Réception du « Une passion franco-allemande _ Souvenirs du Goethe-Institut de Bordeaux » de Jutta Bechstein-Mainhagu

— Ecrit le mercredi 7 décembre 2022 dans la rubriqueHistoire, Littératures, Rencontres, Villes et paysages”.

D’abord, un grand merci pour l’envoi de vos « Souvenirs du Goethe-Institut de Bordeaux » que je lirai avec très grand plaisir.

Faire vivre vraiment une institution est quelque chose d’important, voire essentiel. 

Assurer et assumer un passage. Et plus que jamais dans le monde d’aujourd’hui !

Et le Goethe-Institut a eu un rôle culturel très vivant à Bordeaux – même pour un non germanophone comme moi.
Mais ma curiosité pour toutes les cultures d’Europe a toujours été très vive !
Je n’ai pas encore lu intégralement votre livre, mais je l’ai aussitôt parcouru avec le plus vif intérêt !
Ma curiosité n’a pas de frontières, même linguistiques…
Francis (et Titus Curiosus)
Telle a été ma réaction à la réception du « Une passion franco-allemande _ Souvenirs du Goethe-Institut de Bordeaux » de mon amie Jutta Bechstein-Mainhagu, cheville ouvrière de ce Goethe-Institut de Bordeaux depuis 1972.
Et pour ma part, c’est à l’occasion d’un hommage à _ l’extraordinaire _ Thomas Bernhard _ lire en priorité les 5 volumes de son admirable « Autobiographie » « L’Origine« , « La Cave« , « Le Souffle« , « Le Froid«  et « Un Enfant«  ; sans contestation une des œuvres les plus fortes du XXe siècle ! _ que, non germanophone, j’ai franchi pour la première fois le seuil et grimpé les larges escaliers du Goethe-Institut de Bordeaux, domicilié alors Cours de Gourgue _ dans le beau bâtiment de l’ancienne Trésorerie _, et non pas, comme aujourd’hui Cours de Verdun _ dans le non moins beau bâtiment qui l’abrite désormais.
Et très vite j’ai fait la connaissance de Jutta Bechstein, et suis devenu un familier de ce Goethe-Institut et de ses riches conférences et rencontres avec de passionnants écrivains ; ainsi qu’ami fidèle de Jutta avec laquelle j’ai eu de nombreuses belles conversations littéraires et philosophiques.
Etc., etc.
Et Jutta m’a aussi fait faire la connaissance de son amie Elke Jeanrond-Premauer, l’organisatrice d’un séminaire marquant consacré à Hannah Arendt au Château d’Orion, en Béarn, les 28 et 29 avril 2014, dans lequel j’ai pu communiquer l’état de mes recherches (et découvertes !) sur le parcours en France de Hannah Arendt, dont son passage au camp de Gurs en 1940, à Lourdes _ cf aussi le témoignage de Lisa Fittko : l’admirable « Chemin des Pyrénées«  _, Montauban _ où Hannah retrouva son mari et résida, cachée, un long moment au-dessus d’un atelier de photographe, que j’ai pu identifier… _, Marseille _ cf le « Livrer sur commande » de Varian Fry à propos de son réseau de sauvetage des Juifs et des artistes, en 1940-41… _, avant un départ compliqué, via l’Espagne et puis Lisbonne, vers les États-Unis…
Ce mercredi 7 décembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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