Archives de la catégorie “Histoire”

Et maintenant, un tableau de la descendance de Jules-Charles Morand de la Genevraye (né à Orléansville le 17 juin 1881) et son épouse Clémence Orgeret, via leurs quatre enfants : Juliette (1906 – 1998), Lucienne-Marcelle (1910 – 2015), Robert-Auguste (1915 – ?) et Suzanne-Antoinette (1922 – 2014) Morand de la Genevraye…

19mar

Dans la continuation de mes articles d’essai d’identification la plus précise et complète possible de la descendance issue du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après 1888) – Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

c’est-à-dire mes articles les plus récents du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

du 6 mars 2024 « « ,

du 11 mars 2024 « «

ainsi que de celui du 14 mars 2024 « «,

après le tableau de la descendance des deux filles aînées de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye,

d’une part Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye ( ?, 1867 -Orléansville, 8 février 1895)

et d’autre part Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)

épouses successives de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

ainsi qu’après le constat d’absence de descendance de leur frére Alphonse-Jean Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922) et son épouse Lucie Tourrenc (Renault, 8 novembre 1881 – ?, ?),

c’est aujourd’hui à un tableau de la descendance de leur frère Jules-Charles Morand de la Genevraye (Orléansville, 17 juin 1881 – ?, ?) et son épouse Clémence Orgeret (?, ??, ?), que j’en viens à m’attacher ici,

via, pour commencer, leurs 4 enfants,

nés en 1906, 1910, 1915 et 1922 :

Juliette Morand de la Genevraye (Orléansville, 25 janvier 1906 – Lagardelle-sur-Lèze, 22 octobre 1998),

épouse de René Raymond (?, 24 juillet 1895 – Menton, 1971) ;

_ Lucienne-Marcelle Morand de la Genevraye (?, 20 février 1910 – Cusset, 24 novembre 2015),

épouse d’Étienne Lauprêtre (Paris 14e, 21 mai 1904 – Saint-Pourçain-sur-Sioule, 6 janvier 1996) ;

_ Robert-Auguste Morand de la Genevraye (Blida, 1915 – ?, ?),

époux d’Odette Gallais (Inkermann, 16 décembre 1919 – ?, ?) ;

_ et Suzanne-Antoinette Morand de la Genevraye (Rabelais, 18 novembre 1922 – Menton, 19 mai 2014),

épouse d’Adolphe Gourgue (Renault, 22 juillet 1921 – Nice, 24 juin 2006).

 

Ce mardi 19 avril 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La contagieuse vitalité jubilatoire des merveilleuses « Symphonies de Hambourg » de Carl-Philipp-Emanuel Bach, en 1773

17mar

J’aime beaucoup, beaucoup, les « Symphonies de Hambourg » WQ 182 (de 1773) du généreux Carl-Philipp-Emanuel Bach (Weimar, 8 mars 1714 – Hambourg, 14 décembre 1788) _ cf ainsi mon article de la série de mes « Musiques de joie« , au moment du confinement du Covid : « « , en date du jeudi 21 mai 2020…

Aussi ne lui-je que réitérer aujourd’hui la proclamation de ma jubilation à l’écoute du tout récent CD « Carl-Philipp-Emanuel Bach – The Hamburg Symphonies Wq 182«  _ soit le CD Glossa GCD 921134, enregistré à Amsterdam en mai 2021 et septembre 2022 _ de l’Orchestre du XVIIIe siècle, sous la direction ici de son premier violon, Alexander Janiczek…

Un CD comportant aussi un excellent livret intitulé « Les 6 Symphonies Wq 182« , expliquant la position bien particulière de son effectif _ relativement peu nombreux (25 et 24 instrumentistes, et sans vents… _ et surtout de sa destination, pour les connaisseurs (« kenner« ) plutôt que pour les amateurs (« liebhaber« ), d’une musique très audacieuse (« excentrique« ) pour son époque, hors du courant alors à la mode des symphonies pré-classiques et galantes…

Un sommet de l’œuvre, déjà magnifique, du filleul _ et successeur à Hambourg _ de Georg-Philipp Telemann…

Ce dimanche 17 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour une fois, un partage de déception et agacement, pour un CD passablement raté : le CD Hyperion « Notebooks for Anna-Magdalena » de Mahan Esfahani…

