Nouveau focus sur quelques points particulièrement sensibles de mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville…
24avr
24avr
21avr
Suite à notre échange téléphonique _ avec Madame Aline Bonopéra _,
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Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
31mar
Poursuivant mon exploration des livrets militaires d’Algérie sous la IIIe République, juqu’en 1918,
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je vais détailler ici quelques apports de connaissance, d’après leurs livrets militaires, concernant les plus proches parents _ masculins, forcément ! _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, juillet 1935) ayant passé leur conseil de révision en Algérie :
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son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) ;
son beau-père Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ époux et veuf d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;
l’oncle (et tuteur) de son épouse Marie Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ ainsi que ses frères Frédéric Gentet (Blida, 28 avril 1846 – ?,?), Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?,?) ; et son neveu Eugène-Laurent Gentet (Alger, 20 septembre 1882 – ?,?) _ ;
son gendre _ époux de sa fille aînée Éveline Ducos du Hauron (?, ? – Alger, décembre 1938) _ Henri Ducros (Alger, 25 juin 1887 – ?,?) _ ainsi que ses frères Edmond Ducros (Alger, 29 octobre 1889 – ?,?) et Alphonse-Léon Ducros (Azazga, 8 juillet 1896 – ?,?).
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Du livret militaire d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet d’Amédée,
je retiens surtout que le départ d’Algérie et retour en France de Gaston s’est produit entre les dates du 7 mars 1898, quand Gaston était alors domicilié à Alger, rue de l’Échelle _ qui reliait deux portions de la rue Rovigo ; rue Rovigo, où résidaient ses parents, au n° 68… _, et du 24 avril 1899, où Gaston était maintenant domicilié à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé…
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Mais aussi qu’à la date du 21 janvier 1897 Gaston est mentionné avoir été domicilié à Orléansville : pour quel événement familial ? La célébration du mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ? Peut-être : c’est tout à fait possible…
Ou bien encore la naissance ou le baptême, à Orléansville, d’un enfant de son frère : par exemple la fille de celui-ci et son épouse Marie-Louise, Éveline, dont on ignore tout jusqu’ici de ses date et lieu de naissance : assez probablement Orléansville…
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Du livret militaire de Jean-Anatole Rey, feu le beau-père d’Amédée,
je retiens la mention de la date de son déplacement d’Orléansville, où il avait été maire, à Oran, où il fut adjoint au maire : le changement de domiciliation a eu lieu le 29 novembre 1883…
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Des livrets militaires des trois frères Gentet : Frédéric Gentet, Louis Gentet et Laurent-Jacques Gentet ; ainsi que du fils de ce dernier, Eugène-Laurent Gentet,
je n’osais pas, bien sûr, attendre y découvrir enfin l’identité précise de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , qui me permettrait de relier la famille Gentet, via les Wachter et les Confex aux Bonopéra qui aussi m’intéressent, dans le microcosme attachant d’Orléansville entre 1850 et 1940 :
les livrets militaires étant assez étrangement muets sur les mariages contractés, ainsi que les naissances d’enfants, de ceux dont ils s’efforcent pourtant de scrupuleusement mentionner les domiciles successifs : afin d’être à même de les convoquer avec efficacité en cas de mobilisation des réservistes…
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Et pour ce qui concerne le livret militaire de Henri-Bavolet Ducros, l’époux d’Eveline Ducos du Hauron et gendre d’Amédée et Marie Louise,
d’abord je découvre ici son second prénom, Bavolet ;
ainsi que ses lieu et date de naissance : le 25 juin 1887, à Alger ;
et surtout je peux confronter ce qui apparaît ici de son parcours professionnel comme administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie _ le même emploi dans l’administration que celui de son beau-père Amédée ; auquel, d’ailleurs, pour son tout premier poste, en la commune-mixte de Sidi-Aïssa, Henri Ducros prit la succession, le 6 janvier 1913, de son beau-père Amédée Ducos du Hauron _ avec ce que j’avais pu en établir en mon article du mercredi 6 janvier dernier : Et le parcours d’ »administrateur-adjoint » de diverses communes mixtes d’Algérie de Henri Ducros, gendre d’Amédée Ducos du Hauron …
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Et j’ai aussi confirmation,
par les livrets militaires d’Edmond Ducros et Alphonse-Léon Ducros,
de la parenté effective de ces trois frères Ducros _ ainsi que de leur sœur Marthe Ducros _,
dont les parents Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel étaient domiciliés à Azazga (commune mixte du Haut-Sebaou)…
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Voilà donc pour ce jour…
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Ce mercredi 31 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
30mar
C’est un peu par hasard que j’ai eu accès
en l’occurrence, à partir de ma recherche des livrets militaires des membres de la famille Wachter installés en Algérie _ et cela afin d’essayer d’identifier enfin, et « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , et « Mme Vve Paul Bonopèra-mère« , née Confex, sœur d’Elisabeth Confex, et par là belle-sœur de l’époux de celle ci : Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ; l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 14 mars 1867 – Alger, Juillet 1935), Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), étant la nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et de sa veuve, née Wachter… Tel est le cercle de famille que j’essaie de préciser… _,
au très précieux site des livrets militaires d’Algérie, et cela dès l’installation du régime de la IIIe République, et jusqu’à la victoire de 1918… ;
site que je peux consulter maintenant à ma volonté…
_ les seuls détails qui manquent concernent les épouses et les enfants du soldat ;
alors que ne manquent pas les diverses domiciliations de celui-ci, avant la libération définitive de ses obligations de service… Pouvoir le joindre est une puissante nécessité républicaine…
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J’ai donc commencé par rechercher le livret militaire d’Amédée Ducos du Hauron, (classe 1889) le « fondateur » de ce que j’ai nommé la « branche algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron.
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Le livret est au nom de « Marie-Louis-Amédée Ducos« , né à Agen le 24 mars 1867 _ « employé de commerce« (ainsi a-t-il donc débuté sa carrière professionnelle), et résidant à Alger, rue Rovigo, n° 68 : au moment de la première rédaction de ce livret, en 1886 ou 87) _, fils de Jean-Marie-Casimir et Fourcault, Césarine-Marie, domiciliés à Alger, Rovigo 68.
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Les lieux et dates de son parcours qui peuvent compléter un précédent article du 6 janvier dernier : Un essai de recollection du parcours dans l’administration de l’Algérie d’Amédée Ducos du Hauron, entre 1898 et 1927,
sont les suivants :
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_ 24 août 1887 : Alger, rue Rovigo N° 68 _ au domicile des parents Ducos du Hauron, qui vivent alors à Alger _
_ 4 juin 1894 : Alger, Hôtel de préfecture _ probablement Amédée exerce-t-il alors déjà la profession de « rédacteur« (peut-être stagiaire) à la Préfecture d’Alger… _
_ 18 avril 1895 : Orléansville _ les raisons professionnelles de la résidence à Orléansville d’Amédée sont-elles seulement professionnelles ?.. Amédée est-il déjà marié à cette date avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ?.. Et quand est née leur fille aînée Eveline … _
_ 18 novembre 1904 : Teniet El Haad _ une commune au flanc sud du massif de l’Ouarsenis _, adjoint-administrateur
_ 8 mai 1907 : administrateur-adjoint de la commune mixte de Teniet El Haad
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Je remarque, bien sûr, la mention, sur ce livret militaire, de la présence à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron au mois d’avril 1895 ;
même si cela ne constitue pas encore un indice suffisant du mariage, probablement à Orléansville, et j’ignore en quelle année, d’Amédée Ducos du Hauron avec l’orléansvilloise _ nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), conseiller municipal de la ville _ Marie-Louise Rey, née en 1879…
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À confronter avec les éléments rassemblés en mon précédent article du 6 janvier dernier : Un essai de recollection du parcours dans l’administration de l’Algérie d’Amédée Ducos du Hauron, entre 1898 et 1927 …
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À suivre…
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Ce mardi 30 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
07mar
Et voici que ce dimanche matin,
je reçois un courriel de la petite-fille de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),
qui, très aimablement, m’adresse une copie d’un arbre généalogique de ses ancêtres Bonopéra, réalisé par son grand-père Marcel.
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C’est un très précieux _ et très émouvant _ document.
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Que voici :
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Généalogie des Bonopéra
1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra
1a1 Jacinta Minguella
2e génération : 2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea
né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé
à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de
2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876
3e génération : 3a : Marguerite Bonopéra
3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856
décédé à Orléansville le 18-1-1916
3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger
4e génération : 3b : Paul Bonopéra, époux de
3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à
Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :
4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;
4e : Julien ; 4 f : Georges.
5e génération : 4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,
décédé à Orléansville le 2-11-1930 et
4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née
le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;
ont eu deux enfants :
5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)
le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.
5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.
6e génération : 6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933
6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville
le 2-11-1934
sont les enfants de Marcel Bonopéra et de Odette
Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, et décédée à Nice
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Ce sont principalement les données qui concernent Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, qui attirent, bien sûr, pour commencer, ma première attention.
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Car dorénavant je connais, sinon la date exacte de la naissance _ je savais que c’était durant l’année 1856 _ de Joséphine Girot (orthographiée ici Giraud), du moins le lieu de la naissance de celle-ci : Ténès _ mais Rabelais faisait aussi partie, administrativement, de la commune mixte de Ténès…
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Ce qui cadre _ même si rien n’y fait ici explicitement référence _ avec mon hypothèse de la très probable filiation de Joséphine Girot avec la famille _ alsacienne _ de Jean-Claude-Girot et son épouse, Marie-Catherine Herbelin, famille venue de Menoncourt, un village alsacien, situé alors dans le département du Haut-Rhin (et qui fera partie, après 1970, du nouveau département, créé tout spécialement alors, du Territoire de Belfort).
