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Ce que viennent préciser de la généalogie des Bonopéra d’Orléansville les indications de Madame Rolande Massol, née Legros, descendante à la quatrième génération de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916)…

07juil

Voici donc, ce dimanche matin, les précisions concernant la généalogie des Bonopéra d’Orléansville que m’a adressées par courriel vendredi dernier Madame Rolande Massol, née Legros, concernant la branche de sa famille issue du mariage, à La Ferme (proche d’Orléansville), le 24 mai 1925, entre Georges-Paul Bonopéra  (Rabelais, 5 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) et son épouse Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980),

précisions que j’ai annoncées venir donner ce dimanche 7 juillet en mon article d’hier samedi 6 juillet « « .

Et je rappelle ici brièvement la succession des générations reliant Madame Rolande Massol née Legros, le 2 août 1951 à La Ferme, à son ancêtre maternel Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

selon l’indication conclusive de mon article d’hier :

« Rolande Legros, épouse Massol (La Ferme, 1951),

fille d’Hélène Bonopéra (La Ferme, 1928 – Marignane, 1987),

petite-fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977),

arrière-petite-fille de Jean Bonopéra (Pontéba, 1877 – Orléansville, 1930),

lui-même fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) » ;

et en remontant ici encore deux crans plus haut, aux deux générations précédentes :

le catalan Juan-Dionis-Francisco Bonopera (Tarragone, 9 mars 1814 – Pontéba, 1876)

et son père l’italien de la province des Marches Nicola-Luigi Bonopera (Macerata, ? – Alger, 19 août 1835)

_ cf par exemple mon article du 2 mai 2021 : « « …

Voici donc la généalogie familiale que m’a adressée vendredi Rolande Massol, née Legros :

Roland-André-Louis Legros (né le 6 juillet 1928 et décédé le 25 septembre 1987), époux le 3 septembre 1949 de Hélène-Clémentine Bonopéra (née à La Ferme le 4 septembre 1928 et décédée le 4 mars 1987),

est le fils de Germain-Lucien-Constant Legros (27 novembre 1905 – 15 août 1988) et son épouse, le 7 août 1926, Madeleine-Mathilde Variengien (10 octobre 1903 – 29 juillet 1950).

Hélène-Clémentine Bonopéra (née à La Ferme le 4 septembre 1928 et décédée le 4 mars 1987),

est la  fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) et son épouse, le 25 mai 1925 à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980).

Ce couple de Roland Legros et Hélène Bonopéra a eu 5 enfants :

1) _ Jean-Paul Legros, né à La Ferme le 27 juin 1950, 

qui a épousé à Lambesc le 22 octobre 1977 Régine Michelier, née le 29 avril 1959 ;

et le couple a eu 3 enfants :

Bénédicte Legros (née le 28 mars 1980), et épouse le 1er septembre 2010, de Jean-Wilfrid Barcolin,

parents à leur tour de 2 enfants : Marley Barcolin (née le 26 août 2009) et Mirabelle Barcolin (née le 20 mars 2016) ;

Virginie Legros (née le 14 mars 1981) ;

et Maxime Legros (né le 14 octobre 1988). 

2) _ Rolande Marie-Madeleine Legros, née à La Ferme le 2 août 1951,

qui a épousé le 7 octobre 1978 Guy-Paul Massol (né à Rognac le 11 juin 1954) ;

et le couple a eu 3 enfants :

Roland-Louis Massol (né à Marignane le 15 juillet 1979), époux le 15 septembre 2002 de Virginie Manno (née le 21 janvier 1981),

parents à leur tour de 3 enfants : Kylie Massol (née le 22 mai 2004), Noéline Massol (née le 1er janvier 2012) et Charlize Massol (née le 25 juin 2017)

Caroline-Chantal Massol (née à Fréjus le 13 avril 1981), épouse le 10 juin 2000 de Lionel-Patrick Ferrandez (né à Marseille le 27 avril 1971),

parents à leur tour de 4 enfants :

Jérémy Ferrandez (né à Vitrolles le 3 février 2001), père à son tour d’un petit Jayden-Lionel-Sébastien Ferrandez-Croiseau (né le 5 janvier 2024) ; Jonathan-René Ferrandez (né à Vitrolles le 29 janvier 2003), Lola-Caroline Ferrandez (née à Manosque le 5 décembre 2006) et Lina-Marie Ferrandez (née à Manosque le 17 septembre 2013). 

et Ghislaine Massol (née à Fréjus le 10 août 1982), épouse le 7 octobre 2000 de Jean-Dominique Richard (né à Saint-Lo le 11 août 1978),

parents à leur tour de 2 enfants :

Lilian-Marcel-Robert Richard (né à Marseille le 20 janvier 2004) et Lou-Lisa-Maria Richard (née à Marseille le 18 mars 2013).

 

3) _ Georges-Louis-Stéphane Legros, né le 7 mars 1954 et décédé le 9 mars 1954

4) _ Chantal-Andrée Legros, née le 10 décembre 1957,

qui est l’épouse, à Vitrolles, de Christian Tornambe (né le 30 décembre 1956),

parents à leur tour de 3 enfants :

Sandrine Tornambe  (née le 15 janvier 1982), qui a eu 3 enfants : Mathieu Picout (né le9 février 2007), Anaïs Picout (née le 9 octobre 2008) et Chloé Picout (née le 24 novembre 2011) ;

Patrick Tornambe (né le 5 avril 1984), père de Lorcann Tornambe-Cazade (né le 27 août 2021) ;

et Hélène Tornambe (née le 10 août 1988), épouse le 14 août 2021, de Fabien-Jean-Raoul Angelvin (né le 12 février 1985),

parents à leur tour de Daphné Angelvin, née à Manosque le 9 juillet 2024.

5) _ et Louis-Clément Legros, né le 1er avril 1960,

qui est en couple avec Françoise Boisselier (née le 9 décembre 1961),

parents à leur tour de Lucas-Gaël Legros (né le 7 avril 2004).

Voilà pour le moment.

En bleu, les descendants Bonopéra

Ce dimanche 7 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques compléments à la généalogie des Bonopéra d’Orléansville issus de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : la descendance de la seconde (Hélène-Clémentine Bonopéra, La Ferme, 1928 – Marignane, 1987) de la fratrie des 6 enfants du couple de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977) et son épouse Clémentine Petit (Duperré, 1907 – La Garde, 1980)…

06juil

En mon article du 1er mai 2021 « « ,

et passant en revue les 6 enfants du couple formé par Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) _ fils du fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) : Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), et de l’épouse de ce dernier : Louise Hulné (Rabelais, 6 mai 1881 – Affreville, 1963) _ et son épouse Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) dont le mariage avait eu lieu à Orléansville le 4 août 1925 » _,

je constatais ceci à propos de la deuxième, Hélène-Clémentine Bonopéra, de ces 6 enfants de ce couple :

« le deuxième enfant du couple de Georges-Paul Bonopéra et Clémentine Petit, est Hélène-Clémentine Bonopéra (La Ferme, 4 septembre 1928 – ?, 24 mars 1987), qui a épousé Roland Legros (?, ??, ?), dont elle a eu 4 enfants Legros, dont, pour le moment, j’ignore tout »…

Or voici qu’après un échange de courriels en date du 24 juin dernier, puis une communication téléphonique le 28 juin suivant, et suite à la lecture de quelques uns des articles que j’ai consacré sur ce blog « En cherchant bien » à mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville,

une de ces 4 enfants Legros, la seconde, née Rolande Legros et épouse Massol, vient très gentiment de m’adresser un arbre généalogique des descendants du couple formé par Hélène-Clémentine Bonopéra (La Ferme, 4 septembre 1928Marignane, 24 mars 1987) et son époux _ le 3 septembre 1949 _ Roland-André Louis Legros (Descartes, 6 juillet 1928 – Marignane, 25 septembre 1987) :

Rolande Legros, épouse Massol (La Ferme, 1951),

fille d’Hélène Bonopéra (La Ferme, 1928 – Marignane, 1987),

petite-fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977),

arrière-petite-fille de Jean Bonopéra (Pontéba, 1877 – Orléansville, 1930),

lui-même fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916)

_ cf par exemple mes articles du 12 février 2021 «  » et du 4 février 2024 « « , celui-ci afin de comprendre l’articulation de ma recherche sur le neveu « algérien » de Louis Ducos du Hauron, Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1867 – Alger, 1935) et la famille Bonopéra d’Orléansville, via l’épouse d’Amédée, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933)… 

À suivre :

demain je détaillerai donc cette descendance d’Hélène-Clémentine Bonopéra et son époux Roland Legros…

Ce samedi 6 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La perpétuation du prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905) : la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa première épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (Orléansville, 1867 – Orléansville, 1895)…

12mar

Dans la continuité de mes articles à propos de la descendance du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) -Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

et du 6 mars 2024 « « ,

et afin de détailler, pour commencer, la descendance des deux épouses successives, Augustine-Marguerite (Orléansville ?, 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ) et Angèle (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935) Morand de la Genevraye _ soient les deux premières nées, en 1867 et 1870, des 7 enfants de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye _, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946),

je vais partir, ce mardi 12 mars, de la considération de la perpétuation du prénom de « Jenny » parmi la descendance féminine de cette famille Revillon d’Apreval…

Et cela, à partir du couple formé par les deux parents de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946), je veux dire son père Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1825 – Orléansville, 13 janvier 1893) et sa mère Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905)…

De la première épouse Augustine-Marie Morand dela Genevraye de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont nés, Orléansville, en 1887 et 1888, deux enfants :

d’abord un garçon, Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – ? – après octobre 1946), qui épousera une demoiselle Vincente-Hermence Rodrigues, dont il aura deux enfants : le petit Georges Lucien d’Apreval (Bône 28 septembre 1909 – Bône, 16 juin 1925), puis un second garçon, André d’Apreval (Alger, 13 mars 1921 – Marseille, 8 décembre 2011) ; lequel semble avoir eu une fille prénommée Estelle qui vit à Marseille…

Puis une fille, Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912), qui épousera, à Blida le 19 avril 1911, Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi-Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 30 septembre 1956 ; dont naîtra, à Tlemcen le 25 juin 1912, une fille : Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005) ; laquelle épousera à Alger, le 9 avril 1949, Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) ; dont naîtra _ j’ignore pour le moment où, ainsi qu’à quelle date _ Jean-Charles Petronio, qui vit à Revel, en Haute-Garonne _ lequel Jean-Charles Pétronio s’est attaché à établir sa généalogie familiale, au moins à partir des quatre grands-parents de sa grand-mère Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 1888 – Tlemcen, 11 juillet 1912) : Auguste-Alphonse Revillon d’Apreval (Nîmes, 30 janvier 1828 – Orléansville, 13 janvier 1898) et son épouse Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905), d’une part, ainsi que Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après février 1888), d’autre part.

Mais en commettant hélas une erreur sur la descendance de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946) et son épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1866 – ? : en fait 1867 – Orléansville, 8 février 1895) ; et cela du fait que Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye : à Orléansville le 8 février 1895…

Si Jean-Charles Pétronio n’ignore pas le remariage de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, une fois devenu veuf, avec la sœur cadette de sa défunte épouse : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), il se trouve toutefois que la généalogie établie par Jean-Charles Pétronio semble ignorer de quelle mère, ou bien Augustine-Marguerite, ou bien sa sœur Angèle, sont nés à partir de 1896 les enfants de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) qui vont suivre (à Orléansville le 9 octobre 1896 : René-Paul d’Apreval ; à Alger, le 8 novembre 1898 : Marcel-Ale d’Apreval ; et à Alger le 28 novembre 1899 : Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval) les naissances des premiers nés de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888)… ;

et Jean-Charles Pétronio fait donc erreur en attribuant sur son arbre généalogique à Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (décédée à Orléansville le 8 février 1895) la maternité de René d’Apreval (né à Orléansville le 9 octobre 1896) et la maternité de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (né à Alger le 28 novembre 1899), alors qu’ils sont nés d’Angèle Morand de la Genevraye… ;

