Archives du mois de février 2024

Luca PIanca sublime, au luth et au théorbe, au service du plus intime de la musique française du Grand Siècle, en un parfait CD « Narcisse au Parnasse »…

29fév

En merveilleux contraste avec ma déception d’hier (« « ) envers un bien tristounet CD Sylvius Leopold Weiss, ce compositeur raffiné si merveilleux,

ce jeudi 21 février,

voici un admirable CD de musique intime du Grand Siècle français par un parfait Luca Pianca _ né à Lugano le 23 août 1958 _ au luth baroque et au théorbe,

en un justissime CD « Narcisse au Parnasse« , le CD Passacaille 1145 _ enregistré à Manno, en Suisse, du 24 au 37 avril 2022…

Avec de sublimissimes « Pièces » d’Ennemond Gautier « Le Vieux » (1575 – 1651),

Pierre Dubut père (ca. 1610 – après 1681),

Pierre Dubut fils (avant 1642 – 1700),

Robert de Visée (1660 – 1720),

Antoine Forqueray (1672 – 1745)

et Charles Hurel (fl. 1665 – 1692)…

Dans lesquelles se perçoit magnifiquement la sublime perfection de l’élégance musicale française la plus intime à son sommet,

dont Weiss (1687 – 1750) est justement, aussi, un plus qu’admirable héritier…

Un récital de chevet indispensable…

Ce jeudi 29 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Comme en appendice teinté de mélancolie à quelques sublimes interprétations de la musique de luth du merveilleux Sylvius Leopold Weiss…

28fév

Le tout nouveau CD _ un peu tristounet _ « Bei Bach zu Hause _ Sylvius Leopold Weiss in Leipzig » de Diego Cantalupi, luth, et Davide Pozzi, clavecin, le CD Cremona MVC 023/67, enregistré à Fontanella (province de Bergame) du 22 au 24 mars 2022, 

m’évoque irrrésistiblement le souvenir enchanté de merveilleux enregistrements discographiques de cette sublime musique pour le luth de Sylvius Leopold Weiss.

Et je renvoie donc ici à quelques uns de précédents articles miens,

tel, surtout et d’abord, l’article «  » du 23 février 2022, à propos du CD « L’Infidèle » de Ricardo Egüez, le CD MA Recording M0871, enregistré en 2005.

Mais aussi à l’article «  » du 3 février 2020,

ou encore l’article «  » du 14 avril 2020…

Que Johann-Sebastian Bach ait admiré profondément le génie de Sylvius Leopold Weiss (Breslau, 12 octobre 1687 – Dresde, 15 octobre 1750) n’a donc rien de vraiment surprenant…


Ce mercredi 28 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques retouches-appoints à un article du 26 février 2021 sur un point que j’y faisais alors à propos de mes recherches sur les familles Bonopéra et Morand de La Genevraye d’Orléansville, en leur alliance, via les Gentet, Rey, Confex, Wachter, à la branche algéroise-algérienne d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey…

27fév

Les coups de fil reçus le 1er février dernier de MM. Matthias et Georges Bonopéra, fils et père, m’ont remis sur le chantier de mes recherches à propos des familles, alliées entre elles, d’Orléansville, entre 1850 et 1940, dans l’entourage immédiat d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ le neveu algérois de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen , 31 août 1920), l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  _, et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)_ j’ai tout récemment appris que le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey avait eu lieu à Orléansville le 10 juin 1896 _ ;

et plus spécialement à propos de la famille Bonopéra, dont le nom de « Bonopéra » apparaît dans le faire-part du décès, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1930, d’Eveline Ducos du Hauron _ là encore, c’est tout récemment que j’ai découvert que Marie-Aimée-Eveline Ducos du Hauron était née à Orléansville  au mois de mars 1898,  entre le 24 et le 30… _, l’épouse de Henri Ducros, et la fille aînée d’Amédée et Marie Louise…

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ou plutôt, et c’est très important, le nom « Bonopéra » n’y apparait, pour la première fois, pas !

Alors que figurait jusqu’alors, sinon nommément « Mme Vve Paul Bonopéra« , du moins le nom générique de la famille « Bonopéra » dans les divers faire-part des familles auxquelles celle-ci était au moins alliée.

On pourrait en déduire que c’est entre ces dates des deux avis de décès, celle du 8 octobre 1935, pour le faire-part du décès de Georges Morand de La Genevraye,  et celle du 2 janvier 1939, pour le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, qu’est probablement décédée, à Orléansville, cette « Madame Veuve Paul Bonopèra mère« …

Ainsi en est-il des divers faire-part de la famille Gadel, à laquelle appartient, depuis son mariage à Orléansville le 11 mars 1905, avec Victor Gadel, la sœur cadette de Marie-Louise Ducos du Hauron, née Rey : Aimée-Laurence Rey, devenue depuis le décès de son époux M. Victor Gadel à Alger le 30 mars 1930, « Mme Vve Gadel » ;

tel, par exemple, ce faire-part de décès-ci, paru dans l’Echo d’Alger le 31 mars 1930 :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

Ou encore, et bien sûr surtout, les faire-part de décès de la famille Morand de La Genevraye,

dont les descendants avaient pour ancêtre direct, cette fois, Marguerite Bonopéra _ l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye, maire d’Orléansville à l’heure de son décès le 25 mai 1904, à Orléansville _la mère des 7 enfants du couple qu’elle formait avec Auguste Morand de La Genevraye : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et enfin Georges Morand de La Genevraye

_ cf mon article «  » du 23 février 2021, dans lequel je mentionne que c’est un long échange téléphonique, entre 16h 44 et 17h 34, le dimanche 21 février 2021, avec Madame Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, qui m’a énoncé la liste complète de ces 7 enfants d’Auguste Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra ; dont elle-même, Françoise Pons, née Morand de La Genevraye à Alger en 1940, est la descendante directe : Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, est en effet arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genecraye, via son père Robert-Auguste Morand de La Genevraye, né à Blida entre le 29 février et le 9 mars  1915 (et époux d’Odette Gallais) ; et son grand-père Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 (et époux de Clémence Orgeret) : le sixième des 7 enfants de Marguerite et Auguste (et j’ignore la date du décès, peut-être à Rabelais, où il était propriétaire viticulteur, ainsi que conseiller municipal, de Jules-Charles Morand de La Genevraye : probablement après 1938, d’après des recherches généalogiques de flapalu, dont j’ignore les sources concernant cette famille Morand de La Genevraye)_ :

ainsi en 1935, lors du décès du dernier né de ce couple _ de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genevraye _, Georges Morand de La Genevraye, à Orléansville, le 7 octobre 1935,

si « Mme Vve Paul Bonopéra«  _ née Confex _ figure en bonne place sur le faire-part de décès du défunt,

c’est en tant que tante par alliance de celui-ci : en effet le défunt mari de celle-ci _ née Confex _, Paul Bonopéra (né à Miliana le 10 janvier 1856), était rien moins que le frère cadet de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1859), la mère de ce défunt Georges Morand de La Genevraye (qui était né à Orléansville le 21 février 1888)…

Et c’est sur cette piste prometteuse de la recherche de l’identité précise de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex _ Paul Bonopéra, son époux était donc né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville, 16 janvier 2016 _, apparentée _ via sa nièce « Mme Vve Louis Gentet » née Wachter, elle-même fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (née à Marseille le 28 décembre 1836, et décédée à Alger le 30 mars 1925 : cette « Mme Vve Wachter » née Confex, sœur de « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex) _ aux Rey-Gentet-Ducos du Hauron,

que je ne tardais pas à me pencher très bientôt aussi, cette fin du mois de février 2021, sur la famille orléansvillaise des Morand de La Genevray,

parce qu’il se trouve très précisément, et pardon si j’y insiste encore ici, que la sœur aînée de ce Paul Bonopéra, Marguerite Bonopéra, née à Miliana le 22 janvier 1849 _ et décédée très probablement à Orléansville entre 1892 et 1901, d’après ce que révèle la lecture des livrets militaires de 1892 et 1901 de deux de leurs deux fils : Alphonse-Jean Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872, et Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 ; le dernier né de leurs 7 enfants, étant ce Georges Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1888, qui est décédé .à Orléansville le 7 octobre 1935… _, se révélait être l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), et la mère de leurs 7 enfants : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et Georges Morand de La Genevraye…

Voici donc,

avec l’appoint-enrichissement de plusieurs retouches en fonction de quelques unes de mes récentes découvertes _ cf mes articles « « ,

«  »

et « «  des 18, 20 et 21 février derniers  _,

la reprise, avec ajouts, de cet article déjà crucial pour ma recherche généalogique de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron et des familles alliées à la famille de son épouse Marie-Louise Rey _ dont la mère était l’orléansvillaise de vieille souche Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886), et le tuteur, après le décès du père de Marie-Louise, Anatole Rey, à Oran le 28 janvier 1890, était son oncle maternel orléansvillais Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)… _,

un article en date, donc, du 26 février 2021 :  « « 


Et à suivre, bien sûr,

Ce mardi 27 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un livre vrai d’amitié profonde et effective : « Le Livre des amis » de Jean Clair mérite absolument ce que livre son titre…

26fév

Ayant achevé hier dimanche ainsi que ce lundi matin de très bonne heure ma lecture du passionnant « Livre des amis » de Jean Clair,

hier par les articles « La famille Cadorin« , « Les somnambules » _ à propos du peintre Guido Cadorin (1892 – 1926) mais aussi de sa famille : son fils Paolo (1918 – 2014), sa fille Ida (1920 – 2018) , et son gendre Zoran Music (1909 – 2005)… _, « Notes pour un parcours » et « Dieulefit » _ à propos du sculpteur Ivan Theimer (1944 -) _,

et ce matin par les articles « Balthus et Rilke : une enfance« , « Les métamorphoses d’Eros » _ à propos de Balthus (1908 – 2001) _ et « Retour à Milan » _ à propos de la peinture italienne et l’expostion de 1980 « Les Réalismes (1919 – 1939)«  _ ,

et aussi après m’être procuré l’enthousiasmant merveilleux album « Sam Szafran – Obsessions d’un peintre« ,

 je puis certifier que ce recueil d’articles rassemblés maintenant par Jean Clair constitue, en effet, un bel et bien véritable et très profond « livre de ses amis artistes » ;

ou « L’autre XXe siècle d’arts plastiques » _ autour de la figure humaine, menacée par les assauts de décomposition du nhilisme ; et je m’inspire, pour qualifier ainsi ce « Livre des amis » de Jean Clair, du livre si important lui aussi, de mon ami Karol Beffa, « L’Autre XXe siècle musical« … _ que celui qu’a cherché à nous imposer la martelante doxa dominante…

Voilà pour le moment,

et à défaut d’un plus clair regard synthétique sur ce recueil magistral qui sait si lucidement et profondément aller à l’essentiel ! 

Ce lundi 26 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter aussi l’interprétation du Concerto RV 278 composé en Bohème par Vivaldi par Giuliano Carmignola et Andrea Marcon dirigeant le Venice Baroque Orchestra en 2004…

25fév

Pour répondre à l’interrogation finale de mon article «  » d’hier samedi 24 février,

je n’ai réussi à dénicher ce matin dans ma discothèque personnelle vivaldienne qu’un seul et unique enregistrement discographique _ à Manzano (Udine) au mois de mai 2004 _ du Concerto pour violon seul RV 278 d’Antonio Vivaldi par Giuliano Carmignola,

et avec Andrea Marcon dirigeant le Venice Baroque Orchestra,

en un extraordinaire et merveilleux CD Archiv 0002894745172 intitulé « Vivaldi – Locatelli – Tartini – Concerto Veneziano« , enregistré à Manzano (province d’Udine) au mois de mai 2004.

En voici un magnifique podcast (de 14′ 50),

comportant à l’image, la partition originale de Vivaldi, sur un papier de Bohème, laissant penser que l’œuvre a pu être effectivement composée là-bas par Vivaldi lors d’un voyage et séjour en 1730-1731…

Jusqu’ici, je n’ai pas trouvé sur le web de vidéo ou de podcast de l’enregistrement de Théotime, à l’Arsenal de Metz, au mois de mai ou au mois de juillet 2022, avec Le Consort, de ce magistral bouleversant Concerto RV 278

Pour en donner une petite idée,

voici le très éloquent commentaire qu’en a fait, en 2004, dans le livret du CD Archiv, Claude-Roger Travers, à propos des liens entre Antonio Vivaldi (Venise, 4 mars 1678 – Vienne, 28 juillet 1741) et cet autre compositeur vénitien qu’est Giuseppe Tartini (Pirano, 8 avril 1692 – Padoue, 26 février 1770) :

« Vivaldi, l’instinctuel, le passionné, ne théorisait pas, il composait. Et Tartini eût été bien surpris de découvrir qu’en 1730, à l’aube de ses propres concepts, un concerto bouleversant comme celui en mi mineur RV 278 pouvait naître de la plume de son vieux rival.

L’Allegro molto initial raconte une histoire. L’orchestre, héraut du drame, développe l’idée narrative principale, puis entre le soliste, héros digne et désespéré. Les harmonies douloureuses, les trilles en suspens, parlent d’amour. En confidence d’abord, en moments animés ensuite, alternant phrases exaltées et longues tenues expressives. Puis, solo après solo, les chromatismes tournent à la plainte, jusqu’au tutti conclusif, où les cordes font écho à sa peine.

Le Largo est un des sommets de tout l’art vivaldien _ rien moins ! Dix mesures durant, inexorables, sur un rythme de doubles croches pointées pratiquement ininterrompues, les couleurs harmoniques changeant imperceptiblement, une scène en clair-obscur se dévoile. Le soliste entre et chante un thème d’une beauté indicible. Simplicité et parfait équilibre de structure : une sorte d’idéal tartinien miraculeusement exprimé avant le lieto fine consolateur de l’Allegro final.
Allegro final où l’espoir renaît dans un discours plus rêveur au débit tantôt lâche tantôt serré« …

Maintenant, il faut comparer les âges respectifs des deux violonistes solistes, Théotime et Giuliano, au moment, en mai ou juillet 2023, à Metz, et mai 2004, à Manzano :

né à Céret le 11 novembre 1995, Théotime Langlois de Swarte avait 27 ans ; 

et né à Trévise le 7 juillet 1951, Giuliano Carmignola avait 52 ans.

L’enregistrement de Giuliano Carmignola, prodigieux _ quasi miraculeux de présence ! _ exprime une merveilleuse maîtrise à la fois sédimentée de toute son expérience vivaldienne, et plus que jamais pleine d’audace _ cf aussi son somptueux triple album Arcana A 550 « The three seasons of Antonio Vivaldi« , enregistré en janvier, février et mars 2023, à Abbiategrasso, avec l’Accademia dell’Annunciata dirigée par Riccardo Doni (cf mon article «  » du 1er novembre 2023)… _,

alors que l’enregistrement de Théotime Langlois de Swarte, fougueux et déjà éminemment poétique, exprime la jubilation de l’approfondissement de sa découverte progressive de l’univers vivaldien, en une très large ampleur et profondeur de champ… Et c’est déjà beaucoup !

Ce dimanche 25 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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