_ « regarder et admirer cette admirable interprétation-ci (de 26′ 33), en concert, le 28 septembre 2019, au Festival de Musique de Chambre de Trondheim, de ce sublime Trio de Ravel« , écrivais-je alors… _ ;
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et consécutivement au très prometteur article « En Trio » de Jean-Charles Hoffelé, le 24 mai précédent _ lui aussi emploie le mot d’« enchantement« … _,
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et venant de recevoir ce jeudi 13 juillet ce CD « Maurice Ravel In search of Lost Dance » par le Linos Piano Trio, soit le CD Avi Music 8553526 _ enregistré à Baden-Baden au mois de septembre 2022 _, que j’avais pris soin de commander, lui aussi, à mon disquaire préféré,
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ce magique CD Ravel, ravelissime, du Linos Piano Trio _appréciez cette trop brèvevidéode 1′ 22; ainsi que celle-ci de 4′ 48… _, est d’une écoute enchanteresse…
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Il comporte,
outre le Trio avec Piano en la mineur de Maurice Ravel _ jamais entendu, pour ma part, à ce niveau d’incarnation-engagement ! _,
de sublimes arrangements, par le Linos Piano Trio lui-même, de la Pavane pour une Infante défunte et du Tombeau de Couperin :
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des interprétations à tomber par terre de bonheur !
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Le Linos Piano Trio : un ensemble à suivre de très près…
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Ce jeudi 13 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa
j’écoute délicieusement en boucle _ de 82′ 23 _ ce merveilleux CD « Gradus ad Parnassum« _ Erato5054197416170, paru ce vendredi 3 mars _ de Jean Rondeau et son clavecin parfaitement idoine aux pièces si judicieusement choisies du programme qu’il s’est très intelligemment composé, de Palestrina à Debussy, via Fux,
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en m’attardant tout particulièrement aux œuvres si heureuses et radieuses de Haydn, de Mozart, et aussi de Clementi _ en 2004, pour le très remarquable CD Pan Classics 10171 « Muzio Clementi Late Works for pianoforte« , par Edoardo Torbianelli sur un pianoforte Clementi & Co de 1812, voici ce que je disais sur un blog, « L’Agenda de Francis Lippa«, que Jean-Paul Combet m’avait spécialement ouvert alors pour son label Alpha Classics :« Un très intéressant, et plein de charme, « Late Works for Pianoforte» de Muzio Clementi (compositeur injustement décrié…) par Edoardo Torbianelli, très en verve : Vladimir Horowitz n’avait pas nécessairement mauvais goût ; en tout cas, un tel enregistrement nous oblige à mieux repenser l’histoire et l’esthétique du clavier, au tournant d’un certain classicisme : ce n’est déjà pas rien… » ; ainsi l’œuvre de Muzio Clementi(Rome, 24 janvier 1752 – Evesham, 10 mars 1832) est-elle à bien mieux explorer et redécouvrir, comme nous en donne subtilement ici le goût, Jean Rondeau, sur son merveilleux clavecin qui avcc tendresse vole…_, auxquelles il sait si bien rendre lumineuse justice,
sur son magique si poétique clavecin…
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Ce vendredi 3 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa
Deux articles de l’excellent Jean-Charles Hoffelé,
« Le Mage d’Amsterdam« , en date du 15 janvier dernier _ pour la sortie, alors, du déjà magique album « Franck – Ravel : Orchestral Works » Decca Eloquence 482 5491 : je le possède aussi… _,
et « Valse mortelle« , en date du 29 juillet 2018 _ pour la présente sortie du somptueux coffret de 44 CDs « Eduard Van Beinum Complete Recordings on Decca & Philips » Decca 485 1387, que je me suis emprssé d’acquérir au plus vite… Pour mon immense joie… _,
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viendraient, tous deux, si besoin, bien sûr, en était, confirmer mon absolu enthousiasme musical pour ces publications, en 2018 et maintenant en 2023, de ces transcendantes réalisations discographiques du chef Eduard Van Beinum(Arnhem, 3 septembre 1900 – Amsterdam, 13 avril 1959) pour les labels Decca et Philips…
Premier instrument, la contrebasse. Ce n’est pas si commun. Ajoutez dans l’arbre généalogique pour seule figure tutélaire côté musique un grand père chef d’harmonie militaire. Heureusement, Eduard van Beinum avait un frère, Co, violoniste de talent, il l’accompagnera, se mettant au piano, alors que le plus clair du temps il empoignait sa contrebasse, musicien du rang dans l’orchestre d’Arnhem : d’autres horizons s’ouvrent.
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Mais enfin, une vie avec sa contrebasse risquait de manquer de sel, et au Conservatoire d’AmsterdamEduard deviendra vite celui qu’on ira chercher pour conduire les concerts de l’orchestre des étudiants : battue claire, geste minimal _ oui _, mais cet œil déjà, qui infuse dans la mathématique des partitions des tendresses, des élans, une poésie _ voilà ! _ ; il sera chef d’orchestre, et, dès les quatre saisons de son magister à la tête de l’orchestre d’Haarlem, imposera un répertoire allant de Bach à Debussy.
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Mengelberg remarque son métier très sûr, s’enquiert de sa modestie _ essentielle : face à la musique… _, il lui faut un second, mais efficace, et puis une jeunesse qui ne pense pas à s’imposer. Il l’invite pour un concert avec son Concertgebouw en 1929. Le fluide passe entre cette baguette suggestive et l’orchestre ; Mengelberg, étonné, en fera deux ans plus tard son second, puis en 1938, le comité de l’orchestre préconise que la direction musicale soit partagée avec le jeune homme. La guerre et l’Occupation feront le reste, Mengelberg se perdant dans une collaboration passive qui lui vaudra de devenir un exilé de l’intérieur la Libération venue. Les musiciens du Concertgebouw savaient-ils qu’avec Van Beinum ils changeaient de siècle ?
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Mieux, ils le voulurent, et de toute façon, le seul réel rival de leur poulain, Paul van Kempen, était lui aussi entaché de brun. Le style nouveau – balance parfaite, clarté des lignes, archets réglés, tempos stricts mais mesure libre _ et tout cela est bien sûr capital ! _ – qu’il avait infusé puis imposé face aux gestes démiurgiques de Mengelberg – va permettre au « son Concertgebouw » d’atteindre à ce rayonnement hédoniste que l’expressionisme du geste autocratique de Mengelberg avait relégué au second plan.
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Van Beinum instrumentiste d’abord, savait les beautés capiteuses venues d’un autre âge qui déjà avaient fait la réputation de l’orchestre au temps de son fondateur Willem Kes. En quelques saisons il impose son style, élégant et troublant à la fois _ les deux : à la française, en quelque sorte… _ , où la rigueur de ses lectures qui veulent faire oublier les scories du postromantisme, passent inaperçues sous le foisonnement des timbres, la poétique des phrasés _ oui.
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Le disque s’en mêla assez tôt, Siemens lui demandant dès 1943 quelques gravures (Variations Mozartde Max Reger, Variations symphoniques de Franck avec Géza Anda) qui furent publiées par Deutsche Grammophon, mais ce sera dans cette frontière encore imprécise où se côtoyaient les ultimes pressages 78 tours et le microsillon que le nouveau style du duo Van Beinum–Concertgebouws’imposera. Decca leur fera signer un contrat, dotant les enregistrements de son nouveau système de captation, le « Full Frequency Range Recording » qui captura pour partie les soies et les velours de ce qui était alors le plus bel orchestre d’Europe.
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Une grande session d’enregistrements en janvier 1946 devait ajouter au contrat une close supplémentaire. Après que Van Beinum eut enthousiasmé le public du Royal Albert Hall, remplaçant au pied levé Albert Coates à la tête du London Philharmonic, John Culshaw insista pour qu’ensemble ils gravent la Troisième Symphonie de Brahms, amorce de l’autre part de la discographie du chef neérlandais, bien plus rarement rééditée jusqu’à nos jours. À Londres, le discours de Van Beinum sera toujours plus serré, plus fusant, comme si l’absence des beautés hédonistes de la phalange néerlandaise ardait son style.
