Antonio Vivaldi : avec ou sans tendresse, un critère de pertinence de l’interprétation

— Ecrit le jeudi 27 décembre 2018 dans la rubriqueMusiques”.

Ce qui fait _ et considérablement ! _ la différence

parmi les interprétations _ et enregistrementts discographiques _ de l’œuvre de Vivaldi,

c’est la présence ou l’absence du rendu de la tendresse,

que ce soit _ bien sûr _ dans les passages lents,

mais aussi dans les moments de grande virtuosité.

Bruno Cocset,

ou Jean-Guilhen Queyras,

nous ont, sur ce chapitre, cette année,

comblés ;

mais pas, une nouvelle fois, hélas,

Fabio Biondi.

Que l’on s’amuse

à passer en revue chez soi sur sa platine

la collection de ses CDs Vivaldi,

et en faire le test sur ce critère

de la tendresse proprement vivaldienne,

et l’on fortifiera assurément son appréciation…

Qu’on ré-écoute aussi

Giuliano Carmignola,

ou Victoria Mullova,

et on se verra confirmé

quant à cette pertinence de la tendresse

dans l’interprétation de l’œuvre

du Prêtre roux

vénitien… 

Ce jeudi 27 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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