Un bouquet de « glamour » musical _ et autres _ pour « temps de crise »…
Pour passer en douceur le week-end
et/ou supporter les anxiétés/angoisses de ce « tournant » de « crise » (autre que musicale) : celle des « valeurs »
_ et pas seulement rien que (et même loin de là) boursières !!! _,
un « bouquet » de musiques (en CDs) autour de ce « glamour » qui nous fait « fondre » de plaisir, en une explosive douceur « fantastique » _ au sens de « phantasie » (= « fantaisie »), qui « pousse » un peu plus loin la douceur qu’un bonbon, une liqueur, une confiture, une caresse :
…
1) « Debussy/Poulenc« , un récital d’œuvres pour violoncelle et piano, par Jean-Guilhen Queyras & Alexandre Tharaud (CD HMC 902012 Harmonia Mundi) ;
2) « Un Frisson français _ A century of French song« , un récital de mélodies françaises _ de Bizet et Gounod à Poulenc, en passant par Chausson, Duparc, Hahn, Debussy et Ravel _, par Susan Graham (CD Onyx 4030) ;
3) les « Quatuors à cordes » _ « String Quartet in E minor » _ de Gabriel Fauré et _ « String Quartet in D Major« _ de César Franck, par le Dante Quartet (CD Hyperion CDA 67664) ;
4) le « Troisième Livre de Sonates à violon seul avec la basse continue » de Jean-Baptiste Senaillé, par l’Ensemble Baroques-Graffiti (CD Acte Préalable APO 115 ) ;
5) un récital de « Lieder » de Franz Schubert par Bernarda Fink et Gerold Huber, au piano (CD Harmonia Mundi HMC 901991) ;
6) un autre récital de lieder de Schubert : « An mein Herz _ lieder, volume 2 » par Matthias Goerne
accompagné au piano par Helmut Deutsch et par Éric Schneider : un double album Harmonia Mundi, dit « Schubert Édition 2« , HMC 902004.05 ;
7) un récital de mélodies tchèques et moraves de Magdalena Kožená, intitulé « Songs my mother taught me« , accompagné au piano par Malcom Martineau (CD Deutsche Grammophon 477 6665) ;
8) les deux « Quatuors à cordes » de Leoš Janáček, par le Quatuor Diotima (CD Alpha 133) ;
9) un oratorio « baroque » de Giovanni Battista Bononcini « San Nicola di Bari« , par « Les Muffati » (direction Peter Van Heygen) et les chanteurs Lavinia Bertotti, Elena Cecchi Fedi, Gabriella Martellacci et Furio Zanasi (CD Ramée Ram 0806) ;
10) un récital Traincha, avec le Metropole Orchestra (dirigé par Vince Mendoza) intitulé « Who’ll speak for love« et sous-titré « Burt Bacharach Songbook II« , chez « Blue Note » (CD Music from EMI n° 50999 5205512 6).
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Ce (riche) bouquet (musical) tournera autour d’un bien bel échantillon de musique française
autour
d’un récital _ de violoncelle et piano _ Debussy-Poulenc, de pièces élues par deux (très) talentueux interprètes, que sont Jean-Guilhen Queyras & Alexandre Tharaud, « autour » de deux sonates pour violoncelle et piano de ces deux compositeurs (la n°1, en ré mineur, de Claude Debussy (1862-1918), composée en 1915 ; et l’unique de Francis Poulenc (1899-1963), « esquissée en 1940 et terminée en 1948 à la demande de son dédicataire et créateur (aux côtés de Poulenc), Pierre Fournier« , précise le livret du CD, page 6) : un CD « Debussy /Poulenc » par Queyras & Tharaud (CD HMC 902012 Harmonia Mundi) ;
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un récital de toute beauté (« simple » :
à la François Couperin :
« en 1908, Debussy prend connaissance des « Goûts réunis » de Couperin, édités par Paul Dukas, et travaille lui-même à l’édition d’un opéra de Rameau, « Les Fêtes de Polymnie« , dans le cadre de la publication des « Œuvres complètes » du maître _ Jean-Philippe Rameau _ sous la direction de Saint-Saëns« ,
indique, page 4, Anne Roubet, sur le livret du CD ;
…
qui ajoute :
« L’influence durable de ce travail se fait tout particulièrement sentir dans la « Sonate pour violoncelle et piano« , composée en 1915« .
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Mais, « dès 1904 _ poursuit la librettiste, Anne Roubet _, Debussy s’exclamait :
…
« La musique française (…), c’est la clarté, l’élégance, la déclamation simple et naturelle (…). Couperin, Rameau, voilà de vrais français !« .
…
Et aussi :
« Pourquoi ne pas regretter cette façon charmante d’écrire la musique
que nous avons perdue,
aussi bien
qu’il est impossible de retrouver la trace de Couperin ?
…
Elle évitait toute redondance
et avait de l’esprit ;
…
nous n’osons presque plus avoir de l’esprit,
craignant de manquer de grandeur,
ce à quoi nous nous essouflons
sans y réussir
bien souvent »
_ écrivait magnifiquement Claude Debussy.
…
…
Et encore, toujours Debussy :
« Nous avons besoin de méditer l’exemple que nous proposent certaines petites pièces de clavecin de Couperin ;
elles sont d’adorables modèles
d’une grâce et d’un naturel
que nous ne connaissons plus.
…
Rien ne peut faire oublier le parfum
sournoisement voluptueux _ qui ne s’en délectera ? _
la fine perversité inavouée _ et d’autant délectables _
qui rôdent innocemment _ mais oui, parfaitement ! _
autour des « Barricades mystérieuses«
_ de François Couperin,
dit « le grand« , afin de le distinguer (un peu) de son oncle Louis (ca 1626-1661),
plus « grand » encore (!!!), lui,
si cela se peut…
…
Quant à Poulenc,
c’est quasi devenu un lieu commun, dirai-je,
que son exquis goût
pour « l’exquise mauvaise musique«
_ « dans une écriture du plus grand raffinement« ,
précise Anne Roubet, page 7 du livret.
…
D’où cette conclusion d’Anne Roubet, page 8 du livret :
« La tendance _ de Poulenc comme de Debussy _ à passer sans crier gare
_ à la française,
ou d’un François Couperin _
…
la tendance à passer sans crier gare _ donc _ de l’humour et de la distance
au sérieux et à « la chair nue de l’émotion »,
selon les propres mots de Debussy
_ quelle forte, belle, et, plus encore, « juste » expression du maître ! _
…
est sans doute ce qui manifeste le mieux dans le programme présenté ici
_ par nos deux joyeux et sérieux, tout à la fois, « lascars »
et « lurons » : Jean-Guilhen Queyras et AlexandreTharaud _,
…
ce qui manifeste le mieux (…)
la fraternité _ magnifique _ entre Debussy et Poulenc« ;
…
ainsi que
leur « glamour » profond…
me permettai-je d’ajouter
à ce beau commentaire de la performance de ce récital, au disque…
…
Ce (riche) bouquet (musical) tournera autour d’un bien bel échantillon de musique française
autour, ensuite
_ après ce merveilleux CD « Debussy/Poulenc » par Queyras & Tharaud _,
…
d’un florilège de mélodies françaises « Un Frisson français _ A century of French song«
_ de Bizet et Gounod à Poulenc, en passant par Chausson, Duparc, Hahn, Debussy et Ravel, ai-je annoncé _,
« ravissamment » interprétées
_ le choix du mot « frisson » (pour le titre de ce CD-« récital ») est on ne peut plus juste :
…
…
qu’on écoute, par exemple, cette version-ci (à se pâmer !..), de « A Chloris » de Reynaldo Hahn, sur un poème de Théophile de Viau :
un pur « ravissement », vous dis-je… _
…
par l’on ne peut plus délicieuse mezzo Susan Graham
_ de la « Chanson d’avril » de Georges Bizet (1838-1875),
ou de « Au rossignol » de Charles Gounod (1818-1893 :
…
« d’après Maurice Ravel, qui n’est pas l’une des moindres autorités _ en pareille « matière _, « le véritable instaurateur de la mélodie en France a été Charles Gounod ».
D’autres auraient plutôt attribué le rôle à Berlioz, mais Bizet aurait certainement été de l’avis de Ravel : lui-même _ Bizet _ disait à Gounod, vieil ami et mentor, qu’il _ lui, Gounod _ était le commencement de sa vie d’artiste,
qu’il _ lui, Bizet _ jaillissait de lui _ de lui, Gounod _ ;
_ sentiment joliment illustré dans sa « Chanson d’avril« , qui semble dériver de la « Chanson de printemps« « ,
indique, et commente, à propos de cette « filiation mélodique » à Gounod,
Gerald Larner, en sa présentation du programme, à la page 10 du livret)
…
jusqu’à « La Dame de Monte-Carlo« , de Francis Poulenc (1899-1963, donc), sur un texte de Jean Cocteau, en 1961… _,
en un CD Onyx 4030 ;
…
et autour de
_ troisième « pièce de base » de ce « bouquet de musique » « glamour » _
autour des Quatuors à cordes,
créés,
celui de César Franck (1822 – 8 novembre 1890), le 19 avril 1990, à la salle Pleyel _ à Paris _,
et, celui de Gabriel Fauré (1845 – 4 novembre 1924), en mi mineur, opus 121, créé (posthume) à la salle du Conservatoire, le 12 juin 1925 :
ici, les « String Quartet in E minor de Gabriel Fauré et String Quartet in D Major de César Franck« , interprétés tant avec la flamme d’une ferveur ardente, qu’avec la plus parfaite justesse _ et finesse de nuances _ de sensibilité par le Dante Quartet
(CD Hyperion CDA 67664),
soient Krysia Osostowicz et Giles Francis, violons, Judith Busbridge, alto, et Bernard Gregor-Smith, violoncelle :
…
un moment de musique assurément très « fort »
en sa sublime délicatesse,
et un disque promis à marquer durablement la discographie
de tels chefs d’œuvre majeurs
de la musique française…
…
Autour de ce « buisson » de musique française riche de « glamour »
parfaitement dosé
_ tant pour les œuvres que pour les interprétations qui, en ces CDs-ci, parfaitement les « servent » _,
je disposerai
_ en « rhizome » ? l’image convient-elle à un « bouquet » ?.. _,
d’abord,
le « Troisième Livre de Sonates à violon seul avec la basse continue » de Jean-Baptiste Senaillé « le fils » (1687-90 – 1730), par l’Ensemble Baroques-Graffiti,
constitué en l’occurrence du violon de Jaroslaw Adamus,
du clavecin de Jean-Paul Serra,
et du violoncelle de Frédéric Audibert, pour la « basse continue » :
un très joli précoce répertoire des toutes premières sonates pour violon françaises,
parues à Paris en 1716, pour ce troisième livre (en ce CD Acte Préalable APO 115)
_ celles du premier livre de Senaillé : « Recueil de plusieurs Sonates françaises avec la basse continue » parurent en 1710, à Paris :
et un CD d’extraits de ces sonates fut _ très joliment aussi, déjà _ donné au disque en 2004 par Odile Edouard, au violon, Freddy Eichelberger, au clavecin, et Emmanuel Jacques, au violoncelle, en un CD K617 : « Premier Livre de Sonates à violon seul avec la Basse Continue, composées par M. Senaillé le fils« , CD K61764 _ ;
suivi encore par deux autres « livres » de telles « Sonates à violon seul avec la basse continue » :
en 1722, un nouveau « Recueil de plusieurs Sonates françoises avec la basse continue et autres pièces de symphonies à deux et trois parties » ;
et jusqu’en 1627, pour un cinquième,
pour ce compositeur parisien qui mourut « le 15 octobre 1730, à Paris, rue du Petit Pont« , et fut « enterré à Saint-Séverin » _ indique la page 6 du livret K617…
Cette musique pétille de vie…
…
Puis,
pour compléter,
mais hors « musique française », cette fois,
ce « bouquet » de « glamour » musical,
…
je placerai _ en « faire-valoir » de luxe (!!!), en quelque sorte _ les délices offertes
par les deux _ proprement merveilleux, tous les deux ! _ récitals de mélodies (ou lieder) de Schubert (1797-1828) :
…
d’une part, d’un côté du « bouquet »,
les « Lieder » par Bernarda Fink (et Gerold Huber, au piano) _ un somptueux de musicalité tendre et sobre (toute de « probité ») _ CD Harmonia Mundi HMC 901991 ;
…
et d’autre part, de l’autre côté du bouquet,
le double récital « An mein Herz _ lieder, volume 2«
par les tout aussi somptueux de musicalité tendre et sobre (toute de « probité »), mais oui ! (que l’unique Bernarda Fink, et son accompagnateur, Gerold Huber) , Matthias Goerne
et Helmut Deutsch, pour un premier Cd,
et Eric Schneider, pour un second :
double album Harmonia Mundi, dit « Schubert Edition 2« , HMC 902004.05 ;
…
des interprétations, l’une et l’autre,
par la mezzo, comme par le baryton,
comme on en rêve (pour quelque « île déserte » fantasmée…) :
la chose même tout « simplement » « donnée » là,
en quelque sorte,
…
dans l’amitié que « purent » être,
dans la grâce de leur « meilleur »,
les « schubertiades« ,
se laisse-t-on à « imaginer »…
…
Et encore,
en ce « florilège »,
dans l’ordre toujours du « récital de mélodies »,
et un peu en profondeur, sur le « plan » du « bouquet » (de musique),
…
le très émouvant _ et tout de « simplicité », lui aussi _ récital de mélodies tchèques et moraves
_ l’interprète, mezzo-soprano encore, est elle-même née à Brno, en Moravie
(où Janáček a vécu, et « la ville a un lien si fort avec sa personne qu’on sent sa présence« , confie Magdalena Kožená, page 16 du livret) _
de Magdalena Kožená,
intitulé « Songs my mother taught me«
_ d’après la mélodie « Když mne stara matka » d’Antonín Dvořák (1841-1904) : superbe de tendresse !.. _ :
soient des mélodies de Leoš Janáček (1854-1928), Antonín Dvořák, Erwin Schulhoff (1894-1942 _ au « camp » de Teresienstadt), Petr Eben (1929-2007), Jan Josef Rösler (1771-1813), Vítězslav Novák (1870-1949) et Bohuslav Martinů (1890-1959) ; et tout cela, à partir d’une mélodie traditionnelle : « Kebych bola jahodú » _ « Si j’étais un fraisier » _ afin d’entr’ouvrir la porte (et la voix) aux souvenirs…
accompagnée au piano par Malcom Martineau,
en un CD Deutsche Grammophon 477 6665.
…
Puis,
en _ poignant _ contrepoint, cette fois,
à ces mélodies moraves _ et silésiennes, aussi _,
…
de l’unique _ toujours ! en son génie à mille lieues d’un autre approchant… _ (et morave) Leoš Janáček (Hukvaldy, 1854 – Ostrava, 1928),
une très puissante fervente interprétation des deux « Quatuors à cordes » du même Leoš Janáček, par le Quatuor Diotima
_ qui avait si bien « réussi » les trois « Quatuors à cordes » de Lucien Durosoir (CD Alpha 125 ;
cf mes 2 articles sur ce blog :
« musique d’après la guerre » ;
et « de la critique musicale (et autres) : de l’ego à l’objet : vers un dialogue« ) _,
…
il s’agit du tout nouveau CD Alpha 133…
…
Le « Quatuor » n° 2 « Lettres intimes »
_ « composition fébrilement réalisée entre le 29 janvier et le 17 février 1928« , indique la notice d’Alain Poirier à la page 10 du livret du CD : le compositeur mourant, à Ostrava, le 12 août 1928 ; « j’ai appelé l’œuvre « Lettres intimes« », a conclu sa lettre à Kamila Stösslová, le 20 février : « cette liaison essentiellement épistolaire (…) a littéralement illuminé les dernières années de la vie de Janáček« , précise le librettiste, toujours page 10 _
donne lieu en ce Cd à deux versions de ce second et ultime quatuor :
une avec alto,
l’autre avec viole d’amour
_ pour lequel instrument, Garth Knox vient remplacer l’alto de Franck Chevalier au sein du quatuor à cordes Diotima : les violonistes Naaman Sluchin & Yun-Peng Zhao, et le violoncelliste Pierre Morlet…
Ainsi l’auditeur est-il à même de se faire une idée qualitativement très précise à l’oreille ;
et « confronter les deux versions » de cette sublime œuvre (« terminale ») de Janáček : « l’originale avec viole d’amour ayant un charme très particulier et probablement plus proche de ce que souhaitait Janáček« , indique Alain Poirier page 11 : « intensément séduisante« …
…
Et pour terminer _ enfin… _ le bouquet de ce « glamour musical » de mon titre,
je placerai, encore,
deux pièces (ou « fleurs ») un peu plus « éloignées » du « centre » du « bouquet » :
…
d’une part,
un magnifique _ et « éclatant » (= « romain » !) _ oratorio « baroque » _ « a quattro con concertino e con grosso » _ en 1693,
alors que Giovanni Bononcini travaille alors à Rome pour les prestigieux princes Colonna (et La Cerda),
en 1693, donc ;
…
l’oratorio de Giovanni Battista Bononcini
(Modène, 1670 – Vienne, 1747 : il allait être _ dans les années 1720 _ un prestigieux « rival », pour l’opéra, à Londres de George Frédéric Haendel)
pour la musique,
et de Silvio Stampiglia (1664 -1725), pour le livret :
…
« San Nicola di Bari« ,
interprété jubilatoirement ici par « Les Muffati » que dirige Peter Van Heygen
et _ en parfaite italianité ! _ Lavinia Bertotti, soprano, Elena Cecchi Fedi, soprano, Gabriella Martellacci, alto, et Furio Zanasi, basse.
Le CD Ram 0806 est superbement produit par Ramée.
…
Et, enfin,
en fond du « bouquet »,
pour lui donner comme une pointe d’ampleur,
et de « retentissement », encore,
en un tout autre « genre »,
…
_ at last, but not at least : pour une autre « bonne« , et excellente, même, « bouche » _,
un récital Traincha
_ Trijntje Oosterhuis, superbe chanteuse néerlandaise : quelle voix ! quel timbre ! quelle chaleur (et art) du chant ! _,
avec le Metropole Orchestra (dirigé par Vince Mendoza),
intitulé « Who’ll speak for love«
et sous-titré « Burt Bacharach Songbook II« :
…
on ne peut plus _ et mieux ! _ « glamourous » !
en une collection « The finest in Jazz since 1939« , chez la prestigieuse « Blue Note »
_ un CD Music from EMI n° 50999 5205512 6 :
une merveille de sensualité tendre et chaleureuse ;
qui retentit aussi longtemps en vous…
…
Qu’on peut même compléter, pour le « fun »
_ ad libitum _,
d’abord, par le « Burt Bacharach Songbook I » (autre CD Blue Note, déjà : n° 3768392) ;
…
ensuite, par la riche compilation « The Look of love _ The Burt Bacharach collection«
en 2 CDs Warner (954-39624-2)…
le compositeur _ comme le montrent les photos _ étant un tout fringant jeune homme
de quatre-vingt printemps, à peine, en cet automne 2008…
…
Voilà pour ce « bouquet », aux parfums entêtants, de « glamoureuses » musiques
(et autour :
les « Quatuors » de Janáček étant, peut-être, en partie du moins, semble-t-il, d’une autre « veine »
que le « glamour »
_ comme « adjacente » au « glamour », si l’on veut bien… _,
…
en contrepoint _ « au chaud » _ des nouvelles un peu plus agressivement _ ou aigrement _ « venteuses », elles, ces temps-ci,
d’un monde
où des Bourses _ et des « valeurs » _ vont,
ces jours-ci,
« dégringolant »…
…
Titus Curiosus, ce 11 octobre 2008
Photographies : Sans Titre, © Bernard Plossu