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Relecture et corrections de l’article « Agen : un pôle névralgique du parcours de Louis Ducos du Hauron ; mais aussi de certains de ses petits-neveux et nièces Lamarque… » du 21 décembre 2020

08nov

Je poursuis donc mes relectures et corrections rétrospectives de ma série _ inaugurale de ma recherche de connaissance-exploration de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), un aspect jusqu’ici assez peu fréquenté par les chercheurs _ d’articles du mois de décembre 2020.

Ce lundi 8 novembre 2020, je relis donc l’article du 21 décembre 2020 :

Voici ce que cela donne :

La ville d’Agen a accueilli à plusieurs reprises plusieurs stations ou étapes du parcours d’existence de Louis Ducos du Hauron,

eu égard, tout d’abord, à la série des divers postes, au Trésor, occupés par son père Amédée-Jérôme Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), puis, après le décès de son père à Auch au mois d’octobre 1863, à la série des divers postes de magistrat occupés par son frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) _ sans ressources personnelles, Louis était entièrement pris en charge, d’abord par son père, puis par son frère aîné _,

jusqu’au retour final à Agen l’année même, 1920 _ et au mois de mars _, de son décès qui surviendra le 31 août 1920, dans la maison du 58 de la rue Lamouroux ;

et sans oublier le caveau familial du cimetière de Gaillard,

dans lequel son frère Alcide avait décidé d’être inhumé

_ et j’ignore où est inhumé Amédée-Jérôme Ducos du Hauron, le père, décédé, lui, à Auch, le 14 octobre 1863 ; et dont le corps a été transporté à Agen (l’autorisation de ce transport du corps date du lendemain, 15 octobre 1863. Mais on ignore pour le moment où le corps a été inhumé ; la concession des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, achetée par Alcide, étant bien plus tardive...

Mais Agen a continué de constituer un pôle névralgique d’au moins une branche des neveux et nièces, puis petits-neveux et petites-nièces de Louis Ducos du Hauron, à partir de ce mois d’août 1914 où la veuve d’Alcide, Cézarine-Marie de Fourcauld, après avoir quitté, avec ses deux filles, Marguerite et Alice, Savigny-sur-Orge pour le hâvre familial des de Fourcauld au Temple-sur-Lot _ sous la menace de l’avancée des troupes allemandes sur la Marne et vers Paris, cet été 14 _, a, en 1920 _ suite à un décès familial des de Fourcauld : un point qui mériterait d’être éclairé… _, rejoint Agen avec ses deux filles Marguerite et Alice Ducos du Hauron, et ses deux petites-filles Étiennette et Simone Ducos du Hauron, accompagnées par son beau-frère (et oncle, et grand-oncle) Louis Ducos du Hauron.

C’est donc à Agen qu’Étiennette Ducos du Hauron a épousé, à l’église des Jacobins d’Agen, son cousin _ côté Lamarque, celui de sa mère Edmée Lamarque _ Alfred Lamarque _ qui occupait alors un poste d’administration à la gare d’Agen _, le 20 juillet 1920 ;

comme c’est à Agen, qu’à peine un mois et onze jours plus tard, Louis décédait, le 31 août 1920 ;

et c’est encore à Agen, que décéderait au mois le 19 mai 1923 la veuve d’Alcide (et belle-sœur de Louis), CéZarine-Marie de Fourcauld.

De même, aussi, que sont nées à Agen au moins les deux premières filles d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque :

Jacqueline, en 1921 ou 22 ;

et Geneviève, le 24 juillet 1923 ;

et encore leur frère Yves, le 19 janvier 1925.

Les enfants suivants de la fratrie des dix enfants Lamarque, naissant au fil des mutations _ ferroviaires _ successives d’Alfred Lamarque…

Et ce tropisme agenais a été si puissant pour les Lamarque que c’est au cimetière de Bon-Encontre qu’ont décidé _ bien plus tard, à ce que je suppose _ d’être inhumés Alfred Lamarque et son épouse Étiennette :

ce qui advint au mois de décembre 1976, pour Alfred, et au mois de décembre 1996, pour Étiennette.

Agen fut pris très tôt en photographie couleur _ depuis le côteau, en 1877 _ par Louis Ducos du Hauron

Agen : à la rencontre de l’inventeur de la photographie en couleurs

Ce lundi 21 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà.