il est vrai que dans les mentions diverses accessibles dans la presse consultable aujourd’hui, du couple formé par Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935), la plupart du temps l’épouse de Georges-Auguste d’Apreval n’est pas mentionnée avec son prénom (Angèle), mais seulement comme « Madame Morand  de la Genevraye«  ;

et donc, si Jean-Charles Petronio n’ignore pas le remariage de son arrière grand-père Georges-Auguste Revillon d’Apreval (1856 – 1946) avec celle, Angèle, qui était la sœur cadette de sa défunte première épouse Augustine-Marguerite (dont, j’y insiste, Jean-Charles Pétronio ignore la date du décès, à Orléansville, le 8 février 1895 ; un décès qui, il est vrai, apparaît seulement, du moins à ma connaissance jusqu’ici, dans l’acte de mariage de la fille d’Augustine-Marguerite et son époux Georges-Auguste Revillon d’Apreval, Jenny-Marguerite d’Apreval (1888 – ?), c’est-à-dire le mariage qui a eu lieu à Blida, le 19 avril 1911, de Jenny-Marguerite d’Apreval avec Hugo-Alphonse Maréchal (1881 – 1956) : consulter ici l’acte d’état-civil de ce mariage dans lequel est clairement mentionné la date de décès, le 8 février 1895, à Orléansville, de « feue Morand de la Genevraye, Augustine » , la mère de la mariée Jenny-Marguerite d’Apreval),

Jean-Charles Pétronio ignore cependant que les trois enfants (René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, nés après 1895 (le 9 octobre 1896 à Orléansville, le 8 novembre 1898 à Alger,et le 28 novembre 1899 à Alger), ne sont pas nés d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur de celle-ci, Angèle (1870 – après 1935).

Et si, du premier lit de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, sont en effet bien nés Auguste-Georges d’Apreval (Orléansville, 15 septembre 1887 – après le 19 octobre 1946) et Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen, 11 juillet 1912),

ce n’est donc pas le cas de René-Paul d’Apreval (Orléansville, 9 octobre 1896 – ?, après 1962), de Marcel-Ale d’Apreval (Alger, 8 novembre 1898 – ?, 21 avril 1902), ni de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (Alger, 28 novembre 1899 – ?, ?), qui sont tous trois les enfants, non pas de la première épouse de Georges-Auguste d’Apreval (1856 – 1946), Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la seconde épouse de celui-ci, Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935) ..

C’est donc bien ce fait du décès à Orléansville le 2 février 1895 d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, dont n’a pas pris connaissance jusqu’ici Jean-Charles Pétronio, qui le fait ignorer que les enfants René-Paul, Marcel-Ale et Lucien-Georges-Omar, nés après 1895 (en 1896, 1898 et 1899) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, après donc les naissances de ses deux premiers nés qui sont Auguste-Georges d’Apreval (né à Orléansville le 15 septembre 1887) et Jenny-Marguerite d’Apreval (née à Orléansville le 15 août 1888), ne sont pas les enfants d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye (1867 – 1895), mais bien de la sœur cadette de celle-ci : Angèle Morand de la Genevraye (1870 – après 1935).  

De Jean-Charles Pétroniofils donc _ j’ignore jusqu’ici et la date et le lieu de sa naissance, en Algérie (à plusieurs reprises, ici et ici, il est qualifié d‘ »Algérois« , par son ami Georges Viéville, en 2014, qui indique que Hugo-Alphonse Maréchal (1881 -1956), le grand-père maternel de Jean-Charles Pétronio, avait été « chargé du bureau des affaires indigènes d’Oran« ) _ de Charles-Albert-Louis Petronio (Tizi-Ouzou, 7 mars 1904 – Revel, 7 septembre 1987) et son épouse _ le mariage a eu lieu à Alger le 9 avril 1949, d’après larbre généalogique réalisé par leur fils Jean-Charles Pétronio _ Jenny-Odette-Paule Maréchal (Tlemcen, 25 juin 1912 – Toulouse, 31 mars 2005),

et son épouse _ j’ignore et le lieu et la date de leur mariage _ Martine Monique Rose Bonnet,

est né, au mois d’octobre 1958, Jean-Marc Pétronio, époux de Karine Rodrigues,  qui sont à leur tour les parents de deux filles, Nadège et Laura Petronio, tous résidant à Revel en Haute-Garonne mais j’ignore si parmi les prénoms de celles-ci, Nadège et Laura Pétronio, figure ou pas le prénom de « Jenny« 

Enfin il faut noter que le revélois Jean-Charles Pétronio est un très actif et dynamique membre de la Société d’Histoire de Revel – Saint-Ferréol… 

Demain, je m’intéresserai à la descendance du couple formé par ce même Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger, 1946), et sa seconde épouse _ en 1895 ou 1896, à Orléansville… _ Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – ?, après octobre 1935)…

Ce mardi 12 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Qui sont les ascendants de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger 1946) ?

06mar

Ce mercredi 6 mars,

en continuation des recherches ayant donné lieu à mon article «  » du lundi 4 mars dernier,

je me suis attaché à rechercher des précisions concernant l’époux successif des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – Orléansville, 8 février 1895) et Angèle (1870 – au moins après octobre 1935) Morand de la Genevraye, Georges-Auguste Revilllon d’Apreval,

né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et qui décèdera à Alger, à l’âge de 90 ans, en 1946…

Celui-ci, Georges-Auguste Revillon d’Apreval, est le fils d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval, né à Nîmes le 30 mai 1828 et décédé à Orléansville le 13 janvier 1898 _ cf la reconnnaissance de paternité de son père Marie-Lambert Revillon d’Apreval, alors âgé de 28 ans (et artiste dramatique), réalisée à Nîmes le 13 février 1828 ; sa mère étant Rose-Adélaïde Mériel, alors âgée de 32 ans _, et son épouse Jenny-Caroline Morisset, née à Paris le 21 septembre 1835, et décédée à Paris le 9 ou le 10 novembre 1905 (elle a été inhumée au Père Lachaise le 11 novembre 1905).

un frère de Georges-Auguste, Edouard-Arthur Dapreval, né à Saint-Prix le 3 janvier 1858, décèdera au domicile de ses parents, à Paris rue du Faubourg-Saint-Denis, le 5 octobre 1864, à l’âge de six ans et demi…

Et Georges-Auguste Revillon d’Apreval est le petit-fils de Marie-Lambert Revillon d’Apreval, né à Paris le 9 novembre 1799, et décédé à Rochefort le 16 novembre 1871. et de la première compagne de celui-ci, Rose-Adélaïde Mériel, née à Orglandes (Manche) le 19 novembre 1797, et décédée le 31 juillet 1845 ; Marie-Lambert Revillon-Dapreval (sic) et Adélaïde Mériel se sont mariés à Genève le 11 mars 1832., ainsi qu’en témoigne une annonce de mariage du Journal de Genève _ outre leur fils Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval, le couple formé de Marie-Lambert Revillon d’Apreval et sa compagne Rose-Adélaïde Mériel, aura eu aussi une fille, Mélanie-Hyacinthe Hortense Revillon d’Apreval, née à Gaud (Marne), décédée à l’âge de 41 ans à Paris le 11 juillet 1870, que viendra déclarer à la mairie du 17e arrondissement de Paris son frère Henri-Virgile-Auguste-Alphonse Revillon d’Apreval, âgé de 42 ans…

Après le décès de sa première épouse Rose-Adélaïde Mériel, Marie-Lambert Revillon d’Apreval s’est remarié à Rochefort le 6 octobre 1866 avec Élisabeth Bertin, née à Rochefort le 5 mai 1827,

dont il a eu deux enfants : un fils, Gustave-Alphonse Revillon d’Apreval, né à Paris 4e le 1er novembre 1851 et qui décèdera le 22 février 1915 _ qui deviendra un peintre et entomologiste connu _, et une fille, Mélanie-Hyacinthe Revillon d’Apreval, née à Gaud (Marne), et décédée à Paris 17e le 11 juillet 1870.

Je relève aussi que le 9 novembre 1872, le journal Les Tablettes des Deux Charentes fait état d’une vente par autorité de justice le 21 novembre 1872, par Me Brouillet, notaire à Rochefort, sur poursuites en liquidation et partage, dirigées par M. Henri-Virgile Revillon d’Apreval _ le père de notre Georges-Auguste, né à Saint-Prix le 27 décembre 1856… _, négociant en tissus à Paris, et Mme Hortense Revillon d’Apreval, épouse de M. Pierre-Louis-Eugène Pouillet, contre Mme Élisabeth Bertin, veuve de M. Marie-Lambert Revillon d’Apreval, à Rochefort, et M. Gustave-Alphonse Revillon d’Apreval, fils, à Rochefort lui aussi _ celui-ci, demi-frère de Henri-Virgile (qui a 45 ans), a alors tout juste 21 ans ; quant à Georges-Auguste, à cette date de novembre 1872, il va avoir 12 ans le 27 décembre… 

Ainsi avançons-nous pas à pas dans les dédales de ces généalogies orléansvillaises…

Ce mercredi 6 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Commencer par faire un point sur l’arbre généalogique des deux filles aînées, Augustine-Marguerite et Angèle, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra, épouses successives, vers 1886 et l’année 1895, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval…

03mar

Toujours dans l’esprit de rechercher des réponses les plus précises possibles aux 3 questions « Qui ?« , « Quand ? » et « Où ? » de mon enquête sur les familles d’Orléansville apparentées, directement ou indirectement, à Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), mariés à Orléansville, le 10 juin 1896,

voici un tout premier effort de tracer un tableau de la  descendance des deux premiers enfants, Augustine-Marguerite, née en 1866, et sa sœur cadette Angèle, née en 1870, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) _ leur relation ne fut officialisée par le mariage, qu’au mois de juin 1875 , à Orléansville, après les naisssances d’au moins les trois premiers de leurs sept enfants : Augustine-Marie (en 1867), Angèle (en 1870) et Alphonse-Jean (né à Orléansville le 7 juin 1872, merci à son livret militaire qui nous en livre la date !) _ y compris donc la naissance, à Orléansville le, de leur frère Alphonse-Jean Morand de la Genevray…

En l’absence, bien fâcheuse pour la recherche, de toutes les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, détruites lors des terribles séismes de 1954 et 1980,

la très précieuse, mais toujours trop partielle, ressource qui nous demeure est celle la presse locale, dont L’Écho d’Alger et Le Progrès d’Orléansville, comportant en particulier les avis de décès rassemblant les membres des familles faisant-part de leur deuil partagé,

mais le plus souvent sans les prénoms des dames et demoiselles, celles-ci n’y figurant que par leur lien de parenté avec le défunt _ ou avec les hommes qui sont apparentés à celui-ci…

Voici donc des liens utiles à quatre de ces précieux faire-part de décès familiaux permettant un regard un peu panoramique sur ces liens de parenté entre les membres des familles un moment orléansvillaises Morand de la Genevraye et Revillon d’Apreval, en particulier :

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du décès, à Orléansville, le 19 mars 1922, d’Alphonse-Jean Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872.

celui, paru dans Le Progrès d’Orléansville du 21 septembre 1922, du décès, à Affrevile, le 16 septembre 1922, de Julie-Pulchérie Morand de la Genevraye. Veuve Michel Reder, la plus âgée de la fratrie née en Algérie d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; Julie-Pulchérie est née à Aïn Tedeles le 22 juillet 1849.

celui, paru dans L’Écho d’Alger du 21 juin 1925, du décès, à Bône, le 16 juin 1925, du petit Georges-Lucien d’Apreval, né à Bône le 22 septembre 1909.

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, du décès, à Orléansville, le 7 octobre 1935, de son plus jeune frère Georges Morand de la Genevray, né à Orléansville le 21 février 1888.

Je dois dire aussi que la très peu fréquente apparition, dans les avis familiaux d’état-civil parus dans les journaux, du nom d' »Angèle » Morand de la Genevraye, la seconde épouse de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, en « succession maritale » de sa sœur aînée « Augustine-Marguerie » ; et d’abord le fait principiel que pour les femmes n’existaient pas bien sûr de livrets militaires donnant leurs lieu et date de naissance, ainsi que les commodes aussi, pour la recherche, mentions des noms et prénoms de leurs deux parents, compliquait la quête d’obtenir de telles données en l’absence de documents d’état-civil demeurés accessibles pour la ville d’Orléansville et sa région, à la différence des identités des citoyens masculins _ tels, par exemple, les renseignements fournis par les livrets militaires de chacun des hommes de la famille Morand de la Genevraye : Alphonse-Jean (classe 1892), Jules-Charles (classe 1901), Georges (classe 1908) ; ou bien de la famille Revillon d’Apreval : Auguste-Georges (classe 1907), René-Paul (classe 1916), Marcel-Ale, Lucien-Georges-Omar (classe 1919)

Et c’est l’acte de mariage réalisé à Blida le 19 avril 1911 pour l’union de Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen,  11 juillet 1912 _ cf cet avis de décès de Madame Maréchal née Jenny d’Apreval, paru dans le jounal Le Tell en date du 13 juillet 1912 _) avec Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 9 avril 1949), qui allait me fournir le lieu et la date de décès de la mère de Jenny-Marguerite, en l’occurrence de cette Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, qui m’échappaient jusque là : Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye _ née en 1867 hors mariage de l’union de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; et officiellement reconnue par son père le 28 juin 1871, à l’âge de 4 ans… ; ses parents officialisant leur propre mariage à Orléansville un peu plus tard encore : au mois de juin 1875… _ était décédée à Orléansville le 8 février 1895

Et Augustine-Marguerite, née donc en 1867, avait donné naissance à au moins deux enfants de son union avec Georges-Auguste Revillon  d’Apreval _ le père de cette Jenny-Marguerite mariée à Blida le 19 avril 1911, présent et consentant à ce mariage de sa fille avec Hugo-Alphonse Maréchal _ :

_ Auguste-Georges d’Apreval, né à Orléansville le 15 septembre 1887 ;

_ Jenny-Marguerite d’Apreval, née à Orléansville le 15 août 1888 _ celle-ci décédera précocément à Tlemcen, au mois de juillet 1912, peu après avoir donné le jour, à Tlemcen, le 25 juin 1912, à une petite Jenny-Odette-Paule Maréchal…

Quant à la sœur cadette de cette Augustine-Marguerite _ née en 1867 et décédée à Orléansville le 8 février 1895 _Angèle Morand de la Genevraye, née à Orléansville en 1870,

elle n’allait pas tarder à devenir très peu après le décès de sa sœur aînée la seconde épouse de son beau-frère Georges-Auguste Revillon d’Apreval, né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et devenu donc veuf ce 8 février 1895 _ celui-ci décèdera à Alger en 1946, en sa quatre-vingt-dixième année… _ ; et Angèle allait lui donner bientôt (en 1896, 1898 et 1899) trois nouveaux enfants :

René-Paul d’Apreval, né à Orléansville le 9 octobre 1896 ;

Marcel-Ale Révillon d’Apreval, né à Alger le 8 novembre 1898, mais précocément décédé le 21 avril 1902 ;

Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval, né à Alger le 28 novembre 1899.

Je poursuivrai demain lundi cette amorce de généalogie de membres de la famille _ d’abord orléansvillaise : Georges-Auguste exerçait à Orléansville la profession d’avoué… _ Revillon d’Apreval,

issue des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – 1895) et Angèle (1870 – au moins après 1935) Morand de la Genevraye…

Mais, dans les divers actes état civils familiaus accessibles dans la presse, Le Progrès d’Orléansville ou L’Écho d’Alger principalement,

Angèle n’apparaît jamais sous son prénom de naissance « Angèle« , mais seulement en sa qualité d’épouse de son mari : « Madame Revillon d’Apreval« …

Or celle-ci va vivre durablement, au moins après le décès de son frère Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935 ;  et peut-être même _ il me faudra poursuivre mes recherches… _ survivre à son mari Georges-Auguste, qui décèdera en 1946…

Or, après 1940, la presse est bien moins accessible ;

et les faire-part familiaux de décès, beaucoup moins riches…

À suivre donc, dès demain…

Ce dimanche 3 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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