Qu’attendre de la surprise de la fiction que vient nous proposer Philippe Desan avec son « Montaigne – La Boétie – Une ténébreuse affaire » ?..

Posté dans la catégorie Histoire, Littératures, Philo, Rencontres par Titus Curiosus

11sept

Qu’attendre de la surprise de la fiction que vient nous proposer _ aux Éditions Odile Jacob _ le très érudit Philippe Desan avec son « Montaigne – La Boétie – Une ténébreuse affaire » ?..

Je me le suis demandé en l’achetant tout de même, après avoir bien hésité devant pareil scandaleux mélange des genres…

Ce soir, j’en suis _ plutôt perplexe… _, à la page 79 de ma première lecture, peu après le récit du décès, le 18 août 1583, d’Étienne de La Boétie, à la page 73…

Mais attendons la lecture des 376 pages de cette fiction de Philippe Desan avant de prononcer _ très fervent montanien que je suis… _ mon tout personnel avis…

Et juste au moment précis où je m’apprête à mettre en ligne cet article, tombe le courriel hebdomadaire de le Librairie Mollat annonçant la séance de présentation par l’auteur, à la Station Ausone, vendredi 20 septembre prochain, à 18 h, de son livre,

que voici :

« Philippe Desan est l’un des plus grands spécialistes de Montaigne, c’est avec bonheur _ nous allons bien voir…qu’il s’essaye _ voilà _ aujourd’hui au roman.

Dans Montaigne – La Boétie, une ténébreuse affaire, il rend compte de la complexité _ tiens donc… _ de cette amitié légendaire« …

Ce mercredi 11 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

S’immerger dans un monument bouleversant de la musique de chambre du XXe siècle : les 5 Quatuors à cordes (1944, 1961, 1963, 1964 et 1984) + le Trio à cordes (1958) de Giacinto Scelsi (1905 – 1988) : une déchirante découverte de ces chefs d’oeuvre d’une telle puissance, infiniment touchants, du paradis de la musique et de la poésie, dans l’interprétation idoine du Quatuor Molinari…

Posté dans la catégorie Histoire, Musiques par Titus Curiosus

10sept

C’est une très puissante bouleversante expérience que de découvrir, en s’y immergeant, l’intensité des 5 Quatuors à cordes (de 1944, 1961, 1963, 1964 et 1984) et du Trio à cordes (de 1958) de Giacinto Scelsi (La Spezia, 8 janvier 1905 – Rome, 9 août 1988), un compositeur absolument majeur du XXe siècle,

et cela en une somptueuse puissamment intense et prenante interprétation du Quatuor _ québécois _ Molinari _ constitué d’Olga Ranzenhofer et Antoine Bareil, violons, Frédéric Lambert, alto, et Pierre-Alain Bouvrette, violoncelle _, en un double CD Atma Classique ACD2 2849 _ enregistré à Mirabel (Québec) du 7 au 10 juin 2021…

Quel choc !

Quelle musique !

Et quelle interprétation !!!

_ écoutez le podcast de cette intégrale (33′ 45 + 19’04 + 17′ 57 + 10′ 17 + 6′ 54, pour les 5 Quatuors à cordes + 13′ 51 pour le Trio à Cordes) par les Molinari ici…

Et c’est l’évidence de son audition _ au départ anonyme !.. _ sur la platine de mon disquaire, lors de mon passage, qui m’a littéralement happé…

Voilà donc d’immortels chefs d’œuvre ;

et ce n’est ainsi pas pour rien que Giacinto Scelsi (1905 – 1988) a laissé son nom au paradis de la musique, et des mélomanes un peu attentifs et passionnés…

Quelle puissance musicale ! Et quelle intense poésie…

Ce mardi 10 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une curiosité Cimarosa (1749 – 1801) : la farce musicale en un acte « L’Impresario in angustie » (Naples 1786), en un CD Brilliant paru en 2018…

