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Revisiter en l’actualisant la proposition discographique de chefs d’oeuvre de la musique : la Messe en si mineur BWV 232 de Johann-Sebastian Bach, par René Jacobs dirigeant l’Akademie für Alte Musik Berlin et le Rias Kammerchor, à Berlin en août 2021…

01juin

Il est intéressant de revenir revisiter de temps en temps, et en l’actualisant, les interprétations au disque des chefs d’œuvre de la musique.

Par exemple, ce sommet que constitue la Messe en si mineur de Johann-Sebastian Bach BWV 232

_ dont ma discothèque est pourvue de plusieurs très grandes versions…

Ainsi, ce jour, par l’écoute de l’interprétation,

que vient nous en proposer le label Harmonia Mundi _ soit le double album CD HMM 902676.77 _,

de l’Académie für Alte Musik Berlin, le Rias Kammerchor et 5 chanteurs solistes : Robin Johanssen, soprano ; Marie-Claude Chappuis, mezzo-soprano ; Helena Rasker, alto ; Sebastian Kohlhepp, ténor ; et Christian Immler, baryton-basse ;

enregistrée en août 2021 à Berlin…

À comparer par exemple avec cette version de 1992 par le même orchestre et le même chœur, mais avec d’autres solistes, sous la direction du même René Jacobs…

 

Ce mercredi 1er juin 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

2020 : année Beethoven

01jan

Aujourd’hui 1er janvier 2020

débute l’année Beethoven,

c’est-à-dire l’année de la célébration du 250ème anniversaire de la naissance à Bonn,

le 15 ou le 16 décembre 1770,

de Ludwig van Beethoven.

Bien entendu les firmes discographiques ont déjà commencé à faire preuve d’inventivité,

au moins commerciale _ sinon d’originalité musicale _,

pour solliciter notre attention et notre désir d’écouter _ à fond _ l’œuvre

de cet immense compositeur.

Chaque époque revisite,

déjà par l’interprétation des musiciens,

tout l’œuvre passé des moindres compositeurs,

avec parfois de remarquables ré-évaluations,

et même parfois d’authentiques découvertes.

Réécouter

ainsi renouvelé par les interprètes d’aujourd’hui

le massif des Sonates pour piano,

des Symphonies,

des Quatuors à cordes

mérite assurément le voyage…

Pour ce jour,

je voudrais simplement mettre l’accent

sur des œuvres apparemment mineures _ de jeunesse _ du compositeur ;

au point qu’elles ne bénéficient même pas d’un numéro officiellement répertorié

dans le catalogue du compositeur :

je veux parler des 3 quatuors avec piano WoO 36, de 1785 ;

qui ne seront publiés qu’en 1832, après la mort de Beethoven _ le 26 mars 1827, à Vienne _,

par Artaria, à Vienne.

Ce mercredi 1er janvier 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point sur la collection de mes articles raveliens révisés : les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel (suite)

07juin

Au fur et à mesure des découvertes

de ma recherche des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel,

doit être opérée de temps en temps une révision des articles,

qui tienne compte des connaissances nouvelles

venant permettre de corriger des erreurs,

ou de combler des ignorances,

antérieures ;

de même qu’afin de procéder à des synthèses claires et commodes

d’information.

Ainsi ai-je passé ma journée d’hier _ et à nouveau celle du lundi 15 juillet _ à relire et corriger
l’ensemble de mes articles raveliens
en prenant en compte mes prises de connaissance successives,
et pour éliminer les erreurs et ignorances gênantes antérieures.
Et rendre chaque article (de ce work in progress) utilisable en lui-même, déjà, pour le lecteur.
Même si doivent probablement demeurer encore pas mal d’erreurs non repérées,
en plus de pas mal d’ignorances connues et reconnues.
Le travail n’est donc pas achevé ; même si il progresse…
Est-il d’ailleurs achevable ? Non. Il est améliorable à l’infini. Cependant il progresse.
Et je sais bien que de temps en temps j’aurai à procéder à des synthèses claires.
Ce matin même,
j’ai retouché le dernier d’entre ces articles, celui du 1er juin, à propos de la «Tante Bibi » de chez les Bibal-Gaudin…
Notamment à propos d’Annie Courteault, du fait de documents la concernant qui viennent de m’être adressés.
En voici donc la collection :
Tout cela, à partir de la lecture patiente de l’irremplaçable travail de Manuel Cornejo
en son indispensable édition de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel
À suivre :
bien des questions demeurent,
notamment sur les blancs _ pour ne pas dire ruptures, coupures ! _ des transmissions
tant de documents _ égarés, détruits, vendus on ne sait pas à qui,
et où ils pourraient être providentiellement lus, déchiffrés, mis à profit pour la connaissance _
que mémorielles ! _ ce qui est encore davantage énigmatique…
Outre le cousinage luzien Hiriart-Gaudin-Lenoir
(et aussi la fréquentation des Courteault, mais qui ne sont pas, eux, des cousins de Maurice Ravel, même si ils sont des cousins des Gaudin-Lenoir ; et des amis très proches eux aussi de Ravel),
très étroitement entretenu par Ravel, ce cousinage luzien,
existent aussi, moins visibles _ et surtout moins cultivés par Maurice Ravel lui-même _,
les cousinages cibouriens,
complètement délaissés eux _ après la venue et le séjour (de trois mois) à Ciboure de Marie Delouart-Ravel, trois mois de l’été 1911 : chez les apparentés (aux Delouart) Anchochury… _ par la critique,
faute d’avoir été si peu que ce soit cultivés par Maurice Ravel lui-même
après le décès de sa mère _ décès survenu pendant la Grande Guerre : une énorme coupure à tous égards ! _, le 5 janvier 1917,
lors des retours et séjours de celui-ci à Saint-Jean-de-Luz _ et plus jamais Ciboure, remarquons-le ! _,
après la guerre :
en 1921, 1923, 1924 : au 41 rue Gambetta, chez les Gaudin
_ je note au passage que c’est entre le 21 juin (une carte postale de Maurice Ravel à Annie Courteault a encore pour adresse le 41 rue Gambetta) et le 5 août 1924 (une carte postale de Maurice Ravel à Marie Gaudin, mentionne pour la première fois le domicile de la « Villa Mirentchu«  : « Il faudrait que mon boulot avançât fichtrement plus vite pour qu’il y eût une chance pour moi d’aller passer quelques jours à Mirenchu« ) que s’effectua le déménagement luzien des membres restants de la maisonnée Bibal-Gaudin de la maison du 41 rue Gambetta à la Villa Mirentchu, toute proche : Annette Bibal-Gaudin, sa sœur la fameuse « Tante Bibi«  Bibal, et la petite Annie Courteault, alors âgée de 11 ans, qui suivait les cours de la Pension Sainte-Odile, à Saint-Jean-de-Luz… _ ;
en 1927, 1928, 1929, 1930 : au 9 rue Tourasse _ ainsi qu’un peu à « Mirentchu » aussi, en 1929 _ ;
en 1932 : à l’Hôtel basque ;
en 1935, Ravel déjà bien malade, en compagnie de Léon Leyritz …
Que de pistes sont ainsi à ouvrir, ou rouvrir ;
ou même revisiter
les yeux un peu mieux ouverts
Ce vendredi 7 juin 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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