15mar

Il est rare que je prenne la plume pour dézinguer un CD qui me déçoit au point de passablemenl m’irriter…

Mais c’est hélas la cas pour le CD Hypérion CDA 68387 « Notebooks for Anna-Magdalena« , dont l’écoute au magasin m’avait scandalisé : comment un label de la qualité d’Hyperion avait-il bien pu autoriser la parution d’un tel CD, au son inaudible (!), qui ne rend en rien justice à ce si délicieux cahier de musique intime et familiale de la main de la seconde épouse, Anna-Magdalena, de Johann-Sebastian Bach ?..

Et si je me le permets,

c’est parce que je retrouve sous la plume de Christophe Steyne, pour le magazine Crescendo, à la date d’avant-hier 13 mars, en son article intitulé « Cahiers pour Anna Magdalena : bal des fantômes au logis du Cantor » ,

tout ce que j’avais éprouvé à l’audition irritée de ce CD…

Cahiers pour Anna Magdalena : bal des fantômes au logis du Cantor

LE 13 MARS 2024 par Christophe Steyne

Notebooks for Anna Magdalena. Oeuvres de Johann Sebastian (1685-1750), Carl Philipp Emanuel (1714-1788), Johann Christian (1735-1782) Bach, François Couperin(1668-1733), Gottfried Heinrich Stölzel (1690-1749), Johann Adolf Hasse (1699-1783).

Carolyn Sampson, soprano. Mahan Esfahani, clavicorde, clavecin. Juin 2021.

Livret en anglais, français, allemand.

TT 76’49.

Hyperion CDA68387

Après la parution chez le même label de plusieurs albums légitimement remarqués (Partitas, Toccatas…), Mahan Esfahani poursuit son parcours en Bach par la petite porte : les carnets pour la seconde épouse _ Anna-Magdalena _, datés de 1722 et 1725. Lesquels incluent principalement des pages du pater familias _ Johann-Sebastian _, mais aussi des jeunes membres de la fratrie _ des fils _, et d’autres compositeurs que la musicologie a progressivement identifiés, expliquant certaines mentions attributives. Le programme ici entendu s’avère conforme à l’inventaire de ces manuscrits. Malgré l’éviction des Partitas (BWV 827, 830), des Suites françaises (BWV 812-816) bien connues par ailleurs, et de certaines variantes de tonalité, l’essentiel est là, quasi exhaustif. On trouve même deux versions du Menuet BWV 841 & Anh 114, et du _ merveilleux ! _ Bist Du bei mir, chacun joué au clavecin et clavicorde.

Le parcours inclut les pages vocales, ici confiées à la soprano Carolyn Sampson, rappelant qu’Anna Magdalena était admirée comme chanteuse professionnelle auprès de la cour d’Anhalt-Cöthen. Même si une réputation domestique et didactique entoure ces deux recueils, et celle d’une simplicité d’exécution qui ne prétend pas au chef-d’œuvre, le livret du disque entend restituer un intérêt dégagé de toute misogynie à ces pages qui se pratiquaient dans le cercle familial : « ce ne serait pas si mal de nous essayer à la musique qu’ils considéraient assez dignes d’accompagner leurs pensées et actions les plus intimes ».

..;

Dans la discographie, quelques anthologies du Nötenbuchlein mêlaient clavier(s) et voix à un consort plus ou moins fourni : clavecin, orgue et viole (Gustav Leonhardt, Rudolf Ewerhart, Johannes Koch) autour d’Elly Ameling (Electrola DHM, 1966) ; clavecin, clavicorde, violoncelle (Nicolas McGegan, David Bowles) autour de Lorraine Hunt (Harmonia Mundi, 1991) ; luth, arpanetta, harpes, orgue, viole (Stephen Stubbs, Andrew Lawrence-King, Erin Headley) autour d’un panel de chanteurs (Teldec, 1991) ; clavecin et violoncelle (Luc Beauséjour, Sergei Istomin) autour de la soprano Karina Gauvin (Analekta, 1995) ; violon, viole, clavicorde, orgue positif, clavecin (Julien Chauvin, Christine Plubeau, Aurélien Delage, Olivier Baumont) autour d’Anne Magouët (Bayard, 2015).

Quant à lui, le présent enregistrement alterne un clavicorde d’après un exemplaire bavarois de Johann Heinrich Silbermann, et un clavecin de Miles Hellon (Londres, 1992) d’après Mietke. Dans un avertissement en page 11, teinté d’une ironie dont il cultive le malin plaisir au gré de la présentation de ses albums, Mahan Esfahani précise que l’art de Carolyn Sampson « est responsable de toute amélioration qui pût advenir dans mon jeu solo. Comme d’habitude, les insuffisances sont entièrement miennes ». Aucune insuffisance dans l’interprétation proprement dite, mais les deux instruments apparaissent aussi plats qu’insipides _ hélas ! hélas ! hélas ! _, et se trouvent encore miniaturisés par la prise de son _ indigentissime !!! Pâles spectres en perspective _ voilà…

Ces pages semblent alors émaner d’une fade boîte à musique _ en effet _, ce qui n’est pas pour extraire de l’insignifiante mignardise _ voilà ! _ le cortège de menuets, polonaises et autres musettes. Même la délectable Bergerie de Couperin devient un vain tripotage de fils de soie par une araignée neurasthénique _ ouaf, ouaf. En cette galerie de camées, la voix ample, délicate et suave de Carolyn Sampson, largement épanouie dans la réverbération, ne peine guère à s’imposer voire, par contraste, à se surexposer. Et même si le style cultive une humilité bienvenue. Heureusement, la mezza voce est de mise pour le Schaffs mit mir, Gott, sinon le clavicorde serait inaudible. Dommage que les louables intention et réalisation artistiques se trouvent mouchées par ces instruments si médiocrement captés _ voilà. Même dans l’optique da camera, cette réduction ectoplasmique ressemble trop souvent à une veillée un soir de chandelle morte. Le résultat déçoit, ennuie _ agace et irrite surtout _, et reflète une bien piètre image du foyer du Cantor, qu’on imagine laboratoire fertile et non futile _ voilà. Sur une thématique voisine, on reviendra _ bien _ plutôt aux _ excellentissimespénates de Francesco Corti (Arcana, 2020), autrement attrayantes _ et c’est même peu dire. Car ce nouveau CD, après Concerto nach italienischen Gusto que nous avions récompensé d’un Joker et qui crevait l’écran, ne passe hélas pas _ et même pas du tout _ la rampe.

Son : 4 – Livret : 9 – Répertoire & interprétation : 7

Christophe Steyne

Aller, et même courir, au délicieux CD « Little Books » _ le CD Arcana A 480 ; cf mon article « «  du 7 mai 2022 _ de l’admirable Francsco Corti.

Ce vendredi 15 mars 2024, Titux Curiosus – Francis Lippa

La perpétuation du prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905), suite : cette fois la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935)…

14mar

Dans la continuité de mes articles à propos de la descendance du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après 1888) -Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

et du 6 mars 2024 « « ,

et immédiatement à la suite de mon article d’avant-hier lundi 11 mars « « ,

je m’intéresse aujourdhui à la perpétuation de ce prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905) _ et c’est bien de cette Jenny-ci, Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905), que provient la perpétuation de ce prénom de Jenny au sein de la descendance Revillon d’Apreval de celle-ci _,

mais cette fois dans la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935)

Le couple formé de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935),

mariés à Orléansville _ entre le décès d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, à Orléansville le 8 février 1895, et la naissance de leur premier né, René-Paul d’Apreval, né à Orléanville le 9 octobre 1896 _,

comportera trois enfants :

1) René-Paul d’Apreval, né à Orléanville le 9 octobre 1896 et qui décèdera _ cf son livret militaire classe 1916 qui fournit cette ultime date de 1962 _ après 1962,

et qui épousera à Alger, le 20 avril 1922, Lucienne-Jeanne Chesneau, institutrice de profession ; le couple aura trois enfants :

_ d’abord Jenny d’Apreval, née à Alger le 15 février 1920, et qui décèderaà Beauchamp (Val d’Oise) le 22 novembre 1999 ; celle-ci épousera Jean-Albert-Maurice Cuignache (Ablon-Sur-Seine, 11 décembre 1923 – L’Isle-Adam, 4 juin 2015) ; lesquels ont eu trois enfants :

     _ Marie-Françoise-Lucienne-Jeanne-Micheline Cuignache (Saint-Mandé, 20 mai 1953 – Vélizy-Villacoublais, 18 mai 2007), qui épousera Jean-Louis Profit ; lesquels auront quatre enfants Profit : Charlotte Profit, Olivia Profit, Nicolas Profit, ainsi que Caroline-Tamara-Gabrielle-Jenny Profit (née à Paris 14e le 9 novembre 1986 et décédée à Paris 15e le 6 mars 1987) ;

     _ Philippe-Lucien-Georges Cuignache (né à Saint-Mandé le 22 avril 1955), époux d’Edith-Marie-Marguerite-Tamara Gallois (née à Paris 14e le 9 janvier 1959) ; qui ont trois enfants Cuignache : Alexandre Cuignache (né à Paris 14e le 11 août 1984), époux de Christine Le Tual Laheudrie (née à Paris 16e le 4 mai 1983), et parents à leur tour de trois enfants Cuignache : Charles Cuignache, Mathilde Cuignache et Tatiana Cuignache ; puis Clémence-Anastasia-Marguerite-Marie Cuignache, née à Paris 14e, épouse, à Urrugne, le 28 juin 2013, de Vsevolod Aleksandrovitch Ioffé-Houdiakov ; puis Claire-Ludmilla-Jenny-Henriette Cuignache, née à Paris 14e le 3 janvier 1988, épouse le 16 juin 2023 de Jean de Bagneux ;

     _ et enfin Sophie Cuignache.

_ puis Micheline d’Apreval ;

_ et enfin Alain d’Apreval, né en 1937, et qui décèdera à Nice le 24 juillet 2017 ; qui épousera une prénommée Mireille ;

avec laquelle il aura une fille Amandine d’Apreval,

mère à son tour d’un garçon prénommé Antoine _ sans davantage de précisions jusqu’ici…

2) Marcel Ale d’Apreval (Alger 8 novembre 1898 – 21 avril 1902) _ cf les mentions de son livret militaire.

3) Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (Alger 28 novembre 1899 – ?, ? _ cf ici son livret militaire _), qui épousera à Paris le 28 octobre 1927 Amélie-Louise Legeard (née à Rennes le 26 septembre 1902 et décédée à Agen le 28 décembre 1975) ;

avec laquelle celui-cil aura trois enfants Revillon d’Apreval :

     _ d’abord, l’aîné de Lucien-Georges-Omar :

 _ Georges-Louis Revillon d’Apreval (Affreville, 26 février 1928 – Fréjus, 26 avril 2023) qui épouser Liliane-Amélie-Marie Lacombe (née à          Affreville le 21 novembre 1929), avec laquelle il aura quatre enfants :

          _ d’abord Nicole-Geneviève-Amélie Revillon d’Apreval (née à Affreville au mois de novembre 1952) ;

          _ puis Pierre-Eugène-Lucien Revillon d’Apreval (né à Affreville le 20 juin 1954), qui a épousé à Saint-Nicolas-de-la-Balerme, Lot et Garonne) le 26 août 1978 Marie-Christine Rande (née en 1963) ;

          _ puis Hélène-Lucienne-Marie Revillon d’Apreval (née à Affreville le 13 mars 1958) ;

          _ et enfin Jacques-Daniel-Louis Revillon d’Apreval (Agen, 22 août 1959 – Puget-sur-Argens, 19 septembre 2011), époux, à Agen, le 2 juin 1979, de Véronique-Anne Barriant (née à Périgueux le 19 janvier 1962), dont il divorcera à Draguignan le 5 octobre 1990.

À la génération suivante, celle des petits-enfants de Georges-Louis Revillon d’Apreval (1928 – 2023) et son épouse Liliane-Amélie-Marie Lacombe (1930),

sont présents deux petits-enfants Revillon d’Apreval identifiés jusqu’ici ;

     _ Fabien-Paul-Georges Revillon d’Apreval (Agen, 22 juillet 1979 – Roquebrune-sur-Argens, 6 février 2019)

_ et Lauriane-Océane Revillon d’Apreval (née au mois de décembre 1991) _ et

 

 

;

mais encore trois autres enfants que je n’ai pas réussi à identifier jusqu’ici…

Et à la génération suivante encore,

existe aussi une petite Zoé Revillon d’Apreval (née au mois de juin 2018) ;

sans que je sois ce jour en mesure d’indiquer si ces divers enfants qui portent le patronyme de Revillon d’Apreval, Fabien et Lauriane, et petits-enfants, Zoé, sont des descendants ou bien de Pierre-Eugène-Lucien Revillon d’Apreval (1954), ou bien de son frère Jacques Revillon d’Apreval (1959 – 2011)…

Et enfin, la cadette de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (1899 – ?) et son épouse Amélie-Louise Legeard (1902 – 1975) :

_ Jeanine-Paule Revillon d’Apreval (Affreville, 4 juin 1929 – Jacou, Hérault, 22 février 2023).

Et encore un troisième enfant Revillon d’Apreval…

À suivre et à améliorer…

Ce jeudi 14 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La perpétuation du prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905) : la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa première épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (Orléansville, 1867 – Orléansville, 1895)…

12mar

Dans la continuité de mes articles à propos de la descendance du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) -Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

et du 6 mars 2024 « « ,

et afin de détailler, pour commencer, la descendance des deux épouses successives, Augustine-Marguerite (Orléansville ?, 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ) et Angèle (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935) Morand de la Genevraye _ soient les deux premières nées, en 1867 et 1870, des 7 enfants de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye _, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

je vais partir, ce mardi 12 mars, de la considération de la perpétuation du prénom de « Jenny » parmi la descendance féminine de cette famille Revillon d’Apreval…

Et cela, à partir du couple formé par les deux parents de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946), je veux dire son père Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1825 – Orléansville, 13 janvier 1893) et sa mère Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905)…

De la première épouse Augustine-Marie Morand dela Genevraye de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont nés, Orléansville, en 1887 et 1888, deux enfants :

d’abord un garçon, Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – ? – après octobre 1946), qui épousera une demoiselle Vincente-Hermence Rodrigues, dont il aura deux enfants : le petit Georges Lucien d’Apreval (Bône 28 septembre 1909 – Bône, 16 juin 1925), puis un second garçon, André d’Apreval (Alger, 13 mars 1921 – Marseille, 8 décembre 2011) ; lequel semble avoir eu une fille prénommée Estelle qui vit à Marseille…

Puis une fille, Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912), qui épousera, à Blida le 19 avril 1911, Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi-Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 30 septembre 1956 ; dont naîtra, à Tlemcen le 25 juin 1912, une fille : Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005) ; laquelle épousera à Alger, le 9 avril 1949, Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) ; dont naîtra _ j’ignore pour le moment où, ainsi qu’à quelle date _ Jean-Charles Petronio, qui vit à Revel, en Haute-Garonne _ lequel Jean-Charles Pétronio s’est attaché à établir sa généalogie familiale, au moins à partir des quatre grands-parents de sa grand-mère Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912) : Auguste-Alphonse Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1828 – Orléansville, 13 janvier 1898) et son épouse Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905), d’une part, ainsi que Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après février 1888), d’autre part.

Mais en commettant hélas une erreur sur la descendance de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946) et son épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1866 – ? : en fait 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ; et cela du fait que Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye : à Orléansville le 8 février 1895…

Si Jean-Charles Pétronio n’ignore pas le remariage de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, une fois devenu veuf, avec la sœur cadette de sa défunte épouse : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), il se trouve toutefois que la généalogie établie par Jean-Charles Pétronio semble ignorer de quelle mère, ou bien Augustine-Marguerite, ou bien sa sœur Angèle, sont nés à partir de 1896 les enfants de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) qui vont suivre (à Orléansville le 9 octobre 1896 : René-Paul d’Apreval ; à Alger, le 8 novembre 1898 : Marcel-Ale d’Apreval ; et à Alger le 28 novembre 1899 : Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval) les naissances des premiers nés de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888)… ;

et Jean-Charles Pétronio fait donc erreur en attribuant sur son arbre généalogique à Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (décédée à Orléansville le 8 février 1895) la maternité de René d’Apreval (né à Orléansville le 9 octobre 1896) et la maternité de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (né à Alger le 28 novembre 1899), alors qu’ils sont nés d’Angèle Morand de la Genevraye… ;

il est vrai que dans les mentions diverses accessibles dans la presse consultable aujourd’hui, du couple formé par Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), la plupart du temps l’épouse de Georges-Auguste d’Apreval n’est pas mentionnée avec son prénom (Angèle), mais seulement comme « Madame Morand  de la Genevraye«  ;

et donc, si Jean-Charles Petronio n’ignore pas le remariage de son arrière grand-père Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) avec celle, Angèle, qui était la sœur cadette de sa défunte première épouse Augustine-Marguerite (dont, j’y insiste, Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès, à Orléansville, le 8 février 1895 ; un décès qui, il est vrai, apparaît seulement, du moins à ma connaissance jusqu’ici, dans l’acte de mariage de la fille d’Augustine-Marguerite et son époux Georges-Auguste Revillon d’Apreval, Jenny-Marguerite d’Apreval (1888 – ?), c’est-à-dire le mariage qui a eu lieu à Blida, le 19 avril 1911, de Jenny-Marguerite d’Apreval avec Hugo-Alphonse Maréchal (1881 – 1956) : consulter ici l’acte d’état-civil de ce mariage dans lequel est clairement mentionné la date de décès, le 8 février 1895, à Orléansville, de « feue Morand de la Genevraye, Augustine » , la mère de la mariée Jenny-Marguerite d’Apreval),

Jean-Charles Pétronio ignore cependant que les trois enfants (René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, nés après 1895 (le 9 octobre 1896 à Orléansville, le 8 novembre 1898 à Alger,et le 28 novembre 1899 à Alger), ne sont pas nés d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur de celle-ci, Angèle (1870 – après 1935).

Et si, du premier lit de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont en effet bien nés Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – après le 19 octobre 1946) et Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen, 11 juillet 1912),

ce n’est donc pas le cas de René-Paul d’Apreval (Orléansville, 9 octobre 1896 – ?, après 1962), de Marcel-Ale d’Apreval (Alger, 8 novembre 1898 – ?, 21 avril 1902), ni de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (Alger, 28 novembre 1899 – ?, ?), qui sont tous trois les enfants, non pas de la première épouse de Georges-Auguste d’Apreval (1856 – 1946), Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la seconde épouse de celui-ci, Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935) ..

C’est donc bien ce fait du décès à Orléansville le 2 février 1895 d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, dont n’a pas pris connaissance jusqu’ici Jean-Charles Pétronio, qui le fait ignorer que les enfants René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar, nés après 1895 (en 1896, 1898 et 1899) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, après donc les naissances de ses deux premiers nés qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888), ne sont pas les enfants d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur cadette de celle-ci : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935).  

De Jean-Charles Pétroniofils donc _ j’ignore jusqu’ici et la date et le lieu de sa naissance, en Algérie (à plusieurs reprises, ici et ici, il est qualifié d‘ »Algérois« , par son ami Georges Viéville, en 2014, qui indique que Hugo-Alphonse Maréchal (1881 -1956), le grand-père maternel de Jean-Charles Pétronio, avait été « chargé du bureau des affaires indigènes d’Oran« ) _ de Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) et son épouse _ le mariage a eu lieu à Alger le 9 avril 1949, d’après larbre généalogique réalisé par leur fils Jean-Charles Pétronio _ Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005),

et son épouse _ j’ignore et le lieu et la date de leur mariage _ Martine Monique Rose Bonnet,

est né, au mois d’octobre 1958, Jean-Marc Pétronio, époux de Karine Rodrigues,  qui sont à leur tour les parents de deux filles, Nadège et Laura Petronio, tous résidant à Revel en Haute-Garonne mais j’ignore si parmi les prénoms de celles-ci, Nadège et Laura Pétronio, figure ou pas le prénom de « Jenny« 

Enfin il faut noter que le revélois Jean-Charles Pétronio est un très actif et dynamique membre de la Société d’Histoire de Revel – Saint-Ferréol… 

Demain, je m’intéresserai à la descendance du couple formé par ce même Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946), et sa seconde épouse _ en 1895 ou 1896, à Orléansville… _ Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)…

Ce mardi 12 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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