Posté dans la catégorie Histoire, Musiques par Titus Curiosus

09sept

Le CD Brilliant 95746 « L’Impresario in angustie » par l’Orchestra Bruno Maderna di Forli sous la direction d’Aldo Salvagno _ enregistré à Milan en avril 2017 _ fait partie de mes trouvailles de soldes de CDs de cet été 2024…

Domenico Cimarosa (Aversa, 17 décembre 1749 – Venise, 11 janvier 1801) n’est guère aujourd’hui davantage qu’un nom d’un compositeur un temps à la mode, surtout en Italie, dont ont pu assister à quelqu’une de représentations des œuvres un Gœthe ou un Stendhal, qui en ont témoigné _ mais ceux-ci étaient-ils vraiment mélomanes ?..

Ainsi « L’Impresario in angustie« , une farce d’opéra en un acte, créée au Teatro Nuovo, à Naples, en 1786 dans l’esprit de « Il Teatro alla moda« , ce désopilant pamphlet paru anonyme à Venise en 1720, de Benedetto Marcello (1686 – 1739)…

Voici une brève vidéo (de 5′ 02) de son air d’entrée « Vè che matta, maledetta !« , interprété ici, en 2015, par Lea Desandré et les Arts florissants, pour le Jardin des Voix… 

Une agréable curiosité _ assez loin toutefois des fruits du génie enchanteur d’un Vivaldi (1678 – 1741), un Mozart (1756 – 1791) ou un Rossini (1792 – 1868), qui transcendent, eux, de manière toujours éblouissante pour nous, leur époque de création…

Ce lundi 9 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Continuer d’explorer le coffret Warner Classics « Wolfgang Sawallisch – Complete Symphonie, Lieder et Choral Recordings (1954 – 1997) », avec une clarté, un allant, une vigueur : après ses admirables Lieder de Franz Schubert, écouter aussi, et à nouveau au piano, ses lumineux Lieder du bavarois Richard Strauss, avec Lucia Popp, Margaret Price, Barbara Hendricks, et aussi Hermann Prey…

Posté dans la catégorie Blogs, Musiques par Titus Curiosus

08sept

En continuation de mon article du 21 juillet dernier « « ,

je désire ce dimanche 8 septembre continuer mon exploration de ce superbe cofffret Decca 4854364 de 43 CDs consacré à l’œuvre discographique de Wolfgang Sawallisch…

Et je viens me pencher cette fois-ci sur les Lieder de Richard Strauss (Munich, 11 juin 1864 – Garmisch-Partenkirchen – Bavière, 6 septembre 1949),

dans lesquels, ici à nouveau de son piano, Wolfgang Sawallisch accompagne les chanteurs :

dans ce somptueux coffret-ci Warner Classics, aux CDs 58, 59 et 60,

Lucia Popp (Zahorska, 12 novembre 1939 – Munich, 16 novembre 1993) _ en un enregistrement, au Kloster Seeon, sur le lac de Chiemsee, en Bavière, du 10 au 13 septembre 1984 _,

Margaret Price (Blackwood, 13 avril 1941 – Cardigan, 28 janvier 1991) _ en un enregistrement, à Munich, aux mois d’avril et mai 1986 _,

et Barbara Hendricks (Stephens – Arkansas, 20 novembre 1948) _ en un enregistrement, à Munich, du 12 au 14 septembre 1995…

Mais il me faut ici y adjoindre, présent, lui depuis longtemps, en ma discothèque personnelle, l’admirable CD Philips 422 245-2 _ enregistré à Munich en novembre 1972 _ « Richard Strauss – 20 Lieder – Heimliche Auffforderung – Zueignung – Stänchen – Morgen – U. A.« 

avec l’incomparable Hermann Prey (Berlin, 11 juillet 1929 – Krailling – Bavière, 22 juillet 1998).

