Ce lundi 15 février, j’ai poursuivi mes recherches sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :
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_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;
_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;
_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;
_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;
_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;
_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Rabelais _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;
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et vais tâcher de donner le plus de précisions possibles, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;
en commençant par l’ainé, Jean Bonopéra.
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Ce n’est qu’assez tardivement que j’ai pris conscience que ce Jean Bonopéra _ dont j’ignore pour le moment la date et le lieu (Oued Fodda ?) de décès _ est devenu, à un moment de sa vie, agent, puis brigadier, puis inspecteur de police : à Oued Fodda, entre 1932 et 1939 ; après avoir été garde-champêtre à Masséna, puis Lamartine, en 1913.
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Avec son épouse née Louise-Marie Hulné (Renault (= Relizane), 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ j’ignore où et quand Jean et Louise-Marie Hulné se sont mariés ; Louise-Marie Hulné est née le 5 mai 1881 à Renault-Relizane ; fille de Joseph-Charles Hulné (né à Breitenbach, Haut-Rhin, et décédé à Ténès le 30 janvier 1932) et de Joséphine-Marie-Apolline Bailly (née à Pussey, Haute-Saône, le 27 avril 1863, et décédée à Hussein Dey après 1932), c’est six mois après sa naissance à Renault-Relizane que Louise-Marie Hulné a été reconnue par son père le jour du mariage de ses parents, Jean-Charles Hulné et Joséphine-Marie-Apolline Bailly, à Renault, le 26 novembre 1881… _,
Jean Bonopéra et Louie-Marie Hulne ont eu au moins 6 enfants _ à la date du 13 mars 1917, il est en effet consigné sur le livret militaire de Jean Bonopéra qu’il a 6 « enfants vivants« ; en vertu de quoi Jean Bonopéra a pu être renvoyé de la réserve de l’armée territoriale, en ses foyers ; et il se retire alors à Orléansville, rue de Rome, est-il précisé, le 24 mars 1917 _ :
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_ 1) Georges-Paul, apparemment l’ainé de cette fratrie des 6 enfants de Jean Bonopéra, est né à Rabelais le 25 juin 1902, et épousera _ probablement à La Ferme _ le 25 mai 1925 Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (née à Duperré le 20 janvier 1907 ; et qui décèdera à La Garde, Var, en 1985) ; Georges-Paul Bonopéra et son épouse Clémentine auront eux-mêmes 6 enfants :
Paul-Pierre-Auguste est né à La Ferme le 31 juillet 1926 (et décèdera à Toulon le 8 juillet 2000) _ son épouse Jeannine-Adrienne Tudury est née à Saint-Eugène le 7 septembre 1929, et décèdera à Toulon le 5 juin 2007 ; et ils auront plusieurs enfants, dont Jean-Stéphane Bonopéra, né le 5 décembre 1956 à Orléansville ; et peut-être aussi un Roger Bonopéra ; ainsi que Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950… _ ;
Hélène ;
Jacqueline est née à La Ferme le 15 janvier 1944 (et décèdera à Limoux le 17 janvier 2016) ;
Mireille ;
Stéphanie ;
et Vivianne est née à Saint-Cyprien des Attafs le 20 octobre 1951 (et décèdera à Hyères le 7 janvier 1997).
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Et Georges-Paul Bonopéra, le père de ces 6 enfants _ et fils aîné de notre Jean Bonopéra _, décèdera à Toulon le 9 janvier 1977.
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_ 2) Aimée _ probablement la seconde de la fratrie des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne _ est née, comme son frère aîné Georges-Paul, à Rabelais : le 13 novembre 1905.
Assiste comme témoin à la déclaration de la naissance de cette petite Aimée Bonopéra, en la mairie de Rabelais, le cousin germain du père du bébé, Jean Bonopéra, Alphonse Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922), le fils aîné de Marguerite Bonopéra (1849 – ?) et d’Auguste Morand de la Genevraye (1844 – 1904), c’est-à-dire le fils aîné de la sœur et du beau-frère de Paul Bonopéra (1856 – 1916), le père de Jean (1878 – ?) et grand-père de la petite Aimée (1905 – 1993).
En 1925, Aimée Bonopéra épousera Dominique Villanova, sous-officier au 1er régiment de Tirailleurs, en garnison à Orléansville ; puis, en un second mariage, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Klébert Riquier.
Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993 _ j’ignore si elle a eu une descendance Villanova ou Riquier.
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_ 3) Claude _ c’est tout ce que je sais pour le moment de cet enfant.
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_ 4) Joséphine, qui le 30 janvier 1923 _ d’après Le Progrès d’Orléansville, du 1er février 1923 _ épouse Kléber Defillon _ employé au P.L.M. à Affreville en 1929, d’après L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929.
Et il me faut ici noter un accident qui affectera, en gare de Tlemcen, le 6 novembre 1929, Kléber Defillon, alors employé au P.L.M. à Affreville, et Aimé Jouvence, sergent au 6e Tirailleurs à Tlemcen, tel qu’il est rapporté par L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929 : « Les nommés Defillon Kléber et Jouvence, ont été victimes d’un accident. Le cheval qui traîne la voiture qui assure le service postal de Tlemcen-ville à Tlemcen-gare, a versé en arrivant à la gare, quand le cheval a pris le mors aux dents. Le sieur Defillon a été atteint de plaies au genou gauche et de luxation au bras gauche ; le sergent Jouvence a été atteint de plaies aux genoux« . En effet, Kléber Defillon et Aimé Jouvence sont tous deux des gendres ou futurs gendres de Jean Bonopéra (cf l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra _ j’ignore le prénom de cette fille de Jean Bonopéra, épouse d’Aimé Jouvence, et bientôt mère, en décembre 1932, du petit Claude Jouvence. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale »).
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_ 5) Jeanne, qui est née à Orléansville le 10 mars 1913 (et décèdera à Kindsbach, en Allemagne, le 25 mai 1949) ; le 22 septembre 1934, à Oued-Fodda, elle épousera Marcel-Auguste Louyot _ alors sous-officier au 9éme Régiment de Tirailleurs Algériens : né à Metz, le 3 mars 1910, Marcel Louyot décèdera à Fontaine-Les-Dijon le 13 décembre 1997 _ ; et ils auront _ au moins _ une petite Josianne Louyot, née à Oued-Fodda au mois de janvier 1936.
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_ et 6) peut-être, né à Orléansville au mois de février 1915, un petit Georges Bonopéra, si ce dernier est bien le fils de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné… Peut-être, en effet, sont-ce bien Jean Bonopéra et son épouse née Louise-Marie Hulné qui sont les parents du bébé Georges né en février 1915, dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _ qui porterait alors le même prénom que son frère aîné Georges-Paul, né à Rabelais le 25 juin 1902. Et cela pourrait justifier l’indication du livret militaire de Jean Bonopéra, déclaré le 24 mars 1917, « père de 6 enfants vivants » ; une constatation ayant permis à ce père de famille de 6 enfants vivants, de se retirer à Orléanville, rue de Rome… _ mais cela fait tout de même un peu difficulté…
Mais de fait il s’avèrera que ce petit Georges Bonopéra né au mois de février 1915, n’est pas le fils de Jean Bonopéra et de son épouse Louise-Marie Hulné, mais le fils de son frère Auguste et de son épouse _ dont j’ignore toujours le prénom et le nom de naissance…
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Il me faut donc continuer de rechercher quel est le sixième des enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné _ aux côtés de ses frères et sœurs Georges-Paul, Aimée, Claude, Joséphine et Jeanne Bonopéra _ et qui a pu permettre au père de famille nombreuse qu’était Jean Bonopéra de regagner ses foyers, et rejoindre sa famille, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, libérant des obligations du service actif les pères de famille d’au moins 4 enfants (Jean Bonopéra ayant déclaré, lui, avoir alors six enfants « vivants« ) ; et son livret militaire indiquant qu’à la date du 24 mars 1917, Jean Bonopéra regagne un domicile situé à Orléansville, rue de Rome…
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Quant au parcours professionnel de Jean Bonopéra _ né, je le rappelle, à Pontéba le 18 juin 1877 _,
son livret militaire livre quelques très intéressantes informations, au moins sur quelques unes de ses domiciliations, jusqu’en 1917 :
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_ au moment du conseil de révision de 1898, Jean Bonopéra, né à Pontéba, réside à Rabelais, et est « agriculteur« …
_ à la date du 13 avril 1913, il est dit résider à Masséna (commune-mixte du Chéliff)…
_ à la date 13 juin 1913, il réside à Lamartine, et y exerce, est-il précisé, l’office de garde-champêtre…
_ à la date du 12 avril 1917, il réside à Oued-Fodda…
_ et à la date du 2 novembre 1918, il se trouve à Duperré _ qu’y fait-il ?..
_ mais le 24 mars 1917, passé quatre jours plus tôt dans la réserve de l’armée territoriale, Jean Bonopéra, qui avait été renvoyé dans ses foyers en qualité de père de six enfants vivants, est dit se retirer à Orléansville, rue de Rome…
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Le 2 avril 1925, Le Progrès d’Orléansville annonce les « fiançailles de Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Régiment de Tirailleurs en garnison à Orléansville« .
Et au moment de l’annonce, le 28 mai suivant, toujours en 1925, par Le Progrès d’Orléansville, du prochain mariage de son fils Georges-Paul avec Melle Clémentine Petit, Jean Bonopéra, le père du futur marié, est encore dit être « cafetier à Orléansville« , ce qui ne laisse pas de surprendre un peu : il me semblait, en effet, que c’était plutôt Auguste Bonopéra, son frère né à Orléansville le 3 avril 1883, qui tenait le « Grand Café » Bonopéra de la rue d’Isly _ ce que confirmera l’information, par Le Progrès d’Orléansville du 1er juillet 1926, d’une réunion de Médaillés militaires d’Orléansville au « Café Bonopéra Auguste« ; et je ne compterai pas les mentions dans la presse d’expressions telles que « M. Auguste Bonopéra, cafetier à Orléansville » (par exemple le 21 janvier 1932) ; ou « M. Auguste Bonopéra, propriétaire du Café d’Isly » (le 23 juin 1932)… _ ; à moins que la direction de ce Café était jusqu’alors conjointe entre les frères Auguste et Jean Bonopéra…
Et le 3 décembre 1925, c’est le mariage, cette fois, de « Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Tirailleurs« , qu’annonce Le Progrès d’Orléansville. Est-ce là une erreur de prénom _ Jean mis à la place d’Auguste, le cafetier du « Grand Café » de la rue d’Isly _ du père de la mariée ?..
À confronter aussi avec l’indication, rajoutée sur l’acte de naissance d’Aimée Bonopéra _ à Rabelais, le 13 novembre 1905, fille de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne, _ du mariage, en 1950 à Orléansville, d’Aimée Bonopéra avec André-Klébert Riquier…
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L’histoire de ce « Grand Café » de la rue d’Isly _ véritable institution orléansvilloise ! _ mériterait, d’ailleurs, qu’on s’y attarde un peu… :
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c’est en effet le 29 avril 1874 qu’un Jean Bonopéra _ lequel ? Son propre grand-père Juan-Dionis-Franscisco Bonopera (dit Jean Bonopéra ; né à Tarragone le 9 mars 1814) ? ou son oncle _ frère de son père Paul, né à Miliana le 10 janvier 1856 _ Jean-Baptiste-Nicolas Bonopéra (né à Miliana le 19 février 1851 ; et père du cousin Auguste Bonopéra _ né, lui, à Alger le 5 juillet 1894, et fils de ce Jean-Nicolas Bonopéra _) ? _ a été autorisé par un arrêté du sous-préfet de Miliana à ouvrir et exploiter un café rue d’Isly à Orléansville…
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Plus tard, au début du XXe siècle, ce sera un Auguste Bonopéra qui tiendra ce Café de la rue d’Isly, à Orléansville :
très probablement le quatrième des six fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot (ou Giraud) : Auguste Bonopéra, né à Orléansville le 3 avril 1883 _ et qui aura au moins quatre enfants, dont l’un sera à son tour prénommé Auguste… _ ;
et bien moins probablement le cousin Auguste Bonopéra, né à Alger le 5 juillet 1894, et qui décèdera à Alger le 13 février 1946 ; et qui s’est déclaré, lui, de profession « menuisier« , lors de son conseil de révision en 1914 ; et qui est fils de Jean-Nicolas Bonopéra, cuisinier de profession, un autre des frères de Marguerite Bonopéra et Paul Bonopéra _ tous nés à Miliana : Marguerite, le 22 janvier 1849 ; Jean-Baptiste-Nicolas, le 19 février 1851 ; et Paul, le 1er octobre 1856 ; et enfants de Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814) et son épouse Margalida-Miguela Saura (née à Santa Maria de Mahon, Minorque, le 21 mars 1820)…
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Cependant, le livret militaire de Jean Bonopéra indiquait pour l’adresse de celui-ci à Orléansville : « Boulanger. Orléansville, rue d’Isly » ; ce qui pourrait tout simplement signifier que Jean Bonopéra était alors hébergé, provisoirement à Orléansville, par son frère Paul, le boulanger de la rue d’Isly…
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Mais c’est bien à Oued-Fodda que l’on rencontre des mentions de Jean Bonopéra (et de sa famille), tout au long des années trente :
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d’abord comme agent de police ; par exemple pour l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale » ; ou pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 juin 1933, des fiançailles, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de M. Jean Bonopéra, agent de police, avec M. Marcel Louyot, sergent au 9e régiment de Tirailleurs en détachement à Orléansville » ;
puis, comme brigadier de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Echo d’Alger du 20 septembre 1934, du mariage prochain, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de Mme et M. Bonopéra Jean, brigadier de police de notre ville, avec M. Marcel Louyot, sous-officier au 9e R.T. A. » ; ou encore pour l’annonce, par le Progrès d’Orléansville du 17 janvier 1936, de la « naissance de Josianne Louyot, au domicile de son grand-père, M. Bonopéra, notre sympathique brigadier de police« , à Oued-Fodda ;
et enfin comme inspecteur de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 mars 1939, de la « nomination de M. Jean Bonopéra, Brigadier, au grade d’Inspecteur de police, à Oued-Fodda« …
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À suivre…
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Ce lundi 15 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
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