Agen : un pôle névralgique du parcours de Louis Ducos du Hauron ; mais aussi de certains de ses petits-neveux et nièces Lamarque…

— Ecrit le lundi 21 décembre 2020 dans la rubriqueHistoire, photographie”.

La ville d’Agen a accueilli à plusieurs reprises le parcours d’existence de Louis Ducos du Hauron,

eu égard à la série des divers postes, au Trésor, occupés par son père Amédée Jérôme Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), puis par son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), à la magistrature,

jusqu’au retour final à Agen l’année même, 1920, de son décès le 31 août 1920, dans la maison du 58 de la rue Lamouroux ;

et sans oublier le caveau familial du cimetière de Gaillard,

dans lequel Alcide avait décidé d’être inhumé

_ et j’ignore où est inhumé Amédée Jérôme Ducos du Hauron, le père, décédé, lui, à Auch, le 14 octobre 1863…

Mais Agen a continué de constituer un pôle névralgique d’au moins une branche des neveux et nièces, puis petits-neveux et petites-nièces de Louis Ducos du Hauron, à partir de ce mois d’août 1914 où la veuve d’Alcide, Césarine-Marie de Fourcauld, après avoir quitté Savigny-sur-Orge pour le hâvre familial des de Fourcauld au Temple-sur-Lot _ sous la menace de l’avancée des troupes allemandes vers Paris, cet été 14 _, a, en 1920 _ suite à un décès familial des de Fourcauld _, rejoint Agen avec ses deux filles Marguerite et Alice Ducos du Hauron, et ses deux petites-filles Etiennette et Simone Ducos du Hauron, accompagnées par son beau-frère Louis Ducos du Hauron.

C’est donc à Agen qu’Etiennette Ducos du Hauron a épousé, à l’église des Jacobins d’Agen, son cousin _ côté Lamarque, celui de sa mère Edmée _ Alfred Lamarque, le 20 juillet 1920 ;

comme c’est à Agen, qu’à peine un mois plus tard, Louis décédait, le 31 août 1920 ;

et c’est encore à Agen, que décédait au mois de mai 1923 la veuve d’Alcide (et belle-sœur de Louis), Césarine-Marie de Fourcauld.

De même, aussi, que sont nées à Agen au moins les deux premières filles d’Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque :

Jacqueline, en 1921 ou 22 ;

et Geneviève, le 24 juillet 1923…

Et j’ignore si c’est encore à Agen _ ou ailleurs _ qu’est né le troisième de la fratrie des dix enfants Lamarque, Yves :

au gré des mutations _ ferroviaires _ d’Alfred Lamarque…

Et ce tropisme agenais a été si puissant pour les Lamarque

que c’est au cimetière de Bon-Encontre qu’ont décidé _ bien plus tard, à ce que je suppose _ d’être inhumés Alfred Lamarque et son épouse Etiennette :

ce qui advint au mois de décembre 1976, pour Alfred,

et au mois de décembre 1996, pour Etiennette.

Agen pris très tôt en photographie couleur _ depuis le côteau, en 1877 _ par Louis…

Agen : à la rencontre de l’inventeur de la photographie en couleurs

 

Ce lundi 21 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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