Début de lecture du très attendu, de ma part, de « Je te laisse dormir » d’Edith Bruck, à paraître aux Editions du sous-sol le 6 octobre prochain, en une traduction de René de Ceccatty…
18sept
Ayant reçu au courrier ce jour le « Je te laisse dormir » d’Édith Bruck, traduit par René de Ceccatty, à paraître aux Éditions du sous-sol le 6 octobre prochain _ outre « Je te laisse dormi« , aux pages 193 à 418, le volume comprend aussi « L’Hirondelle sur le radiateur« , aux pages 7 à 184 ; ainsi qu’un bref « L’Homme Nelo Risi« , aux pages 185 à 191 :
« La rondine sul termosifone« , écrite en 2014-2015, est parue chez l’éditeur La Nave di Teseo le 19 janvier 2017 ;
« Te lascio dormire« , écrit postérieurement au décès de Nelo Risi le 17 septembre 2015, à Rome, est paru le 3 octobre 2019 chez le même éditeur, La Nave di Teseo ;
et « L’Uomo Nelo Risi« , « brève intervention d’Edith Bruck aux journées d’études Parole et immagini per Nelo Risi, Fondazione Carlo Palmisani« qui se sont tenues à San Salvatore Monferrato les 13 et 14 octobre 2016, date, lui, du 13 octobre 2016… _,
j’en ai entrepris immédiatement la lecture…
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Et en forme en quelque sorte d’introduction,
ou de seuil,
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je me permets de renvoyer d’abord ici à une sélection de 7 articles _ écrits du 7 janvier au 11 février 2022 _ que j’ai consacrés à mes lectures _ proprement enchantées _ d’Édith Bruck, et plus spécialement de ses sublimes et décisifs récits autobiographiques « Qui t’aime ainsi » de 1959 et « Le Pain perdu » de 2021,
dont voici les 7 liens :
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_ le 7 janvier 2022 : « Admirer la puissance de vérité du « Pain perdu » de toute une vie, d’Edith Bruck » ;
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_ le 8 janvier 2022 : « Eclairer les tenants géographico-historiques du récit de survie et de vie d’Edith Bruck… » ;
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_ le 11 janvier 2022 : « Sources-ressources pour des précisions biographiques concernant Edith Bruck, sa famille, ses proches, et quelques autres personnes, rencontrées en 90 années de vie (1931 – 2021), en son exigeant parcours de survie et d’écriture » ;
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_ le 13 janvier 2022 : « La question de la coordination des noms des personnes-personnages dans les divers récits autobiographiques d’Edith Bruck : par exemple, entre « Chi ti ama cosi » de 1959 et « Il Pane perduto » de 2020… » ;
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et surtout ces trois-ci,
d’ampleur davantage panoramique :
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_ le 21 janvier 2022 : « Edith Bruck : « Cara mamma, a 90 anni posso dire : ho dato un senso alla mia sopravvivenza »… » ;
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_ le 10 fèvrier 2022 : « Quelques éléments que j’ai appris de ma lecture comparée de « Qui t’aime ainsi » (de 1959) et « Le Pain perdu » (de 2021), en particulier sur la constellation familiale des Steinschreiber-Bieber-Deutsch, et le cousin Tibi… » ;
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_ et le 11 février 2022 : « L’indispensable « écrire pour respirer » d’Edith Bruck, en 1959 et en 2021 : la constance de l’irrépressible urgence de parler et écrire, quand « le papier écoute tout »…« .
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À suivre, avec passion…
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Ce lundi 18 septembre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa