belle-mère de la défunte Gilberte Bure ; et mère d’Alphonse, Henri et Edmond Ducros… _,

« Mme _ en l’occurrence Éveline Ducos du Hauron, belle-sœur par alliance de la défunte, Gilberte Bure, épouse du frère (Alphonse Ducros) de son mari (Henri Ducros) _ et M. Henri Ducros administrateur adjoint » _ beau-frère de la défunte Gilberte Bure _,

« M. Edmond Ducros, d’Azazga » _ autre beau-frère de la défunte _ ;

et parmi les nom des familles apparentées :

« Gadel » _ la famille du mari d’Irène Bure : une des sœurs de la défunte Gilberte Bure _,

« Ducos du Hauron » _ la famille d’une des belle-sœurs (Éveline, épouse de Henri Ducros) de la défunte Gilberte Bure _,

« Gentet » _ j’ignore la parenté précise des Gentet avec les Bure ; sauf si l’épouse d’Eugène Gentet s’avérait être une sœur d’Éveline Ducos du Hauron ;

mais il faut aussi prendre en compte le fait que les épouses Gadel (Aimée-Laurence Rey) et Ducos du Hauron (Marie-Louise Rey) sont des filles de Jean-Anatole Rey et son épouse Adélaïde Gentet (née en 1855 à Orléansville)… 

Il me faut donc continuer à passer méthodiquement en revue les divers faire-part concernant les décès et mariages des familles Ducos du Hauron, Gadel,

et leurs alliés, tels, aussi et d’abord, les Gentet et les Bure…

Ce dimanche 27 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nous avons donc assez bien avancé depuis le 27 décembre 2020 !

 

Ce mardi 9 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petits-enfants de Paul Bonopéra (et sa première épouse Joséphine Girot) : un point sur la question

12mar

Dans mon essai de reconstitution de la généalogie _ surtout en aval _ de la famille de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

demeurent encore pas mal de « taches aveugles » ;

ne serait-ce même _ et pour commencer _, que l’assurance d’avoir correctement repéré _ sans en avoir « oublié » un ! _ l’ensemble exhaustif _ jusqu’ici j’en compte 13 (6 + 2 + 4 + 1)… _ des petits-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892).

Tel est ce jour le premier objectif que je me fixe,

en espérant que le tableau _ le plus exhaustif possible en l’état présent de mes connaissances, forcément… _ des lieux et dates de naissance des petits-enfants de Paul Bonopéra,

m’aidera un peu dans le repérage de son propre parcours, à lui, de Rabelais _ où Paul Bonopéra était déjà « propriétaire«  _, à Orléansville _ où, également « propriétaire », il siègera constamment au conseil municipal (parmi les membres de la liste républicaine : celle de Paul Robert, Louis Clément et Joseph Robert), élu la première fois, à l’occasion d’une « élection municipale complémentaire » (pour 6 sièges vacants) le 17 juillet 1907.

Et après, j’espère y voir un peu plus clair…

De  la descendance du fils aîné de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot,

c’est-à-dire la descendance de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – j’ignore ses date et lieu de décès) et de son épouse Louise-Marie Hulné (Relizane, 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ cf mon article du 15 février dernier :  ; ainsi que la mention, inscrite sur son livret militaire, spécifiant que Jean Bonopéra a pu bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, le libérant du service actif en tant que père de famille nombreuse : dans son cas, père de « 6 enfants«  _,

et faute de contact, jusqu’ici, avec aucun de leurs descendants _ et il en existe… _,

je dois dire que la connaissance dont je dispose à ce jour de ces au moins 6 enfants _ d’après l’inscription du livret militaire de Jean, donc, qui en indiquait « 6 de vivants«  à la date du 13 mars 1917 : c’est là une information assurément bien précieuse… _ de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

demeure hélas incomplète.

De ces 6 enfants-là de Jean Bonopéra, j’ignore, déjà, et pour commencer, le prénom de l’un d’entre eux ! ainsi que _ forcément _ tout le reste de lui !!!

Cela fait déjà beaucoup !

Ensuite, j’ignore quasiment tout de celui (ou celle ; je pense qu’il s’agit d’un garçon) qui se prénomme Claude, Claude Bonopéra,

à commencer par sa place dans la fratrie _ est-il (ou elle), ou non, l’aîné(e) ?.. Je l’ignore aussi.

Cela fait décidément beaucoup d’ignorances…

Pour les quatre autres enfants _ qui étaient vivants à cette date du 13 mars 1917, et dont l’existence a permis à Jean Bonopéra de quitter le service militaire d’active, et de regagner ses foyers : d’abord à Orléansville, rue de Rome (et peut-être, provisoirement, alors, en un domicile de M. Morand de la Genevraye…), est-il noté ;

mais à peine un mois plus tard, à la date du 12 avril 1917, le livret militaire relève que c’est maintenant à Oued Fodda que se trouve alors domicilié Jean Bonopéra… _,

et qui sont Joséphine, Georges-Paul, Aimée, et enfin Jeanne,

voici l’état présent de mes connaissances.

De Joséphine Bonopéra, j’ignore le lieu et la date de naissance _ je sais seulement qu’elle épousera, à Duperré, le 30 janvier 1923 (quel âge pouvait-elle donc avoir ce jour-là ?) Kléber Défillon ; probablement, et vue la date de ce mariage en 1923, Joséphine est-elle née un peu avant Georges-Paul (né, lui, en 1902, et qui se marie, à l’âge de presque 23 ans, en 1925) et Aimée (née, elle, en 1905, et qui se marie, à l’âge d’environ 20 ans, en 1925, elle aussi) ; j’ignore aussi les date et lieux de décès de Joséphine Bonopéra, épouse Défillon… ;

à propos de cette famille Défillon, j’ai apprécié de pouvoir lire un intéressant avis de décès (de M. Fidèle Défillon, en date du 24 juin 1934), qui situe la place de Mme Kléber Défillon (née Joséphine Bonopéra), son époux, Kléber, ainsi que leurs enfants, au sein de cette famille Défillon… ; famille à laquelle appartient aussi (et c’est important de le découvrir !) le directeur du Progrès d’Orléansville, M. Camille Gajac, fils de Marie Défillon et son époux Michel Gajac… J’y reviendrai quand je me focaliserai sur l’histoire politique, un peu agitée, des maires successifs d’Orléansville : ainsi le maire Paul Robert (progressiste) sera-t-il tué en duel à Alger- Hussein Dey par un adversaire politique, André Houbé (réactionnaire), le 7 avril 1910… _ ;

Georges-Paul Bonopéra est né à Rabelais le 25 juin 1902 _ il épousera, le 25 mai 1925, à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit ; et il décèdera, à Toulon, le 9 janvier 1977, à l’âge de 74 ans _ ;

Aimée Bonopéra est née à Rabelais le 13 novembre 1905 _ en 1925, elle épousera Dominique Villanova ; puis, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Kléber Riquier ; Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993, à l’âge de 88 ans _ ;

et enfin Jeanne Bonopéra _ apparemment la benjamine de Jean Bonopéra (qui, à sa naissance, le 10 mars 1913, avait 35 ans) et de son épouse Louise-Marie Hulné (qui, à sa naissance, avait 31 ans) _ est née à Orléansville le 10 mars 1913 _ elle épousera à Oued Fodda le 22 septembre 1934 Marcel-Auguste Louyot ; et elle décèdera à Kindsbach (en Allemagne) le 25 mai 1949, à l’âge de 36 ans _ ;

Ensuite,

de la descendance de Paul Bonopéra _ le second des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot _ (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et de son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, département de la Lozère, 12-1-1881 – j’ignore son lieu et sa date de décès),

leurs deux enfants sont bien connus :

Pauline Bonopéra (Rabelais, 5 juin 1901 – Nice, 8 février 1974), demeurée célibataire ;

et Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992) _ le 6 juillet 1932, à Orléansville, Marcel Bonopéra épouse Odette Sanchez, née à Orléansville le 23 novembre 1911, fille de M. Antoine Sanchez, et son épouse née Marie-Françoise (dite Jeanne) Gays.

Marcel Bonopéra et son épouse Odette auront deux fils, tous deux nés à Orléansville : Paul-Jean-Antoine Bonopéra, né le 5 mai 1933 ; et Jean-Pierre, né le 2 novembre 1934.

Après,

de la descendance d’Auguste Bonopéra (Orléansville, 3 avril 1883 – j’ignore le lieu et la date de son décès), et de son épouse Isabelle Vivès (je n’en sais pas davantage sur elle ; ni sur la date de leur mariage…),

le livret militaire d’Auguste Bonopéra indique que « père de 4 enfants vivants » à la date du 19 février 1915, et en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, Auguste Bonopéra a pu quitter l’armée d’active pour les services de réserve de l’armée territoriale, et regagner Orléansville, et son domicile de la rue d’Isly _ cf mon article du mardi 16 février :  … 

Ces « 4 enfants vivants » _ en février 1915 _ d’Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès,

sont, et probablement nés dans cet ordre :

Hélène-Isabelle (née à La Ferme le 20 mai 1905),

Auguste-fils, dit Yoyo (??),

Yvonne (née à Orléansville le 9 avril 1912)

 

et le petit Georges (tout juste né, à Orléansville, au tout début du mois de février 1915).  

Enfin,

Julien Bonopéra (Charon, 9 juillet 1887 – après 1943) et son épouse Lucie Besse (??) _ leur mariage a eu lieu à Alger le 29 juillet 1913 ; cf mon article du jeudi 18 février :  … _,

ont eu un seul enfant :

Paulette-Charlotte Bonopéra (7 juillet 1914 – Auterive, 29 mars 2007) _ dont je ne sais pas grand chose, à vrai dire, jusqu’ici… 

À suivre…

Ce vendredi 12 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chronique orléansvilloise des Bonopéra : du 23 juillet 1903 au 7 mars 1918 (1er volet)

07fév

Comme promis, et en l’absence de données d’Etat-civil pour Orléansville _ pour cause de disparition des archives municipales, suit aux terribles séismes de 1954 et 1980 _,

je m’efforce de reconstituer une sorte de chronique de la vie familiale des Bonopéra d’Orléansville,

à partir des données les concernant accessibles dans le journal local, Le Progrès d’Orléansville.

En voici, ce dimanche 7 février, un premier volet

pour la période qui va du 23 juillet 1903 au 7 mars 1918.

 

Ce dimanche 7 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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