Ré-écouter « un disque de référence absolu » : le CD « Britten – Serenade – Les Illuminations – Nocturne » par Peter Pears…

— Ecrit le mercredi 10 juillet 2024 dans la rubriqueBlogs, Musiques”.

En découvrant hier soir 9 juillet l’article « Après Colmar » de Jean-Pierre Rousseau sur son impressionnant blog,

j’ai un peu trop rpidement interprété son allusion à un disque (comportant la « Sérénade » et « Les Illuminations » de Benjamin Britten) qu’il qualifiait de « disque de référence absolu » _ mazettte ! rien moins… _

comme se rapportant au CD London 436 395-2 « Britten – Serenade – Les Illuminations – Nocturne » par Peter Pears, Barry Tuckwell, le London Symphony Orchestra, l’English Chamber Orchestra, sous la direction de Benjamin Britten lui-même _ enregistré en septembre 1959 pour le « Nocturne » et décembre 1963 pour « Les Illuminations » et la « Sérénade«  _ que j’ai, pour mon ravissement au comble de l’admiration, immédiatement mis-remis sur ma platine…

Quelle merveilles, et d’œuvres ! et d’interprétation !

Alors que le CD auquel Jean-Pierre Rousseau, lui, renvoyait (et donnait aussi à écouter en podcasts sur son blog) était, me suis-je un peu plus tard aperçu, un tout autre CD, comportant bien, en effet, « Les Illuminations » Op. 18, de 1939, et la « Sérénade » Op. 31, de 1943, mais, en place du « Nocturne » Op. 60, de 1958, les « Quatre chansons françaises« , composées en 1928 _ Britten avait alors tout juste quatorze ans... _ :

le CD Chandos « Britten – Les Illuminations – Quatre Chansons Françaises, Serenade for Tenor, Horn & Strings » _ enregistré en 1989 ; écouter ici ! _, par Felicity Lott, Anthony Rolfe-Johnson, Michael Thomson, le Royal Scottish National Orchestra, sous la direction de Bryden ThompBryden son ;

soit un CD qui ne figure pas dans ma discothèque personnelle, mais aux podcasts duquel on peut heureusement accéder par youtube :

par exemple pour les « Quatre chansons françaises » : « Nuit de juin« , « Sagesse« , « L’Enfance« , et « Chanson d’automne« …

Cependant, en comparant les interprétations,

ce sont bien celles de Peter Pears, plutôt que celles de Felicity Lott, qui me paraissent constituer, ici du moins, pour ces œuvres de Britten, une « référence absolue » dans la discographie…

Sinon, j’apprécie aussi beaucoup dans ce même répertoire des « Songs » de Britten, l’art impeccable de Ian Bostrige :

_ dans le CD EMI Classics 56534 « Britten – Our Hunting Fathers – Quatre chansons françaises – Folksongs – Sinfonietta« , avec Daniel Harding dirigeant le Britten Sinfonia _ enregistré à Londres au mois d’août 1997 _ ;

_ et dans le CD EMI Classics 58049 « Britten – Serenade for Tenor, Horn and Strings – Les Illuminations – Nocturne« , avec Radek Baborák, cor, et le Berliner Philharmoniker sous la direction de Simon Rattle  _ enregistré à Berlin au mois d’avril 2005.

Ce mercredi 10 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

L'envoie de commentaire est désactivé

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur