Relecture-révision de l’article du 26 décembre 2020 « A la recherche des modalités de l’apparentement des Gadel aux Ducos du Hauron, en Algérie »

— Ecrit le lundi 8 novembre 2021 dans la rubriqueBlogs, Histoire, photographie”.

Et je poursuis mes relectures-révisions de mes articles de décembre 2020,

avec la révision-relecture de l’article décisif du 26 décembre 2020  :

Voici donc ce que cela donne :

Puisque dans mon article d’hier j’en suis resté seulement aux préliminaires de l’apparentement des Gadel aux Ducos du Hauron d’Algérie,

à partir du décisif (!) faire-part (paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939) du décès, à Alger, dans les derniers jours du mois de décembre 1938, d’Éveline Ducros, née Ducos du Hauron :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix,

ainsi que ses enfants _ Ducros _ ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants _ Gadel _ ;

les familles Ducros,

Ducos du Hauron,

Gadel,

Gentet,

Charavel,

Ferrand,

Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« 

c’est maintenant que j’en viens à mon effort pour mieux situer et cerner le lien familial effectif ayant uni les Ducos du Hauron (ou/et les Ducros)

aux Gadel…

Et cela à partir, d’abord, de la mention du mariage de Robert Gadel _ alors étudiant en pharmacie _ et Iréne Bure, célébré à Alger le 22 décembre 1927, dans un avis de Carnet blanc publié dans Le Progrès d’Orléansville, le 29 décembre 1927 :

« Carnet Blanc. Jeudi dernier a été célébré à Alger, le mariage de Melle Irène Bure, fille de Madame et Monsieur J.-B. Bure, propriétaire à Vauban, avec M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, fils de Madame et Monsieur Gadel, payeur adjoint de la Trésorerie d’Algérie, chevalier de la Légion d’Honneur. Le Progrès est heureux d’adresser ses meilleurs vœux aux époux et ses félicitations aux familles si honorablement connues qui viennent de s’unir.« …

Je commence donc par rechercher qui sont les parents de ce Robert Gadel ;

ainsi que ses grand-parents paternels ;

pour ses grands-parents maternels Rey, d’Orléansville, je ne dispose pas pour l’instant _ cela viendra… _ de précisions.

Le père de Robert Gadel _ fils aîné de ses parents ; j’ignore à ce jour ses lieu et date de naissance _ est Victor-Nicolas-Benjamin Gadelné le 8 juillet 1872 à Grand-Serre (département de la Drôme), et qui décède, à l’âge de 57 ans, en son domicile, 32 rue Eugène Robe, à Alger, le 30 mars 1930.

Et son grand-père paternel est Victor-Alexandre-Philémon Gadel, né à Tarascon (département des Bouches-du-Rhône), le 12 octobre 1835 ; et qui décède à Marseille, en son domicile, à l’âge de 92 ans, le 26 septembre 1927 ;

sa grand-mère paternelle étant Marie-Eugénie-Hortense Rey, la première épouse _ précocement disparue _ de son mari (qui épousera, en secondes noces, à Birkaden (arrondissement d’Alger), le 9 décembre 1886, Marie Morlier.

Pour les décès de ces deux Victor Gadel _ fils et père _, je me réfère aux faire-part de décès _ tous deux bien détaillés _, parus, les deux, dans L’Écho d’Alger,

le 31 mars 1930, pour le père de Robert, Victor-Nicolas-Benjamin,

et le 27 septembre 1927, pour son grand-père, Victor-Alexandre-Philémon.

Et pour ce qui concerne l’identité de la mère de Robert Gadel, et veuve de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

j’ai pu découvrir dans Le Progrés d’Orléansville, que

le 9 mars 1905, M. Victor Gadel, adjudant aux 1ers Tirailleurs, à Cherchell, avait épousé _ voilà !Aimée-Laurence Rey, d’Orléansville :

 j’ignore encore à ce jour si quelque lien de parenté (et lequel…) existe (ou pas) entre cette Aimée-Laurence Rey, épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

et la propre mère de celui-ci, Marie-Eugénie-Hortense Rey, la première épouse de son père Victor-Alexandre-Philémon Gadel ; lequel s’est remarié à Birkaden (arrondissement d’Alger) le 9 décembre 1886…

Et plus encore _ et c’est bien sûr là quelque chose de crucial, et même fondamental, pour cette recherche en cours ! _, j’ignore si existe quelque lien de parenté entre chacune de ces deux dames Rey, Aimée-Laurence et Marie-Eugénie-Hortense _ dont j’ignore encore, et c’est bien dommage, les lieux et dates de naissance et de décès de chacune d’elles : en Algérie ? ou en France ? _,

avec Marie-Louise Rey,

l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, le « fondateur » de la branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron…

Il me faut relever ici, au passage, la fréquence relativement rare _ à part quelque Rey, d’Oran, originaires d’Espagne _ de ce nom de Rey parmi les noms des familles présents dans les faire-part d’État-civil à l’occasion de décès ou de mariages, au sein des listes de familles directement parentes ou bien alliées au défunt, ou aux mariés des mentions d’État-Civil de ces familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel

_ je pense ici aux événements de ce type ayant affecté en cette première moitié du XXème siècle en Algérie, et entre quelques autres, les Gadel, les Bure, les Gentet, bien sûr les Ducros, ainsi que, au cœur de cible de ma recherche ici, les Ducos du Hauron eux-mêmes ;

puisque ces faire-part présents dans les journaux, et aujourd’hui accessibles (assez aléatoirement, il faut le reconnaître _ probablement du fait de la disparition des registres d’État-Civil d’Orléansville et sa région, lors des terribles tremblements de terre d’Orléansville, le 9 septembre 1954 et le 10 octobre 1980 _ sur le web, constituent ma première source d’indices pour repérer présentement des apparentements entre familles, en l’occurrence celles formant la constellation familiale qui m’intéresse autour de ces Ducos du Hauron d’Algérie…

Je poursuis donc mes recherches d’abord sur cette famille Gadel :

jusqu’ici, j’ai pu apprendre que c’est en 1902, le 30 avril 1902, très précisément, que Victor-Nicolas-Benjamin Gadel était entré au 1er régiment des Tirailleurs algériens ; et arrivé à ce corps, en Algérie, le 17 septembre 1902 _ afin de se marier, à Orléansville, le 9 mars 1905, l’adjudant Victor Gadel a bénéficié d’un congé de 5 semaines, allant de ce 9 mars au 16 avril 1905 compris _ ;

et que c’est le 20 décembre 1912 qu’il entre comme commis de 5e classe à la Trésorerie d’Algérie, à Alger ;

pour finir par être Payeur adjoint au Trésor en activité au moment de son décès, à l’âge de 57 ans, le 30 mars 1930…

Nous avançons : à suivre…

Ce samedi 26 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Oui, en effet, nous avançons bien !

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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