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Un seul être vous manque

Bigoudi et Alphonse vivent heureux dans une grande ville. Ils y ont leurs petites habitudes, du 156 e étage de l’immeuble dans lequel ils habitent  aux commerçants et amis qu’ils fréquentent. Mais Alphonse est vieux et un jour son petit cœur de chien cesse de battre. Alors Bigoudi, dans son immense chagrin, décide que si toutes les personnes qui comptent pour elle devaient elles aussi disparaître il serait préférable de ne plus voir personne et s’enferme en haut de sa tour.

Jusqu’au jour où le laveur de vitre…

Cette jolie fable sur la perte de l’être aimé et la tristesse, nous est narrée ici avec beaucoup de délicatesse.  L’illustration assez proche de la bande dessinée permet de ne pas appesantir le récit et favorise l’humour et l’espoir. Néanmoins, il est à noter le soin porté à la réalisation des décors qui nous proposent certes une grande ville, mais plutôt sympathique est rassurante.

 

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