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Et mieux encore, Joséphine Girot semble bien être la fille _ née, donc, à Ténès, en 1856 _ de Jean-Pierre Girot _ le second fils de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin _, qui, alors qu’il était dit (dans l’acte de son mariage) être domicilié, en 1854, à Orléansville, a épousé à Ténès le 1er août 1854 la demoiselle _ orpheline de mère (sa mère, Claire-Marguerite-Pascale Hermite, était, en effet, décédée à Ténès le 24 janvier 1846), et déclarée « née de père inconnu« … _ Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger, le 18 février 1838).
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Et je découvre aussi le lieu : Orléansville ; ainsi que la date : le 11 juillet 1892, du décès de Joséphine Girot_ soit assez peu de temps après la naissance (moins de six mois), à Rabelais (centre qui faisait partie de la commune de Ténès), de son sixième et dernier fils, Georges Bonopéra : il était né, à Rabelais, le 21 février 1892.
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Au passage, j’apprends aussi le lieu : Pontéba ; et la date des décès des parents de Paul Bonopéra _ né à Miliana le 1er octobre 1856 _ et de sa sœur Marguerite _ née à Miliana le 22 janvier 1849 _,
soient Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814), et son épouse Marguerite Saura (née à Santa-Maria-de-Mahon, dans l’île de Minorque, le 21 mars 1820) :
durant l’année 1876.
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Paul Bonopéra, devenu donc veuf ce 11 juillet 1892, s’est ensuite remarié, une première fois, à Rabelais, avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet ;
dont il a eu un fils, Marie-André, né à Rabelais le 5 juin 1897, et décédé vingt jours plus tard, le 25 juin, toujours à Rabelais, au domicile de son grand-père César-Florentin-Armand Claudet-Fricand _ né le 27 août 1844 à Bannans (département du Doubs) ; et qui décèdera en 1913. Son épouse était Marie-Séraphine-Julie Laignier, née le 7 mai 1873, elle aussi à Bannans ; et décédée avant 1882.
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De cette seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet,
Paul Bonopéra a très vite _ un mois tout juste après le décès de leur fils, le petit Marie-André Bonopéra _ obtenu le divorce, « aux torts exclusifs de son épouse« , par un jugement du tribunal de première instance d’Orléansville, en date du 25 juillet 1897 _ aidé en cela par les services de l’avoué, résidant à Orléansville, Georges d’Apreval, neveu par alliance de Paul Bonopéra (car Georges d’Apreval a été l’époux, successivement, des deux filles de Marguerite Bonopéra, sa sœur, et de son mari Auguste Morand de la Genevraye, son beau-frère : Augustine, puis Angèle Morand de la Genevraye)…
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Puis, après ce divorce de 1897, Paul Bonopéra s’est à nouveau remarié _ j’ignore à quelle date _ :
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avec cette future « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex« ) qui m’intéresse _ cf mon article d’hier : De la prise de conscience de la proximité géographique de Menoncourt et Rougemont, à la découverte du mariage d’un François Wachter et d’une Marguerite Girot, les parents de Jean-Pierre Wachter, le cousin de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et témoin au mariage de celui-ci avec Elisabeth Confex, le 26 mai 1857, à Mustapha … _,
parce qu’elle est apparentée, via le mariage d’une de ses parentes _ côté Confex… _, née demoiselle Wachter _ fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (natif de Rougemont : tout près de Menoncourt…) et de son épouse Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (native de Marseille) _, avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont, devenue veuve de son époux Louis Gentet, cette ancienne demoiselle Wachter est devenue « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« .
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Or ce Louis Gentet n’est autre que l’oncle maternel _ puis tuteur, à Orléansville à partir des décès successifs, à Oran, de leurs parents, la sœur de Louis Gentet, Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son beau-frère Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845, Oran, 28 janvier 1890) ; Anatole Rey, pharmacien, avait été maire d’Orléansville en 1880-1881, puis, au moment de son décès, il était un très remarqué adjoint au maire d’Oran… _ des petites Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey :
Marie-Louise, l’épouse (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ainsi que Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future « Mme Vve Gadel » à la date du 30 mars 1930, la date du décès de son mari (et cousin germain) Victor Gadel, à Alger _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), ce génial inventeur de « la photographie de couleurs« , qui a suscité mon enquête sur l’importance _ affective, intellectuelle et matérielle _ de son entourage familial…
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Je poursuivrai demain l’inventaire des apports à ma recherche de ce très précieux document généalogique,
œuvre de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),
instituteur de son métier ;
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fils de Paul, le boulanger d’Orléansville _ rue d’Isly _ (Pontéba, 19 décembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)
et de son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Lozère, 12 janvier 1881 – j’ignore le lieu et la date de son décès ) ;
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et petit-fils de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)
et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892)…
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À suivre…
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Ce dimanche 7 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa