Une réponse à la question : « Qui étaient Lili et Tataba » Ducos du Hauron ? Ou l’entretien des liens de famille chez les Ducos du Hauron…
À la question « Qui étaient Lili et Tataba ?«
que s’est posée, en un courriel que m’a très aimablement adressé Louis Allard _ arrière-petit-neveu, via sa grand-mère Étiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996) et sa mère Jacqueline Lamarque (Fontainebleau, 17 juin 1921 -Paris 17e, 14 février 2018) des deux nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1929), Marguerite-Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 19 novembre 1971) et Marie-Alice (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) Ducos du Hauron, filles d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)… _ le 20 juillet dernier, à la suite des mots agréablement échangés à Lectoure le 15 juillet dernier :
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« Bonjour Francis,
Je replonge un instant dans votre blog avec plaisir…
C’est anecdotique, mais apprenez que Marie-Alice Ducos du Hauron et Margueritte-Jeanne étaient surnommées Lili et Tataba (qui étaient Lili et Tataba, je ne puis vous le dire) puisque j’avais 11 ans à leurs décès« _ en 1971 _,
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il me semble pouvoir dire que « Lili » était Marie-Alice,
et « Tataba » Marguerite-Jeanne…
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Et l’oncle de Louis, Claude Lamarque _ né en 1942 _, se souvient lui aussi fort bien _ ainsi qu’il me l’a raconté en notre longue conversation téléphonique du 19 décembre 2020 _, de ses deux adorables grand-tantes auxquelles il rendait fréquemment visite, tant en leur domicile parisien du 23 rue d’Argenteuil (Paris 1er), qu’en leur maison de retraite de Neuilly-sur-Seine, où toutes deux sont décédées, l’une après l’autre, et nonagénaires, la même année 1971…
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Marie-Alice et Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron, décédées toutes deux nonagénaires, en 1971, ont ainsi durablement survécu à leurs frères Gaston, précocement décédé, à l’âge de 41 ans, à Savigny-sur-Orge le 25 mars 1912 ; et Amédée, décédé, à l’âge de 68 ans, à Alger. Et, leurs longues vies durant, Lili et Tataba ont ainsi été une mémoire vivante de leur famille, et en particulier de leur cher oncle Louis, décédé, lui, à l’âge de 82 ans ;
de même que, demeurées toutes deux célibataires, elles ont veillé de très près à leurs neveux et nièces _ en particulier Simone Ducos du Hauron (Saint-Maurice, 20 mai 1900 – Bayeux, 22 novembre 1955 ; la sœur cadette d’Étiennette), atteinte d’une sévère schlérose en plaques depuis 1944, et soignée par sa tante Marguerite-Jeanne ; cf ce qu’en dit Marie-Alice en une lettre du 6 août 1948, que je rapporte dans le post-scriptum de mon article du 6 décembre 2020 : « Louis Ducos du Hauron : afin de mieux comprendre le contexte des inventions, ma méthode d’enquête (qui ? où ? quand ?)« … _,
puis entretenu de forts liens, leurs vies durant, avec leurs petits-neveux et petites-nièces…
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Ce lundi 24 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa