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Avant-dernier volet des des précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Georges Bonopéra (Rabelais, 21 février 1892 – Arbouans, 7 mars 1918)

19fév

Ce vendredi 19 février, je progresse dans mon parcours de recherches de précisions sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Rabelais _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possible, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en en venant ce soir au sixième des fils, Georges Bonopéra _ l’employé, au moment du conseil de révision, en 1912.

Et bien sûr l’absence d’archives d’Etat-civil pour Orléansville _ et ses environs _ constitue toujours une source permanente de complications pour ma recherche.

Le parcours du sixième _ et dernier _ des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Giraud _ ou Girot : la question de son identité doit être re-posée... _, Georges Bonopéra (Rabelais, 21 février 1892 – Arbouans _ entre Montbéliard et Beaucourt (département du Doubs) _, 7 mars 1918), est forcément marqué par sa plus brève durée d’existence _ 26 ans et 15 jours _ que ses frères ;

ainsi que par la forte probabilité de ne pas s’être marié _ je le déduis d’absence de condoléances à une sienne veuve : les condoléances sont exclusivement adressées à sa mère, « Madame Veuve Bonopéra, propriétaire à Orléansville« , dont « le jeune Bonopéra Georges était le fils« , dans un petit article intitulé « Médaille militaire«  du Progrès, d’Orléanville paru le 3 mars 1921 :

« Par arrêté ministériel du 22 avril 1920, la Médaille Militaire a été attribuée à la mémoire du sapeur télégraphiste Bonopéra Georges, mort pour la France, avec la citation suivante : « Bon et brave sapeur, Mort pour la France, le 7 mars 1918, de blessures reçues en service commandé, en faisant son devoir ». Le jeune Bonopéra Georges était le fils de Madame Veuve Bonopéra, propriétaire à Orléansville« 

Ce qui pose aussi la question de la mère effective de Georges Bonopéra, ainsi que de ses cinq frères : dans les actes de naissances des deux premiers (Jean et Paul) des six fils de Paul Bonopéra, la mère du nouveau-né Joséphine Girot (ou Giraud) est déclarée décédée…

Sans compter le fait que « Mme Vve Bonopéra«  a été déclarée sœur (donc elle aussi « née Confex« ) de « Mme Vve Wachter, née Confex« , dans l’avis de décès d’Elisabeth Confex, veuve de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, paru dans le Progrès, d’Orléansville, du 2 avril 1925… _

non plus que de ne pas avoir eu de descendance. 

Un destin brisé net.

Ce vendredi 19 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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