Toutes des interprétations de pure grâce, à Munich  et au lac de Chiemseeau pays même de Wolfgang Sawallisch (Munich, 26 août 1923 – Grassau, Bavière, 22 février 2013)…

Ce dimanche 8 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’erreur de parcours du « Douce France – Mélodies et Chansons – Berlioz – Chausson – Duparc – Kosma – Trenet – Brel » de Benjamin Bernheim : et pour la voix, et pour le style. Et c’est le charme qui fait défaut…

Posté dans la catégorie Blogs, Musiques par Titus Curiosus

07sept

Le CD Deutsche Grammophon 486 6155 de 12 mélodies (et 3 chansons) françaises « Douce France – Mélodies et Chansons – Berlioz – Chausson – Duparc – Kosma – Trenet – Brel«  _ enregistré à Paris, salle Colonne, au mois de février 2024 _ de Benjamin Bernheim, avec le piano de Carrie-Ann Matheson, est pour moi, amateur passionné de mélodies françaises _ et qui avais aussi beaucoup apprécié jusqu’ici la discographie de Benjamin Bernheim… _, une douloureuse déception :

_ trop maniéré et sans assez d’allant, de sprezzatura, pour le style, inadapté à l’art subtil et sans la moindre pesanteur, de la mélodie pour ne rien dire de l’ajout incongru et très artificiel des trois chansons finales (de Kosma, Trenet et Brel) _ ;

_ et une voix parfois hélas engorgée, et avec des aigus bien trop métalliques, mal maîtrisés…

Je ne partage donc hélas pas, mais pas du tout, les avis bien trop généreux des articles « Vie antérieure » de Jean-Charles Hoffelé, en date d’hier 6 septembre, sur son site Discophilia ;

et « Mélodies et chansons françaises avec Benjamin Bernheim et Carrie-Ann Matheson » de Pierre Degott, lui aussi en date d’hier, sur le site de ResMusica…

LA VIE ANTÉRIEURE

Un étonnement d’abord : l’orchestre manque pour Les Nuits d’été, réduit en squelette par la transcription de Carrie-Ann Matheson, pas pour le Poème de l’amour et de la mer où la pianiste a saisi _ à son seul piano : bravo à elle ! _ toute la palette de l’original. On ne sait pas assez qu’Ernest Chausson aura écrit son triptyque pour ténor : Désiré Desmet en assura la création _ le 21 février 1893, à Bruxelles _, le compositeur au piano.

Benjamin Bernheim y est idéal, conteur d’abord, et ajoute une version majeure dans une discographie peu fréquentée côté homme : hier Ivan Kozlovski (et en russe), plus récemment _ dans le CD « Turbulent heart – Music of Vierne & Chausson« , avec le Queensland Orchestra, dirigé par Guillaume Tourniaire, un CD Melba paru en octobre 2009 : à écouter en podcast ici (27 ‘ 38) ; et c’est bien beau…Steve Davislim qui vient de nous quitter _ le 11 août 2024, à Vienne _, les deux avec l’orchestre que Chausson réserva pour les sopranos : l’original est donc seulement ici _ mais un tel scoop discographique constitué-t-il un motif bien suffisant ?..

Les Nuits d’été appelle une grande voix, Gérard Souzay y trouvait Eleanor Steber géniale, il aurait applaudi au vaste instrument qu’y déploie Benjamin Bernheim _ écouter ici le podcast, d’une durée de 27′ 06 pour ces 6 (sublimissimes) mélodies des Nuits d’été _, capable d’allégement sidérant : Sur les lagunes sur un fil, Le spectre de la rose fuligineux, que de poésie dans l’élégance, que de vertige dans l’émotion _ non ! ; et je partage bien plutôt l’avis de cet auditeur, jefgong : « Décevant. Trop appliqué. Pas de parfums, pas de sensualité. Que de raideurs, que de duretés ! »

Pourtant, le plus beau du disque reste à venir : les Duparc _ et là, je suis d’accord : les Duparc sont le plus satisfaisant de ce récital, à mon avis aussi… _ sont impérissables _ ce superlatif-ci est-il bien nécessaire ? _, L’Invitation au voyage trouble _ écoutez-en ici le podcast (d’une durée de 4′ 17)… _, La Vie antérieure opiacée _ écoutez-ici (d’une durée de 4′ 17)… _, Extase tristanesque _ écoutez-ici (d’une durée de 3′ 22)… _, Phidylé entre murmure et éclat _ ici le podcast (d’une durée de 4′ 55)… _, le disque se referme sur trois chansons qui ne me consolent pas _ moi non plus… _ des autres Duparc qui manquent. Il les faut au complet, Benjamin Bernheim y poserait tout son art _ qui gagnerait cependant à beaucoup plus de simplicité, et moins de pose : le partage au public de la mélodie est en effet de l’ordre de l’intimité, et pas du grand-guignol de la scène... _ face au modèle _ voilà !!! _ laissé jadis par Leopold Simoneau _ écoutez par exemple ici la perfection de l’art du chant « naturel » de Léopold Simoneau (Saint-Flavien, 3 mai 1916 – Victoria, 24 août 2006), enregistré en 1956, dans « Phidylé » (d’une durée de 6′ 31) ;

de « Phidylé« , j’apprécie bien aussi l’interprétation (l’écouter ici) de Véronique Gens, en son CD Alpha 215 « Néère« 

LE DISQUE DU JOUR

Douce France

Hector Berlioz (1803-1869)
Les nuits d’été, H. 81 (version pour ténor et piano : Matheson)


Ernest Chausson (1855-1899)
Poème de l’amour et de la mer, Op. 19 (version pour ténor et piano : Matheson)


Henri Duparc (1848-1933)
L’invitation au voyage
Extase
Phidylé
La vie antérieure


Joseph Kosma (1905-1969)
Les feuilles mortes (version pour ténor et piano : Leuenberger)


Charles Trenet (1913-2001) / Léon Chauliac (1913-1977)
Douce France (version pour ténor et piano : Leuenberger)


Jacques Brel (1929-1978)
Quand on n’a que l’amour (version pour ténor et piano : Leuenberger)


Benjamin Bernheim, ténor
Carrie-Ann Matheson, piano

Un album du label Deutsche Grammophon 4886155

Photo à la une : le ténor Benjamin Bernheim – Photo : © Edouard Brane

Mélodies et chansons françaises avec Benjamin Bernheim et Carrie-Ann Matheson

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Dans un répertoire peu fréquenté par les grands ténors lyriques,  enchante par l’élégance et la délicatesse _ un poil trop affectée, pour moi... _ de son chant. Accompagnement suprême de la pianiste .

De Georges Thill à Roberto Alagna, en passant par Cesare Vezzani, Albert Lance, Gilbert Py ou Alain Vanzo, les grands ténors lyriques de notre pays n’ont pas beaucoup pratiqué la mélodie française _ probablement par prudence : c’est si fragile et délicat, en son sublime qui est très éloigné du gueuloir de la scène…… Cette dernière, en revanche, a été plutôt bien servie _ mais oui ! _ par nos ténors de caractère ou de demi-caractère. Hugues Cuénod, Michel Sénéchal, Yann Beuron, Cyrille Dubois _ parfaits, eux, en effet : et je les aime tous beaucoup, beaucoup !.. _ et bien d’autres s’en sont fait une spécialité. Grâces soient donc rendues aujourd’hui à pour proposer un programme original _ vraiment ? En tout cas guère équilibré… _, permettant de faire entendre des pages tirées du grand répertoire aux côtés de quelques chansons dites populaires, marquant ainsi une forme de continuité _ mais artificielle et forcée, hélas… _ entre musiques dites savantes et musiques supposées populaires. On se réjouit au passage _ mais est-ce vraiment important ? Non ! Seul compte l’art du chant… _ d’entendre, aussi bien interprétés par une voix de ténor, des cycles que la tradition, pour des raisons assez inexplicables, a fini par associer à une voix de femme. Le texte des Nuits d’été de Berlioz et du Poème de l’amour et la mer de Chausson est pourtant sans ambiguïté, il est explicitement adressé à une femme aimée. L’un des deux cycles fut également créé par une voix d’homme, la première audition de l’œuvre de Chausson en 1893 ayant eu lieu _ à Bruxelles _ avec le ténor Désiré Demest, accompagné du compositeur au piano. Berlioz, de son côté, eut l’occasion en 1843 de diriger dans « Absence » le grand Gilbert Duprez, le fameux inventeur du contre-ut de poitrine. On notera également pour les deux cycles le choix d’une nouvelle version pour piano, apparemment transcrite par la pianiste-accompagnatrice , qui nous livre de la partie pianistique des deux cycles une lecture symphoniste de toute beauté _ réussie, oui. On s’étonne cependant _ oui _ que la brochure de l’enregistrement n’ait pas donné la raison de ces deux nouvelles transcriptions, qui vont donc coexister avec la version originale des deux compositeurs. Les adaptations des chansons de Kosma, Trénet et Brel sont quant à elles dues à Guy-François Leuenberger.