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Agen : un pôle névralgique du parcours de Louis Ducos du Hauron ; mais aussi de certains de ses petits-neveux et nièces Lamarque…

21déc

La ville d’Agen a accueilli à plusieurs reprises le parcours d’existence de Louis Ducos du Hauron,

eu égard à la série des divers postes, au Trésor, occupés par son père Amédée Jérôme Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), puis par son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), à la magistrature,

jusqu’au retour final à Agen l’année même, 1920, de son décès le 31 août 1920, dans la maison du 58 de la rue Lamouroux ;

et sans oublier le caveau familial du cimetière de Gaillard,

dans lequel Alcide avait décidé d’être inhumé

_ et j’ignore où est inhumé Amédée Jérôme Ducos du Hauron, le père, décédé, lui, à Auch, le 14 octobre 1863…

Mais Agen a continué de constituer un pôle névralgique d’au moins une branche des neveux et nièces, puis petits-neveux et petites-nièces de Louis Ducos du Hauron, à partir de ce mois d’août 1914 où la veuve d’Alcide, Césarine-Marie de Fourcauld, après avoir quitté Savigny-sur-Orge pour le hâvre familial des de Fourcauld au Temple-sur-Lot _ sous la menace de l’avancée des troupes allemandes vers Paris, cet été 14 _, a, en 1920 _ suite à un décès familial des de Fourcauld _, rejoint Agen avec ses deux filles Marguerite et Alice Ducos du Hauron, et ses deux petites-filles Etiennette et Simone Ducos du Hauron, accompagnées par son beau-frère Louis Ducos du Hauron.

C’est donc à Agen qu’Etiennette Ducos du Hauron a épousé, à l’église des Jacobins d’Agen, son cousin _ côté Lamarque, celui de sa mère Edmée _ Alfred Lamarque, le 20 juillet 1920 ;

comme c’est à Agen, qu’à peine un mois plus tard, Louis décédait, le 31 août 1920 ;

et c’est encore à Agen, que décédait au mois de mai 1923 la veuve d’Alcide (et belle-sœur de Louis), Césarine-Marie de Fourcauld.

De même, aussi, que sont nées à Agen au moins les deux premières filles d’Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque :

Jacqueline, en 1921 ou 22 ;

et Geneviève, le 24 juillet 1923…

Et j’ignore si c’est encore à Agen _ ou ailleurs _ qu’est né le troisième de la fratrie des dix enfants Lamarque, Yves :

au gré des mutations _ ferroviaires _ d’Alfred Lamarque…

Et ce tropisme agenais a été si puissant pour les Lamarque

que c’est au cimetière de Bon-Encontre qu’ont décidé _ bien plus tard, à ce que je suppose _ d’être inhumés Alfred Lamarque et son épouse Etiennette :

ce qui advint au mois de décembre 1976, pour Alfred,

et au mois de décembre 1996, pour Etiennette.

Agen pris très tôt en photographie couleur _ depuis le côteau, en 1877 _ par Louis…

Agen : à la rencontre de l’inventeur de la photographie en couleurs

 

Ce lundi 21 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour poursuivre le cheminement de mon regard sur les sublimes « Tirages Fresson » de mon ami Bernard Plossu, deux propositions de lecture…

24nov

Les deux propositions de lectures

qui me sont venues à l’esprit à ce moment de mon tenace et enchanté cheminement parmi les 80 images de ce sublime « Tirages Fresson » de l’ami Bernard Plossu,

concernent deux lectures à entreprendre _ dare-dare ! _,

 

et de deux auteurs très proches de l’ami Plossu :

la première,

est celle du « Le Tirage à mains nues« 

de cet autre magicien tireur _ que les Fresson _ qu’est Guillaume Geneste 

_ le livre vient de paraître ce mois de septembre 2020, aux Éditions La Main donne ;

et vient de recevoir le prix HIP 2020 du livre de photographie francophone, dans la catégorie « Histoire de la photographie« … _ ;

Le tirage à mains nues

et la seconde,

celle de « L’Imagement« ,

de Jean-Christophe Bailly

_ ce livre passionnant vient de paraître au mois de janvier dernier, aux Éditions du Seuil…

L'imagement

À suivre…

Ce mardi 24 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et aujourd’hui la photo de Samuel Paty prise sur le vif, en cours, dans sa classe : la puissante passion-joie d’enseigner…

21oct

Après la photo de Samuel Paty prise en vacances en 2008, il y a 12 ans, au bord de la mer,

aujourd’hui, et pour la cérémonie _ dans la cour d’honneur de la Sorbonne _ d’hommage au défunt assassiné,

une photo assez récente de lui, prise _ probablement par un élève _ dans le vif même de l’acte d’enseigner, en classe,

à côté de l’écran d’un ordinateur portable

_ le cliché, ici coupé, nous prive de l’élève en bas à droite, dont on n’aperçoit que le sommet du crâne…

Samuel Paty, professeur d\'histoire-géographie, a été assassiné le 16 octobre 2020. 

Mais ici, la photo est complète :

La formidable vivacité du regard _ amusé _, et le geste ouvert des mains _ la droite tenant un stylo _,

disent tout de sa passion-joie d’enseigner-partager…

Il est vivant !

Il est en classe !

Sa bouche, en train de parler, s’adresse à nous,

qui allons à l’instant _ sur le vif _ lui répondre…

Vive le professeur !!!

Ce mercredi 21 octobre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

« El Lado de la luz : Bioy fotografo »

08nov

Au mois d’octobre 2014,

pour la commémoration des 100 ans de la naissance d’Adolfo Bioy Casares (15 septembre 1914 – 8 mars 1999)

_ notre cousin béarno-argentin Adolfito _,

se tint au Centro Cultural San Martin,

à Buenos Aires,

une grande exposition intitulée El Lado de la luz : Bioy fotógrafo,

consacrée à l’activité de photographe passionné de cet immense écrivain singulier ;

lui, l’auteur, entre autres récits, de Un Photographe à La Plata.

En voici un compte-rendu d’époque _ octobre 2014 _ :

Se inauguró la muestra inédita de fotografías de Adolfo Bioy Casares

Se inauguró la muestra inédita de fotografías de Adolfo Bioy Casares

Se presenta en el Centro Cultural San Martín la exposición « El lado de la luz : Bioy fotógrafo« . Con entrada libre y gratuita, se exhibe en el marco de « Fantástica Buenos Aires« , un importante catálogo de reproducciones de fotos del notable escritor. Incluye retratos de Julio Cortázar, Manuel Mugica Láinez, Alejandra Pizarnik y Silvina Ocampo, además de textos inéditos de Bioy sobre la fotografía.

Jueves 25 de septiembre de 2014

Se inauguró oficialmente este jueves 25 en Antesalas C y D y Hall y salas A B del Centro Cultural San Martín, Sarmiento 1551, la muestra El lado de la luz: Bioy fotógrafo, que revelará una faceta prácticamente desconocida del arte creativo de este escritor, a través de una selección de sus mejores fotografías.

El público podrá visitarla de lunes a domingo hasta el 11 de octubre de 14 a 21, con entrada libre y gratuita.

Al acto de apertura asistieron el Ministro de Cultura porteño, Hernán Lombardi ; la Subsecretaria de Patrimonio Cultural, María Victoria Acaraz, y la Directora General del Libro, Bibliotecas y Promoción de la Lectura, Alejandra Ramírez, entre otras personalidades.

La muestra se exhibe en el marco de Fantástica Buenos Aires, un evento con actividades que abarcan cine, teatro, conferencias, narraciones, mesas redondas y música.

Bioy fotógrafo


Respondiendo a un íntimo impulso, que veía en la imagen fotográfica un mecanismo para la detención del tiempo y para la preservación fáustica del momento, y a la vez tomando como modelos al insigne aficionado Jacques-Henri Lartigue y a escritores-fotógrafos como Lewis Carroll y Samuel Butler, Bioy Casares desarrolló entre fines de la década de 1950 y principios de la de 1970 una incesante actividad fotográfica.

El resultado fue una producción de extraordinaria calidad artística : un tesoro visual que constituye no sólo un valioso testimonio de la sociedad de su época, de su círculo íntimo y de los paisajes que frecuentaba, sino también una maravillosa galería que incluye retratos, hasta ahora inéditos, de figuras públicas tales como Julio Cortázar, Manuel Mujica Lainez, Alejandra Pizarnik y Silvina Ocampo.

La muestra se completará con un importante catálogo que, además de unas 50 reproducciones, reunirá varios textos, en su mayoría inéditos, dedicados por Bioy Casares a reflexionar sobre la fotografía como arte y sobre su relación con la literatura.

Adolfito, un curieux du réel,

comme la plupart d’entre nous tous,

les Bioy…

Ce jeudi 8 novembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa 

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