Posts Tagged ‘Pyrénées-Orientales

Et en suivant l’exploration de la tension des pôles d’attraction des domiciliations, l’essai d’une chronologie roussillonnaise des de Swarte, autour de l’Esparrou (des Sauvy et Rendu)…

04juin

Mon projet présent concerne l’éclairage de la tension des 2 pôles d’attraction

pour certains des membres de la famille des de Swarte-Rendu :

l’attraction du pôle périgourdin du Domaine de La Meynie, à Trélissac (Dordogne), depuis son acquisition par Alain de Swarte en 1956 ;

et l’attraction du pôle roussillonnais de L’Esparrou, à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales), depuis l’élévation du château, en 1889, suite à l’acquisition du Domaine, par Joseph Sauvy, en 1875…

Ainsi que la place qu’y tient la chronologie des événements familiaux les affectant,

à tenter d’établir le plus précisément possible...

La difficulté de la tâche tient à la relative pauvreté des données disponibles concernant le parcours de celle qui m’apparaît comme le centre polarisateur des attractions roussillonnaises, Bertille de Swarte,

dont j’ignore même le lieu _ Trélissac ? _, ainsi que la date _ et même seulement l’année _ de naissance.

Je suppose seulement que cette date de naissance de celle qui occupe la seconde place de la fratrie des 4 enfants d’Alain de Swarte et son épouse Geneviève Rendu-Sauvy _ après Thibault, et avant Béatrice et Eymeric de Swarte _,

se situe entre la date du 3 mars 1955 _ naissance de Thibault _, et la date du 29 mars 1962 _ naissance de Béatrice de Swarte _ : entre 1956 et 1961, par conséquent… 

Mais avant d’en venir là, je désire prendre en compte deux dates, et plus encore deux événements, qui me paraissent importants, voire essentiels, en cette chronologie de ce qui m’apparaîtt comme une attraction roussillonnaise de presque tous les membres de la famille de Swarte, du moins la parenté la plus proche d’Alain de Swarte (Hazebrouck, 3 janvier 1926 – Agnonac, 26 décembre 2009) :

je veux dire, d’une part, le repère que constitue, dans cette chronologie « roussillonnaise« , le décès à Prades (Pyrénées-Orientales), le 3 août 1990, de Pierre de Swarte (Vieux-Berquin, 10 décembre 1898 – Prades, 3 août 1990) _ alors que son épouse, Suzanne Martin de Ramefort (Gennes, Maine-et-Loire, 16 janvier 1902, Agonac 15 août 1997), est décédée, sept ans plus tard, en Dordogne, à Agonac…

et d’autre part, et surtout, le décès à Canet-en-Roussillon, le 30 juin 1994, de la grand-mère maternelle _ côté Rendu et Sauvy _ d’Alain de Swarte :

Marie-Thérèse Sauvy (Perpignan, 1er mai 1896 – Canet-en-Roussillon, 30 juin 1994), l’héritière du Domaine et du château de l’Esparrou.

Si le côté de Trélissac, et du Domaine de La Meynie,

c’est d’abord Alain de Swarte,

le côté de Canet-en-Roussillon, et du Domaine (et château) de L’Esparrou,

c’est d’abord Marie-Thérèse Sauvy, épouse Rendu.

Recherche bien sûr à suivre,

Ce vendredi 4 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Théotime Langlois de Swarte : un contexte familial fécond pour ce très doué jeune violoniste

30mai

Voici simplement pour ce soir

la série des liens aux 5 articles que je viens de consacrer au terreau familial du très brillant talent musical du jeune virtuose violoniste _ baroque, mais pas seulement _ Théotime Langlois de Swarte :

À suivre, 

Ce dimanche 30 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La présence des De Swarte dans les Pyrénées-Orientales : la filiation de Geneviève Rendu, née Sauvy, avec les Sauvy de Perpignan (et le château de l’Esparrou à Canet-en-Roussillon)…

29mai

Maintenant,

de même que je me suis demandé ce qui a pu déterminer Alain de Swarte de quitter Neuilly-Sur-Seine et la région parisienne

_ Alain de Swarte, né à Hazebrouk le 3 janvier 1926, s’est marié à  Geneviève Rendu à Neuilly-sur-Seine au mois de juin 1954 ;

Neuilly-sur-Seine où leur est né le petit Thibault le 3 mars 1955… ; Neuilly-sur-Seine, où furent aussi domiciliés (cf le Bottin de 1912, page 330) Eugène Sauvy (qui fut maire de Perpignan de 1904 à 1907) et son épouse Rose Sisqueille, les grands-parents maternels de Geneviève Rendu, au 20 bis de l’Avenue de Neuilly ; Neuilly-sur-Seine, aussi, où est décédé le 2 octobre 1995 Henri Sauvy, l’oncle maternel (frère de Marie-Thérèse Sauvy) de Geneviève Rendu… _

pour venir s’installer en 1956 _ l’année qui a suivi la naissance de Thibault _ au Domaine de la Meynie, à Trélissac, en Dordogne, et cela en l’absence de tout lien familial _ ni côté de Swarte, ni côté Rendu, ou Sauvy _ avec le département de la Dordogne,

de même, je me suis demandé ce qui a pu occasionner la résidence de la sœur d’Alain de Swarte, Bertille de Swarte, dans les Pyrénées-Orientales : à Perpignan, à Céret, ou à Canet-en-Roussillon

_ j’ai cependant noté, dans mes recherches, que le père d’Alain de Swarte (qui décèdera, lui, à Agonac, Dordogne, le 26 décembre 2009), Pierre de Swarte, né à Vieux-Berquin le le 10 décembre 1898, est décédé le 3 août 1990 à Prades (Pyrénées-Orientales) ;

alors que l’épouse de Pierre de Swarte, Suzanne Martin de Ramefort, née à Gennes, Maine-et-Loire, le 16 janvier 1902, est décédée à Agonac, Dordogne, le 15 août 1997…

Or, il se trouve que dans l’établissement d’une généalogie, il ne faut jamais négliger, ni perdre de vue, les ascendances maternelles des personnes…

Et les ascendances maternelles de Bertille de Swarte _ et de ses frères (Thibault et Eymeric) et sœur (Béatrice), issus du mariage d’Alain de Swarte avec Geneviève Rendu-Sauvy _ ont un puissant ancrage en Roussillon, comme nous allons le découvrir…

Si l’on remonte en effet dans la généalogie des enfants _ dont Thibault, et Bertille de Swarte _ d’Alain de Swarte (Hazebrouk, 3 mars 1926 – Agonac, 26 décembre 2009) et son épouse Geneviève Rendu-Sauvy (Paris, 1er décembre 1929 – Antonne-et-Trigonant, Dordogne, 26 octobre 2008)

_ il faut remarquer ici que les communes de Trélissac, sur le terroire de laquelle se trouve le Domaine de la Meynie, où avait choisi de s’installer, en 1956, Alain de Swarte, et où réside désormais son plus jeune fils, Eymeric de Swarte ; Agonac, où sont décédés Alain de Swarte (le 29 décembre 2009) et sa mère, née Suzanne Martin de Ramefort (le 15 août 1997) ; Antonne-et-Trigonant, où est décédée l’épouse d’Alain de Swarte, née Geneviève Rendu-Sauvy (le 26 octobre 2008) ; de même que Champcevinel, où se trouve le cimetière où reposent Alain de Swarte et son épouse Geneviève Rendu, sont des communes rurales voisines les unes des autres, dans les environs relativement proches de Périgueux _,

la généalogie _ ou ascendance _ maternelle en amont de Geneviève Rendu-Sauvy, est fort intéressante, géographiquement, tout particulièrement du côté _ roussillonnais… _ des Sauvy :

en effet, Geneviève Rendu-Sauvy _ ainsi que la nomme bien significativement son fils aîné Thibault de Swarte _, est la fille du couple formé _ leur mariage a eu lieu à Neuilly-sur-Seine le 17 mars 1923 _ par André-Marie Rendu (Paisandu, en Uruguay _ ou bien Provins, en Seine-et-Marne)… _, 17 mai 1885 – Canet-en-Roussillon, 8 août 1953) et Marie-Thérèse Sauvy (Perpignan, 1er mai 1896, Canet-en-Roussillon, 30 juin 1994).

Et cette dernière, Marie-Thérèse Sauvy _ la grand-mère maternelle des 4 enfants (Thibault, Bertille, Béatrice et Eymeric de Swarte) d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy _, est la fille du couple _ le mariage a eu lieu à Rivesaltes le 21 juin 1894 _ formé par Eugène Sauvy (Perpignan, 19 octobre 1868 – 1917) et Rose Sisqueille (Estagel, 16 novembre 1873 – 21 mars 1945).

Et il se trouve qu’Eugène Sauvy a été maire de Perpignan : de 1904 à 1907.

Eugène Sauvy (1868 – 1917) est lui-même le fils du couple _ le mariage a eu lieu à Perpignan le 7 septembre 1857 _ formé par Joseph Sauvy (Perpignan, 30 octobre 1833 – 7 novembre 1892) et Joséphine Izam (Perpignan, 10 juillet 1838 – Perpignan, 10 janvier 1925).

Et en 1875, Joseph Sauvy, prospère négociant en vins perpignanais, et Président de la Chambre de commerce des Perénées-Orientales, acquiert l’important Domaine de l’Esparrou, à Canet-en-Roussillon, sur lequel il fait bâtir, en 1889, un château, le château de l’Esparrou.

Les successions familiales des Sauvy _ les descendants de Joseph Sauvy sont nombreux… _ sont relativement complexes,

mais le château de l’Esparrou constitue bien un fort ancrage, tant patrimonial qu’artistique (et musical) _ de nombreux concerts y sont donnés _, pour Bertille de Swarte et les siens,

tant Sartre que Langlois de Swarte…

À suivre,

Ce samedi 29 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Avancer sur la question de la parenté (périgourdine au moins…) des de Swarte et des Sartre (suite)…

26mai

Pour essayer de répondre à la question finale de mon article d’hier ,

la première tâche qui s’imposait à moi

était de tenter de retrouver, ou reconstituer, les arbres généalogiques des De Swarte _ une famille originaire du département du Nord : Vieux-Berquin, depuis le mariage, à Vieux-Berquin, le 21 septembre 1858, d’Edouard de Swarte (né à Meteren le 23 août 1834) et d’Anaïs Lagersie (née à Vieux-Berquin le 2 septembre 1834) ; puis Hazebrouck, où est décédé le 8 février 1930, Joseph de Swarte (né à Vieux-Berquin le 10 avril 1859) ; Joseph de Swarte, père de Pierre de Swarte (Vieux-Berquin, 10 décembre 1898 – Prades, 3 août 1990), grand-père d’Alain de Swarte (Hazebrouck, 3 mars 1926 – Agonac, 26 décembre 2009) et arrière-grand-père de Thibault de Swarte (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955) ; et c’est aussi à Hazebrouk que, le 2 juillet 1921, Pierre de Swarte a épousé Suzanne Martin de Ramefort (Gennes (Maine-et-Loire), 16 janvier 1902 – Agonac, 15 août 1997)… _,

ainsi que des Sartre _ une famille de très ancienne souche périgourdine : établie à Corgnacq-sur-l’Isle dès la fin du XVIIe siècle ; puis à Thiviers, à partir du mariage, à Thiviers, le 18 février 1867, du docteur Eymard Sartre (né à Corgnacq-sur-l’Isle le 17 mars 1836) et de Marie-Marguerite Chavoix (née à Thiviers le 18 juillet 1847)  _, au moins en Périgord…

Avant de peut-être découvrir un lien matrimonial entre deux membres de ces familles Sartre et de Swarte…

La difficulté à laquelle je devais m’affronter surtout était de comprendre et identifier l’affiliation ou/et l’apparentement de Théotime Langlois de Swarte, né à Céret (Pyrénées-Orientales) en 1995 _ sans plus de précision jusqu’ici… _, avec les De Swarte, dont il porte le nom _ de quels parents est donc issu Timothée ? Et a-t-il un lien, et lequel, de parenté avec mon camarade Thibault de Swarte ? _, ainsi, éventuellement, qu’avec les Sartre ?..

Tout d’abord, il me fallait préciser la position généalogique, au sein de la famille de Swarte, de Thibault.

J’y ai été aidé par un très intéressant article _ du journal Sud-Ouest, en date du 18 septembre 2013 _ consacré à l’héritage et à la personnalité _ très remarquables, les deux ; et de tout cela, je n’ai pas souvenir que Thibault m’ait jamais parlé, dans nos conversations automobiles… _, de son père, Alain de Swarte ;

et cela à travers le point de vue du frère de Thibault, Eymeric de Swarte : 

l’article s’intitule « La Mémoire d’Alain de Swarte« 

_ et c’est cet article qui m’a appris que c’est en 1956, soit un an après la naissance de son fils aîné, Thibault, (à Neuilly) qu’Alain de Swarte est venu s’installer en Dordogne, à Trélissac, en ce domaine de 3 hectares de La Meynie, dont il fit « presque une réserve naturelle où les chasseurs du coin n’étaient pas les bienvenus« 

J’y apprenais de quel père très remarquable ! _ Thibault de Swarte était le fils ;

et aussi que Thibault était l’aîné d’une fratrie de quatre : deux sœurs _ dont n’étaient pas mentionnés alors les prénoms _, et le benjamin de cette fratrie, Eymeric de Swarte…

À suivre…

Ce mercredi 26 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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