Suite (II) de l’ aperçu sur quelques domiciliations, à Ciboure, de membres de la vaste famille des Larrea, apparentés à des Delouart, des Goyenague et des Passicot, cousins cibouriens de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel…

— Ecrit le jeudi 18 novembre 2021 dans la rubriqueBlogs, Histoire, Musiques, Villes et paysages”.

Je poursuis donc, ce jeudi matin 18 novembre 2021,

la suite de mon « aperçu sur quelques domiciliations, à Ciboure, de membres de la vaste famille des Larrea, apparentés à des Delouart, des Goyenague et des Passicot, cousins cibouriens de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel« ,

qui a été interrompue par deux précisions _ d’une part un retour à des données oubliées par moi, concernant Marie Doyenague, née à Ciboure (dans la maison n° 117 du quartier de Pocalette) le 25 juillet 1827 ; ainsi que, d’autre part, la découverte inédite pour moi de l’existence de Nicolassa Goyenague, née à Ciboure (dans la maison n° 97 de la rue de Pocalette) le 19 juin 1829 _

concernant deux sœurs de Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, Bordagain, maison Callebaita (maison° 38), 22 novembre 1826),

au sein de la fratrie, désormais de 5 enfants Goyenague,

soient Simon _ Ciboure, rue Pocalette, maison n° 117, 29 novembre 1821 – Ciboure, rue du Quai, maison n° 6, 18 avril 1890 _Jacques _ Ciboure, probablement rue Pocalette, maison n° 117, 16 octobre 1823 – Ciboure, Bordagain, maison Callebaita (n° 38), 22 novembre 1886 _Marie _ Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 117, 28 juillet 1827 – Buenos Aires, après 1898… _Nicolassa _ Ciboure, rue de Pocalette, maison n° 97, 19 juin 1829 – ?, ?et Bertrand _ Ciboure, rue Pocalette, maison n° 117, 6 mars 1832 – ? , ? _),

issus du couple de Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, quartier de Pocalette, maison Petimentenia, n° 153, 20 novembre 1859 ) et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, rue de Pocalette, maison n° 6, 15 décembre 1872)…

Je reprends donc ma revue des domiciliations

qui concernent plus précisément, cette fois, le couple formé par Catherine Larrea, née à Ciboure le 9 octobre 1832, rue Bordagain, maison n°17, et son époux, Jacques Goyenague à Ciboure, vraisemblablement rue Pocalette, maison n° 117, le 16 octobre 1823,

et qui se sont mariés à Ciboure le 23 avril 1856 ;

et je relève que, à cette date du 23 avril 1856, l’acte d’état-civil de ce mariage indique que

l’époux, Jacques Goyenague _ dont vit encore la mère, veuve de Michel Goyenague, Marie Delouart (elle est alors âgée de 72 ans)… _, est domicilié quartier de Pocalette, maison Dolharenia, n° 144 ;

et que l’épousée, Catherine Larrea _ dont vit encore, à cette date du 23 avril 1853, la mère, Silvestre Chourito, veuve de Martin Larrea (disparu en mer, en rade de Socoa, la nuit du 3 au 4 avril 1841 : ce Martin Larrea, le 8 novembre 1802, était fils de Martin Larrea et Dominique Oleguy) ; Silvestre Chourito (fille de François Churito et Nicolacha Anciberro) est alors âgée de 52 ans ; et Martin Larrea et Silvestre Churito s’étaient mariés à Ciboure le 25 février 1829 ; Silvestre Chourito, veuve Larrea, décèdera à Ciboure, maison Calebaita, quartier Achotareta le 14 juin 1880… _, est domiciliée quartier de Bordagain, maison Calebaita n° 38

Or il se trouve que cette maison Calebaita n° 38 du quartier de Bordagain _ ou Achotareta _ va constituer désormais, à dater de ce 23 avril 1853, le domicile de la famille de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea.

Y naitront ainsi 6 de leurs 7 enfants Goyenague :

Marie, le 16 avril 1857 ; Simon, le 18 juin 1860 _ mais Jean-Baptiste naît, lui, le 31 juillet 1862, au quartier de Pocalette, maison Sopitania, n° 158 _ ; Nicolasse, le 11 juillet 1864 ; Gracieuse, le 14 juillet 1866 ; Josèphe, le 12 juin 1868 ; et enfin Alexandrine-Elisabeth-Sabine, le 5 juin 1872.

De même que décèderont en cette maison Calebaita n° 38 du quartier d’Achotareta-Bordagain, 4 de ces 7 enfants Goyenague :

Marie, à l’âge de 4 ans, le 18 décembre 1861 ; Josèphe, à l’âge de 2 ans, le 2 mai 1870 ; Alexandrine, à l’âge de un mois et demi, le 5 juin 1872 ; et Simon, à l’âge de 13 ans, le 14 janvier 1874.

Et y décèderont aussi le père et la mère de cette famille Goyenague :

Jacques Goyenague y décèdera, à l’âge de 63 ans, le 22 novembre 1886 ;

et son épouse Catherine Larrea, y décèdera à son tour, à l’âge de 63 ans, elle aussi, le 8 novembre 1895 ;

elle dont la mère, Silvestre Chourito, veuve de Martin Larrea, était décédée, elle aussi, en cette maison Calebaita, du quartier Achotareta, à Bordagain

Demain,

 

je me pencherai sur la famille de Marie Goyenague (Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 117, 28 juillet 1827 – Buenos-Aires, après 1898),

la sœur de Simon, de Jacques, mais aussi de Nicolasse et de Bertrand Goyenague ;

épouse, à Ciboure, le 17 juillet 1850, de Martin Passicot (Urrugne, 24 octobre 1824 – Buenos-Aires, 22 octobre 1888) ;

et mère de 11 enfants Passicot…

À suivre, donc…

Ce jeudi 18 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Vous souhaitez réagir & ajouter votre commentaire ?

XHTML: Vous pouvez utiliser les balises html suivante : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>


*


two + 9 =

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur