Posts Tagged ‘René de Ceccatty

La formidable surprise de la réception du podcast de la captation de l’opéra d’Arnaud Petit (sur un livret de Jean Pavans) « La Bête dans la jungle », créée à l’Opéra de Cologne le 24 avril dernier par François-Xavier Roth et les Siècles… Et comment les bouteilles à la mer finissent parfois par rencontrer leurs destinataires…

24juin

C’est par un incroyable concours de circonstances (et surtout réseau d’amitiés) que, à mon envoi, hier vendredi 23 juin, à 10h 34, _ par un courriel simplement intitulé « Entendre vraiment toute la subtilité de « L’Heure espagnole«  de Maurice Ravel «  _ de mon article de la veille «  » à un cercle d’amis mélomanes passionnés,

l’un d’eux, René de Ceccatty, me répond, à 12h 30, et au final de son envoi :

« François-Xavier Roth que j’ai rencontré à Cologne a dirigé, tu le sais, je pense _ et non, je l’ignorais ! _ l’opéra d’Arnaud Petit sur le livre de mon frère, d’après La Bête dans la jungle de James…« …

Et à 17 h53, Jean Pavans, le frère aîné de René _ auquel j’avais adressé, à lui aussi, mon courriel de 10h 34, car je savais sa passion de la musique, et tout spécialement de l’opéra (et des voix)… _, m’adresse le wetransfer du podcast de la captation de cet opéra (d’une durée d’environ 105′),

créé à l’Opéra de Cologne le 24 avril 2023, par l’orchestre… Les Siècles, placé sous la direction de leur chef, François-Xavier Roth ;

avec une mise en scène et narration de Frederic Wake-Walker ; et avec les chanteurs Miljenko Turk dans le rôle de John Marcher, et Emily Hindrichs dans le rôle de May Bartram…

Envoi auquel, à 17h 53, Jean Pavans, ayant constaté que j’avais mis en route le wetransfer de l’enregistrement du podcast de cet opéra composé sur son livret, a ajouté le texte du livret de cette Bête dans la jungle, afin de me permettre de mieux suivre le déroulé de cette très très belle œuvre : en français et en anglais, avec une splendide musique d’Arnaud Petit.

Et ce matin, à 7h 46, j’adresse à Jean Pavans le courriel suivant :

« Vous serait-il possible de faire parvenir à François-Xavier Roth mon article d’hier 23 juin «  » ?« …

Et, tout aussitôt, à 8h 03, Jean Pavans me communique le moyen de faire suivre, par les Siècles, à François-Xavier Roth, mon article de très vive admiration de son si merveilleux travail musical.

Les bouteilles à la mer finissent bien par trouver le chemin un peu aventureux de leurs destinataires…

Ce samedi 24 juin 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’oeuvre d’un des plus grands écrivains italiens contemporains, Alberto Moravia, accessible en trois riches ouvrages chez Bouquins, en des traductions et/ou éditions par René de Ceccatty…

27mar

Sur le coup de midi, coup de sonnette :

c’est la factrice qui apporte un gros colis, probablement de livres…

Et en effet, le colis comporte trois livres _ conséquents ! _ de l’éditeur Bouquins,

à paraître en librairie le 6 avril prochain ;

et tous _ un choix de 4 romans parmi les plus importants de l’auteur ; un très riche choix de nouvelles et brefs récits ; les lettres à Elsa Morante, l’épouse (de leur mariage religieux, le 14 avril 1941 au décès d’Elsa, le 25 novembre 1983) _ d’Alberto Moravia (Rome, 28 novembre 1907 – Rome, 26 septembre 1990),

tous édités, présentés et beaucoup d’entre eux traduits par René de Ceccatty

_ qui me les fait adresser par l’éditeur Bouquins _ :

_ « Le Conformiste La Romaine La Désobéissance La Ciociara » 

_ « L’Immortel »

_  « Quand tu viendras je serai presque heureux : Lettres à Elsa Morante » (1947 – 1983)

 

Voici le mot de réception à l’ami René de Ceccatty, à la réception du colis de ces trois livres :

Quelle réception !

 
Je vais commencer par lire tes diverses présentations, préfaces et postfaces…
 
Et en faisant du rangement, j’ai retrouvé _ sur une bibliothèque, à un bras de ma tête de lit, en une pile de livres !.. _ ta « Biographie d’Alberto Moravia »  – 1907-1990 – parue en 2010 chez Flammarion)…
 
De même que le Mille&UnePages « Romans » de Flammarion de 2010, avec 7 romans (dont « Le Mépris » et « L’Ennui »), de Moravia, aussi :
les 4 d’aujourd’hui  – et pas des moindres ! : « La Romaine », « La Désobéissance », « Le Conformiste » et « La Ciociara » –
complétant superbement la série de ces romans
_ en un courriel de réponse (à 19 h 08) à mon courriel de Remerciements (à 13 h 35), René a écrit : « Oui, l’idée était en effet de ne pas faire double emploi avec le Mille & Une pages de Flammarion, mais de le compléter« 
 
À suivre,
 
Francis

Et de fait, j’ai immédiatement entrepris de lire _ par le menu des très riches détails donnés des circonstances (contextes, moments et lieux) d’écriture de Moravia… _ les divers textes de présentation, toujours aussi parfaits tant d’analyse que de synthèse, et passionnants d’éclairage, lucidissime, de René…

À suivre, donc, bien sûr ! Et de près…

Ce lundi 27 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

De René de Ceccatty, la pièce de théâtre « Frühling », au printemps de son magnifique parcours d’écrivain ; ou de quoi « parfaire un portrait déjà presque complet »…

17mar

En cette arrivée de printemps 2023,

voici que Bruno Smolarz,

que René de Ceccatty _ et sur son œuvre lire d’abord mon article du 12 décembre 2017, consacré à son livre (et chef d’œuvre !) décisif « Enfance _ dernier chapitre« , paru chez Gallimard le 2 février 2017« « , et celui du 24 mai 2016, consacré à son magnifique roman « Objet d’amour« , paru chez Flammarion le 30 septembre 2015  : « «  _ avait eu l’occasion de rencontrer, en 1977, lors de son long séjour au Japoncf son « Mes Années japonaises« , paru en 2019 ; sur ce livre, cf mon article du 20 avril 2019 : « «  _, tous deux avaient « sympathisé à l’Institut franco-japonais où nous enseignions ensemble« , à Tokyo,

vient proposer sa publication, aux Éditions Atéki, du tout premier texte paru, en l’occurrence une pièce de théâtre, de René de Ceccatty, rédigée à l’âge de seize ans, en mai 1968, créée à Montpellier le 21 juin 1969, puis reprise au mois de juillet 1969, pour 17 représentations au Festival d’Avignon, la pièce de théâtre « Frühling« ,

dont Bruno Smolarz a assez récemment découvert un des très rares exemplaires, relié et dédicacé (par René à son cousin Claude Antony _ auparavant, Bruno Smolarz s’était procuré chez un libraire à Paris la plupart des livres de René de Ceccatty que celui-ci avait dédicacés à l’ami Hector Bianciotti, décédé depuis, en 2012) _), sur Internet sur le catalogue d’un libraire de livres anciens… 

D’où ce désir amical de faire plus largement partager au lectorat fidèle de René de Ceccatty cet en quelque sorte opus 1 de son œuvre…

L’édition de ce livre-ci adjoint à ce « Fruhling » de 1968-1969 (aux pages 57 à 93),

outre un riche très intéressant Avant-propos de l’auteur intitulé « Sans coulisses ni rideau » (aux pages 15 à 43),

et un dossier de presse d’articles parus en Provence au mois de juillet 1969 (aux pages 97 à 113),

les tout à fait précieux témoignages d’aujourd’hui des deux autre interprètes, avec René de Ceccatty lui-même, de cette pièce interprétée à trois 3 fois à Montpellier, puis 17 fois à Avignon en juillet et juillet  1969 :

Nathalie Castagné (« Une autre présence« , aux pages 115 à 134),

et Colette Smirou (« L’échelle« , aux pages 135 à 149);

et enfin, extrait de « Personnes et personnages » _ dont René m’a fait cadeau d’un exemplaire, précédemment dédicacé de sa main à sa « chère mamie« , sa grand-mère maternelle Françoise (« douce et affectueuse« , née au Telagh, en Algérie, le 13 février 1893 et décédée à Bagnole-Sur-Cèze, le 23 mai 1983), et re-trouvé, lui aussi, par lui cette fois, chez un libraire de livres anciens, avec ces mots : « et pour Francis Lippa dont les recherches méritaient bien que ce livre fasse un long chemin pour lui arriver. Amicalement, René de Ceccatty, 38 ans plus tard le 18 octobre 2017« ... ; page 7, le livre est dédié « à Eilathan«  _, paru aux Éditions de la Différence, en 1979 (aux pages 193 à 221), la suite de « Frühling« , intitulée « Frühling II« , aux pages 151 à 212.   

Ce même 18 octobre 2017, René m’avait aussi adressé son merveilleux « Jardins et rues des capitales _ roman«  _ achevé d’imprimer le 25 septembre 1980, avec cette autre dédicace de sa main : « Pour Francis Lippa qui retrouvera dans ces pages une Italie qu’il aime et pourra parfaire un portrait déjà presque complet. Amicalement, René de Ceccatty, Paris le 18 octobre 2017« . Paru en 1980, et lui aussi aux Éditions de la Différence de Joaquim Vital et Colette Lambrichs. Un chef d’œuvre singulier absolument éblouissant _ le livre est toujours disponible en librairie.

Au delà de la diversité des genres abordés par ses multiples _ et très divers… _ livres , depuis, désormais, ce « Frühling » de 1968 qui paraît ce mois de mars 2023 aux Editions Atéki, et ce « Personnes et personnages » paru en 1979 aux Éditions de la Différence, et jusqu’à « Le Soldat indien » _ cf par exemple, et parmi plusieurs autres que j’ai consacrés sur ce blog « En cherchant bien«  à cet opus, mon article « «  du 3 février 2022  _ paru aux Éditions du Canoë de Colette Lambrichs le 4 février 2022,

l’œuvre de René de Ceccatty _ de même que sa personnalité ! _ comporte une très puissante lumineuse unité dont on perçoit de tous premiers bourgeons en cet opus quasi premier qu’est ce « Frühling » de mai 1968 _ « Bien que cette œuvre ait été écrite en mai 68, on n’y sent ni âpreté, ni révolte, ni surtout rien qui rappelle le souffle révolutionnaire« , écrivait la journaliste Annie Voiron dans un article du Méridional intitulé « Retrouvailles au Café-Théâtre avec « Frühling » » le 13 juillet 1969, peut-on lire à la page 101… Et à la page 99, une splendide photo de René de Ceccatty et Nathalie Castagné pris sur le vif d’un entretien avec le journaliste J. Faure à propos de « Frühling« , parue dans Le Dauphiné Libéré du 11 juillet 1969, en un article intitulé, lui, « Chez Janot Lartigue, trois étudiants renouvellent l’expérience du café-théâtre en présentant, dès ce soir, « Frühling ou le printemps de la vie«  »

Et je me permets de citer ici cet extrait _ qui n’a pas pris une ride ! _ de mon article du 12 décembre 2017 « « , à propos de l’indispensable « Enfance _ dernier chapitre » :

« ce merveilleux et magnifique chef d’œuvre pourquoi craindre le mot ? ou l’éloge ? je ne le gaspille pas, tout gascon pourtant que je suis _ qu’est Enfance, dernier chapitre

me paraît illuminer du miracle de sa force de vérité, et de sa considérable richesse et densité sans cesse dansante et virevoltante, traversée qu’elle est des lumineuses fulgurances, parfaitement dynamisantes, de ses « télétransportations«  : voilà, peut-être ai-je ici mis le doigt sur une clé décisive de son écriture-inspiration ! _ toute la décennie littéraire 2010 :

rien moins que ça ! Et j’insiste !

 Parviendrais-je, pour ma modeste part, à assez le faire bien entendre ?  j’y tiens beaucoup.
Partager ce qu’on place haut est un devoir d’honnête homme prioritaire : je n’aimerais pas demeurer seul dans la joie de mon admiration de lecteur ! Face à la misérable prospérité journalistique ignare, si aisément satisfaite de tant d’impostures grossières en littérature, cyniquement reposée sur le critère chiffré du « puisque ça se vend ! « , et partie prenante pseudo-culturelle du nihilisme régnant…

En effet, quasiment six mois de lectures-relectures hyper-attentives, plume à la main et qui encore se poursuivent _,

car j’ai très vite pris conscience que cet Enfance, dernier chapitre reprenait et prolongeait, en un très vaste geste de grande cohérence et d’archi-lucide approfondissement,

rien moins que l’œuvre entier,

ainsi que, plus fondamentalement encore _ puisque c’est l’intelligence sensible de celle-ci, la vie, qui constitue le fond de la visée de son écriture _, la vie entière de René de Ceccatty

vie entière reprise et éclairée, et magnifiée, par le travail hyper-scrupuleux (de la plus grande honnêteté) et d’une stupéfiante lucidité, de son extraordinairement vivante et palpitante écriture, sans temps mort, tunnel, lourdeur, ni faiblesses ! Quels défauts peut donc bien trouver encore René de Ceccatty à son livre ? Je me le demande… Montaigne trouvait-il, lui aussi, des défauts à ses Essais ? Ou Proust à sa Recherche ? Et que René de Ceccatty ne se sente pas accablé par ces comparaisons pour son livre !

Sur cet enjeu majeur de la lucidité de la visée de fond de l’intelligence même de sa vie _ sur ce sujet, se reporter au sublime raccourci, si essentiel, de Proust : « La vraie vie, c’est la littérature «  _,

l’enquête la plus probe et fouillée qui soit que mène ici René de Ceccatty, recherche rien moins que ce qu’il nomme son « enfance intérieure », en s’employant non seulement à débusquer-révéler-mettre au jour (et comprendre !) sinon ce que factuellement celle-ci fut, en son bien lointain désormais ressenti, au moins via quelques approximations ou équivalences de celui-ci, ce ressenti passé et enfui ; mais aussi esquisser ce que peuvent et pourront en être de coriaces effets dévastateurs, encore, à long terme, tels que ceux-ci parfois persistent en l’âge adulte, et souvent pour le pire ».

Ce vendredi 17 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Réactualisation, à la date du 16 décembre 2022, de la bibliothèque de podcasts et vidéos d’Entretiens de Francis Lippa, à Bordeaux, de 2009 à 2022, avec les plus excellents auteurs, et parfois amis…

16déc

 

Ce vendredi 16 décembre 2022,

voici une nouvelle réactualisation

du listing des podcasts (et vidéos) de mes divers entretiens enregistrés avec d’excellents auteurs

à la Librairie Mollat (et un peu ailleurs : Théâtre-du-Port-de-la-Lune, Cité du Vin…)

enregistrés depuis le 13 octobre 2009,

disponibles _ et accessibles à l’écoute ! _ par podcasts, et aussi vidéos, sur les sites de la librairie Mollat

reprenant et complétant les listes de mes articles

du 22 octobre 2015 6 ans d’ entretiens d’un curieux, Francis Lippa, à la librairie Mollat _ et comment accéder à leur écoute

du 11 février 2016 Actualisation du listing des entretiens de Francis Lippa à la librairie Mollat, à la date du 11 février 2016 

du 10 avril 2017 Nouvelle actualisation du listing des entretiens avec Francis Lippa à la Librairie Mollat à la date du 10 avril 2017

du 27 novembre 2017 

du 11 juin 2019 

et du 6 avril 2022 

 

1)  Yves Michaud, Qu’est-ce que le mérite ? (52′) le 13-10-2009

2)  Jean-Paul Michel, Je ne voudrais rien qui mente dans un livre (62′) le 15-6-2010

3)  Mathias Enard, Parle-leur de rois, de batailles et d’éléphants (57′) le 8-9-2010

4)  Emmanuelle Picard, La Fabrique scolaire de l’histoire (61′) le 25-3-2010

5)  Fabienne Brugère, Philosophie de l’art (45′) le 23-11-2010

6)  Baldine Saint-Girons, Le Pouvoir esthétique (64′) le 25-1-2011

7)  Jean Clair, Dialogue avec les morts & L’Hiver de la culture (57′) le 20-5-2011

8)  Danièle Sallenave, La Vie éclaircie _ Réponses à Madeleine Gobeil (55′) le 23-5-2011

9)  Marie-José Mondzain, Images (à suivre) _ de la poursuite au cinéma et ailleurs (60′) le 16-5-2012

10) François Azouvi, Le Mythe du grand silence (64′) le 20-11-2012

11) Denis Kambouchner, L’École, question philosophique (58′) le 18-9-2013

12) Isabelle Rozenbaum, Les Corps culinaires (54′) le 3-12-2013

13) Julien Hervier, Ernst Jünger _ dans les tempêtes du siècle (58′) le 30-1-2014

14) Bernard Plossu, L’Abstraction invisible (54′) le 31-1-2014

15) Régine Robin, Le Mal de Paris (50′) le 10-3-2014

16) François Jullien, Vivre de paysage _ ou l’impensé de la raison (68′) le 18-3-2014

17) Jean-André Pommiès, Le Corps-franc Pommiès _ une armée dans la Résistance (45′) le 14-1-2015

18) François Broche, Dictionnaire de la collaboration _ collaborations, compromissions, contradictions (58′) le 15-1-2015

19) Corine Pelluchon, Les Nourritures _ philosophie du corps politique (71′) le 18-3-2015

20) Catherine Coquio, La Littérature en suspens _ les écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres & Le Mal de vérité, ou l’utopie de la mémoire (67′) le 9-9-2015

21) Frédéric Joly, Robert Musil _ tout réinventer (58′) le 6-10-2015

22) Ferrante Ferranti, Méditerranées & Itinerrances (65′) le 12-10-2015

23) Bénédicte Vergez-Chaignon, Les Secrets de Vichy (59′) le 13-10-2015

24) Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’) le 25-11-2015

25) Marcel Pérès, Les Muses en dialogue _ hommage à Jacques Merlet (64’) le 12-12-2015

26) Yves Michaud, Contre la bienveillance (64′) le 7-6-2016

27) Karol Beffa et Francis Wolff, Comment parler de musique ? & Pourquoi la musique ? (32′) le 11-10-2016

28) Etienne Bimbenet, L’Invention du réalisme (65′) le 6-12-2016

29) Olivier Wieviorka, Une Histoire des Résistances en Europe occidentale 1940-1945 (54′) le 8-3-2017

30) Michel Deguy, La Vie subite _ Poèmes, biographies, théorèmes (75′) le 9-3-2017

31) Frédéric Gros, Possédées (58′) le 6-4-2017

32) Sébastien Durand, Les Vins de Bordeaux à l’épreuve de la seconde guerre mondiale (55′) le 6-6-2017 _ non diffusable publiquement, hélas, pour des raisons techniques : l’entretien est passionnant ! À défaut, lire le livre : « Les Vins de Bordeaux à l’épreuve de la Seconge Guerre mondiale : 1938-1950, une filière et une société face à la guerre, l’Occupation et l’épuration« , aux Éditions Memoring…

33) François Jullien, Dé-coïncidence (61′) le 17-10-2017

34) René de Ceccatty, Enfance, dernier chapitre (52′) & La Divine comédie (30′), de Dante (traduction), le 27-10-2017

35) Marie-José Mondzain, Confiscation _ des mots, des images et du temps (65′), le 7-11-2017, au Théâtre du Port-de-la-Lune : une vidéo. 

36) Pascal Chabot : L’homme qui voulait acheter le langage (49′), le 20-9-2018

37) Nathalie Castagné / Goliarda Sapienza : Carnets (49′), le 29-4-2019

38) Jean-Paul Michel : « Défends-toi, Beauté violente ! » & « Jean-Paul Michel « La surprise de ce qui est«  » & « Correspondance 1981-2017 » avec Pierre Bergounioux  (82′), le 3-5-2019 : une vidéo

39) Hélène Cixous : 1938, nuits (62′), le 23-5-2019 : une vidéo

40) Denis Kambouchner : Quelque chose dans la tête & Vous avez dit transmettre (62′), le 26-11-2019

41) Karol Beffa : L’Autre XXe siècle musical (53′), le 25-3-2022 : une vidéo 

42) René de Ceccaty : Le Soldat indien (9′), le 4-11-2022 : une vidéo

43) Pascal Chabot : Avoir le temps : Essai de chronosophie (64′), le 22-11-2022 : une vidéo

À suivre…

Le lien à l’article suivant de mon blog le 27 avril 2017 Deux merveilleux entretiens à l’Auditorium de la Cité du Vin, à Bordeaux, avec Nicolas Joly et Stéphane Guégan donne accès, lui, à deux très riches vidéos d’entretiens à la Cité du Vin :

le premier, le 17 janvier 2017, avec Nicolas Joly, et Gilles Berdin, à propos du livre La Biodynamie (94′) : une vidéo ;

et le second, le 28 mars 2017, avec Stéphane Guégan, à propos de la passionnante exposition à la Cité du Vin Bistrot ! De Baudelaire à Picasso (96′) : une vidéo

Bonnes écoutes ! Prenez-en le temps…


Une telle bibliothèque sonore et visuelle est sans prix :

victoire sur le temps, et dans le temps, et grâce au temps et à la vie, avec les rencontres et les œuvres qui en naissent, elle comporte d’irremplaçables joyaux, demeurant hic et nunc disponibles.

Ce vendredi 16 décembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour marquer la réception de la nouvelle édition-traduction de l’opus « monstre », « Pétrole », de Pier-Paolo Pasolini, en sa nouvelle présentation en français par l’ami René de Ceccatty…

05déc

De retour à l’instant de chez Mollat,

je viens de trouver au courrier ton « Pétrole » de Gallimard,
de même qu’avant-hier le « C’est moi, François » d’Édith Bruck que tu viens de traduire aussi aux Éditions du sous-sol.
… 
J’ai croisé Pierre Coutelle, qui a joint aussitôt la responsable des mises en ligne des vidéos _ à propos de la mise en ligne de la vidéo format-portrait (de 20′, enregistrée le 4 novembre dernier, au moment de ta participation à la très belle Journée d’études et hommage à Pier-Paolo Pasolini, en la salle capitulaire de la Cour Mably…) de présentation de ton « Le Soldat indien » aux Èditions du Canoë, de Colette Lambrichs, de janvier dernier…
… 
Voilà pour aujourd’hui.
 …
Je reste vigilant…
 …
Bon courage, cher René, pour tes divers travaux…
… 
Je suis ravi, aussi, du contact montpelliérain (Céline Baudillon et ses Éditions Hors Œil),
en partant de l’amitié qui a lié Pascal Chabot et François Lagarde (décédé en 2017), 
et Mathilde Monnier _ autour de la superbe réalisation, en 2012, de l’extraordinaire (!) film « Simondon du désert »
… 
Je vais bientôt joindre Céline Baudillon…
… 
À suivre,
… 
Francis
Voilà donc quel a été, jeudi 1er décembre dernier, mon courriel de réception à l’ami René,
afin de simplement marquer la réception de sa nouvelle traduction de cet opus « monstre » _ puisque c’est là le titre que choisit de joliment lui donner, page 11, Bertrand Bonello, le cinéaste, en sa préface, aux pages 11 à 16 de cette nouvelle édition, en la collection L’Imaginaire des Éditions Gallimard _, ce « Pétrole« , de Pier-Paolo Pasolini, en sa nouvelle édition-traduction _ la troisième qu’i réalise, après celles de 1995 et 2006 (et René en détaille les raisons aux pages 29 à 37, en une « Note pour la présente édition » …), après sa propre préface intitulée, elle, « Un laboratoire et un brûlot », donnée aux pages 19 à 28… _ en français par l’ami René de Ceccatty,
qui m’adresse ce gros livre si étrange de 900 pages…

Bien sûr, je vais y revenir prochainement bien plus précisément, pour cet opus majeur de l’œuvre de ce poète fondamentalement ouvert, multiforme et prospectif qu’est Pier-Paolo Pasolini (Bologne, 5 mars 1922 – Ostie, 2 novembre 1975)…

Ce lundi 5 décembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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