Nouvelle virée à Ciboure jeudi dernier : découverte des noms Delouart et Cerciat gravés sur une tombe parmi les plus anciennes du vieux cimetière du Belvédère…
Lors de ma nouvelle virée à Ciboure jeudi dernier 28 novembre, et lors d’une passionnante prospection de plus de deux heures dans les rues de Ciboure, rue du Quai, rue Pocalette, et dans les quartiers Pocalette et Bordagain-Achotarreta, à la recherche de l’identification des diverses maisons _ certaines toujours existantes, d’autres remplacées par de nouvelles constructions… ; des photos en seront prises pour le livre à venir, et à la meilleure lumière possible… _ où ont résidé des membres des diverses lignées de cette famille cibourienne des Delouart _ je veux dire ici les 4 lignées issues du couple de Gratien Delouart (1748 – 1798) et son épouse Sabine Latxague (1745 – 1845)… _ dont est issu, par sa mère Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840, maison Bourbouillonbaita n° 118 au quartier de Pocalette – Paris, 5 janvier 1917), Maurice Ravel, né, lui, à Ciboure le 7 mars 1875, rue du Quai n° 12, en la maison San Estebenia _ une porte donnant alors à l’adresse du 12 rue du Quai et l’autre à l’adresse du 12 rue Pocalette… _,
Guy Lalanne et moi-même avons, aussi, réussi à déchiffrer les noms de Delouart et Cerciat gravés sur une des tombes les plus anciennes du vieux cimetière de Ciboure, dit cimetière du Belvédère, où, depuis la rue Pocalette, et escaliers aidant, nous avons grimpé, avant de rejoindre plus loin et plus haut la maison Callebayta, à Bordagain _ ou encore au dit quartier Achotarreta : les inscriptions d’état-civil des quartiers ayant varié dans le temps : Bordagain, Achotarreta… _, le domicile de la famille de Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823, probablement au 117 rue Pocalette – Ciboure, 22 novembre 1886, maison Callebaita à Bordagain) _ le fils cadet de Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872, rue Pocalette 6) et son époux Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849, maison Petimentenia n° 153 au quartier de Pocalette) ; le frère aîné de Jacques Goyenague étant Simon Goyenague (Ciboure, 29 novembre 1821, maison n°117 rue Poccalet – Ciboure, 18 avril 1890, rue du Quai n°6, maison Custorenea), celui qui a fait fonction de parrain au petit Joseph-Maurice Ravel, sur les fonts baptismaux de l’église Saint-Vincent de Ciboure, le 11 mars 1875… _ et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832, maison n° 17, rue de Bordagain – Ciboure, 8 novembre 1895, maison Callebaita, Achotarreta), et leurs 7 enfants Goyenague :
Simon (Ciboure, 18 juin 1860, Maison Callebaita, 38, à Bordagain – Ciboure, 14 janvier 1874, Maison Callebaita, quartier Chotarreta),
Marie (Ciboure, 16 avril 1857, maison Calebayta n° 38 au quartier de Bordagain – Ciboure, 18 décembre 1861, maison Calebayta n° 38 au quartier de Bordagain),
Jean-Baptiste (Ciboure, 31 juillet 1860, maison Sopitenia n° 38 au quartier de Pocalette – ?),
Nicolasse (Ciboure, 11 septembre 1864, maison n° 38 à Bordagain – Ciboure, 1er juin 1945, maison Custorenea, 6 rue du Quai),
Gracieuse (Ciboure, 15 juillet 1866, maison n° 38 au quartier de Bordagain – Ciboure, 16 août 1950),
Josèphe (Ciboure, 12 juin 1858,maison 38 au quartier de Bordagain – Ciboure, 2 mai 1870, maison 38 au quartier de Bordagain)
et Alexandrine (Ciboure, 6 juin 1871, maison 38 au quartier de Bordagain – Ciboure, 19 juillet 1872, maison 38 au quartier de Bordagain)…
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Notre périple était parti des repérages de mon article « Essai de répertoire des maisons mentionnées dans les actes d’état-civil de naissance et de décès des individus membres des lignées issues de Gratien Delouart (1748 – 1798) et son épouse Sabine Laxague (1745 – 1845), pour parfaire la connaissance des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel… » (en date du 5 novembre dernier, que j’avais ré-adressé la veille, et à cette fin d’arpentage tous les deux des rues des divers quartiers de Ciboure, à Guy Lalanne, dans lequel j’avais répertorié les maisons _ de naissance et de décès des divers membres des 4 lignées issues de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, maison de Churuenea, quartier Nord, 5 Fructidor an VI, soit le 21 août 1798) et son épouse Sabine Latxague (Ciboure, 1745 – Ciboure, maison Lamacenia n° 137, quartier de la Place, 27 février 1845) _ dont la référence portait un nom de maison, et pas simplement un numéro au sein du quartier : c’était là un premier arpentage pedibus dans les rues de Ciboure…
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Ce samedi 30 novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa