Chronique de ma lecture de « Rêvoir » (II) : le merveilleux chapitre-pivot, le chapitre IV : « A Bord de l’Endurance _ Préparation à ce à quoi on ne peut pas se préparer »
Le chapitre suivant de « Rêvoir« , est un superbe et magnifique chapitre-pivot, aux pages 57 à 81,
intitulé « À Bord de l’Endurance _ Préparation à ce à quoi on ne peut pas se préparer« .
…
…
Ce chapitre, en effet, est consacré au tout début des retrouvalles précipitées, loin de Paris, avec la maison d’écriture d’Hélène Cixous, aux Abatilles, un quartier excentré d’Arcachon ;
en cette maison construite en 1960, quand Hélène Cixous s’est trouvée nommée à enseigner l’Anglais au collège et lycée Grand-Air d’Arcachon ;
et où elle aime se réfugier, les mois d’été (juillet-août), afin de se consacrer exclusivement, au grand calme _ l’Allée Fustel de Coulanges est elle-même excentrée au sein du quartier déjà excentré des Abatilles _, à son travail annuel _ acrobatique, éperdu _ d’écriture…
…
…
Hélène, ou plutôt « On« , « y arrive le mardi 17 mars 2020« , lit-on à la page 73 _ le décret présidentiel de confinement du pays datant de la veille au soir, le lundi 16 mars…
…
…
La référence au vaisseau de L’Endurance (page 68) et son capitaine-explorateur de l’Antarctique Ernest Shackleton _ Kilkea (Irlande), 15 février 1874 – Grytviken (Île de Géorgie du Sud), 5 janvier 1922 _ (page 67),
fonctionne comme une des métaphores de l’entreprise toujours très audacieuse _ et magnifique ! _ d’écriture d’Hélène Cixous…
…
…
À suivre passionnément…
…
…
Ce dimanche 26 décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa