Archives du mois de juin 2021

Et le très vivant et actif cercle familial des enfants, neveux, cousins Sartre, Langlois, de Swarte, de Bertille de Swarte…

24juin

Et il me faut étendre ma recherche du très fécond environnement culturel et musical de Théotime Langlois de Swarte

au cercle de ses frères et sœurs _ de Swarte, Langlois ainsi que Sartre _, et assez nombreux cousins,

qui constituent les principaux familiers de sa mère Bertille de Swarte _ ainsi que de, mais dans une bien moindre mesure, de son père Hervé Langlois _ ;

notamment lors des rencontres _ familiales _ au château de l’Esparrou, à Canet-en-Roussillon, notamment et surtout :

un effectivement très vivant pôle d’attraction…

En parcourant les pages Facebook de certains d’entre eux

_ telle, par exemple, l’assez active sur ce réseau, Camille Sartre _,

j’ai découvert certains noms de personnes apparentées aux de Swarte, Sartre et Langlois ;

comme par exemple une nommée Sophie Langlois…

Ou encore, à partir de la page Facebook d’Hervé Langlois _ très discret, lui _, une nommée Audrey Langlois, créatrice de bijoux, à Paris

_ mais j’ignore quels sont les liens de parenté unissant Hervé Langlois avec Sophie et avec Audrey Langlois…

En revanche,  les pages Facebook de Bertille de Swarte ne sont pas avares de mentions de nombreuses personnes qui lui sont, d’un biais ou d’un autre, apparentées, ou amies ;

comme, par exemple parmi bien d’autres, divers membres de la famille de Marie-Charlotte Fournage _ née en 1986 _, l’épouse _ le mariage a eu lieu le 25 juillet 2015 _ de son fils aîné Sylvain Sartre _ né le 28 août 1979 _ :

telles Constance Fournage, Agathe Fournage, ou Léonore Fournage ; ainsi que leur mère Béatrice Chamontin _ née le 23 mai 1960 ; mère de 5 enfants et musicothérapeute… 

À suivre…

Ce jeudi 24 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ainsi qu’un aperçu sur le parcours musical de la soeur de Théotime : Pauline Langlois de Swarte…

23juin

Mais il s’avère que l’environnement culturel qui a pu servir de fécond terreau musical à Théotime Langlois de Swarte est loin de se borner aux encouragements et exemples éminemment formateurs de sa mère, Bertille de Swarte, et de son frère aîné, Sylvain Sartre,

sans compter, aussi, bien sûr, le rôle qu’a pu jouer son père, le ténor et professeur de chant Hervé Langlois ;

il faut compter aussi avec l’exemple très proche de sa sœur Pauline Langlois de Swarte,

avec laquelle le jeune Théotime s’est produit très tôt en duo :

un duo de violon avec piano, ainsi que de violon avec clavecin…

Peut être une image de 1 personne et sourire

Sur la page Facebook de son groupe de chant Les Itinérantes, à la date du 6 mars 2017, apparaissait une intéressante amorce de CV de Pauline Langlois de Swarte,

que voici :

Pauline Langlois de Swarte

Pauline Langlois de Swarte commence la musique très tôt, à l’âge de 4 ans _ soit en 1998. D’abord passionnée par le piano, elle commence ensuite le clavecin, la viole de gambe, le chant et la danse. À l’âge de 7 ans et demi _ en juin 2003 _, elle obtient son premier rôle dans la comédie musicale Oliver Twist (Rôle titre) _ sous la direction musicale d’Hervé Langlois, son père, et dans une mise en scène de Bertille de Swarte, sa mère ; cf l’article de L’Indépendant de Perpignan du 23 juin 2003, intitulé Oliver Twist, une comédie musicale d’après Dickens _, et enchaînera par la suite de nombreux rôles dans les diverses productions de la maîtrise de l’Irvem, tout en se perfectionnant en technique vocale avec le phoniatre Benoît Amy de la Breteque.
Passionnée par le monde du spectacle, elle s’essaye pour la première fois à la direction artistique / mise en scène dans le spectacle The Ladybeetles _ en 2009 _ qu’elle conçoit à l’âge de 15 ans au sein de la maîtrise de l’Irvem.
Elle poursuit parallèlement ses études au conservatoire de Perpignan et obtient son DEM de piano, de solfège et de musique de chambre à l’âge de 16 ans, ainsi que l’UV d’accompagnement.
Elle intègre par la suite _ en 2012 _ l’école normale de musique de Paris en piano et musique de chambre, dont elle obtient le diplôme de 5ème exécution à 18 ans _ en 2014.
Elle intègre ensuite l’AICOM (Académie Internationale de comédie musicale) à l’âge de 20 ans, et commence également un travail de traductrice.

Aujourd’hui, elle est directrice de la section comédie musicale de la maîtrise de l’Irvem, ce qui lui a permis de monter _ en 2015 _ Les Misérables, une production semi-professionnelle au festival Été 66 à Perpignan, dans lequel elle assurait la direction artistique et le rôle d’Eponine. Elle réitère l’année suivante _ en 2016 _ avec Into the Woods, cette fois en s’occupant de l’adaptation française également, tout en reprenant le rôle de Cendrillon et de directrice artistique.
En 2017, elle projette de créer une compagnie professionnelle, et fait communiquer ses nombreuses passions dans divers projets artistiques.

J’ajoute à cette amorce de CV datant de 2017

que suivront deux autres comédies musicales sous la direction de Pauline Langlois de Swarte, avec l’IRVEM :

en 2018, Matilda ; et en 2020, Les Aventures d’Annie.

D’autre part,

Pauline Langlois de Swarte a créé _ avec deux autres remarquables chanteuses : Elodie Pont et Manon Cousin _ l’excellent trio vocal a capella Les Itinérantes.

Enfin, en duo violon/piano,

Pauline Langlois de Swarte et son frère Théotime se sont produits en concert :

par exemple,

le 16 juillet 2014, au Mas Reig, à Banyuls, en un programme Mozart, Debussy et Sarasate

_ cf cet article Un duo de charme au cœur des vignes

Ce mercredi 23 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Bertille de Swarte et les fécondes activités du Centre culturel de rencontre du château de L’Esparrou, à Canet-en-Roussillon…

21juin

Après mon ,

je poursuis ce que j’ai commencé d’engager avant-hier en mon article

Comme je l’ai indiqué,

la fondation en janvier 1988 à Perpignan de l’IRVEM (Institut de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen), a constitué une étape décisive _ et majeure _ dans la carrière culturelle de Bertille-Marie-Thérèse-Françoise de Swarte :

son activité, là _ à l’IRVEM _, d’enseignement du chant se poursuivant très activement aujourd’hui…

Une autre fondation est aussi très importante dans la carrière artistique de Bertille de Swarte :

celle de l’Association des Amis du château de l’Esparrou, à Canet-en-Roussillon association créée le 12 juillet 2001 _,

dans le domaine familial _ cf le bien intéressant article Un second souffle pour le château de l’Esparrou, paru dans L’Indépendant de Perpignan le 12 avril 2012 _ hérité de sa grand-mère maternelle Marie-Thérèse Sauvy (Perpignan, 1er mai 1896 – Canet-en-Roussillon, 30 juin 1994) ;

Marie-Thérèse Sauvy, l’épouse _ à Neuilly-sur-Seine, le 17 mars 1923 _ de André-Marie Rendu (Paisandu, Uruguay, 17 mai 1885 -Canet-en-Roussillon, 8 août 1953),

et surtout la fille de celui qui fut maire de Perpignan _ du 1er mai 1904 au 13 mai 1907_Eugène Sauvy (Perpignan, 19 octobre 1868 – 1917) ;

fils du premier propriétaire de ce beau domaine de Canet-en-Roussillon :

Joseph Sauvy (Perpignan, 30 octobre 1833 – 1892)

ASSOCIATION LES AMIS DE L’ESPARROU

L’association « Les Amis de l’Esparrou » s’est donné comme objectif principal dès sa création « la protection, la sauvegarde, la promotion et l’étude du patrimoine architectural, culturel et naturel du château de l’Esparrou, de son parc et de son environnement ». Un objectif qui trouve pleinement son sens aujourd’hui avec le projet de faire de l’Esparrou un haut lieu culturel et événementiel _ voilà ! _, comme il le fût d’une certaine manière dès sa construction en 1891. L’association Les Amis de l’Esparrou lors de sa création, a organisé à l’Esparrou et dans d’autres lieux équivalents de la région (le château du Parc-Ducup, etc.) des concerts et des lectures musicales autour d’auteurs et de compositeurs de la fin du XIXe. De même, elle a proposé des visites-conférences portant sur l’univers architectural, artistique et culturel de cette époque, et permettant d’interroger les spécificités de l’identité catalane, grâce à la découverte des demeures de la famille Pams à Perpignan, Port-Vendres et Valmy, ou de l’architecture de la fin du xixe siècle à Barcelone.

Après l’inscription du château à l’Inventaire des monuments historiques en 2011, qui a permis la protection du château, l’Association a engagé une démarche pour devenir Centre culturel de rencontre (CCR) dans un objectif de sauvegarde du patrimoine et de mise en place d’un projet _ culturel et artistique _ d’intérêt général. La Commission nationale du 5 janvier 2012 avait proposé au Ministre de prendre le projet en considération, une première étape qui a permis d’approfondir le projet, de travailler avec l’appui de la DRAC et des collectivités partenaires pour franchir les étapes vers le label. L’Association depuis 2012 développe un projet qui s’articule sur un thème, L’intime, décliné autour de quatre axes qui croisent à la fois l’histoire du domaine, une présence artistique essentielle, un fort positionnement dans le domaine de l’éducation artistique auprès des jeunes, un questionnement sur la société et l’environnement. La programmation annuelle se tourne vers tous les publics (familles, jeunes publics, publics empêchés, scolaires, tout public…) et propose des concerts, spectacles, expositions, conférences, formations, résidences d’artistes en lien avec l’environnement et le patrimoine de l’Esparrou.

LE PROJET DE CENTRE CULTUREL DE RENCONTRE

Silhouette familière émergeant au-dessus d’une mer d’arbres et de feuillages, le château de l’Esparrou est le témoin d’une époque dont l’histoire est encore proche dans les esprits, palpable, racontée, photographiée. La volonté des propriétaires (descendants des bâtisseurs de l’Esparrou) est de créer une rencontre à travers l’art en valorisant ce patrimoine. L’ouverture à un public diversifié fait le lien entre ce passé et le présent. Le château marie de façon unique un terroir cultivé, des zones humides et les rivages de l’étang qui sont d’une très grande sensibilité écologique. De par sa situation, (enracinement dans la ruralité, biodiversité), son histoire (prenant de plein fouet le nouveau siècle et tout le modernisme qu’il suscita), et le lien étroit avec de nombreux artistes, l’Esparrou doit devenir un lieu de référence pour replacer l’homme dans une rencontre avec l’art, la culture et les milieux naturels dans une approche intimiste, « L’Intime » ayant été choisi comme axe de réflexion du futur CCR.
La configuration du lieu permettra d’accueillir après sa restauration des publics très variés. Les salons et la bibliothèque éclairés de larges fenêtres pourront recevoir des artistes qui résideront pour peindre, écrire ou composer. Le parc de 5 hectares, à quelques encablures de la civilisation, est un site exceptionnel, riche d’une histoire ornithologique hors du commun. La colline, avec ses vignes et ses bosquets, est un lieu remarquable en période de migration et de nombreux passereaux peuvent y être observés. L’anse de l’Esparrou est actuellement le seul endroit où les oiseaux de l’étang de Canet peuvent se réfugier. Des petits chemins jalonnés de bancs de pierre serpentent à l’intérieur du parc et invitent à la contemplation et au repos.

L’investissement de Bertille de Swarte _ et avec elle, celui de nombreux membres de sa famille, à commencer par ses enfants ; mais aussi ses neveux et nièces, gendres, belle-filles, petits-enfants… _ dans ce Centre de Rencontre culturel et artistique _ en particulier musical _, est donc, lui aussi, très important.

 

Ce lundi 21 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un nouveau petit point d’étape de ma recherche à propos du terreau musical dont a pu bénéficier Théotime Langlois de Swarte…

20juin

Ce dimanche,

j’opère un nouveau petit point d’étape de ma recherche en vue d’éclairer _ toujours un peu davantage _ le fécond terreau culturel musical dont a pu se nourrir ce très brillant jeune violoniste qu’est Théotime Langlois de Swarte,

après un précédent récapitulatif en date du samedi 12 juin dernier : 

_ dimanche 13 juin : 

_ lundi 14 juin : 

_ mardi 15 juin : 

_ mercredi 16 juin : 

_ jeudi 17 juin : 

_ vendredi 18 juin : 

_ et samedi 19 juin : 

À suivre…

Ce dimanche 20 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques repères à propos des activités musicales de Bertille de Swarte…

19juin

Afin de mieux comprendre le terreau de culture musicale _ et tout particulèremenr de musique baroque _ dont ont pu bénéficier les 5 enfants de Bertille de Swarte _ dont j’ai seulement identifié jusqu’ici les années de naissance de l’aîné et du benjamin : Sylvain Sartre est né le 28 août 1979, et Théotime Langlois de Swarte en 1995 ; et j’ignore les dates de naissance d’Alexis et Camille Sartre, ainsi que de Pauline Langlois de Swarte (née début 1994, 18 mois avant son frère cadet Théotime)… _,

je tâche de recueillir quelques données, en particulier chronologiques, concernant les activités musicales de Bertille de Swarte _ dont j’ignore les dates de naissance (entre 1956 et 1961 : son frère aîné Thibault est né le 3 mars 1955, et sa sœur Béatrice, le 29 mars 1962) ainsi que de mariages (avec Pierre Sartre, puis avec Hervé Langlois)…

Ainsi, c’est en janvier 1988 que Bertille de Swarte a créé, à Perpignan _ j’ignore à quel moment elle a quitté les terres d’Aquitaine pour venir s’installer en Roussillon _, l’IRVEM (l’Institut de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen) : une institution qu’elle continue de diriger depuis…

Au mois de mars 1994, à l’abbaye de Caunes-Minervois (Aude),

Bertille de Swarte, mezzo-soprano a participé, ainsi que Hervé Langlois, ténor, à l’enregistrement, en un CD (de 32′) du label L’Empreinte musicale (ED 13031 1994), de La Mécanique de l’Aurore (d’après Hésiode) de Jean Tricot. 

Engagée dans le chœur féminin de la Compagnie musicale catalane, de Josep Cabréun ensemble créé en 1992 _,

Bertille de Swarte a participé aussi à l’enregistrement de 4 CDs de la Compagnie musicale catalane,

avec 3 organistes :

_ Olivier Vernet, pour le CD Ligia Digital, paru le 2 septembre 1996, de la Messe pour les couvents de François Couperin ;

_ Marie-Claire-Alain, pour 2 CDs Erato :

la Messe pour les couvents de François Couperin ;

et le Livre d’Orgue de Nicolas de Grigny, enregistrés du 27 octobre au 1er novembre 1998, à l’église Saint-Pierre de Poitiers ;

_ et Frédéric Munoz, pour le CD XCP Cabezon y su glosaenregistré en l’église de Saint-Guilhem-le-Désert, en novembre 2001 et juin 2002.  

 

 

Ce samedi 19 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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