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Un nouveau retour de bouteille jetée à la mer : un message d’un des petits-fils d’Huguette Bonopéra, petite-fille d’Auguste Bonopéra, le cafetier d’Orléansville, et arrière-petite-fille de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1919)

10avr

Cet après-midi,

nouveau _ merveilleux ! _ retour de message d’une bouteille lancée à la mer

_ soit, parmi pas mal d’autres, et plus spécialement, mon article du mardi 16 février dernier, à propos d’Auguste Bonopéra, le quatrième des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot : _,

avec ces merveilleux mots-ci :

« Bonjour,

je suis le petit fils de Huguette Bonopéra, fils de Michel Dubois ;

je tiens à vous remercier pour tout ce travail de recherche ;

et c’est ainsi que je découvre l’histoire de ma famille ;

avec beaucoup de reconnaissance je vous remercie beaucoup ;

et n’hésitez pas à me contacter si je peux vous aider dans votre recherche« …

Ce contact,

de même que celui du 26 mars dernier

_ « Bonjour, je serais ravi de discuter avec vous, et peut-être vous faire avancer au niveau de la famille de Louyot Marcel«  _

reçu du descendant de Marcel-Auguste Louyot, et, plus en amont, de Jean Bonopéra _ en réponse à mon article du 16 mars dernier :   _,

constitue une miraculeuse surprise-récompense d’un travail de recherche de longue haleine

et absolument désintéressé :

autour de l’environnement familial _ les trois neveux, ainsi que leur descendance _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs » :

Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… 

Ou ce que peut apporter de merveilleux un blog tel que mon cher « En cherchant bien« …

Ce samedi 10 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Sur la difficulté d’approcher la connaissance des plus récentes générations de descendants de la famille Bonopéra : par exemple, les branches Défillon, Louyot et Jouvence…

17mar

Ainsi persistent pas mal de taches aveugles

dans mes efforts d’approcher et reconstituer un arbre généalogique le plus exhaustif possible

de cette famille Bonopéra présente à Alger dès les années 1830, venue de Tarragone et de l’île de Minorque…


Par exemple,

c’est en reprenant mes notes des mois de janvier et février dernier, que j’ai pu me pencher davantage et bien plus précisément

sur les branches Louyot, Défillon et Jouvence de cette famille Bonopéra,

dont j’avais un peu perdu le souvenir d’unions avec des filles de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…

Et cela m’a même permis de situer l’épouse _ au prénom demeuré encore inconnu _ d’Aimé Jouvence _ tirailleur algérien (ou marocain), occasionnellement présent à Tlemcen, Fès et Taza ; mais fréquemment de retour alors à Oued Fodda _,

et mère du petit Claude Jouvence,

au sein de la fratrie des 6 enfants

_ les 5 autres étant Georges-Paul (époux de Clémentine Petit), Joséphine (épouse de Kléber Défillon), Aimée (épouse de Dominique Villanova, puis de André-Klébert Riquier), Jeanne (épouse de Marcel-Auguste Louyot) et en fin Claude… _

de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…

Quant aux branches Villanova et Riquier

des deux époux successifs d’Aimée Bonopéra,

j’ai plutôt l’impression qu’elles sont, elles, demeurées sans descendance aucune ;

mais je peux bien sûr me tromper…

Ce mercredi 17 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Récapitulatif de quelques petits progrès à propos de la descendance de Jean Bonopéra et son épouse Marie-Louise Hulné, sur deux générations

16mar

Ce soir,

j’éprouve le besoin de m’attarder sur quelques petits progrès accomplis récemment sur l’identification de quelques membres de deux générations de descendants de Jean Bonopéra et son épouse Marie-Louise Hulné :

d’abord, la génération de leurs au moins six enfants _ dont, de l’un d’entre eux, j’ignore le prénom : il s’agit de celle qui a épousé, à Oued Fodda, le sergent-chef Aimé Jouvence, dont elle a eu, au domicile de ses parents Bonopéra, à Oued Fodda, le 23 novembre 1032, un petit garçon, Claude Jouvence ;

et dont d’un autre, Claude Bonopéra, j’ignore encore à ce jour presque tout, sinon le prénom, et le genre : masculin ;

et surtout, faute de connaître les dates de naissance de chacun de ces 6 enfants de Jean Bonopéra, j’ignore leur ordre de naissance au sein de la fratrie ;

car je connais les dates de naissance de seulement 3 de ces enfants : le 25 juin 1902, à Rabelais, pour Georges-Paul ; le 13 novembre 1905, à Rabelais, toujours, pour Aimée ; et le 10 mars 1913, à Orléansville, pour Jeanne ;

pour les trois autres,

de Joséphine, je connais seulement la date et le lieu du mariage (célébré « dans l’intimité« …), le 30 janvier 1923, à Duperré, avec Kléber Défillon, né le 30 avril 1900 à Duperré) ;

de Claude, je ne sais quasiment rien pourrait-il être ce Claude-Jean Bonopéra né à Alger le 18 mai 1922 (et qui décèdera à Marseille le 16 avril 1992) ? je l’ignore… ;

et de la sœur Bonopéra, qui a épousé, à Oued Fodda, le sergent-chef Aimé Jouvence (qui était sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs, à Fez), et dont j’ignore encore le prénom, je connais seulement la date et le lieu de naissance, à Oued Fodda, le 23 novembre 1923, de leur fils, le petit Claude-Lucien Jouvence, d’après deux avis, d’une part, du Progrès d’Orléansville du 1er décembre 1932 (pour lequel le sergent-chef Jouvence, aux tirailleurs algériens, est stationné à Taza) ; et d’autre part, de L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, qui ne manque pas d’adresser ses compliments aux « heureux parents, M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de tirailleurs à Fez, et Mme, née Bonopéra« , ainsi qu’au « grand-père, M. Bonopéra Jean, notre sympathique agent de police locale« … 

Cf aussi, en mon article du 15 février dernier :  , l’anecdote bien intéressante (parue dans L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929) de l’accident survenu à la gare de Tlemcen, le 6 novembre 1929, à deux des gendres de Jean Bonopéra : Aimé Jouvence et Kléber Défillon ; Aimé Jouvence était alors en garnison à Tlemcen, et Kléber Défillon, qui était venu ce jour-là à Tlemcen rendre visite à son beau-frère, était employé aux chemins de fer du P.L.M., à Affreville… _ :

Joséphine Bonopéra ;

Georges-Paul Bonopéra ;

Claude Bonopéra ;

Aimée Bonopéra ;

x Bonopéra _ l’épouse, à Oued Fodda (j’ignore la date de ce mariage), d’Aimé Jouvence ; et mère, à Oued Fodda, au domicile des grands-parents maternels Bonopéra, le 23 novembre 1932, du petit Claude-Lucien Jouvence… _ ;

et Jeanne Bonopéra ;

et ensuite la génération de leurs _ au moins _ 13 petits-enfants :

d’abord, les 2 enfants Défillon _ dont j’ignore les dates de naissance _ de Joséphine Bonopéra et son époux Kléber Défillon _ mariés à Duperré, le 30 janvier 1923 _ :

Simone Défillon _ j’ignore le lieu et la date de sa naissance _ ;

et son frère ou sa sœur Défillon _ dont j’ignore tout, à part l’existence _ ;

puis, les 6 enfants Bonopéra _ dont je connais les dates de naissance de seulement 3 d’entre eux (pour Paul : le 31 juillet 1926, à La Ferme ; pour Jacqueline : le 15 janvier 1944, à La Ferme ; et pour Vivianne, le 20 octobre 1951, à Saint-Cyprien-des-Attafs) _ de Georges-Paul Bonopéra et son épouse Clémentine Petit _ mariés à Duperré, le 25 mai 1925  _ :

Paul Bonopéra _ né à La Ferme, le 31 juiller 1926 _ ;

Hélène Bonopéra ;

Jacqueline Bonopéra _ née à La Ferme, le 15 janvier 1944 _ ;

Mireille Bonopéra ;

