Et aussi la comparaison-confrontation des pages 107 à 129 du « Pain perdu » (2020) et des pages 109 à 135 de « Qui t’aime ainsi » (1959) d’Edith Bruck : le séjour d’Edith Bruck en Israël, entre le 3 septembre 1948 et 1952, son départ pour Athènes…

— Ecrit le mardi 8 février 2022 dans la rubriqueHistoire, Littératures”.

Ce mardi 8 février, j’achève mon rapide aperçu comparatif des deux récits autobiographiques d’Edith Bruck, de 1959 et 2021, à soixante-deux ans de distance, ses admirables « Qui t’aime ainsi« , en 1959, et « Le Pain perdu » en 2021.

Même si, bien sûr, il me faudra évoquer aussi, ensuite, outre ce récit de son séjour un peu compliqué et amer, pour elle, en Israël _ de 1948 à 1952 ; avec deux mariages supplémentaires et trois divorces successifs : avec Milan Grün, Dany Roth, Tomi Bruck… _ les pages qu’Edith Bruck consacre dans son récit de 2021 à son parcours ultérieur, par Athènes, Istanbul, Zurich, Naples, et enfin Rome _ dont elle n’avait rien voulu dire en son premier récit de 1959… Préférant s’arrêter en ce récit sur sa fuite d’Israël en 1952…

 

Ce mardi 8 février 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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