Musiques de joie : le joyeusement sensuel Concerto pour clarinette et orchestre de Mozart, par le prodige suédois Martin Fröst
22avr
Parmi les joies mozartiennes,
une place de choix doit certainement être accordée
à l’usage _ sublime _ que fait Wolfgang Amadeus Mozart _ Salzbourg, 27 janvier 1756 – Vienne, 5 décembre 1791 _
de la clarinette ;
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et tout spécialement
à ce que lui-même a noté « Ein Konzert für die Clarinette, fûr Hr. Stadler den Älteren«
_ en l’occurence Anton Stadler (1753 – 1812), dont il avait la connaissance en mars 1784 _,
le Concerto pour clarinette et orchestre KV. 622,
achevé de composer lors d’une cure à Baden le 7 octobre 1791.
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Restait à choisir une interprétation ;
et la plus joyeuse possible _ pas trop brahmsienne…
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Après avoir hésité entre _ surtout _ deux CDs du prodige clarinettiste Martin Fröst _ né à Sundsvall, le 4 décembre 1970 _ :
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soit le CD Bis SACD 1263 Fröst Mozart Clarinettiste Concerto & Quintet,
avec l’Amsterdam Sinfonietta, sous la direction de Peter Oundjian,
enregistré en 2003 ;
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soit le CD Bis SACD 1893 Mozart Martin Fröst Basset Clarinet / Clarinet,
avec la Deutsche Kammerphilharmonie Bremen, sous la direction de Martin Fröst lui-même,
enregistré en 2013 ;
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j’ai opté pour la joie plus extravertie
du second de ces CDs.
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Ce mercredi 22 avril 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa