Et maintenant, un tableau de la descendance de Jules-Charles Morand de la Genevraye (né à Orléansville le 17 juin 1881) et son épouse Clémence Orgeret, via leurs quatre enfants : Juliette (1906 – 1998), Lucienne-Marcelle (1910 – 2015), Robert-Auguste (1915 – ?) et Suzanne-Antoinette (1922 – 2014) Morand de la Genevraye…

Posté dans la catégorie Blogs, Histoire par Titus Curiosus

19mar

Dans la continuation de mes articles d’essai d’identification la plus précise et complète possible de la descendance issue du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après 1888) – Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

c’est-à-dire mes articles les plus récents du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

du 6 mars 2024 « « ,

du 11 mars 2024 « «

ainsi que de celui du 14 mars 2024 « «,

après le tableau de la descendance des deux filles aînées de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye,

d’une part Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye ( ?, 1867 -Orléansville, 8 février 1895)

et d’autre part Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)

épouses successives de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

ainsi qu’après le constat d’absence de descendance de leur frére Alphonse-Jean Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922) et son épouse Lucie Tourrenc (Renault, 8 novembre 1881 – ?, ?),

c’est aujourd’hui à un tableau de la descendance de leur frère Jules-Charles Morand de la Genevraye (Orléansville, 17 juin 1881 – ?, ?) et son épouse Clémence Orgeret (?, ??, ?), que j’en viens à m’attacher ici,

via, pour commencer, leurs 4 enfants,

nés en 1906, 1910, 1915 et 1922 :

Juliette Morand de la Genevraye (Orléansville, 25 janvier 1906 – Lagardelle-sur-Lèze, 22 octobre 1998),

épouse de René Raymond (?, 24 juillet 1895 – Menton, 1971) ;

_ Lucienne-Marcelle Morand de la Genevraye (?, 20 février 1910 – Cusset, 24 novembre 2015),

épouse d’Étienne Lauprêtre (Paris 14e, 21 mai 1904 – Saint-Pourçain-sur-Sioule, 6 janvier 1996) ;

_ Robert-Auguste Morand de la Genevraye (Blida, 1915 – ?, ?),

époux d’Odette Gallais (Inkermann, 16 décembre 1919 – ?, ?) ;

_ et Suzanne-Antoinette Morand de la Genevraye (Rabelais, 18 novembre 1922 – Menton, 19 mai 2014),

épouse d’Adolphe Gourgue (Renault, 22 juillet 1921 – Nice, 24 juin 2006).

 

Ce mardi 19 avril 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La belle réussite du florilège « Bernardo Pasquini – Harpsichord Music » du claveciniste Andrea Chezzi pour le label Urania

Posté dans la catégorie Musiques par Titus Curiosus

18mar

C’est une bien belle réussite du claveciniste Andrea Chezzi que nous propose le label Urania avec le florilège (de 51′ 23) du CD « Bernardo Pasquini – Harpsichord Music » _ Urania LAV 14116, enregistré à la forteresse Rocca di Fontanellato, près de Parme, le 6 juin 2023 _,

pour un compositeur, Bernardo Pasquini (Massa di Valdinievole, 7 décembre 1637 – Rome, 21 novembre 1710), successeur à la très raffinée Accademia dell’Arcadia, à Rome, de Luzzasco Luzzaschi (Ferrare, ca. 1545 – Ferrare, 10 septembre 1607) et Girolamo Frescobaldi (Ferrare, 13 septembre 1583 – Rome, 1er mars 1643), et maître, toujours à Rome, notamment de Georg Muffat (Megève, 1er juin 1653 – Passau, 23 février 1704) et Johann-Phlipp Krieger (Nuremberg, 25 février 1649 – Weissenfels, 25 février 1725), qui constitue un chaînon majeur de l’école du clavier en Italie et en toute l’Europe,

dont le succès de son vivant _ notamment auprès des cours à Rome, et des Borghese, et de la reine Christine de Suède (Stockholm, 18 décembre 1626 – Rome, 6 juin 1654) _ fut tel qu’il n’eut pas le souci de laisser des impressions sur papier de ses compositions, trop peu abondantes pour nous aujourd’hui.

Un florilège discographique très réussi _ écoutez-ici ces « Variazioni per Francia«  (4′ 36).

 

Ce lundi 18 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

La contagieuse vitalité jubilatoire des merveilleuses « Symphonies de Hambourg » de Carl-Philipp-Emanuel Bach, en 1773

Posté dans la catégorie Blogs, Histoire, Musiques par Titus Curiosus

17mar

J’aime beaucoup, beaucoup, les « Symphonies de Hambourg » WQ 182 (de 1773) du généreux Carl-Philipp-Emanuel Bach (Weimar, 8 mars 1714 – Hambourg, 14 décembre 1788) _ cf ainsi mon article de la série de mes « Musiques de joie« , au moment du confinement du Covid : « « , en date du jeudi 21 mai 2020…

Aussi ne lui-je que réitérer aujourd’hui la proclamation de ma jubilation à l’écoute du tout récent CD « Carl-Philipp-Emanuel Bach – The Hamburg Symphonies Wq 182«  _ soit le CD Glossa GCD 921134, enregistré à Amsterdam en mai 2021 et septembre 2022 _ de l’Orchestre du XVIIIe siècle, sous la direction ici de son premier violon, Alexander Janiczek…

Un CD comportant aussi un excellent livret intitulé « Les 6 Symphonies Wq 182« , expliquant la position bien particulière de son effectif _ relativement peu nombreux (25 et 24 instrumentistes, et sans vents… _ et surtout de sa destination, pour les connaisseurs (« kenner« ) plutôt que pour les amateurs (« liebhaber« ), d’une musique très audacieuse (« excentrique« ) pour son époque, hors du courant alors à la mode des symphonies pré-classiques et galantes…

Un sommet de l’œuvre, déjà magnifique, du filleul _ et successeur à Hambourg _ de Georg-Philipp Telemann…

Ce dimanche 17 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Naissance, ce mois de mai 2024, du Festival Lucien Durosoir « Mai musical 2024″, autour de Bélus, en pays d’Orthe, pour des oeuvres magnifiques données ici en miroirs ; ou le constat renouvelé de la sidérante singularité Durosoir…

Posté dans la catégorie Musiques, Rencontres par Titus Curiosus

16mar

Une magnifique initiative

pour honorer un compositeur à la très forte personnalité musicale.


De: « Georgie Durosoir »

Objet: Naissance d’un festival

Date: 14 mars 2024 à 09:50:43

Chers mélomanes, chers amis,

Nous avons le plaisir de vous annoncer la création d’un festival de musique de chambre consacré à la mémoire de Lucien Durosoir (1878 – 1955). Nous l’inaugurons par le Mai Musical 2024 dont vous trouverez le détail ci-dessous.

Lucien Durosoir a maintenant conquis la place qui lui  revient dans le concert des grands de l’histoire de la musique. Il est légitime de lui dédier un festival. Celui-ci se tiendra en Pays d’Orthe, dans le pourtour du village de Bélus auquel il lia son destin à son retour de la Grande Guerre, et où il fonda sa famille. Nous avons choisi l’idée du « Miroir », une manière de mettre Lucien Durosoir face à ses contemporains _ voilà ! Sa musique démontre ainsi d’elle-même que cette place n’est pas usurpée. Nous espérons vous retrouver nombreux à ces événements qui enrichiront la vie culturelle de notre région.

Georgie et Luc Durosoir.

Musique de chambre en Pays d’Orthe

             Festival Lucien Durosoir »

         « Mai Musical » 2024

Dimanche 5 mai 2024 : « Sonates en miroir »

Sonates pour violoncelle et piano de Claude  Debussy et de Lucien Durosoir

Duo Stanislas Kim, violoncelle et Marie Günter, piano

Château de Monbet (Saint Lon les Mines, 40300)

Dimanche 12 mai 2024 : « Scherzando ! »

 

Le scherzo, avec sa fantaisie, inspirera « Les Gabriëles », quatuor à cordes

Scherzos de Fritz Kreisler, Lucien Durosoir, Henryk Wieniawski, Quatuor de Claude Debussy

Château de Monbet (Saint Lon les Mines, 40300)

Dimanche 19 mai 2024 : « Durosoir invite Ligeti »

Durosoir Quatuor n° 3 et Ligeti Quatuor n° 1 par le Quatuor Tana

Château de Monbet (Saint Lon les Mines, 40300)

Samedi 25 mai 2024 : « Trio/miroir »

Trios de Debussy, Durosoir, Lili Boulanger par le Trio Ernest,

Église de Bélus (40300)

Tous les concerts ont lieu à 16 heures

Réservations ouvertes à partir du 15 avril

maimusicalLD@gmail.com

Ou : 06 80 89  63 34

Voilà une passionnante initiative, avec de jeunes ensembles de musiciens prometteurs ou déjà confirmés.

Ainsi, du Quatuor Tana, je possède pour ma part 4 magnifiques CDs :

_ le double CD « Seven » des sept premiers Quatuors de Philip Glass,

_ le CD « King Lear » des Quatuors n° 8 et 9 de Philip Glass,

_ et le CD « WTC 9/11 » de Steve Reich…

Du Quatuor n°1 (composé en 1953-1954) de György Ligeti (1923 – 2006),  je possède deux interprétations au disque par le Quatuor Arditti, enregistrées toutes deux à Londres, en 1978, pour le label Wergo _ j’en possède la « special edition«  de 2006 : le CD WER 6926 2 _, et 1994, pour le label Sony Classics_ en formation en partie modifiée : si Irvine Arditti, premier violon, et Rohan de Saram, violoncelle, sont des deux enregistrements de 1978 et 1994, dans celui de 1994, Lennox Mackenzie, second violon, et Levine Andrade, alto, de l’enregistrement de 1978, ont cette fois été remplacés par David Alberman et Garth Knox ; cette interprétation de 1994 (disponible dans le coffret « György Ligeti – Works » de 9 CDs dans la ré-édition-anniversaire de 2010 que je possède : Sony 88697616412) est sidérante d’incisivité et beauté ! C’est magistral !!! _écoutez-ici cette seconde interprétation de 1994 (d’une durée de 20′ 41), elle est spendidissime…

Et il me faut ajouter ici que ce sont mes échanges avec Karol Beffa _ cf son important « György Ligeti » paru chez Fayard en mai 2016 : un magnifique travail  que j’ai dévoré à sa sortie…  _ qui ont aiguillé ma curiosité vers l’œuvre, magistral en effet, de György Ligeti…

À partager,

et bien sûr à suivre…

Francis Lippa

Des confrontations « en miroirs » passionnantes.

Et bravo pour un choix si judicieux de programmes de concerts afin de mettre si bien en valeur l’idiosyncrasie puissante de l’œuvre de Lucien Durosoir

_ cf ma contribution « «  au Colloque « Lucien Durosoir, un compositeur moderne né romantique » qui s’est tenu les 19 et 20 février 2011 au Palazzetto Bru-Zane à Venise ; ainsi que mon article du 23 juin 2020 à propos des trois stupéfiants Quatuors de Lucien Durosoir ; « «  _,

mises ainsi en regard de quelques uns de ses plus excellents contemporains, tant compositeurs que violonistes :

Henrik Wienawski (1835 – 1880)Claude Debussy (1868 – 1918), Lili Boulanger (1893 – 1918), Fritz Kreisler (1875 – 1962), György Ligeti (1923 – 2006)…

Et c’est bien cette très marquante singularité (ou idiosyncrasie), en son siècle, de Lucien Durosoir, à laquelle j’avais consacré la première de mes deux contributions de recherche et analyse au colloque du Palazzetto Bru-Zane à Venise, en février 2011 : «  » _ la seconde de ces deux contributions miennes au colloque de Venise étant : « La poésie inspiratrice de l’œuvre musical de Lucien Durosoir : Romantiques, Symbolistes, Parnassiens, Modernes« 

Ce samedi 16 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour une fois, un partage de déception et agacement, pour un CD passablement raté : le CD Hyperion « Notebooks for Anna-Magdalena » de Mahan Esfahani…

Posté dans la catégorie Blogs, Histoire, Musiques par Titus Curiosus

15mar

Il est rare que je prenne la plume pour dézinguer un CD qui me déçoit au point de passablemenl m’irriter…

Mais c’est hélas la cas pour le CD Hypérion CDA 68387 « Notebooks for Anna-Magdalena« , dont l’écoute au magasin m’avait scandalisé : comment un label de la qualité d’Hyperion avait-il bien pu autoriser la parution d’un tel CD, au son inaudible (!), qui ne rend en rien justice à ce si délicieux cahier de musique intime et familiale de la main de la seconde épouse, Anna-Magdalena, de Johann-Sebastian Bach ?..

Et si je me le permets,

c’est parce que je retrouve sous la plume de Christophe Steyne, pour le magazine Crescendo, à la date d’avant-hier 13 mars, en son article intitulé « Cahiers pour Anna Magdalena : bal des fantômes au logis du Cantor » ,

tout ce que j’avais éprouvé à l’audition irritée de ce CD…

Cahiers pour Anna Magdalena : bal des fantômes au logis du Cantor

LE 13 MARS 2024 par Christophe Steyne

Notebooks for Anna Magdalena. Oeuvres de Johann Sebastian (1685-1750), Carl Philipp Emanuel (1714-1788), Johann Christian (1735-1782) Bach, François Couperin(1668-1733), Gottfried Heinrich Stölzel (1690-1749), Johann Adolf Hasse (1699-1783).

Carolyn Sampson, soprano. Mahan Esfahani, clavicorde, clavecin. Juin 2021.

Livret en anglais, français, allemand.

TT 76’49.

Hyperion CDA68387

Après la parution chez le même label de plusieurs albums légitimement remarqués (Partitas, Toccatas…), Mahan Esfahani poursuit son parcours en Bach par la petite porte : les carnets pour la seconde épouse _ Anna-Magdalena _, datés de 1722 et 1725. Lesquels incluent principalement des pages du pater familias _ Johann-Sebastian _, mais aussi des jeunes membres de la fratrie _ des fils _, et d’autres compositeurs que la musicologie a progressivement identifiés, expliquant certaines mentions attributives. Le programme ici entendu s’avère conforme à l’inventaire de ces manuscrits. Malgré l’éviction des Partitas (BWV 827, 830), des Suites françaises (BWV 812-816) bien connues par ailleurs, et de certaines variantes de tonalité, l’essentiel est là, quasi exhaustif. On trouve même deux versions du Menuet BWV 841 & Anh 114, et du _ merveilleux ! _ Bist Du bei mir, chacun joué au clavecin et clavicorde.

Le parcours inclut les pages vocales, ici confiées à la soprano Carolyn Sampson, rappelant qu’Anna Magdalena était admirée comme chanteuse professionnelle auprès de la cour d’Anhalt-Cöthen. Même si une réputation domestique et didactique entoure ces deux recueils, et celle d’une simplicité d’exécution qui ne prétend pas au chef-d’œuvre, le livret du disque entend restituer un intérêt dégagé de toute misogynie à ces pages qui se pratiquaient dans le cercle familial : « ce ne serait pas si mal de nous essayer à la musique qu’ils considéraient assez dignes d’accompagner leurs pensées et actions les plus intimes ».

..;

Dans la discographie, quelques anthologies du Nötenbuchlein mêlaient clavier(s) et voix à un consort plus ou moins fourni : clavecin, orgue et viole (Gustav Leonhardt, Rudolf Ewerhart, Johannes Koch) autour d’Elly Ameling (Electrola DHM, 1966) ; clavecin, clavicorde, violoncelle (Nicolas McGegan, David Bowles) autour de Lorraine Hunt (Harmonia Mundi, 1991) ; luth, arpanetta, harpes, orgue, viole (Stephen Stubbs, Andrew Lawrence-King, Erin Headley) autour d’un panel de chanteurs (Teldec, 1991) ; clavecin et violoncelle (Luc Beauséjour, Sergei Istomin) autour de la soprano Karina Gauvin (Analekta, 1995) ; violon, viole, clavicorde, orgue positif, clavecin (Julien Chauvin, Christine Plubeau, Aurélien Delage, Olivier Baumont) autour d’Anne Magouët (Bayard, 2015).

Quant à lui, le présent enregistrement alterne un clavicorde d’après un exemplaire bavarois de Johann Heinrich Silbermann, et un clavecin de Miles Hellon (Londres, 1992) d’après Mietke. Dans un avertissement en page 11, teinté d’une ironie dont il cultive le malin plaisir au gré de la présentation de ses albums, Mahan Esfahani précise que l’art de Carolyn Sampson « est responsable de toute amélioration qui pût advenir dans mon jeu solo. Comme d’habitude, les insuffisances sont entièrement miennes ». Aucune insuffisance dans l’interprétation proprement dite, mais les deux instruments apparaissent aussi plats qu’insipides _ hélas ! hélas ! hélas ! _, et se trouvent encore miniaturisés par la prise de son _ indigentissime !!! Pâles spectres en perspective _ voilà…

Ces pages semblent alors émaner d’une fade boîte à musique _ en effet _, ce qui n’est pas pour extraire de l’insignifiante mignardise _ voilà ! _ le cortège de menuets, polonaises et autres musettes. Même la délectable Bergerie de Couperin devient un vain tripotage de fils de soie par une araignée neurasthénique _ ouaf, ouaf. En cette galerie de camées, la voix ample, délicate et suave de Carolyn Sampson, largement épanouie dans la réverbération, ne peine guère à s’imposer voire, par contraste, à se surexposer. Et même si le style cultive une humilité bienvenue. Heureusement, la mezza voce est de mise pour le Schaffs mit mir, Gott, sinon le clavicorde serait inaudible. Dommage que les louables intention et réalisation artistiques se trouvent mouchées par ces instruments si médiocrement captés _ voilà. Même dans l’optique da camera, cette réduction ectoplasmique ressemble trop souvent à une veillée un soir de chandelle morte. Le résultat déçoit, ennuie _ agace et irrite surtout _, et reflète une bien piètre image du foyer du Cantor, qu’on imagine laboratoire fertile et non futile _ voilà. Sur une thématique voisine, on reviendra _ bien _ plutôt aux _ excellentissimespénates de Francesco Corti (Arcana, 2020), autrement attrayantes _ et c’est même peu dire. Car ce nouveau CD, après Concerto nach italienischen Gusto que nous avions récompensé d’un Joker et qui crevait l’écran, ne passe hélas pas _ et même pas du tout _ la rampe.

Son : 4 – Livret : 9 – Répertoire & interprétation : 7

Christophe Steyne

Aller, et même courir, au délicieux CD « Little Books » _ le CD Arcana A 480 ; cf mon article « «  du 7 mai 2022 _ de l’admirable Francsco Corti.

Ce vendredi 15 mars 2024, Titux Curiosus – Francis Lippa

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