Fin de ma première lecture du « Je te laisse dormir » (complété par « L’Hirondelle sur le radiateur »), d’Edith Bruck, en la traduction de René de Ceccatty, qui paraît le 6 octobre prochain aux Editions du sous-sol : deux déchirants témoignages hoquetés sur l’absence-présence du disparu : dans la maladie d’Alzheimer (2014-2015), puis la mort (2016-2017), de l’époux de 58 ans de vie presque partagée, Nelo Risi…
Ce jeudi soir 28 septembre,
fin de ma toute première lecture du « Je te laisse dormir » (complété par « L’Hirondelle sur le radiateur« ), d’Édith Bruck, en la traduction de René de Ceccatty, qui paraît le 6 octobre prochain aux Éditions du sous-sol…
…
Je l’avais débutée le lundi 18 septembre dernier, il y a donc 10 jours ; cf mon article « Début de lecture du très attendu, de ma part, de « Je te laisse dormir » d’Edith Bruck, à paraître aux Editions du sous-sol le 6 octobre prochain, en une traduction de René de Ceccatty…« …
…
…
D’abord, je tiens à souligner les deux superbes exergues au second de ces deux récits _ à la page 195 de ce déchirant volume, d’ine écriture bouleversante en sa sobriété à nouveau hoquetée _ : « On se marie pour poursuivre la conversation » ; et « Pourquoi permette à la mort de l’interrompre ?« , de Ford Madox Ford (en « Finies les parades« ) et Julian Barnes…
…
…
…
…
Ce jeudi 28 septembre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa