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Ecouter le 8 mélodies « D’ombre et de soleil » de Louis Beydts, sur 8 poèmes des « Contrerimes » de Paul-Jean Toulet…

24mar

Ce dimanche,

un très utile apport à mon article du jeudi 21 mars dernier

« « 

que j’ai pris soin de réviser pour y intégrer ce très utile complément à savourer à l’écoute :

je veux dire l’accès aux podcasts des 8 mélodies « D’ombre et de soleil » que Louis Beydts, en 1946, a composées et publiées à partir de son choix, pour ce recueil de mélodies siennes, de 8 poèmes _ de toute beauté ! _ parmi ceux publiés, en 1921, dans le recueil posthume des « Contrerimes » de Paul-Jean Toulet.

En voici le détail,

désormais accessible ici _ en cliquant _ à l’écoute :

_ « Dans la saison qu’Adonis fut blessé » (1′ 39)

_ « Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver » (1′ 25)

_ « Dormez, ami » (1′ 50)

_ « Douce plage où naquit mon âme » (1′ 42)

_ « L’hiver bat la vitre et le toit » (1′ 52)

_ « Iris, à son brillant mouchoir » (1′ 04)

_ « Le temps irrévocable a fui » (2′ 44)

_ « Puisque tes jours ne t’ont  laissé » (2′ 41)

J’y joins aussi

la très intéressante et un peu détaillée notice biographique « Un prince de l’opérette, le bordelais Louis Beydts (1895-1953)« ,

découverte ce dimanche matin sur le site Musica et Memoria

Voilà,

pour aller directement au principal, à partager, de cette très heureuse surprise musicale que constitue ce splendide CD « Louis Beydts – Mélodies & Songs« , le CD Aparté AP 345,

dans l’interprétation au-dessus de tout éloge des magnifiques Cyrille Dubois, ténor, et Tristan Raës, au piano.

Ce dimanche 24 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le formidable CD « Louis Beydts – Mélodies & Songs » de Cyrille Dubois et Tristan Raës : la découverte d’un compositeur (1895 – 1953) inconnu de nous jusqu’ici, bien que bordelais, la confirmation superbement réjouissante du merveilleux talent du ténor Cyrille Dubois (et de son pianiste-complice Tristan Raës) ; et un très précieux coup de projecteur sur le poète magnifique et très singulier qu’a été Paul-Jean Toulet (1867 – 1920)…

21mar

Oui,

c’est bien un formidable CD que ce « Louis Beydts – Mélodies & Songs« , le CD Aparté AP 345, de Cyrille Dubois et Tristan Raës qui nous fait gré à la fois

de la découverte d’un compositeur (notre compatriote bordelais Louis Beydts : Bordeaux, 29 juin 1895 – Caudéran, 15 août 1953), complètement inconnu de nous jusqu’ici ;

de la confirmation, une nouvelle fois, de l’exceptionnel talent du ténor Cyrille Dubois (et de son idéal complice pianiste Tristan Raës) ;

ainsi que d’un très précieux coup de projecteur, fort bienvenu, surtout sur le poète magnifique et très singulier qu’a été Paul-Jean Toulet (Pau, 5 juin 1867 – Guéthary, 6 septembre 1920), dont les parfaites sensualissimes  « Contrerimes » _ publiées post-portem en 1921 _ ont permis le cycle encore plus sensuel de 8 mélodies de Louis Beydts « D’Ombre et de soleil » (de 1946), le sublime sommet de la révélation éblouie que constitue ce CD de si belles mélodies françaises…



En effet,

c’est tout particulièrement ce recueil de mélodies sensualissimes que Louis Beydts, en 1946, et sous le titre de « D’Ombre et de soleil« , a choisi de consacrer à un choix de 8 « Contrerimes » de Paul-Jean Toulet qui, à mon goût, vient toucher au sublime,

tant l’art du compositeur sait si bien servir, par sa musique subtile et merveilleusement juste, le sublime, déjà, de l’art si singulier et merveilleusement touchant, en ses « Contrerimes« , du poète Paul-Jean Toulet _ ce qui m’a ainsi amené à me procurer illico presto le recueil « Paul-Jean Toulet – Œuvres complètes » réunies par les soins de Bernard Delvaille, en 1986, dans la très commode collection Bouquins des Éditions Robert-Laffont…

Et, en cliquant sur les titres de chacun des poèmes de Paul-Jean Toulet, ravissez-vous à chacun des podcasts de ces merveilleuses 8 mélodies du recueil « D’Ombre et de soleil » de Louis Beydts, en lisant aussi les 8 poèmes de Paul-Jean Toulet, d’une sensualité folle, déjà, qu’a choisis de mettre en encore plus sensuelle musique, en son recueil, ce très étonnant compositeur qu’est Louis Beydts :

_ « Dans la saison qu’Adonis fut blessé« , Chansons I d, 

« Dans la saison qu’Adonis fut blessé,

Mon cœur aussi de l’atteinte soudaine

          D’un regard lancé.

 

Hors de l’abîme où le temps nous entraîne,

T’évoquerai-je, ô belle, en vain – ô vaines

          Ombres, souvenirs.

 

Ah ! dans mes bras qui pleurais demi-nue,

Certes serais encore, à revenir,

          La bienvenue. »

 


_ « Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver« , Contrerimes II,

« Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver

          Comme une rouge nue,

Où déjà te dessinait nue

          L’arôme de ta chair ;

 

Ni vous, dont l’image ancienne

          Captive encore mon cœur,

Ile voilée, ombres en fleurs,

          Nuit océanienne ;

 

Non plus ton parfum, violier,

          Sous la main qui t’arrose,

Ne valent la brûlante rose

          Que midi fait plier.« 

 


_ « Dormez, ami… », Contrerimes LXVIII,

« Dormez, ami ; demain votre âme

          Prendra son vol plus haut.

Dormez, mais comme le gerfaut

          Ou la couverte flamme.

 

Tandis que dans le couchant roux

          Passent les éphémères,

Dormez sous les feuilles amères,

          Ma jeunesse avec vous.« 

 


_ « Douce plage où naquit mon âme… », Contrerimes XLVI,

« Douce plage où naquit mon âme ;

          Et toi, savane en fleurs,

Que l’océan trempe de pleurs

          Et le soleil de flammes ;

 

Douce aus ramiers, douce aux amants,

          Toi de qui la ramure

Nous charmait d’ombre et de murmure

          Et de roucoulements ;

 

Où j’écoute frémir encore

          Un aveu tendre et fier –

Tandis qu’au loin riait la mer

          Sous le corail sonore. « 

 


_ « L’hiver bat la vitre et le toit… », Contrerimes XII,

« L’hiver bat la vitre et le toit.

          Il fait bon dans la chambre

À part cette sale odeur d’ambre

          Et de plaisir. Mais toi,

 

Les roses naissent sur ta face

          Quand tu ris près du feu.

Ce soir, tu me diras adieu,

          Ombre, que l’ombre efface.« 

 


_ « Iris, à son brillant mouchoir… », Contrerimes III,

« Iris, à son brillant mouchoir, 

          De sept feux illumine

La molle averse qui chemine,

          Harmonieuse à choir.

 

Ah! sur les roses de l’été,

          Sois la mouvante robe,

Molle averse, qui me dérobe

          Leur aride beauté.

 

Et vous, dont le rire joyeux

          M’a caché tant d’alarmes,

Puissé-je voir enfin des larmes

          Monter jusqu’à vos yeux.« 

 


_ « Le temps irrévocable a fui… » Chansons II,

« Le temps irrévocable a fui. L’heure s’achève.

Mais toi, quand tu reviens et traverses mon rêve,

Tes bras sont plus frais que le jour qui se lève,

          Tes yeux plus clairs.

 

À travers le passé ma mémoire t’embrasse.

Te voici. Tu descends en courant la terrasse

Odorante, et tes faibles pas s’embarrassent

          Parmi les fleurs.

 

Par un après-midi de l’automne, au mirage

De ce tremble inconstant que varient les nuages,

Ah ! verrai-je encore se farder ton visage

          D’ombre et de soleil ?« 

 


_ « Puisque tes jours ne t’ont  laissé… », Dixains XII,

« Puisque tes jours ne t’ont laissé

Qu’un peu de cendre dans la bouche,

Avant qu’on ne tende la couche

Où ton cœur dorme, enfin glacé,

Retourne, comme au temps passé,

Cueillir, près de la dune instable,

Le lys qu’y courbe un souffle amer.

– Et grave ces mots sur le sable :

Le rêve de l’homme est semblable

Aux illusions de la mer.« 

 

Et tâchez d’écouter au plus vite

l’intégralité de ce que Louis Beydts, en ses subtilissimes mélodies, réussit à obtenir des poèmes (de Paul Fort, Robert Honnert, Henri de Régnier, Guillaume Apollinaire et Henry Bataille, aussi) qu’il met en musique, tels que nous les offre ici aussi subtilement Cyrille Dubois et Tristan Raës en ce si beau CD…

Et il me faut aussitôt signaler au passage ici la très grande qualité du livret de ce CD Aparté AP 345, avec tout spécialement, aux pages 21 à 24, un très éclairant « Louis Beydts mélodiste » sous la plume de la musicologue Justine Harrisoncitant, par exemple, à la page 24, ces très justes mots du crtique musical Paul Landormy pour caractériser l’idiosyncrasie de l’art de Louis Beydts :

la musique de Beydts « est une musique de gourmet. Vous y admirez des courbes mélodiques remarquables par leur naturel et leur grâce, une harmonie extrêmement coulante et des modulation d’un imprévu _ après celui, si merveilleux et surprenant, mais si juste, extraordinaire art de l’imprévu, déjà, des « Contrerimes » de Paul-Jean Toulet : « Les contrerimes sont construites autour d’un quatrain à rimes embrassées, alternant octo- et hexasyllabes (8+ 6 +8 + 6), les vers courts rimant avec les vers longs« , précise en son article Justine Harrison, page 21… _ qui enchante, marque d’une sensibilité des plus affirmées. Et c’est un plaisir de choix que nous offre toujours cet exquis compositeur« .
…;

Bien sûr,

nous connaissons et apprécions à un très haut degré l’art superbe de la prononciation, au service des plus fines inflexions du texte, de Cyrille Dubois, inflexions mêlées le plus finement aux subtiles inflexions tant mélodiques qu’harmoniques de la musique, idéalement serties par le piano idoine du toujours parfait Tristan Raës :

pour un parfait service de l’art si délicat _ et sublime _ de la mélodie française tout spécialement…

Lire aussi, à propos de ce rare CD, ces deux récents articles :

_ de Charles Sigel, sur le site de forumopera.com,

« Louis Beydts, Mélodies, par Cyrille Dubois et Tristan Raës« , en date du 9 mars dernier ;

_ et de Nicolas Mesnier-Nature, sur le site de ResMusica,

« Mélodies et chansons de Louis Beydts, magnifiées par Cyrille Dubois et Tristan Raës« , en date de ce jour même, 21 mars 2024…

Et quant à l’art si remarquable du chant, et tout particulièrement dans la mélodie _ et même la mélodie française… _, du cher Cyrille Dubois,

je renvoie ici à 8 de ses précédents CDs _ classés ici dans l’ordre chronologique de leur enregistrement _ainsi qu’aux articles que je leur ai consacrés :

1°) le CD Aparté AP 224 « Lili & Nadia Boulanger – Mélodies« , enregistré à Venise les 8 et 9 mars 2018

_ cf mes articles «  » et « « , en date des 26 février et 2 mars 2020 _ ;

2°) le CD Aparté AP 200 « Liszt – O lieb !« , enregistré à  Paris les 15, 17 et 18 octobre 2018

_ cf mes articles « « , «  » et «  » en date des 5 novembre, 25 novembre et 17 décembre 2019 _  ;

3°) le triple CD  Aparté AP 284 « Fauré- Complete Songs« , enregistré à Paris du 1 au 3 juillet, les 10 et 17 août 2020 et du 14 au 17 juin 2021

_ cf mes articles «  » et «  » en date des 3 juin et 6 août 2022 _ ;

4°) le CD NoMadMusic NMM 117 « Cyrille Dubois & Anne Le Bozec – Schubert Winterreise« , enregistré à La Grange de Mels au mois de janvier 2021 ;

5°) le CD Aparté AP 281 « Christophe Rousset – Cyrille Dubois – François Couperin – The Sphere of intimacy« , enregistré à Paris les 16 et 17 avril 2021

_ cf mes articles «  » et «  » en date des 14 janvier et 25 avril 2023 _ ;

6°) le CD Alpha 924 « So romantique !« , enregistré à Lille au mois de juillet 2021

_ cf mes articles «  » et « «  en date des 19 mars et 17 mai 2023  _ ;

7°) le CD Aparté AP 319 « Jouissons de nos beaux airs !« , enregistré à Pécs, en Hongrie, du 15 au 17 novembre 2021

_ cf mes articles « « , « « , «  » et «  » en date des 20, 22 et 25 septembre et 7 octobre 2023 _ ;

et 8°) le triple CD Harmonia Mundi HMM 902356.358 « Les Heures claires – The Complete Songs – Nadia & Lili Boulanger« , enregistré à Boulogne-Billancourt en février et juin 2022

_ cf mon article «  » en date du 14 mars 2023 _,

8 très remarquables réalisations discographiques, donc, auxquels ce stupéfiant CD « Louis Beydts – Melodies & Songs » vient ajouter un merveilleux complément de service, et à ce degré de si haute qualité, de, tout particulièrement _ à coté, je veux dire, des CDs que Cyrille Dubois a consacrés aussi aux Lieder de Schubert et de Liszt, ainsi que des CDs d’Airs d’opéras, eux, bien sûr, avec orchestre… _, la mélodie française avec piano… 

Bref,

une très marquante découverte, à ces divers et riches égards, que ce singulier et si idéalement réussi CD « Louis Beydts – Melodies & Songs » de Cyrille Dubois et Tristan Raës, pour le label Aparté…

Mais de l’art si fin de Louis Beydts,

écoutez d’abord et surtout les 8 merveilleuses mélodies du recueil « D’Ombre et de soleil » (en 1946), sur les décidément génialissimes « Contrerimes » de Paul-Jean Toulet, parues posthumes en 2021.

C’est le sommet sensualissime de ce sublimissible CD qui vient de paraître pour Aparté.

Ce jeudi 21 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un trop rare intense moment de culture vraie à l’Espace La Croix Davids, à Bourg-sur-Gironde, quand Colette Lambrichs et les Editions du Canoë reçoivent André Bouny, Claude-Luca Georges et Vadim Korniloff…

10mar

Oui,

la rencontre ce dimanche autour de midi à Bourg-sur-Gironde, à l’Espace La Croix Davids, 57 rue Valentin Bernard, quand Colette Lambrichs recevait et présentait, entourée de la passionnante collection des ouvrages édités pas ses Éditions du Canoê, les œuvres des artistes plasticiens Julio Le Parc, Milos Sobaïc, André Bouny, Daniel Nadaud, Vadim Korniloff et Claude-Luca Georges _ ainsi que quelques unes, superbes !, des siennes, discrètement placées dans une petite pièce un peu retirée de ce bel Espace… _ en présence de Claude-Luca Georges, André Bouny et Vadim Korniloff,

a été un rare moment de culture vraie et authentique, dans une ambiance décontractée extrêmement sympathique.

Pour ne rien dire de la très amicale teneur des échanges spontanés qui ont suivi…

Et la très jolie petite cité médiévale de Bourg-sur-Gironde a bien de la chance de disposer d’un tel Espace de rencontres culturelles vivantes de cette remarquable teneur…

L’exposition des œuvres de ces artistes et de la collection des livres des Editions du Canoë, en cet Espace La Croix Davids aura lieu de ce dimanche 10 mars au dimanche 21 avril 2024.

Ce dimanche 10 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un livre vrai d’amitié profonde et effective : « Le Livre des amis » de Jean Clair mérite absolument ce que livre son titre…

26fév

Ayant achevé hier dimanche ainsi que ce lundi matin de très bonne heure ma lecture du passionnant « Livre des amis » de Jean Clair,

hier par les articles « La famille Cadorin« , « Les somnambules » _ à propos du peintre Guido Cadorin (1892 – 1926) mais aussi de sa famille : son fils Paolo (1918 – 2014), sa fille Ida (1920 – 2018) , et son gendre Zoran Music (1909 – 2005)… _, « Notes pour un parcours » et « Dieulefit » _ à propos du sculpteur Ivan Theimer (1944 -) _,

et ce matin par les articles « Balthus et Rilke : une enfance« , « Les métamorphoses d’Eros » _ à propos de Balthus (1908 – 2001) _ et « Retour à Milan » _ à propos de la peinture italienne et l’expostion de 1980 « Les Réalismes (1919 – 1939)«  _ ,

et aussi après m’être procuré l’enthousiasmant merveilleux album « Sam Szafran – Obsessions d’un peintre« ,

 je puis certifier que ce recueil d’articles rassemblés maintenant par Jean Clair constitue, en effet, un bel et bien véritable et très profond « livre de ses amis artistes » ;

ou « L’autre XXe siècle d’arts plastiques » _ autour de la figure humaine, menacée par les assauts de décomposition du nhilisme ; et je m’inspire, pour qualifier ainsi ce « Livre des amis » de Jean Clair, du livre si important lui aussi, de mon ami Karol Beffa, « L’Autre XXe siècle musical« … _ que celui qu’a cherché à nous imposer la martelante doxa dominante…

Voilà pour le moment,

et à défaut d’un plus clair regard synthétique sur ce recueil magistral qui sait si lucidement et profondément aller à l’essentiel ! 

Ce lundi 26 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Lecture en cours des 34 articles, à savourer, du « Livre des amis » de Jean Clair…

11fév

Sur les 34 articles _ de longueur et de fonction diverses _ que compte « Le Livre des amis » de Jean Clair, j’en ai lu, à cette heure du dimanche soir 11 février, 19 pour le moment _ je les savoure… _ :

ceux consacrés à Avigdor Arikha (2/2), Francis Bacon (1/1), Balthus (1/3), Claude Bernard (1/1), Louise Bourgeois (1/1), Françoise Cachin (1/1), Lucian Freud (1/1), Claudia Gian-Ferrari (1/1), David Hockney (1/1), James Lord (1/1), Raymond Mason (1/1), Zoran Music (2/2), Brice Parain (1/1), J.-B. Pontalis (1/1), Sam Szafran (1/1), et Claude Terrasse (1/1).

Me restent ainsi à lire ceux consacrés à Pierre Alechinsky (1/1), Balthus (2/3), Guido Cadorin (2/2), Henri Cartier-Bresson (2/2), Joseph Erhardy (1/1), Roseline Granet (1/1), Philippe Roman (1/1), Ivan Theimer (2/2), Paolo Vallorz (1/1) et Xavier Valls (1/1)

Ce dimanche 11 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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