Ce sont incontestablement _ non !les Nuits d’été qui nous valent la plus belle réussite de l’album, succès _ non _ sans doute dû à une longue fréquentation du cycle de Berlioz par . On ne sait ce qu’il faut le plus admirer, de la clarté presque précieuse _ bien trop, hélas : ampoulée, maniérée… _ de la diction à la maîtrise parfaite du rythme et du phrasé _ trop lent, trop ampoulé, je le répète _, ou bien s’il faut s’émerveiller davantage sur la conduite exemplaire _ que non !!! _ des registres, qui permet au ténor d’être tout aussi convaincant _ hélas pas du tout ! c’est tout le contraire… _dans la tessiture sombre de « Sur les lagunes », dans le « quart de voix » de « Au cimetière » et dans le subtil dosage _ absolument raté, ici _ de voix de tête et de voix mixte pour « Le Spectre de la rose ». L’expression est soignée _ trop ampoulée, pas assez naturelle, il me faut le redire… _ de la première note à la dernière, avec un travail particulier sur les segments de phrase répétés qui à chaque reprise trouvent une autre couleur _ et c’est l’élan qui fait défaut. Ces qualités, on les trouve également dans les mélodies bien connues de Chausson et de Duparc, même si l’osmose entre la voix et le texte paraît légèrement moins aboutie _ non ; en tout cas pas dans les Duparc… Dans les trois chansons retenues pour son programme, Benjamin Bernheim assume franchement _ hélas ! c’est carrément hors-sujet ici ! _ son identité de ténor lyrique, tout en évitant de surchanter des pages forcément toutes connues du grand public et dont on apprécie, grâce notamment au raffinement des nuances et à la qualité exceptionnelle de la diction, les corrélations _ qui ne sont que forcées _ avec les extraits du grand répertoire dont elles semblent, ici, être le prolongement naturel _ que non, que non, que non ! : c’est hélas tout le contraire ! Un disque qui enchantera les fans de Bernheim _ pas vraiment ! Et pourtant, je renvoie ici à mes articles enthousiastes « «  et « «  des 24 novembre 2019 et 1er mai 2022… _, et qui pourra être entendu comme un prolongement de sa très belle prestation _ hélas pas assez audible ; cf cette fois mon article « «  du 12 août dernier… _… _ lors de la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Paris 2024.

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Hector Berlioz (1803-1869) : Les Nuits d’été op. 7.

Ernest Chausson (1855-1899) : Poème de l’amour et de la mer op. 19.

Henri Duparc (1848-1933) : L’Invitation au voyage ; Extase ; Phidylé ; La Vie antérieure.

Joseph Kozma (1905-1969) : Les Feuilles mortes.

Charles Trenet (1913-2001) : Douce France.

Jacques Brel (1929-1978) : Quand on n’a que l’amour.

Benjamin Bernheim, ténor. Carrie-Ann Matheson, piano.

1 CD Deutsche Grammophon. Enregistré salle Colonne à Paris en février 2024.

Notice de présentation bilingue (anglais et français).

Durée : 79:01

Un CD étrangement mal maîtrisé, hélas, par conséquent :

le charme, absolument essentiel en ces matières, faisant ici très cruellement défaut…

Un douloureux ratage pour le parcours discographique de Benjamin Bernheim,

mal conseillé ici…

Ce samedi 7 septembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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