Stéphanie Bonopéra ;

et Vivianne Bonopéra _ née à Saint-Cyprien-les-Attafs, le 20 octobre 1951 _ ;

puis les 4 enfants Louyot de Jeanne Bonopéra et son époux Marcel-Auguste Louyot _ mariés à Oued Fodda, le 22 septembre 1934 _ :

Josianne Louyot _ née à Oued Fodda, le 27 décembre 1935 _ ;

et trois autres enfants Louyot _ dont j’ignore tout, à ce jour, y compris les prénoms…

et enfin _ au moins _ 1 enfant Jouvence de la sœur Bonopéra dont j’ignore encore le prénom, et son époux Aimé Jouvence :

Claude-Lucien Jouvence _ né à Oued Fodda le 23 novembre 1932.

À suivre…

Ce mardi 16 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques pistes, encore imprécises, à propos de certains descendants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné

15mar

En cherchant,

j’ai découvert quelques noms de descendants _ en l’occurrence deux arrière-petits-fils _ du fils aîné de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot,

je veux dire descendants de Jean Bonopéra, l’époux de Louise-Marie Hulné.

Et cela à travers quelques indications _ mais hélas pas assez précises _ concernant

d’une part le fils peut-être aîné _ il est né le 25 juin 1902 _ de ce Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

je veux parler, ici, de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977),

époux de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, Var, 1985),

ainsi que des six enfants _ Paul (né à La Ferme, le 31 juillet 1926 ; et décédé à Toulon, le 9 janvier 1977), Hélène, Jacqueline (née à La Ferme, le 15 janvier 1944 ; et décédée à Limoux, le 17 janvier 2016), Mireille, Stéphanie et Vivianne (née à Saint-Cyprien des Attafs, le 20 octobre 1951 ; et décédée à Hyères, le 7 janvier 1997)_ Bonopéra de ce couple ;

et d’autre part celle qui est _ peut-être : ignorant sa date de naissance, j’ignore forcément aussi sa place au sein de la fratrie… _ la seconde _ en tout cas, elle fait partie, avec ses frères Claude et Georges-Paul, des trois aînés des 6 enfants de cette fratrie _ des enfants de Jean et Louise-Marie,

je veux parler, ici, de Joséphine Bonopéra (? – ?),

épouse de Kléber Défillon (? – ?),

ainsi que des _ peut-être _ deux enfants _ Simone et, peut-être, un frère _ Défillon de ce couple…

Car ces pistes de recherche m’ont été fournies par au moins deux arbres généalogiques qui demeuraient hélas muets sur les identités des membres des plus jeunes générations de descendants…

Cf aussi cet autre arbre généalogique frustrant, concernant la descendance d’un autre (après Joséphine et Georges-Paul) des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné :

cette fois, Jeanne Bonopéra (Orléansville, 10 mars 1913 – Kindsbach, 25 mai 1949), épouse de Marcel-Auguste Louyot (Metz, 3 mars 1910 – Fontaine-Les-Dijon, 13 décembre 1997) _ parents de 4 enfants Louyot, dont l’aînée est Josianne-Catherine-Marie (née à Oued Fodda, le 27 décembre 1935 ; et décédée à Pessac, le 5 juin 1994) _,

dont je suis aussi en recherche de descendants, qui seraient susceptibles d’apporter de bienvenus témoignages sur leurs ascendants Bonopéra… 

Ces arbres généalogiques auxquels je suis redevables ont été réalisés par Marie-Carmelle Broussy, Claude Petit, Joëlle Brun, ainsi que Violaine Giannini-Hulné…

Il me faut donc forcément me contenter, pour le moment du moins, des renseignements (surtout deux noms _ l’un deux, surtout, ayant déclaré chercher à retrouver sa cousine Claudette, petite-fille d’Auguste-le-cafetier… _ ) que j’ai pu obtenir par là ;

et continuer à rechercher le reste des noms qui ont été remplacés, en ces arbres généalogiques, par des points de suspension… 

À suivre…

Ce lundi 15 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petits-enfants de Paul Bonopéra (et sa première épouse Joséphine Girot) : un point sur la question

12mar

Dans mon essai de reconstitution de la généalogie _ surtout en aval _ de la famille de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

demeurent encore pas mal de « taches aveugles » ;

ne serait-ce même _ et pour commencer _, que l’assurance d’avoir correctement repéré _ sans en avoir « oublié » un ! _ l’ensemble exhaustif _ jusqu’ici j’en compte 13 (6 + 2 + 4 + 1)… _ des petits-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892).

Tel est ce jour le premier objectif que je me fixe,

en espérant que le tableau _ le plus exhaustif possible en l’état présent de mes connaissances, forcément… _ des lieux et dates de naissance des petits-enfants de Paul Bonopéra,

m’aidera un peu dans le repérage de son propre parcours, à lui, de Rabelais _ où Paul Bonopéra était déjà « propriétaire«  _, à Orléansville _ où, également « propriétaire », il siègera constamment au conseil municipal (parmi les membres de la liste républicaine : celle de Paul Robert, Louis Clément et Joseph Robert), élu la première fois, à l’occasion d’une « élection municipale complémentaire » (pour 6 sièges vacants) le 17 juillet 1907.

Et après, j’espère y voir un peu plus clair…

De  la descendance du fils aîné de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot,

c’est-à-dire la descendance de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – j’ignore ses date et lieu de décès) et de son épouse Louise-Marie Hulné (Relizane, 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ cf mon article du 15 février dernier :  ; ainsi que la mention, inscrite sur son livret militaire, spécifiant que Jean Bonopéra a pu bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, le libérant du service actif en tant que père de famille nombreuse : dans son cas, père de « 6 enfants«  _,

et faute de contact, jusqu’ici, avec aucun de leurs descendants _ et il en existe… _,

je dois dire que la connaissance dont je dispose à ce jour de ces au moins 6 enfants _ d’après l’inscription du livret militaire de Jean, donc, qui en indiquait « 6 de vivants«  à la date du 13 mars 1917 : c’est là une information assurément bien précieuse… _ de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

demeure hélas incomplète.

De ces 6 enfants-là de Jean Bonopéra, j’ignore, déjà, et pour commencer, le prénom de l’un d’entre eux ! ainsi que _ forcément _ tout le reste de lui !!!

Cela fait déjà beaucoup !

Ensuite, j’ignore quasiment tout de celui (ou celle ; je pense qu’il s’agit d’un garçon) qui se prénomme Claude, Claude Bonopéra,

à commencer par sa place dans la fratrie _ est-il (ou elle), ou non, l’aîné(e) ?.. Je l’ignore aussi.

Cela fait décidément beaucoup d’ignorances…

Pour les quatre autres enfants _ qui étaient vivants à cette date du 13 mars 1917, et dont l’existence a permis à Jean Bonopéra de quitter le service militaire d’active, et de regagner ses foyers : d’abord à Orléansville, rue de Rome (et peut-être, provisoirement, alors, en un domicile de M. Morand de la Genevraye…), est-il noté ;

mais à peine un mois plus tard, à la date du 12 avril 1917, le livret militaire relève que c’est maintenant à Oued Fodda que se trouve alors domicilié Jean Bonopéra… _,

et qui sont Joséphine, Georges-Paul, Aimée, et enfin Jeanne,

voici l’état présent de mes connaissances.

De Joséphine Bonopéra, j’ignore le lieu et la date de naissance _ je sais seulement qu’elle épousera, à Duperré, le 30 janvier 1923 (quel âge pouvait-elle donc avoir ce jour-là ?) Kléber Défillon ; probablement, et vue la date de ce mariage en 1923, Joséphine est-elle née un peu avant Georges-Paul (né, lui, en 1902, et qui se marie, à l’âge de presque 23 ans, en 1925) et Aimée (née, elle, en 1905, et qui se marie, à l’âge d’environ 20 ans, en 1925, elle aussi) ; j’ignore aussi les date et lieux de décès de Joséphine Bonopéra, épouse Défillon… ;

à propos de cette famille Défillon, j’ai apprécié de pouvoir lire un intéressant avis de décès (de M. Fidèle Défillon, en date du 24 juin 1934), qui situe la place de Mme Kléber Défillon (née Joséphine Bonopéra), son époux, Kléber, ainsi que leurs enfants, au sein de cette famille Défillon… ; famille à laquelle appartient aussi (et c’est important de le découvrir !) le directeur du Progrès d’Orléansville, M. Camille Gajac, fils de Marie Défillon et son époux Michel Gajac… J’y reviendrai quand je me focaliserai sur l’histoire politique, un peu agitée, des maires successifs d’Orléansville : ainsi le maire Paul Robert (progressiste) sera-t-il tué en duel à Alger- Hussein Dey par un adversaire politique, André Houbé (réactionnaire), le 7 avril 1910… _ ;

Georges-Paul Bonopéra est né à Rabelais le 25 juin 1902 _ il épousera, le 25 mai 1925, à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit ; et il décèdera, à Toulon, le 9 janvier 1977, à l’âge de 74 ans _ ;

Aimée Bonopéra est née à Rabelais le 13 novembre 1905 _ en 1925, elle épousera Dominique Villanova ; puis, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Kléber Riquier ; Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993, à l’âge de 88 ans _ ;

et enfin Jeanne Bonopéra _ apparemment la benjamine de Jean Bonopéra (qui, à sa naissance, le 10 mars 1913, avait 35 ans) et de son épouse Louise-Marie Hulné (qui, à sa naissance, avait 31 ans) _ est née à Orléansville le 10 mars 1913 _ elle épousera à Oued Fodda le 22 septembre 1934 Marcel-Auguste Louyot ; et elle décèdera à Kindsbach (en Allemagne) le 25 mai 1949, à l’âge de 36 ans _ ;

Ensuite,

de la descendance de Paul Bonopéra _ le second des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot _ (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et de son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, département de la Lozère, 12-1-1881 – j’ignore son lieu et sa date de décès),

leurs deux enfants sont bien connus :

Pauline Bonopéra (Rabelais, 5 juin 1901 – Nice, 8 février 1974), demeurée célibataire ;

et Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992) _ le 6 juillet 1932, à Orléansville, Marcel Bonopéra épouse Odette Sanchez, née à Orléansville le 23 novembre 1911, fille de M. Antoine Sanchez, et son épouse née Marie-Françoise (dite Jeanne) Gays.

Marcel Bonopéra et son épouse Odette auront deux fils, tous deux nés à Orléansville : Paul-Jean-Antoine Bonopéra, né le 5 mai 1933 ; et Jean-Pierre, né le 2 novembre 1934.

Après,

de la descendance d’Auguste Bonopéra (Orléansville, 3 avril 1883 – j’ignore le lieu et la date de son décès), et de son épouse Isabelle Vivès (je n’en sais pas davantage sur elle ; ni sur la date de leur mariage…),

le livret militaire d’Auguste Bonopéra indique que « père de 4 enfants vivants » à la date du 19 février 1915, et en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, Auguste Bonopéra a pu quitter l’armée d’active pour les services de réserve de l’armée territoriale, et regagner Orléansville, et son domicile de la rue d’Isly _ cf mon article du mardi 16 février :  … 

Ces « 4 enfants vivants » _ en février 1915 _ d’Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès,

sont, et probablement nés dans cet ordre :

Hélène-Isabelle (née à La Ferme le 20 mai 1905),

Auguste-fils, dit Yoyo (??),

Yvonne (née à Orléansville le 9 avril 1912)

 

et le petit Georges (tout juste né, à Orléansville, au tout début du mois de février 1915).  

Enfin,

Julien Bonopéra (Charon, 9 juillet 1887 – après 1943) et son épouse Lucie Besse (??) _ leur mariage a eu lieu à Alger le 29 juillet 1913 ; cf mon article du jeudi 18 février :  … _,

ont eu un seul enfant :

Paulette-Charlotte Bonopéra (7 juillet 1914 – Auterive, 29 mars 2007) _ dont je ne sais pas grand chose, à vrai dire, jusqu’ici… 

À suivre…

Ce vendredi 12 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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