Posts Tagged ‘Paul Bonopéra

Ce que viennent préciser de la généalogie des Bonopéra d’Orléansville les indications de Madame Rolande Massol, née Legros, descendante à la quatrième génération de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916)…

07juil

Voici donc, ce dimanche matin, les précisions concernant la généalogie des Bonopéra d’Orléansville que m’a adressées par courriel vendredi dernier Madame Rolande Massol, née Legros, concernant la branche de sa famille issue du mariage, à La Ferme (proche d’Orléansville), le 24 mai 1925, entre Georges-Paul Bonopéra  (Rabelais, 5 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) et son épouse Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980),

précisions que j’ai annoncées venir donner ce dimanche 7 juillet en mon article d’hier samedi 6 juillet « « .

Et je rappelle ici brièvement la succession des générations reliant Madame Rolande Massol née Legros, le 2 août 1951 à La Ferme, à son ancêtre maternel Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

selon l’indication conclusive de mon article d’hier :

« Rolande Legros, épouse Massol (La Ferme, 1951),

fille d’Hélène Bonopéra (La Ferme, 1928 – Marignane, 1987),

petite-fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977),

arrière-petite-fille de Jean Bonopéra (Pontéba, 1877 – Orléansville, 1930),

lui-même fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) » ;

et en remontant ici encore deux crans plus haut, aux deux générations précédentes :

le catalan Juan-Dionis-Francisco Bonopera (Tarragone, 9 mars 1814 – Pontéba, 1876)

et son père l’italien de la province des Marches Nicola-Luigi Bonopera (Macerata, ? – Alger, 19 août 1835)

_ cf par exemple mon article du 2 mai 2021 : « « …

Voici donc la généalogie familiale que m’a adressée vendredi Rolande Massol, née Legros :

Roland-André-Louis Legros (né le 6 juillet 1928 et décédé le 25 septembre 1987), époux le 3 septembre 1949 de Hélène-Clémentine Bonopéra (née à La Ferme le 4 septembre 1928 et décédée le 4 mars 1987),

est le fils de Germain-Lucien-Constant Legros (27 novembre 1905 – 15 août 1988) et son épouse, le 7 août 1926, Madeleine-Mathilde Variengien (10 octobre 1903 – 29 juillet 1950).

Hélène-Clémentine Bonopéra (née à La Ferme le 4 septembre 1928 et décédée le 4 mars 1987),

est la  fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) et son épouse, le 25 mai 1925 à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980).

Ce couple de Roland Legros et Hélène Bonopéra a eu 5 enfants :

1) _ Jean-Paul Legros, né à La Ferme le 27 juin 1950, 

qui a épousé à Lambesc le 22 octobre 1977 Régine Michelier, née le 29 avril 1959 ;

et le couple a eu 3 enfants :

Bénédicte Legros (née le 28 mars 1980), et épouse le 1er septembre 2010, de Jean-Wilfrid Barcolin,

parents à leur tour de 2 enfants : Marley Barcolin (née le 26 août 2009) et Mirabelle Barcolin (née le 20 mars 2016) ;

Virginie Legros (née le 14 mars 1981) ;

et Maxime Legros (né le 14 octobre 1988). 

2) _ Rolande Marie-Madeleine Legros, née à La Ferme le 2 août 1951,

qui a épousé le 7 octobre 1978 Guy-Paul Massol (né à Rognac le 11 juin 1954) ;

et le couple a eu 3 enfants :

Roland-Louis Massol (né à Marignane le 15 juillet 1979), époux le 15 septembre 2002 de Virginie Manno (née le 21 janvier 1981),

parents à leur tour de 3 enfants : Kylie Massol (née le 22 mai 2004), Noéline Massol (née le 1er janvier 2012) et Charlize Massol (née le 25 juin 2017)

Caroline-Chantal Massol (née à Fréjus le 13 avril 1981), épouse le 10 juin 2000 de Lionel-Patrick Ferrandez (né à Marseille le 27 avril 1971),

parents à leur tour de 4 enfants :

Jérémy Ferrandez (né à Vitrolles le 3 février 2001), père à son tour d’un petit Jayden-Lionel-Sébastien Ferrandez-Croiseau (né le 5 janvier 2024) ; Jonathan-René Ferrandez (né à Vitrolles le 29 janvier 2003), Lola-Caroline Ferrandez (née à Manosque le 5 décembre 2006) et Lina-Marie Ferrandez (née à Manosque le 17 septembre 2013). 

et Ghislaine Massol (née à Fréjus le 10 août 1982), épouse le 7 octobre 2000 de Jean-Dominique Richard (né à Saint-Lo le 11 août 1978),

parents à leur tour de 2 enfants :

Lilian-Marcel-Robert Richard (né à Marseille le 20 janvier 2004) et Lou-Lisa-Maria Richard (née à Marseille le 18 mars 2013).

 

3) _ Georges-Louis-Stéphane Legros, né le 7 mars 1954 et décédé le 9 mars 1954

4) _ Chantal-Andrée Legros, née le 10 décembre 1957,

qui est l’épouse, à Vitrolles, de Christian Tornambe (né le 30 décembre 1956),

parents à leur tour de 3 enfants :

Sandrine Tornambe  (née le 15 janvier 1982), qui a eu 3 enfants : Mathieu Picout (né le9 février 2007), Anaïs Picout (née le 9 octobre 2008) et Chloé Picout (née le 24 novembre 2011) ;

Patrick Tornambe (né le 5 avril 1984), père de Lorcann Tornambe-Cazade (né le 27 août 2021) ;

et Hélène Tornambe (née le 10 août 1988), épouse le 14 août 2021, de Fabien-Jean-Raoul Angelvin (né le 12 février 1985),

parents à leur tour de Daphné Angelvin, née à Manosque le 9 juillet 2024.

5) _ et Louis-Clément Legros, né le 1er avril 1960,

qui est en couple avec Françoise Boisselier (née le 9 décembre 1961),

parents à leur tour de Lucas-Gaël Legros (né le 7 avril 2004).

Voilà pour le moment.

En bleu, les descendants Bonopéra

Ce dimanche 7 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques compléments à la généalogie des Bonopéra d’Orléansville issus de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : la descendance de la seconde (Hélène-Clémentine Bonopéra, La Ferme, 1928 – Marignane, 1987) de la fratrie des 6 enfants du couple de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977) et son épouse Clémentine Petit (Duperré, 1907 – La Garde, 1980)…

06juil

En mon article du 1er mai 2021 « « ,

et passant en revue les 6 enfants du couple formé par Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) _ fils du fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) : Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), et de l’épouse de ce dernier : Louise Hulné (Rabelais, 6 mai 1881 – Affreville, 1963) _ et son épouse Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) dont le mariage avait eu lieu à Orléansville le 4 août 1925 » _,

je constatais ceci à propos de la deuxième, Hélène-Clémentine Bonopéra, de ces 6 enfants de ce couple :

« le deuxième enfant du couple de Georges-Paul Bonopéra et Clémentine Petit, est Hélène-Clémentine Bonopéra (La Ferme, 4 septembre 1928 – ?, 24 mars 1987), qui a épousé Roland Legros (?, ??, ?), dont elle a eu 4 enfants Legros, dont, pour le moment, j’ignore tout »…

Or voici qu’après un échange de courriels en date du 24 juin dernier, puis une communication téléphonique le 28 juin suivant, et suite à la lecture de quelques uns des articles que j’ai consacré sur ce blog « En cherchant bien » à mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville,

une de ces 4 enfants Legros, la seconde, née Rolande Legros et épouse Massol, vient très gentiment de m’adresser un arbre généalogique des descendants du couple formé par Hélène-Clémentine Bonopéra (La Ferme, 4 septembre 1928Marignane, 24 mars 1987) et son époux _ le 3 septembre 1949 _ Roland-André Louis Legros (Descartes, 6 juillet 1928 – Marignane, 25 septembre 1987) :

Rolande Legros, épouse Massol (La Ferme, 1951),

fille d’Hélène Bonopéra (La Ferme, 1928 – Marignane, 1987),

petite-fille de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 1902 – Toulon, 1977),

arrière-petite-fille de Jean Bonopéra (Pontéba, 1877 – Orléansville, 1930),

lui-même fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916)

_ cf par exemple mes articles du 12 février 2021 «  » et du 4 février 2024 « « , celui-ci afin de comprendre l’articulation de ma recherche sur le neveu « algérien » de Louis Ducos du Hauron, Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1867 – Alger, 1935) et la famille Bonopéra d’Orléansville, via l’épouse d’Amédée, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933)… 

À suivre :

demain je détaillerai donc cette descendance d’Hélène-Clémentine Bonopéra et son époux Roland Legros…

Ce samedi 6 juillet 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suite des précisions à éclaircir à propos des croisements de quelques familles orléansvillaises et puis alliées, à la fin du XIXe siècle et au début du suivant, jusqu’en les années 40, en commençant par les Gentet ; ou un pan de micro-histoire de l’Algérie méconnue…

09fév

Dans la continuité de mon article d’avant-hier 7 février « « ,

je me penche ce jour sur les venues à Orléansville, fondée en 1843 par le général Bugeaud, des familles qui s’y sont ensuite alliées entre elles,

en commençant par la famille des Gentet _ originaires de Satolas, tout au nord de la Drome, et dont la présence à Orléansville même est attestée dès 1848 ; cf le détail des précisions en mon article «  » en date du 1er janvier 2021… _ avec des Rey, puis avec un Ducos du Hauron (Amédée) et des Gadel (Victor-Nicolas-Benjamin, mais avant lui déjà son père Victor-Alexandre-Philémon Gadel) _ ces Rey dont sont en effet issus les Gentet-Rey-Ducos du Hauron, via le mariage (probablement en janvier 1897 à Orléansville) entre Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) et Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935), ainsi que les Gentet-Rey-Gadel, via le mariage, le 11 mars 1905 à Orléansville, entre Aimée-Laurence Rey (probablement née à Orléansville, et probablement décédée à Alger…) et Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), lui-même fils de Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand-Serre, 21 mars 1848 – Le Grand-Serre, 9 septembre 1880) et Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1836 – Marseille, 27 septembre 1927) ; cf mes articles « «  en date du 1er décembre 2021, et « « , en date du 6 mars 2021, dans lequel est présenté la sororité de Marie-Eugénie-Hortense Rey, née au Grand-Serre le 21 mars 1848, avec son frère aîné Jean-Anatole-Firmin Rey, né au Grand-Serre le 11 janvier 1845 : le marié Victor Gadel est ainsi, par sa mère née Rey, le cousin germain de la mariée Aimée-Laurence Rey (cf mon article « «  en date du 1er décembre 2021)… _,

 

mais aussi les Gentet et les Wachter, ainsi que les Morand de La Genevray et les Bonopéra,

et pas mal d’autres encore, tels les Ferrand, les Bure, les Ducros,

aux alliances desquels, avec notamment, et surtout, des Wachter _ issus du mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857, entre Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – probablement Orléansville, à une date encore inconnue de moi) ; ce couple Wachter dont une des filles deviendra, le 2 août 1906, à Orléansville, la veuve de Louis Gentet ; et dont une des sœurs Confex (d’Élisabeth) deviendra, le 18 janvier 1916, la veuve de Paul Bonopéra-père (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), cette veuve Paul Bonopéra là (née Confex), survivant à sa sœur Élisabeth Confex, veuve Wachter, décédée à Alger le 30 mars 1925, ainsi que le remarque bien la nécrologie de cette dernière, parue dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925 _, ainsi qu’entre ceux-ci, à Orléansville ou dans ses alentours, je me suis forcément intéressé…

Et cela afin de mettre bien en lumière le lien d’apparentement _ par la dame Wachter (et nièce d’Élisabeth Confex), veuve de Louis Gentet, le tuteur de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron et mère de ses enfants, ainsi que d’Aimée-Laurence Rey, l’épouse de Victor Gadel et mère de ses enfants ; dame Wachter veuve Gentet qui se trouve être aussi la nièce de la veuve de Paul Bonpéra-père : ce qui justifie la présence de ce nom de Bonopéra dans les avis des décès ayant affecté la famille Ducos du Hauron et la famille Gadel… _ entre la famille orléansvillaise des Bonopéra avec la branche algérienne-algéroise de la famille Ducos du Hauron _ mon focus originaire de recherche _,

comme il vient de m’avoir été très aimablement demandé de préciser par Matthias Bonopéra…

 

Bien sûr, et forcément, à suivre : c’est passionnant,

en particulier par ce que cela apprend _ en forme de micro-histoire… _, de la vie d’intimité chaleureuse et partagée de ces communautés villageoises de la période coloniale de l’Algérie, entre 1830 et 1940…

Ce vendredi 9 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise, avec compléments et ajouts, de mon article du 16 février 2021 : « Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra… »

02fév

Suite à deux passionnant séchanges téléphoniques hier soir avec Matthias Bobopéra, puis son père Georges Bonopéra, à la recherche de précisions sur l’histoire de leur famille Bonopéra,

voici, et pour continuer la reprise d’hier soir 1er février _ avec l’article « «  _,

cette fois la reprise de mon article du 16 février 2021 « « , concernant ici le 4éme des 6 fils de Paul Bonopéra, Auguste Bonopéra-le-père, né le 3 avril 1883 à Orléansville, et époux d’Isabelle Vivès,

et père, nons pas de 4 enfants, comme je l’avais supposé jusqu’ici, mais bien de 5 enfants, car à ses 2 sœurs Hélène-Isabelle et Yvonne, et ses 2 frères Georges (dit Coco) et Auguste (dit le fils) il me faut désormais adjoindre René Bonopéra dont j’avais jusqu’ici ignoré l’existence :

Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra…

Ce mardi 16 février _ 2021 ! _, je continue donc d’apporter des précisions sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger (sic ; ce n’est que plus tard qu’il deviendra le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville…), et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possible, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en en venant ce soir au quatrième, Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883 _ j’ignore encore la date et le lieu de son décès : mais voici que son petit-fils Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950), qui m’a joint hier soir au téléphone, vient de m’apprendre que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (et dit le colonel) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962 ; et que l’épouse de celui-ci, née Isabelle Vivès, était décédée à Orléansville en 1950… _), qui me pose quelques difficultés…

 

L’absence d’archives d’État-civil pour Orléansville demeure encore en effet une source permanente de difficultés et complications pour la recherche.

En effet, déjà, je ne suis pas parvenu _ jusqu’ici : c’était le 16 février 2021 _ à donner un nom à l’épouse d’Auguste Bonopéra-le-père _ à la différence de ce que j’ai pu réaliser pour ses frères Jean (dont l’épouse est Louise-Marie Hulne), Paul (dont l’épouse est Marie Cathébras) et Julien (dont l’épouse est Germaine-Jeanne-Lucie-Geneviève Besse) ; mais ayant pu joindre au téléphone Huguette Bonopéra, au mois d’avril 2021, celle-ci m’avait donné le nom de sa grand-mère paternelle (l’épouse d’Auguste-le-cafetier de la rue d’Isly à Orléansville) : Isabelle Vivès.

Et pour ses propres enfants aussi, pas mal d’éléments, aussi, me manquent encore ;

à commencer par leur nombre exact _ à la date du 19 février 1915, son livret militaire indique qu’il a alors « 4 enfants vivants« ; et c’est précisément ce qui autorise son départ de l’armée d’active, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905…  _ ;  puis par leur ordre de naissance ;

jusqu’ici j’ai pu repérer, principalement dans la presse _ Le Progrès, d’Orléansville, ainsi que L’Écho d’Alger _, quelques événements familiaux, tels que naissances, mariages ou décès ; mais hélas aucun de ces _ bien précieux ! _ faire-part officiels qui permettent normalement _ quand ils sont suffisamment précis et détaillés _ de réunir l’ensemble de la constellation familiale…

Et cela alors que très sympathique _ et très estimé _ Auguste Bonopéra-le-père tenait un rôle central dans l’animation locale d’Orléansville, en tant que tenancier du principal Café de la cité : le Grand Café, rue d’Isly ;

et à ce titre son nom apparaît souvent dans la chronique de la vie locale et festive de l’Orléansville d’alors _ ainsi, le 29 août 1912, lors d’un bref début d’incendie du Café, heureusement très vite éteint grâce à l’aide des voisins aussitôt accourus…

Je suppose que l’aînée des _ au moins _ quatre enfants _ en fai ils sont cinq : le 5e d’entre eux (René ?) naîtra donc après le 15 février 1915… _ d’Auguste Bonopéra-le-père et de son épouse, née, donc, Isabelle Vives, est cette Hélène-Isabelle Bonopéra _ elle est née à La Ferme, le 29 mai 1905 ; et elle décèdera en 1950, m’a appris hier soir, 1er février 2024, son petit-fils Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950, et fils de René et son épouse, Arlette Cailliez... _ qui épouse, le 17 décembre 1927 _ l’avis de mariage est donné par Le Progrès, d’Orléansville du 29 décembre 1927 ; et le marié, Michel Pons, est alors « facteur au P.L.M. et domicilié à Oran«  _, Michel-Albert Pons _ né à Perrégaux le 1er novembre 1897 _, qui travaille à la compagnie ferroviaire P. L. M. ; et qui sera, un peu plus tard, en 1932, le sous-chef de gare de la gare d’Orléansville : au moment de la naissance du second enfant de ce couple de Michel Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra, le petit Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 _ celui-ci deviendra l’époux de Françoise Morand de La Genevraye (née en 1940), et il décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Le couple formé par Hélène-Isabelle Bonopéra et son époux Michel-Albert Pons donnera, en effet, au moins deux petits-enfants à Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès :

_ Michelle Pons, qui naît à Orléansville au tout début du mois de janvier 1929 (et qui épousera Louis Préfume _ qui décèdera à Nice le 1er février 2011, à l’âge de 86 ans _ ; et ils auront un fils : Pierre Préfume) ; Michelle Pons, née Bonopéra, décèdera à La Colle-sur-Loup le 2 septembre 2013 ;

_ et Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 ; et qui épousera une cousine des Bonopéra, Françoise Morand de la Genevray _ née à Alger, en 1940 : fille de Robert Morand de la Genevraye et de son épouse Odette Gallois ; petite-fille de Jules Morande de la Genevray et de son épouse Clémence Orgeret, et arrière petite-fille de Frédéric-Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 novembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et de son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, entre 1892 et 1901) _ ; Auguste Pons décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Et nous pouvons remarquer ici, au passage, que Françoise Morand de La Genevray est une descendante de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849) et de son époux Frédéric-Auguste Morand de la Genevraye _ décédé le 25 mai 1904 alors qu’il exerçait le mandat de maire d’Orléansville _) : Marguerite Bonopéra, sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) est en effet la tante d’Auguste Bonopéra-le-père _ le cafetier de la rue d’Isly _, le quatrième des six fils _ Jean (1877, à Pontéba), Paul (1878, à Pontéba), Alphonse (1881, à Charon), Auguste (1883, à Orléansville), Julien (1887, à Charon), Georges (1892 à Ténès) _ de Paul Bonopéra, et grand-père maternel de ce petit Auguste Pons.

Auguste Pons et son épouse née Françoise Morand de la Genevraye, eux, seront parents de deux enfants : Jean-François Pons et Isabelle Pons _ épouse d’Olivier Fischbach.

Pour ce qui concerne l’ordre de naissance des au moins quatre enfants  _ cinq, en fait : il faut adjoindre ici le plus jeune, né après 1915, René Bonopéra _ d’Auguste Bonpéra-le-père et son épouse Isabelle Vivès, il se pourrait que que leur deuxième enfant soit Auguste Bonopéra-le-fils _ dont j’ignore encore (à ce jour du 16 février 2021) la date et le lieu de naissance : son petit-neveu Georges Bonopéra, fils de son frère René, vient de m’apprendre au téléphone hier soir, 1er février 2024, que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (dit le colonel…) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962. il faudra que je demande à Georges Bonopéra de bien vouloir m’indiquer aussi les dates et lieux de naissance et de décès de son oncle Auguste Bonopéra-le fils…

Auguste Bonopéra-fils _ cf l’avis du Progrès d’Orléansville du 30 juin 1932se marie à Orléansville le le 25 juin 1932 avec Antoinette Galléra (ou Calleja) _ sœur et belle-sœur de Mme et M. Paul Joanico, de La Senia, indique cet avis de ce mariage _, qui lui donnera le 3 mai 1933 « deux mignonnes fillettes prénommées Huguette et Claudette » ces deux jumelles vivent toutes deux (à la date de ce 16 février 2021) dans la région de Montpellier : Huguette Bonopéra, épouse (puis divorcée) de Gérard Dubois, est mère de cinq enfants (Georges, Jean-Marc, Michel _ père de Steve Dubois _, Pascal et Isabelle Dubois) ; et Claudette Bonopéra, épouse de Hans Haenni (né en Suisse le 1er novembre 1922 et décédé à Clapiers, Hérault, le 7 novembre 1998), a eu aussi plusieurs enfants.

Mais Claudette Haenni Bonopéra et Huguette Bonopéra, les jumelles nées à Orléansville le 3 mai 1933, sont toutes deux décédées l’année dernière, à deux mois d’intervalle : Claudette le 26 juin 2023 et Huguette le 25 août 2023…

Puis, leur troisième enfant pourrait être Yvonne Bonopéra, qui leur est née à Orléansville le 9 avril 1912 ; et qui décèdera à Montpellier _ vivaient ses nièces Huguette et Claudette, les filles jumelles de son frère Auguste Bonopéra-le-fils _ le 10 août 2008 _ Yvonne Bonopéra ne s’est pas mariée et n’a pas eu d’enfant.

Et il s’avère que le bébé Georges _ dit « Coco« … _ né à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février 1915 _ et dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _, est bien le quatrième des « enfants vivants » ;, lui, à

ce dont Auguste Bonopéra a pu faire état auprès des autorités militaires, le 23 février 1915, afin d’être à même de bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905 concernant les pères de famille d’au moins quatre enfants, libérant les assujettis au service actif, et leur permettre de regagner leurs foyers _ ce qui fut fait pour lui ; il put aussitôt regagner son domicile (et son Café) d’Orléansville dès le mois de février 1915…


Il se pourrait donc que René Bonopéra,

père de Georges Bonopéra _ né, lui, à Orléansville le 9 mars 1950 _ et grand-père paternel de Matthias Bonopéra _ né à Paris 11e, le 17 mai 1977 _,

soit le dernier-né, après 1915, de Auguste Bonopéra-père (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès…

À suivre…

Ce mardi 16 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour ces précisions et compléments, suite et grâce à mes échanges téléphoniques très sympathiques d’hier soir avec Georges et Matthias Bonopéra, curieux d’en découvrir un peu davantage sur l’histoire de leur famille, en Algérie, et à travers la Méditerranée : Sicile, Marches, Catalogne, Minorque…

Et bien entendu à suivre…

Ce vendredi 2 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question d’identifier précisément une des soeurs Confex et une des filles Wachter d’Elisabeth Confex (épouse Wachter) : la future « Veuve Paul Bonopéra » de 1916, et la future « Veuve Louis Gentet » de 1906…

01nov

Pour résumer très simplement le fond de mon questionnement d’hier («  « ),

les identités de deux personnes continuent de constituer deux importantes taches aveugles de ma recherche à propos de l’environnement familial, via son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935) ;

il s’agit :

d’une part, et premièrement,

de l’identité d’une des sœurs Confex d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) _ Élisabeth Confex, un (discret) personnage-pivot de mon enquête _devenue, à la mort de Paul Bonopéra, le 18 janvier 1916, à Orléansville, « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex » _ Paul Bonopéra : né à Miliana le 1er octobre 1856, et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916… _ ;

et que la mention, dans Le Progrès d’Orléansville, du 10 avril 1925 _ « Nous avons appris avec peine le décès survenu à Alger, à l’âge de 89 ans, de Madame Veuve Wachter, née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter d’Orléansville, et sœur de Madame Veuve Bonopéra _ voilà ! Très aimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte _ Élisabeth Confex, veuve Wachter de Jean-Baptiste-Antoine Wachter _ ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont connue. En cette pénible circonstance, nous adressons aux familles atteintes par ce deuil cruel nos bien sincères condoléances «… _ du décés, survenu à Alger le 30 mars 1925, d’Élisabeth Confex « Veuve Wachter« ,

affirme on ne peut plus explicitement être bien une sœur de cette défunte Élisabeth Confex ;

ainsi qu’une tante de l’orléansvillais Émile Wachter _ né à Mustapha le 15 mai 1869, et époux, à Orléansville, de Hélène-Etiennette-Sophie Janet ; parents de 5 enfants Wachter ; cf mon article du 2 février 2021 : _un des enfants _ le quatrième de la fratrie : après Élisabeth-Marie-Louise Wachter (née à Médéa, le 9 mars 1858) ; Aimée-Marie Wachter (née à Mustapha, le 2 septembre 1859) ; Louis-Jules Wachter (né à Orléansville, le 29 juillet 1866) ; et avant Marie-Emélie Wachter (née probablement à Orléansville, en 1874 ou 75)… _ d’Élisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ;

et jusqu’ici, j’ai ai pu identifier,

outre 2 frères Confex, soient Marius-Ernest-Jules Confex (Alger, 19 février-1841 – ?, ?) et Marius-Etienne Confex (Alger, 29 novembre 1843 – Relizane, 30 décembre 1894),

3 sœurs Confex

d’Élizabeth Confex, la future « Veuve Wachter, née Confex » _ j’ignore cependant à quelle date Élizabeth Confex est devenue veuve de son mari Jean-Baptiste-Antoine Wachter… _ ;

qui sont :

_ Aimée-Justine-Marie Confex (Alger, 7 août 1839 – ?, ?), devenue, à Alger, le 2 décembre 1889, la « Veuve Philippe Ferrand, née Confex » _ mais j’ignore le lieu et la date du décès de cette Aimée-Justine-Marie Confex _  et mère d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand (Alger, 1869 – Alger, 18 décembre 1927 ; qui deviendra l’époux de la nièce de sa mère : en l’occurrence, sa cousine Marie-Emélie Wachter, fille d’Elisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter ;

 

_ Marie-Léontine Confex (Alger, 28 mars 1846 – ?, ?) _ sans aucune autre précision jusqu’ici… _ ;

_ et Zoé-Marie-Thérèse Confex (Alger, 19 août 1852 – ?, ?), épouse, à Mustapha, le 13 mai 1876, de Henry-Anastas Clément (Vallerest, 15 juin 1850 – ?, ?) _ sans davantage de précision…


Laquelle d’entre ces trois sœurs Confex est-elle devenue la troisième « Madame Paul Bonopéra » _ la première Madame Paul Bonopéra (et mère de leurs 6 garçons), est Joséphine Girot, née à Ténès, en 1856, et décédée à Orléansville, le 11 juillet 1892 ; et Paul Bonopéra ayant divorcé de sa deuxième épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet, le 25 juillet 1897 ;

cf là-dessus mes articles du 13 février 2021 :  ; et du 7 mars 2021 : _puis, le 18 janvier 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra » ?..

_ Est-ce ou bien, Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 août 1839, devenue, à l’âge de 50 ans, le 2 décembre 1889, veuve de Philippe Ferrand ; celle-ci aurait pu épouser, aussi, un peu plus tard _ après le divorce de Paul Bonopéra d’avec sa deuxièle épouse, le 25 juillet 1897 _, Paul Bonopéra, à Orléansville _ la date exacte de ce troisième mariage de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) avec cette dame « née Confex », me demeurant, à ce jour, inconnue… _ ;

_ ou bien, Marie-Léontine Confex, née à Alger le 28 mars 1846 _ jusqu’ici je ne sais rien de plus sur sa vie ; ni son décès… _ ;

_ ou bien Zoé-Marie-Thérèse Confex, née à Alger le 19 août 1852 _ mais, si ce n’est son mariage, le 13 mai 1876, à Mustapha, avec Henry-Anastas Clément (né à Vallerest, Haute-Marne, le 15 juin 1850), je ne sais rien de plus, non plus, sur le reste de sa vie de cette sœur Confex, sixième de la fratrie des enfants Confex-Vidal ; non plus que sur son décès… ?

_ à moins qu’il ne s’agisse encore d’une autre sœur Confex, mais jusqu’ici inconnue de moi, d’Élisabeth Confex…

Puis, d’autre part, et deuxièmement,

la seconde tache aveugle qui fait l’objet de cette petite synthèse de ma part,

est l’identité d’une des filles Wachter_ fille d’Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et de son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – j’ignore le lieu et la date de son décès) : ce couple Wachter-Confex a eu au moins 5 enfants Wachter… _ 

en l’occurrence celle qui deviendra, le 9 août 1906, lors du décès de son époux Louis Gentet _ l’oncle et tuteur de ses deux nièces Marie-Louise Rey (épouse, à Orléansville, d’Amédée Ducos du Hauron) et Aimée-Laurence Rey (épouse, à Orléansville, de son cousin Victor Gadel), les deux filles de Jean-Anatole Rey et Adélaïde Gentet, précocementt décédés le 28 janvier 1890 et le 21 juillet 1886, à Oran _, la « Veuve Louis Gentet, née Wachter » de certains des faire-parts de divers décès de sa famille ; faire-parts sur lesquels celle-ci figure sous cette dénomination, mais _ hélas pour la facilitation de notre recherche _ chaque fois sans son prénom ;

en conséquence de cette ignorance du prénom de cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter« ,

je ne suis toujours pas en mesure d’identifier les lieu et date de naissance de cette demoiselle Wachter qui deviendra « Veuve Louis Gentet » à dater du 9 août 1906

_ et il semble, aussi, que ce couple Gentet-Wachter n’a pas eu d’enfant Gentet… _ ;

ni, non plus, d’affirmer laquelle des sœurs de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » est bien cette « Veuve Louis Gentet, née Wachter » _ une des quatre filles jusqu’ici repérées de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex ;

à ne pas confondre avec, à la génération suivante, les filles Wachter de leur frère Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène-Etiennette-Sophie Janet : Mireille Wachter (Orléansville, 1907 – Orléanville, 19 octobre 1928) et Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004 ; épouse, à Orléansville, en juin 1930, de Camille Férise)… _ ;

sœurs Wachter, dont je connais, à ce jour, seulement les données concernant les naissances ; mais ignore, notamment, lesquelles de ces demoiselles Wachter-ci ont été mariées, ou pas ; non plus plus que les lieux et dates des  décès respectifs de chacune :

il s’agit ici d’Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

et d’Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859.

J’ai bien envisagé, aussi, qu’il aurait pu s’agir, éventuellement, d’une troisième de ces sœurs Wachter, en l’occurrence la benjamine et cinquième de la fratrie, Marie-Emélie Wachter, née _ probablement à Orléansville _ en 1874 ou 1875, et mariée _ j’ignore à quelle date précisément, et possiblement à Orléansville… _ à son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand, né _ probablement à Alger _ en 1869, où il décèdera, en son domicile, Avenue Gandillot, le 18 décembre 1927 ; faisant d’elle, à dater de ce jour de 1927, « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Mais il faut bien constater qu’existe une fondamentale impossibilité logique (!!!) que cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » proprement une nièce de la veuve Ferrand du défunt Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter, celle-là même qui annonce le décès de son mari _, soit la même personne que celle, en l’occurence « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« , qui annonce, dans L’Écho d’Alger du 20 décembre 1927, le décès de son époux, et intègre à son faire-part, au rang protocolaire qui lui convient, sa sœur : « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

« Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter et ses enfants : Yvonne et Simone ; M. Henri Ferrand et Mme ; Mme Vve Bonopéra ; Mme Vve Louis Gentet, née Wachter ; Mme et M. Émile Wachter et leurs enfants ; Mme Vve Louis Wachter et sa fille ; Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants ; M. A. Gastaud ; les familles Ferrand d’Avancourt, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ; M. Albert Billiet ; MM. Tiné, le personnel de la Maison Tiné et Cie,

ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Albert FERRAND, Caissier aux Deux Magots, leur époux regretté, père chéri, neveu, beau-frère, cousin et allié, décédé à Alger le 18 décembre 1927, dans sa 59e année. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à quatre heures. Réunion au domivile mortuaire, 9 rue Rovigo. Regret éternel«

De la fratrie des cinq enfants du couple formé par Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Élisabeth- Joséphine-Baptistine Confex _ Élisabeth-Marie-Louise, Aimée-Marie, Louis-Jules,Émile et Marie Emélie Wachter _, sont donc encore vivants à cette date du 18 décembre 1927, du décès, à Alger, d’Albert-Philippe-Joseph Ferrand, que les deux plus jeunes de la fratrie, soient Emile Wachter, et Marie-Emélie Wachter, désormais veuve d’Albert Ferrand. 

……

L’hypothèse envisagée plus haut, est donc écartée !

« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , étant la belle-sœur du défunt, « Monsieur Albert FERRAND« ,

est bien la sœur de « Mme Vve Albert Ferrand, née Wachter« …

Ne demeurent ainsi plus que trois possibilités pour l’identification de la personne précise de cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » :

_ ou bien, Élisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa le 9 mars 1858 ;

_ ou bien, Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha le 2 septembre 1859 ;

_ ou bien, encore, une autre sœur Wachter, qui serait demeurée totalement inaperçue de mes recherches jusqu’ici…

Voilà, pour ce jour de Toussaint 2021,

mon effort de synthèse concernant ces deux taches aveugles de ma recherche, que sont les deux identités à percer au jour, de « Mme Vve Paul Bonopéra, née Confex » et de « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ la seconde citée, née Wachter, étant la nièce de la première, née Confex…

La disparition des archives d’Orléansville et sa région lors des deux séismes du 9 septembre 1954, puis du 10 octobre 1980, ne facilitant certes pas la recherche des états-civils des personnes,

en empêchant de consulter les données d’État-civil qui, conservées à Orléansville, ont été alors détruites…

Ce lundi 1er novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur