A la recherche de la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 1824 – Courbet, 1897) et son époux François-Martin-Molbert (Chaux, 1825 – Mustapha, 1884)

— Ecrit le samedi 27 mars 2021 dans la rubriqueHistoire, photographie”.

Dans ma recherche de descendants des familles apparentées à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron

_ je veux dire la branche issue de l’union entre Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933 _,

 

et dans la perspective d’identifier quelque éventuel actuel descendant qui serait susceptible, par sa connaissance singulière de l’histoire de sa famille, de compléter les données généalogiques que j’ai plus ou moins réussi à réunir par mes « pêches » sur Internet à propos des Wachter, originaires de Rougemont-le-Château, en Alsace, installés en Algérie _ surtout à Mustapha _ à partir de 1844, 1848 _ pour Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904, le fondateur de la manufacture de poterie de Kouba, en 1848, semble-t-il…

ou plutôt, pour les membres de cette branche, installés en Algérie, à la suite de Jean-Baptiste-Claude Molbert _ installé, lui, à Kouba _, entre le mois d’août 1854 _ soit la naissance à Rougemont de Sophie Wachter (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938), fille de Sophie Wachter et de François-Martin Molbert, qui ne reconnaîtra officiellement sa fille que je jour de son mariage, à Birmandreis avec la mère de l’enfant, le 4 avril 1857 _ et le mois d’avril 1857 _ où eut lieu à Birmandreis le mariage des parents de la petite Sophie Wachter, qui devient donc ce jour Mademoiselle Sophie Molbert…

il me faut me pencher sur la branche des Wachter-Molbert issue de l’union entre Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897) et son époux François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) ;

en me demandant lesquels des 6 enfants de ce couple Wachter-Molbert

soient

Sophie Wachter-Molbert (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938),

Louise Molbert (Birmandreis, 12 juillet 1858 – ?,?),

Pierre-François Molbert (Mustapha, 17 juin 1860 – ?,?),

Claude-Jacques Molbert (Mustapha, 17 janvier 1862 – Mustapha, 5 mars 1862),

Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1819)

et Marie-Florine Molbert (?, 1865 – Mustapha, 21 juillet 1880),

respectivement nés en 1853, 1858, 1860, 1862, 1863 et 1865,

a eu une descendance…


Trois d’entre eux ont été mariés :

_ Louise, avec Antoine-Marius Iscariot _ mineur _ ;

_ Pierre-François _ négociant _, avec Joséphine Xuereb ;

_ Charles _ instituteur _, avec Antoinette Nin.

Ni de Louise Molbert, épouse Iscariot,

ni de Pierre-François Molbert, époux de Joséphine Xuereb,

je n’ai trouvé mention de descendance…

En revanche,

Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1919) et son épouse Antoinette Nin (Hussein Dey, 20 septembre 1864 – Orléansville, 29 janvier 1941), qui se sont mariés à Hussein Dey le 14 février 1885, ont eu un parcours de vie intéressant :

ainsi une école d’Alger porte-t-elle le nom de ce Charles Molbert, à la personnalité marquante d’enseignant…

Mais surtout le couple de Charles Molbert etAntoinetteNin a eu un fils, le docteur Jean (ou Jean-François) Molbert, né à Hussein Dey le 3 décembre 1885 _ j’ignore hélas le lieu (peut-être Orléansville…) et la date de son décès _, brillant médecin diplômé des Hôpitaux de Paris, et qui a longtemps exercé sa profession de médecin (et « médecin des épidémies« ) à Orléansville.


Orléansville où décèdera sa mère, Madame Veuve Charles Molbert, née Antoinette Nin, le 29 janvier 1941.

C’est le 8 août 1912, qu’a eu lieu, à Alger, le mariage du docteur Jean Molbert _ domicilié alors à Mouzaïaville _ avec Melle Nathalie Croze, de Blida.

Mais de 1912 à 1941, les diverses mentions de domiciliation de Jean-François Molbert seront toutes à Orléansville.

Cependant, je n’ai découvert jusqu’ici aucune mention de naissance d’un enfant de Jean-François Molbert et son épouse Nathalie Croze.

J’en déduis, au moins provisoirement, que s’arrête avec le docteur orléansvillois Jean-François Molbert la descendance de Sophie Wachter et François-Martin Molbert.

Ce sont les frères de François-Martin Molbert,

Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904) _ et son épouse Hélène Placette (Tarnos, 10 avril 1837 – 10 avril 1919) _

et Pierre-Richard Molbert (Chaux, 28 avril 1834 – Mustapha, 29 janvier 1878) _ et son épouse Jeanne-Florentine Tristant (Lyon, 5 avril 1846 – ?,?) _,

qui ont assuré une descendance à ces Molbert de Chaux,

sinon aux Wachter de Rougemont

_ apparentés aux Wachter et Gentet d’Orléansville, un peu plus tard…

Ce samedi 27 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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