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Et le terreau d’Orléansville : quelques énigmes parmi les chroniques locales des Wachter et des Bonopéra

01fév

À force de labourer et re-labourer le terreau de base des Gentet et des Rey à Orléansville au XIXe siècle,

dans la perspective de mieux comprendre l’itinéraire de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron _ mon objectif final et premier ; et principal _ dans la première moitié du XXe siècle,

je me suis intéressé au contexte local de cette ville où sont venus des Gadel et des Ducos du Hauron, s’implanter _ un peu _ dans les lignées de filiation des Gentet et des Rey.

Et j’ai suivi, à travers d’assez éparses données rencontrées surtout dans les mini-chroniques de la presse locale (Le Progrès d’Orléansville), les parcours, parfois à embûches, de familles dont _ parmi pas mal d’autres, dont les Bure, de Vauban _ celles des Wachter et des Bonopéra…

L’Histoire va rarement tout droit…

Et même si cela ne me fait pas forcément avancer _ mais la sérendipité n’est pas non plus avare de surprise… _ en ma recherche des apparentements des Ducos du Hauron, Rey, Gentet, notamment à Orléansville,

cela est riche de féconds aperçus sur la vie provinciale de l’Algérie coloniale d’entre 1830 et 1940…

À suivre…

Ce lundi 1er février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant, le lien familial, en Algérie, des Wachter et des Ferrand aux Confex…

31jan

Et voici que, dans la foulée de la découverte de ce nom jusqu’ici non mentionné de Confex dans les divers faire-part de décès des familles plus ou moins directement affiliées et apparentées à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron,

je découvre aussi les liens de la famille d’origine marseillaise des Confex à plusieurs membres de ces familles Ferrand et Wachter, en Algérie, effectivement apparentées à ces Ducos du Hauron, Rey, Gentet, Schwartz, de la famille du couple formé par Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey…

Il me faut donc ici cerner ces apparentements des Confex d’Algérie à ces Ferrand et Wachter eux-mêmes plus ou moins directement apparentés au couple d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (et leurs descendants), ainsi qu’au couple de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey (et leurs descendants)…

La présence de membres de la famille marseillaise des Confex est issue de la venue en Algérie, en 1837, de Jean-Baptiste-Pierre Confex (né à Marseille le 28 décembre 1811 et décédé à Mustapha le 28 mai 1887) _ dont les parents étaient Louis Confex (né à Marseille en 1773 et décédé à Marseille le 29 juillet 1835) et son épouse Magdeleine Grimaud (née à Vitrolles le 22 novembre 1774 et décédée à Marseille le 5 janvier 1848) _, et Marie-Claire-Joseph Vidal (née à Marseille le 22 septembre 1815 et décédée à Mustapha le 6 juillet 1869 : leur mariage avait eu lieu à Alger le 22 août 1837.

Leur fille aînée, Élisabeth-Joséphine-Baptistine, née à Marseille le 28 décembre 1836, donc avant leur mariage, fut reconnue par son père au moment de leur mariage à Alger au mois d’août suivant, le 22 août 1837. Et celle-ci aura une longue vie (elle décèdera à Alger le 30 mars 1925), marquée notamment par son mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857 : elle épouse un alsacien, originaire de Rougemont (aujourd’hui  dans le Territoire-de-Belfort) : Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827 _ j’ignore la date de son décès en Algérie… _), issu d’une famille nombreuse.

L’article paru sous la rubrique « Nécrologie » à l’occasion du décès d’Élisabeth Confex, veuve Wachter, dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925, est déjà bien significatif :

« Nous avons appris avec peine le décès survenu à Alger, à l’âge de 89 ans, de Madame Veuve Wachter, née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter d’Orléansville, et sœur de Madame Veuve Bonopéra.

Très aimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont connue.

En cette pénible circonstance, nous adressons aux familles atteintes par ce deuil cruel nos bien sincères condoléances« …

En plus d’Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), épouse, puis veuve Wachter,

au moins cinq autres enfants Confex naîtront au couple formé par Jean-Baptiste-Pierre Confex et son épouse Marie-Claire-Joseph Vidal, entre 1839 et 1852 _ et qui sont donc les frères et sœurs d’Elisabeth Confex, veuve Wachter _ :

_ Aimée-Justine-Marie Confex (née à Alger le 7 février 1839 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), qui épousera, à Alger, le 18 juin 1868, Philippe Ferrand (né à Fleurey-lès-Lavencourt, Haute-Saône, le 7 août 1828 _ et qui décèdera à Alger le 2 décembre 1889 _), employé de commerce ;

_ Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), architecte, qui épousera, à Saint-Eugène, le 26 août 1876, Marie-Augustine Crémonini (née à Alger, le 12 janvier 1851, et qui décèdera à Saint-Eugène le 8 janvier 1894) ;

_ Marius-Étienne Confex (né à Alger le 29 novembre 1843 _ et qui décèdera à Relizane, le 30 décembre 1894 _), plâtrier, qui épousera à Oran, le 5 mai 1870, Félicité-Adélaïde Tauriac (née à Alger, le 31 juillet 1848 _ et qui décèdera à Mostaganem le 23 novembre 1888 _) ;

_ Marie-Léontine Confex (née à Alger le 28 mars 1846 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _) ;

_ et Zoé-Marie-Thérèse Confex (née à Alger le 19 août 1852 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), qui épousera à Mustapha, le 13 mai 1876, Henry-Anastas Clément (né à Vallesrest, le 15 juin 1850 _ j’ignore la date de son décès _).

Laquelle de ces trois dames Confex _ ou bien encore une quatrième non encore repérée de moi jusqu’ici… _, sœurs d’ d’Élisabeth Confex

apparaîtra, au mois de mars 1927, sous l’identité de « Mme Vve Bonopéra » dans le faire-part du neveu Ferrand par alliance avec une Wachter ? :

_  Aimée-Justine-Marie,

née le 7 février 1839, et devenue veuve de Philippe Ferrand le 2 décembre 1889 ?

_ Marie-Léontine,

née le 28 mars 1846 ?

_ Zoé-Marie-Thérèse,

née le 19 août 1852, et devenue épouse de Henry-Anastas Clément le 13 mai 1876 ?

Cf aussi ce faire-part de décès en date du mois de décembre 1927 :

« Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter et ses enfants : Yvonne et Simone ; M. Henri Ferrand et Mme ; Mme Vve Bonopéra ; Mme Vve Louis Gentet, née Wachter ; Mme et M. Emile Wachter et leurs enfants ; Mme Vve Louis Wachter et sa fille ; Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants ; M. A. Gastaud ; les familles Ferrand d’Avancourt, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ; M. Albert Billiet ; MM. Tiné, le personnel de la Maison Tiné et Cie,

ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Albert FERRAND, Caissier aux Deux Magots, leur époux regretté, père chéri, neveu, beau-frère, cousin et allié, décédé à Alger le 18 décembre 1927, dans sa 59e année. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à quatre heures. Réunion au domivile mortuaire, 9 rue Rovigo. Regret éternel« .

À la génération suivante,

le couple formé par Jean-Baptiste Wachter et son épouse Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex, aura _ au moins… _ quatre enfants Wachter  :

_ Élisabeth-Marie-Louise Wachter (née à Medea le 9 mars 1858 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _).

_ Aimée-Marie Wachter (née à Mustapha le 2 septembre 1859 _ et dont j’ignore tout du reste : s’est-elle mariée ? a-t-elle eu des enfants ? de qui fut-elle peut-être la veuve ?.. _).

Au passage, je me demande fortement si l’une de ces deux Demoiselles Wachter _ ou encore une troisième non encore repérée de moi _ ne pourrait pas être la « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » du faire-part de décès; en date du mois de décembre 1927, de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , qui nous intrigue tant dans notre recherche de mieux apprendre qui est qui, parmi la constellation familiale des Ducos du Hauron et apparentés d’Algérie…

_ Louis-Jules Wachter (né à Orléansville le 29 juillet 1866 _ et dont j’ignore la date et le lieu du décès _, et qui a épousé à Bône, le 14 janvier 1905 Thérèse-Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883 _ j’ignore la date et le lieu de son décès _), et qui sera la « Mme Vve Louis Wachter » du faire-part de décès de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , paru dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927 ; cf mon article du 30 janvier dernier : .

_ Et peut-être enfin _ s’il est bien le dernier des enfants de ce couple Wachter-Confex _ Émile  Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869 _ j’ignore encore à ce jour et la date et le lieu de son décès _), qui mit en œuvre une entreprise de transports hippomobiles entre Orléansville et Ténès, qui fit faillite (en 1911), et se reconvertit en agent d’assurances.

Émile Wachter épousa, à Orléansville, le 21 octobre 1897, Mademoiselle Hélène-Etiennette-Sophie Janet ;

et le couple eut plusieurs enfants Wachter, auxquels j’ai l’intention de consacrer prochainement un article un peu développé.

Et c’est dans la perspective de mieux comprendre tout le détail du faire-part du décès de « Monsieur Albert Ferrand, Caissier aux Deux Magots« , paru dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927, que je me penche sur l’identité des personnes mentionnées en ce faire-part important, dans ma quête de pénétrer l’intelligence de la constellation familiale de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron ;

tout spécialement dans le paysage d’Orléansville où résidèrent les membres de la génération des premiers colons d’Algérie, dès la décennie des années 30 du XIX e siècle… 

À suivre…

Ce dimanche 31 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Mieux comprendre certaines filiations : par exemple celle de Paul-Henri Ducros, né à Aumale le 22 septembre 1921

12jan

Dans ma recherche de certaines filiations au sein de la famille Ducos du Hauron,

et cela en amont comme en aval du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ mariage dont j’ignore encore à ce jour et le lieu (à Orléansville ?) et la date (un peu avant ou un peu après 1896, quand Amédée décide de demeurer en Algérie, alors que ses parents, son frère et son oncle Louis retournent en France ; et peut-être aussi à un moment où Amédée y est, soit déjà, soit encore, en poste de rédacteur à la sous-préfecture…) _,

je m’interroge sur la naissance, au mois de septembre 1921, à Aumale,

où son père Henri Ducros _ très vraisemblablement le mari à venir d’Éveline Ducos du Hauron (dont j’ignore toujours aussi le lieu et la date de ce mariage…), plutôt que son père, prénommé lui aussi Henri, et, auquel père, nommé donc Henri-Bavolet Ducros lui aussi, survivra sa mère, née Philomène Roussel ; cf le significatif et bien intéressant faire-part de décès de celle-ci, « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru, sous un intitulé « Azazga – Port-Gueydon« , dans le numéro du 24 juillet 1931 de L’Écho d’Alger : j’y reviendrai bien vite pour en donner tout le détail… _

était alors _ entre 1919 et 1923 (1919 : après son poste à Azazga, dans la commune mixte du Haut-Sébaou ; et 1923 : avant son poste à Trézel, dans la commune mixte du Djebel Nador) _ « administrateur-adjoint« ,

de Paul-Henri Ducros.

Et voici in extenso le détail de ce qu’annonçait un bref entrefilet de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 :

« Naissances.

Nous avons le grand plaisir d’apprendre la naissance d’un superbe petit garçon, fils de Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale.

Mme Ducros est fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique.

Quant au bébé, il s’appelle Paul-Henri. Nous lui souhaitons bonne et longue vie.« 

Et maintenant voici, lui aussi in extenso, le détail du faire-part de décès de « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru _ dix ans plus tard que cette naissance, à Aumale, du petit Paul-Henri Ducros _ dans L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931 :

« AVIS DE DÉCÈS.
Azazga – Port-Gueydon.

Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri et leurs familles _ soient les familles Ducos du Hauron (Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri-Bavolet Ducros, est la mère de leurs enfants Yves-Henri-Marie et Raymond Ducros) et Bure (Gilberte Bure, décédée au mois de septembre 1929, en Suisse, était l’épouse d’Alphonse Ducros, et la mère de leur fils Jean-Pierre Ducros ; cf le faire-part de son décès dans le numéro du 10 septembre 1929, de L’Écho d’Alger ; ou l’avis de décès paru le 19 septembre 1929 dans Le Progrès d’Orléansville)_, ont la douleur de vous faire part du décès de leur mère, grand’mère et parente

Madame Veuve Henri DUCROS

née ROUSSEL Philomène

décédée le 19 juillet 1931, à Azazga,à l’age de 71 ans« 

La question que me pose cette énumération des Ducros faisant part du décès de leur mère et grand-mère Philomène Ducros, née Roussel _ née, elle, en 1860 _, est celle des rapports de filiation entre les membres de cette famille :

si les petits Yves (ou Yves-Henri-Marie) et Raymond Ducros sont bien les enfants de Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauron,

et si le petit Jean-Pierre Ducros est bien le fils d’Alphonse-Léon Ducros et de sa défunte épouse née Gilberte Bure,

de qui le jeune Paul-Henri Ducros est-il exactement, lui, l’enfant ?

lui qui se trouve à la quatrième place des descendants de la défunte, Madame Veuve Henri Ducros, née Philomène Roussel,

après 1) Henri-Bavolet Ducros, son épouse et leurs deux fils Yves et Raymond Ducros,

2) Edmond Ducros _ apparemment demeuré, lui, célibataire _,

3) Alphonse Ducros _ veuf de son épouse Gilberte née Bure _ et son fils Jean-Pierre ?

Pourrait-il être, lui aussi, un frère des frères Henri-Bavolet, Edmond et Alphonse-Léon Ducros ?

Lui, Paul-Henri Ducros, que l’annonce de sa naissance dans L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 déclarait être le fils de « Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale« …

Se pourrait-il qu’un autre Henri Ducros que le futur époux d’Éveline Ducos du Hauron,

cet « administrateur-adjoint » des « communes mixtes » d’Algérie, dont nous avons pu retracer les étapes de la carrière de novembre 1912 à janvier 1939 _ 1) classé à la suite du concours du 26 novembre 1912, M. Henri Ducros est nommé en date du 4 janvier 1913, administrateur-adjoint stagiaire, et désigné pour la commune mixte de Sidi-Aïssa (en remplacement de M. Ducos du Hauron) 2) appelé en date du 13 décembre 1915 dans la commune-mixte d’Azazga (c’est-à-dire celle du Haut-Sébaou) 3) appelé en date du 12 novembre 1919 à Aumale 4) nommé _ la date ne m’est pas connue _ à la commune mixte du Djebel Nador 5) appelé en date du 3 février 1923, et à titre provisoire, à la commune mixte d’Azeffoun (en résidence à Port-Gueydon) 6) nommé _ fin décembre 1936 – début janvier 1937 _ à la commune-mixte de Cherchell (en résidence à Dupleix) _,

ait pu être le père de ce petit Paul-Henri Ducros ?

À commencer par le propre père d’Henri-Bavolet, soit Henri-Joseph Ducros, l’époux de sa mère Philomène Roussel ?.. 

Mais de toutes les façons,

et qu’il s’agisse de M. Henri-Bavolet Ducros-fils, ou de M. Henri-Joseph Ducros-père _ et des deux, j’ignore hélas à ce jour les dates de naissance _ le 25 juin 1887 pour Henri-Bavolet, comme me l’apprendra plus tard la lecture de son livret militaire _, de décès comme de mariage(s) ; ce qui ne m’aide pas !.. _,

fait importante difficulté pour nous, en cette information de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 à propos de la naissance du petit Paul-Henri Ducros, dont le père, M. Henri Ducros, est dit se trouver alors en poste d’administrateur-adjoint à Aumale _ pourrait-ce donc être un autre que ce Henri Ducros dont nous venons de retracer la carrière administrative ? Henri Ducros fils ?.. _,

le fait que soit donnée pour la mère de l’enfant (et épouse de l’administrateur-adjoint d’Aumale, M. Henri Ducros),

une dame née Gibal, « fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique« …

M. Henri Ducros aurait-il été marié en premières noces avec cette dame née Gibal ?

Très vraisemblablement !

Et dans ce cas, que serait devenue cette première épouse ?..

Nulle part ailleurs je n’en ai trouvé quelque mention..

De même que j’ai déjà fait état en un précédent article _ en date du 15 décembre dernier : _ d’un possible, mais plutôt étrange, premier mariage de sa seconde (?) épouse, Éveline Ducos du Hauron, avec un certain François Perez (d’après un sibyllin Avis paru dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :

« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme, née Éveline Ducos du Hauron. Dont acte« …

Enfin,

dans deux autres faire-part de décès survenu en cette famille Ducros _ une famille originaire du Gard, et comportant des parents résidant à Aigues-Mortes ; et installée à Azazga depuis les années 80 du XIXe siècle (la commune mixte du Haut-Sébaou, dont le centre principal est Azazga, a été constituée par un décret du 25 août 1880) ; cf aussi ce très détaillé document de Jean-Yves Thorrignac sur l’histoire d’Azazga… _, le décès de Madame Alphonse-Léon Ducros, née Gilberte Bure, paru, le premier, le 10 septembre 1929 dans L’Écho d’Alger, et un autre le 19 septembre suivant, dans le Progrès d’Orléansville, il est intéressant de détailler les deux longues listes des personnes faisant part de ce décès qui affecte au premier chef les familles Ducros _ la famille du veuf, Alphonse-Léon Ducros, et de l’orphelin, Jean-Pierre Ducros _ et Bure _ la famille de la défunte Gilberte Bure _ :

 

dans ces deux listes, nulle mention de Paul-Henri Ducros ;

mais seulement, parmi les membres de la famille Ducros faisant part du décès de Madame Alphonse Ducros, née Gilberte Bure,

et outre la mention, en 3ème rang juste après le mari veuf et le fils orphelin de la défunte : « M. Alphonse Ducros, chevalier de la Légion d’Honneur, et son fils Jean-Pierre » ; et les père et mère de la défunte : « Mme et M. Bure Jean-Baptiste, Commandeur du Mérite agricole et propriétaire à Vauban » _ de « Mme Veuve Ducros, d’Azazga » _ elle décèdera le 19 juillet 1931, en son domicile d’Azazga _, la belle-mère de la défunte,

celle, au huitième rang, de « Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint » _ sans mention de nul enfant de leur couple, à ces dates des 10 et 19 septembre 1929 : de fait, le premier né de ce couple formé par Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauon, Yves-Henri-Marie Ducros, ne naîtra que neuf mois tard : à Port-Gueydon, le 31 mai 1930…  _, ses beau-frère et belle soeur côté Ducros,

suivie de celle, au neuvième rang, de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« , son autre beau-frère Ducros de la défunte née Gilberte Bure,

dans le faire-part de L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929 ;

et, pour le faire-part du Progrès d’Orléansville du 19 septembre suivant, et avec quelques ajouts (dont, juste avant une énumération de familles parentes et alliées, la mention, in extremis, de « Mme et M. Ducros, d’Aigues-Mortes« …),

on peut lire, en huitième rang : « Mme et M. Henri Ducros, Administrateur _ adjoint de la commune mixte du Haut-Sébaou _ à Azazga« 

_ ce qui ne laisse pas de me surprendre : en sa carrière d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie, Henri Ducros aurait-il, à ce moment de 1929, réintégré un moment ce poste à Azazga (en la commune mixte du Haut-Sébaou) ? Ou bien ne serait-ce pas là plutôt quelque inadvertance de la part d’un des membres de la famille Bure venu à Orléansville présenter sa proposition de faire-part du décès  de Gilberte Bure, épouse Ducros, à la rédaction du journal Le Progrès ?..  Sur la chronologie du parcours d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie de Henri Ducros, se reporter à mon article à venir du 2 décembre 2021 (ultérieur à celui-ci, en date, lui, du mardi 12 janvier 2021 !) : «  «  ; un ajout en date du vendredi 21 juillet 2023… _  ;

alors qu’a disparu ici la mention de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« …

Voilà pour les recherches et questionnements de ce mardi 12 janvier 2021,

autour de quelques filiations et apparentements de la constellation des Ducos du Hauron, ainsi que, aussi, des Ducros, d’Algérie,

dans la première moitié du XXème siècle…

Ce mardi 12 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suite de la recherche des modalités de l’apparentement des Gadel aux Ducos du Hauron, en Algérie : en commençant par faire un point sur qui peut bien être celle qui figure sous l’appelation de « Mme Vve Gadel » dans le faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron…

27déc

Dans ce cadre présent que je me suis donné afin de rechercher _ le plus méthodiquement possible _ les modalités effectives de l’apparentement de la famille Gadel à la famille Ducos du Hauron _ ou du moins à sa branche « algéroise – algérienne«  : celle issue d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse, née Marie-Louise Rey _,

tel qu’en fournit, en un premier crucial indicel’avis de décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, paru dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, à la page 6 :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ; MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 » ;

soit une base décisive pour la présente recherche de cet apparentement de la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron aux Gadel _ à partir de 1896, quand Amédée Ducos du Hauron choisit de demeurer en Algérie, alors que tous les autres membres de sa famille choisissent, eux tous, sans exception, de rentrer en France, et de s’installer à Paris, dans le quartier des Batignolles (17 rue des Batignolles, précisément) _, aux Ducros, aux Gentet, et à travers eux, aux Bure ;

dans ce cadre présent, donc,

je dois tâcher de préciser l’identité de cette Mme Vve Gadel, présente dans la mention « Mme Vve Gadel est ses enfants » _ qui donc celle-ci est-elle ? et qui sont ses enfants ? _ ;

une mention qui fait suite, en cette liste du faire-part du décès de Mme Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron, 

à la mention, inaugurale de ce faire-part, du mari de la défunte « Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix« , ainsi que « ses enfants » _ qui sont-ils donc, en plus du petit Yves-Henri Ducros, né à Port-Gueydon le 8 juin 1930, et suite au décès précoce, peu avant le 23 octobre 1933 _ cf l’avis de décès paru dans L’Écho d’Alger de ce 23 octobre 1933, page 9 _, à Port-Gueydon aussi, de la petite Raymonde Ducros ? Peut-être le petit Paul-Henri Ducros, né (peut-être à Aumale) le 22 octobre 1921, d’un premier mariage de M. Henri Ducros, avec sa première épouse, née Gibal… _,

à la mention qui suit, de « MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger«  _ les deux frères de la défunte : Gérard est né le 30 août 1909, à Berrouaghia ; mais j’ignore, en revanche, le lieu et la date de naissance de son frère cadet Roger… _, et à « Mme Jacquet«  _ la compagne, à ce moment de décembre 1938, de Gérard Ducos du Hauron ; et que celui-ci ne tardera pas à épouser, à Alger, le 25 novembre 1939 _,

et cela juste avant la liste plus générale des familles parentes et alliées : « les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, CharavelFerrand, Bure« …

« Mme Vve Gadel« , donc : veuve, depuis le 30 mars 1930, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Grandserre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), elle est née Aimée-Laurence Rey _ j’ignore à ce jour, et c’est bien dommage, ses lieux et dates et de naissance et décès _ ; et son mariage avec Victor-Nicolas-Benjamin Gadel avait eu lieu à Orléansville le 9 mars 1905 ;

et ses enfants sont Robert Gadel (né en 1906 _ je n’en sais pas davantage pour le moment _ ; appartenant à la classe 1926, il a demandé et obtenu alors un sursis militaire afin d’accomplir ses études de pharmacie à la Faculté d’Alger)

et Georges Gadel.

Les parents de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel étaient Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et la première épouse de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey

_ devenu veuf de Marie-Eugénie-Hortense Rey à une date que pour le moment j’ignore, Victor-Alexandre-Philémon Gadel se remariera, le 9 décembre 1886, et en Algérie (!), à Birkaden (arrondissement d’Alger), avec celle qui sera sa veuve, en 1927 : Marie Morlier. Mais je me demande, au passage, pour quelle occasion ce Provençal (né à Tarascon en 1835 et qui décèdera à Marseille en 1927) a pu traverser la Méditerranée pour venir jusqu’en Algérie se remarier, en 1886, et à l’âge de 51 ans, à Birkaden…

En cette Algérie que gagnera, à son tour, lui aussi, en 1902 (dans le cadre de sa carrière militaire), son fils Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (qui a alors 30 ans), pour, et à Orléansville, se marier avec Aimée-Laurence Rey le 9 mars 1905 (il a maintenant 32 ans) ; et accomplir en Algérie tout le reste de sa carrière (militaire d’abord, et jusqu’au grade de capitaine ; puis, à partir de 1912, à l’âge de 40 ans, au Trésor, où il débute comme commis de 5e classe), jusqu’à son décès, comme Payeur-adjoint au Trésor, à Alger, à la Trésorerie d’Algérie : Victor-Nicolas-Benjamin Gadel décédant à l’âge de 57 ans…

Comment ne pas faire un lien, en découvrant deux fois ce même nom de Rey porté par deux épouses Gadel _ Marie-Eugénie-Hortense, puis Aimée Louise _

avec le nom de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron ?

De cette Marie-Louise Rey, je connais seulement le lieu (Agen) et la date (20 septembre 1933) de décès, à l’âge de 54 ans _ ce qui fait remonter sa naissance à l’année 1879 ; Amédée, son mari, étant né à Agen, le 9 février 1866. Et Marie-Louise Rey est inhumée à Agen, dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard _ mais j’ignore si Amédée Ducos du Hauron est inhumé lui aussi à Agen, en ce cimetière de Gaillard (non !) ; ou plutôt à Alger (oui !)…

Amédée et Marie-Louise se sont probablement mariés en Algérie _ sans confirmation ni de lieu, ni de date pour le moment… _, dans les toutes dernières du XIXe siècle, ou les toutes premières du XXe ;

 

et des 5 enfants dont ils avaient charge de famille, à Rébeval, en 1927 _ d’après le très intéressant article d’un quotidien parisien (hélas non nommé !) reproduit dans L’Écho d’Alger du 4 mars 1927 ; article donné in extenso dans mon article du 15 décembre dernier :  _, alors qu’Amédée se trouvait à la retraite de sa carrière d’administrateur adjoint de diverses municipalités d’Algérie _ dont je me suis efforcé d’établir une liste ; cf mon article du 16 décembre dernier : _je ne dispose, pour le moment que des prénoms de leurs deux garçons, Gérard et Roger (qui figurent dans divers faire-part de décès, dont surtout le faire-part de décès de leur sœur Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 ; et auxquels fait aussi allusion _ mais sans donner leurs prénoms _ la lettre d’Alice Ducos du Hauron à Henri Lacroix, du 6 août 1948 : Alice y parle de ses « deux petit-neveux, en Algérie, fils de (son) frère aîné« , Amédée _ cf le post-scriptum à mon article du 6 décembre dernier : _) ;

pour ce qui est de leurs trois filles _ dont aurait pu faire partie la « Mme Vve Gadel » du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, publié le 2 janvier 1939 par L’Écho d’Alger… _on peut déjà donner le prénom d’Éveline (décédée, donc, à Alger durant la dernière semaine de 1938) ; ainsi que celui d’Edmée, née à Lamartine, le 9 juillet 1904 ; reste donc à découvrir le prénom de la troisième de ces trois filles d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey (et sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron) : j’ignore s’il s’agit, ou pas (dans le cas où celle-ci serait Edmée), de celle qui serait peut-être devenue la veuve d’un Gadel (et duquel d’entre eux, je ne le sais pas non plus) ; à moins qu’elle n’ait été l’épouse d’un Eugène Gentet… Cela demeure à éclaircir…

Je dois ici ajouter que j’ai aussi été frappé par la mention, sur le faire-part de décès de M. Jean-Baptiste Bure _ survenu à Alger le 31 octobre 1934 _, publié par L’Écho d’Alger le 1er novembre 1934, et au sein de la liste de familles parentes et alliées des Bure, à côté de la famille Gadel et de la famille Ducros, d’une famille « Ducos-Gentet« … Serait-ce là faire allusion à un couple constituée d’une Ducos du Hauron et d’un Gentet ? Voire un Eugène Gentet ?..

Tout cela reste bien évidemment à débrouiller.

D’autant que dans le faire-part de décès de M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930

_ mais l’exemplaire de ce faire-part, et le seul qui soit accessible sur le web, est malencontreusement incomplet, déchiré (!) qu’il est, et en très fâcheux endroit. Le voici tout de même, et son détail est tout à fait précieux pour notre recherche :

« Mme Vve Victor Gadel _ née Aimée-Laurence Rey ; et épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel à Orléansville le 9 mars 1905 _,

Monsieur Robert Gadel, étudiant en pharmacie _ né en 1906 ; ce que j’induis de sa classe (1926) d’incorporation  _, Mme née Irène Bure _ ils se sont mariés, à Alger, le 22 décembre 1927 _ et leur fils Jean-Claude,

M. Georges Gadel ,

M. et Mme _ née Jeanne Escudié _ Eugène Gadel _ leur mariage a eu lieu à Montpellier le 4 octobre 1910 _ et leurs enfants, de Paris,

Mme et M. _ Marie-Louise, née Rey, et Amédée Ducos du Hauron : c’est moi qui rétablis ici le prénom d’Amédée, qu’une fort malencontreuse déchirure du papier photocopié et reproduit, a coupé ! _ Ducos du Hauron et leurs enfants _ deux garçons : Gérard et Roger, et trois filles _,

Mme _ Éveline Ducos du Hauron _ et M. Henri Ducros _ qui n’ont pas encore eu d’enfant, à cette date du 31 mars 1930 : ni la petite Raymonde, ni le petit Yves-Henri… _,

Mme et M. Eugène Gentet,

Mme Vve Gentet,

et les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille,

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros _ d’Azazga _, Jean, Bonopéra _ d’Algérie (et notamment d’Orléansville) _,

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL

Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’Honneur,

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans _ il était né à Grandserre (Drôme) le 8 juillet 1872 _,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques, qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32 rue Eugène Robe.

PF GUYE, 38 rue Rovigo, Alger. T. 51-71.« 

j’ai découvert, et se suivant, les expressions suivantes :

« Mme et M. Ducos du Hauron _ Sylvia et Roger ? Non pas ; mais Amédée et son épouse Marie Louise, née Rey ! _ et leurs enfants« ,

« Mme _ née Éveline Ducos du Hauron ? _ et M. Henri Ducros« ,

« Mme et M. Eugène Gentet« 

et « Mme Vve Gentet« …

Il me faudra donc y revenir…

Mais pour en revenir au nom de Rey,

j’ai relevé à trois reprises, parmi les (nombreux) parents et alliés (en l’occurence, de la famille Bure) faisant part d’un décès,

la mention de « Mme et M. Denis Rey et leur fils Marcel » _ Denis Rey décèdera à Malakoff le 7 novembre 1935:

_ dans l’Écho d’Alger du 10 septembre 1929, et dans Le Progrès d’Orléansville, pour l’annonce du décès, à l’âge de 27 ans, de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure ;

_ et dans L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932, pour l’annonce du décès, à l’âge de 29 ans, de M. Albert Bure _ un des frères de Gilberte Bure.

Et je dois ajouter que dans le faire-part du décès de Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure, publié par L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929, sont présentes aussi parmi les mentions des personnes parentes et alliées, les expressions suivantes :

« Mme Vve Ducros, d’Azazga » _ la belle-mère de la défunte Gilberte Bure ; et mère d’Alphonse, Henri et Edmond Ducros _,

« Mme _ soit Éveline Ducos du Hauron, belle-sœur par alliance de la défunte, Gilberte Bure, épouse du frère (Alphonse Ducros) de son mari (Henri Ducros) _ et M. Henri Ducros administrateur adjoint » _ beau-frère de la défunte _,

« M. Edmond Ducros, d’Azazga » _ autre beau-frère de la défunte _ ;

et parmi les nom des familles apparentées :

« Gadel » _ la famille du mari d’Irène Bure : une des sœurs de la défunte _, « Ducos du Hauron » _ la famille d’une des belle-sœurs de la défunte _, « Gentet » _ j’ignore la parenté précise des Gentet avec les Bure ; sauf si l’épouse d’Eugène Gentet s’avérait être une sœur d’Éveline Ducos du Hauron… 

Il me faut donc continuer à passer méthodiquement en revue les divers faire-part concernant les décès et mariages des familles Ducos du Hauron, Gadel,

et leurs alliés, tels, aussi et d’abord, les Gentet et les Bure…

Ce dimanche 27 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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