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Philips succédera à Decca, captant enfin la magie sonore d’une formation dont l’acoustique d’un Concertgebouw vide avait toujours dérouté les preneurs de son du label britannique. Toute sa discographie officielle, y compris les nombreuses redites entre Londres et Amsterdam, entre le 78 tours, la monophonie et la stéréophonie, est enfin réunie _ voilà ! _ dans cette grande boîte magnifiquement ouvragée, deux textes éclairant l’art du chef, une iconographie abondante, la reproduction des attrayantes (et si inventives) pochettes d’origine, pour mieux accompagner l’auditeur dans ce voyage magique _ oui, oui…
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Classiques parfaits, Bruckner ténébreux (il abordera Mahler avec plus de parcimonie, voir de distance), Schubert et Brahms plus tendres qu’épiques, Debussy et Ravel de pure magie _ absolument ! _, Sibelius fascinant, mais par où commencer vraiment ? Par les sortilèges de sa Shéhérazade, gravure oubliée, où se révèle tout l’art de ce conteur d’orchestre.
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LE DISQUE DU JOUR
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Eduard van Beinum Complete Recordings on Decca and Philips
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Œuvres de Johann Sebastian Bach, Georg Friedrich Haendel, Johann Christian Bach, Johannes Brahms, Wolfgang Amadeus Mozart, Gustav Mahler, Anton Bruckner, Jean Sibelius, Igor Stravinsky, Franz Schubert, Max Reger, Hector Berlioz, Claude Debussy, Maurice Ravel, Joseph Haydn, Ludwig van Beethoven, Felix Mendelssohn-Bartholdy, Nikolai Rimski-Korsakov, César Franck, etc.
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London Philharmonic Orchestra Concertgebouw Orchestra Eduard van Beinum, direction
Il y a un tropisme français chez Eduard van Beinum _ on ne saurait mieux dire ! _ ses Debussy, ses Berlioz, ses Ravel dévoilent une poétique orchestrale _ voilà _ qui aura modifié la nature sonore du Concertgebouw telle qu’il l’avait héritée de Willem Mengelberg.
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Ce mélange détonant d’élégance et de cruauté _ oui ! _ éclate dans une Valsevampirique, d’une suavité vénéneuse _ voilà ! _, étrange course à l’abîme _ bien sûr ! _ dont les envoûtements _ oui _ fascinent : cet orchestre si mobile, qui mord à la vitesse d’un aspic, sait être d’une seconde à l’autre sec puis voluptueux _ c’est cela ! _ ; c’est celui de Ravel-même _ absolument !!! _ , ce qu’illustre au même degré de perfection _ oui _ une Rapsodie espagnolemoite, inquiétante, pleine de rumeurs et d’ombres dont les gitaneries n’auront jamais été aussi cante jondo. Mais le Boléro lui-même _ nous y voici ! _ , somptueusement étouffant _ parfaitement ! _, participe de la même _ fascinante et éblouissante tout à la fois _ saturation de l’espace.
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Ce triplé Ravel est faramineux _ c’est le mot !!! _, après lui (ou avant dans l’ordre du disque), les Franck distillent une toute autre lumière. Psyché rêvé, très tendrement composé dans les soieries d’un orchestre décidément faramineux, est cent coudées au-dessus de ce que tous les orchestre français pouvaient alors y faire, et les Variations symphoniques, où le jeune Géza Anda dissipe le brouillard en phrasant tout, sont un modèle de style prenant le contrepied de l’estampe incarnée par Walter Gieseking et Landon Ronald, autre version majeure du 78 tours. Mais c’est à ce Ravel parfaitement délétère que vous irez d’abord _ en effet ! Et en boucle…
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LE DISQUE DU JOUR
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Maurice Ravel (1875-1937)
… Rapsodie espagnole, M. 54 La Valse, M. 72 Boléro, M. 81
… César Franck (1822-1890)
… Psyché, FWV 47 Variations symphoniques pour piano et orchestre, FWV 46
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Géza Anda, piano Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam Eduard van Beinum, direction
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Un album du label Decca 4825491 (Collection « Eloquence Australia ») …
il me paraît bien normal que les créateurs puissent, de temps en temps, recevoir quelques témoignages de « joie » et « gratitude »
de ceux qui ont reçu pareillement leurs œuvres…
Et c’est bien de la « joie » que procurent vos comédies on ne peut plus sérieuses quant au fond des choses aussi magnifiquement abordé
que dans « Un Baiser, s’il vous plaît !»,
ou ce merveilleux «Mademoiselle de Joncquières » : un chef d’œuvre !..
À propos de celui-ci,
je dois vous dire que j’admire tout particulièrement à la fois celles des scènes, mais aussi ceux des dialogues, qui semblent être entièrement de votre cru,
je veux dire ne reposant en tout cas pas sur le texte même de Diderot en son «Jacques le fataliste »…
Avec quelle justesse les avez-vous ainsi imaginés et inventés, ces scènes et ces dialogues : le résultat est d’une évidence et vérité magiques !
Et cela de façon à incarner extraordinairement lumineusement sur l’écran – et sans jamais la moindre lourdeur : tout ici virevolte ! -, ce qui n’est qu’à peine suggéré, très elliptiquement, par le texte même de Diderot.
Chapeau ! C’est admirable de justesse…
Et Diderot, dont le récit manie habilement la vivacité malicieuse de l’ellipse (du récit de l’hôtesse, toute occupée et bousculée qu’elle est sans cesse par ses impérieux offices), n’aurait peut-être pas, voilà !, mieux fait…
Comment avez-vous donc procédé pour parvenir à ce résultat, avec une si formidable évidence ?
De quels textes, de quelles œuvres vous êtes-vous donc si merveilleusement inspiré ?
Il est vrai que la langue du XVIIIe français est très souvent magnifique
– et personnellement je porte au pinacle l’élégance pointue étourdissante de Marivaux…
Et je ne parle pas de tout le reste de vos choix: les lieux de tournage, les décors, les costumes, les musiques.
Et la magique direction des acteurs, bien sûr…
Non plus que la géniale invention de l’amie-confidente (mais non complice) de la marquise ;
ou la cruciale décision de changer ce nom de « Duquênoi » pour celui, noblissime, de «Mademoiselle de Joncquières» ; et d’en faire si justement le titre du film…
Une grâce même advient là.
Tout est ainsi parfait pour nous mettre immédiatement et continuement dans l’esprit de ce chef d’œuvre de Diderot qui a servi de base à cette histoire, au départ, de « saugrenu mariage »
qui vient sublimement renverser les perfides manigances vengeresses sournoises de Mme de La Pommeraye, persuadée qu’elle était d’avoir idéalement réussi son coup :
le furtif, à peine visible, mais bien perceptif mouvement de gorge que ne peut réprimer la marquise à l’ultime image du film étant le coup de grâce du puissant démenti que celle-ci se reçoit…
Ou ce qui, dans le jeu d’échecs des volontés et des déterminismes, vient malicieusement déjouer les plus machiavéliques calculs…
Voilà ce que je me demande, très admirativement, cher auteur…
Et encore bravo pour cet extraordinaire travail de préparation et de réalisation.
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Je n’ai pas encore eu accès au DVD de votre «Une autre vie » ;
et je m’apprête à regarder, non sans impatience, celui de « Chronique d’une liaison passagère », accessible à partir du 24 janvier prochain.
Mais j’aime décidément beaucoup votre jeu de variations sur ce thème auquel vous êtes fidèle, et qui vous réussit si bien…
Ce vendredi 13 janvier 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa
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P. s. :
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et pour bien mesurer le génial apport cinématographique du film aux ellipses du texte de Diderot (et du très malicieux récit de la truculente hôtesse un peu pressée et bousculée, mais qui sait si pertinemment tenir en haleine et relancer la curiosité de ses deux auditeurs impatients…) en son « Jacques le fataliste et son maître« ,
jeter aussi un coup d’œil à mes deux tout récents articles de lecture un peu attentive de ce texte si subtil et réjouissant de Diderot, les 8 et 9 janvier derniers :