Àfin de donner accès aux documents d’état civil (naissances, mariages, décès) des divers membres de la lignée Delouart de Ciboure dont sont issus les natifs de Ciboure Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875, rue du Quai, n°12 – Paris, 28 décembre 1937) et sa mère Marie-Delouart (Ciboure, 24 mars 1840, dans la maison Bourbouillonbaita, n° 118, au quartier de Pocalette – Paris, 5 janvier 1917) _ et par eux aux importantes données socio-gégraphico-historiques qu’ils comportent _, mais aussi et surtout les trois autres lignées collatérales de cousins issus de Delouart, à Ciboure et Saint-Jean-de-Luz, moins remarquées jusqu’ici,
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je reprends mon article du 4 octobre 2020 « Les parents cibouro-luziens de Marie Delouart-Ravel contemporains de la naissance de Maurice Ravel, le 7 mars 1875, à Ciboure : un provisoire panorama sur une très méconnue généalogie familiale… » en lequel j’avais entamé partiellement ce travail d’accès aux actes d’état-civil, que je vais systématiquement compléter maintenant en donnant accès à ces liens aux archives d’état-civil disponibles, principalement à Ciboure, mais aussi à Saint-Jean-de-Luz, concernant les divers membres de la descendance du couple formé, au troisième quart du XVIIIème siècle, des ancêtres Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague, qui se sont mariés à Ciboure le 28 janvier 1778 ;
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et cela _ en remontant aussi à quelques uns des ascendants immédiats de Gratien Delouart et Sabine Laxague : Delouart, Mourguy, Laxague, Doyambehere, Sallaberry, même si les archives du XVIIIe siècle conservées et consultables à la mairie de Ciboure, sont le plus souvent assez difficilement déchiffrables, même pour des chercheurs passionnés et patients, tel le très scrupuleux Jean-Noël Darrobers, celui qui jusqu’ici a fouillé le meux et le plus loin … _, à partir de ce couple fondateur de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798, dans son domicile situé quartier du Nord, maison de Churaenea) et son épouse, mariés le 28 janvier 1778 à Ciboure, Sabine Laxague (Ciboure, possiblement 1745 _ plutôt que le 24 novembre 1752, comme je l’avais d’abord indiqué _ – Ciboure, 27 février 1845, au quartier de la place, dans la maison Lamacenia, n° 137),
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Gratien Delouart et Marie Laxague qui sont les parents de la fratrie _ avec descendance _ constituée de :
_ Marie-Baptiste Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 23 août 1855), au quartier de la place, dans la maison Lamacenia, n° 137
_ Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842), rue Neuve, n° 30
_ Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872), rue Pocalette 6
_ et leur frère Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872), rue Pocalette 39 ;
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dont descendent
_ la lignée Delouart de l’aînée Marie-Baptiste Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 23 août 1855), d’où est issue _ via sa fille, née de père incounu, Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809, dans la maison n° 17, quartier de Bordagain – Ciboure, 22 décembre 1874, rue du Quai, maison St Esteven) _, sa petite-fille _ née elle aussi de père inconnu : d’où la transmission, uniquement féminine, jusqu’à la future mère de Maurice Ravel de ce patronyme de Delouart hérité de Gratien Delouart (1748 – 1798)…_ Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), puis son arrière-petit-fils Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875, Paris, 28 décembre 1937),
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ainsi que les 3 autres lignées de collatéraux de Marie Delouart (1840 – 1917) issues, après Gratien Delouart (1748 – 1798),
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_ 1) de la lignée luzienne _ inaperçue de Jean-Noël Darrobers en ses articles« Marins et corsaires. Les ancêtres cibouriens de Maurice Ravel« , paru en 1987 dans le n° 22 de la revue Ekaina. Revue d’Études Basques [Saint-Jean-de-Luz], aux pages 78 à 94, et « Les ancêtres maternels de Maurice Ravel« paru en 1997 dans le n°4 des Cahiers de l’I.R.H.M.E.S. Mélanges savoisiens de l’Opera Seria à Maurice Ravel [Genève, Éditions Slatkine], aux pages 139 à 159 : et, à sa suite, Étienne Rousseau-Plotto en son « Ravel – portraits basques« , paru en 2004, puis 2016… _ descendant de Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842) et son époux, à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814 , Jean Curuchet, dit Jean Etcheverry (Ciboure, 6 août 1786 _ C’est dans un document (daté du 18 novembre 1842) d’attribution à sa veuve d’une pension (pour ses services de quartier maître de manœuvre, à 36 francs), que j’ai découvert la date de naissance (le 6 août 1786, à Ciboure) de ce Jean (fils de Gana Curutchet), dit Jean Etcheverry… En remarquant, au passage, que cette Marie Delouart (n°2), veuve, venait elle aussi de décéder le 3 janvier 1842 à Saint-Jean-de-Luz, rue Neuve n°30, à l’âge de 57 ans… _ – disparu en mer au large d’Hendaye dans la nuit du 14 au 15 novembre 1841) ;
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_ 2) de la lignée cibourienne descendant de Marie Delouart n°3 (Ciboure, 6 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872) et son époux, à Ciboure le 28 février 1821, Michel Goyenague (Ciboure 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849, au quartier de Pocalette, dans la maison Petimentenia n° 153) ;
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_ et 3) de la lignée cibourienne descendant de Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872) _ sa date de naissance, le 27 aoùt 1788, est mentionnée dans l’acte de son mariage, le 30 avril 1823… _ et son épouse, à Ciboure le 30 avril 1823, Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 , rue de Pocalette n° 31– Ciboure, 30 novembre 1844, au quartier de Pocalette, dans la maison Pilalbayta n° 175)…
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Voici donc cet article en date du 4 octobre 2029, que je complète en donnant le plus systématiquement possible des liens aux divers actes d’état-civil de chacun des membres de ces 4 lignées descendant de Gratien Delouat et son épouse Sabine Laxague :
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Je désire faire ici un panorama récapitulatif le plus complet possible, en dépit de ce qu’il me reste encore à trouver en allant examiner méthodiquement, sur place, les précieux livres d’archives d’état-civil conservés à la mairie de Ciboure, des parents collatéraux effectifs (c’est-à-dire des cousins vivants à la date du 7 mars 1875) de la mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), par xemple au moment de la naissance de son fils aîné Maurice Ravel, le 7 mars 1875, à Ciboure, au rez-de-chaussée de la maison San Estebenia _ dénommée « Maison Maurice Ravel » depuis les magnifiques cérémonies organisées par Charles Mapou à Ciboure, en 1925, pour honorer le 50ème anniversaire de la naissance, là, à Ciboure, de Maurice Ravel, sur le quai dénommé depuis ce même jour-là « Quai Maurice Ravel« … _ ;et suite au décès de sa mère, Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874).
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À cette date du 7 mars 1875, la plus proche parente alors en vie de Marie Delouart (1840-1917) est sa tante Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824, maison 118, rue Pocalette – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902, rue Gambetta n° 41, au domicile de ses employeurs Gaudin), la demi-sœur de sa mère Sabine Delouart (1809-1874) qui vient de décéder en la maison San Estebenia, à Ciboure, le
22 décembre 1874 ; et que Marie Delouart (1840-1917), bien que pas spécialement croyante, choisit pour être la marraine de son bébé Joseph-Maurice Ravel, à l’église Saint-Vincent de Ciboure, le 13 mars 1875 ; à moins qu’il ne se soit agi là d’une initiative de Gachucha Billac et leur cousin Simon Goyenague (
Ciboure, 29 novembre 1821, maison n° 117 rue Pocalette –
Ciboure, 18 avril 1890),
dans la maison rue du Quai n° 6), qui ont été la marraine et le parrain du petit Joseph-Maurice, âgé de 6 jours…
Gachucha Billac (1824-1902) _ fille de Jacques Billac (Ciboure, 5 septembre 1772 –
Ciboure, 10 mars 1839,
dans la maison Bourbouillonbaita n° 163 au quartier de Pocalette) et de Marie Delouart n°1 (
Ciboure, 29 juin 1782 –
Ciboure, 23 août 1855), qui se sont
mariés à Ciboure le 14 septembre 1814 ; cf mon article du 30 septembre 2019 «
Une confirmation : la date du mariage des parents du cibourien Jacques Billac, le mari de l’arrière-grand-mère de Maurice Ravel, et père de la « chère Tante Gachuch » ; et les Errecalde (ou Recalde) de Ciboure« ; un article qui comporte aussi
l’acte officiel de pension de sa retraite de marin de Jacques Billac, quartier-maître de manœuvre à 36 francs ; ainsi que
l’acte de pension de reversion de sa veuve, Marie Delouart… _ ; Gachucha Billac, donc, a eu un fils, Romain Billac,
né à Ciboure le 9 août 1844, lui aussi de père inconnu ; mais Romain Billac, charpentier, est prématurément
décédé à Ciboure le 2 décembre 1862,
dans la maison n° 146 au quartier de Pocalette, à l’âge de 18 ans, et sans descendance _ à propos de Gachucha Billac, cf aussi mes articles des 15 et 24 juillet 2019 : «
Engrace et Gracieuse Billac : parmi les enfants de Marie-Baptiste Delouart et Jacques Billac, à Ciboure » et«
Nouvelles questions ravéliennes autour des Delouart et Billac de Ciboure, et Gachucha Billac« …
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Et celui qui tient lieu de parrain à Maurice Ravel, en l’absence à Ciboure du parrain du bébé, sur les fonts baptismaux ce 13 mars 1875, est
Simon Goyenague (
Ciboure, 29 novembre 1821 –
Ciboure, 18 avril 1890), cousin germain de la défunte Sabine Delouart (1809-1874) et de sa demi-sœur Gachucha Billac (1824 – 1902) :
la mère de Simon Goyenague, Marie Delouart 3 (
Ciboure, 6 août 1786 –
Ciboure, 15 décembre 1872 ; épouse à
Ciboure le 28 février 1821 de Michel Goyenague (
Ciboure 11 janvier 1790 –
Ciboure, 20 novembre 1849), étant la seconde sœur de son aînée Marie-Baptiste Delouart (
Ciboure, 29 juin 1782 –
Ciboure, 28 août 1855), laquelle, elle, est la mère de Sabine Delouart (1809-1874), ainsi que de Gachucha Billac (1824-1902) ; ainsi que la grand-mère de Marie Delouart (1840-1917), et l’arrière-grand-mère de Maurice Ravel, qui est né à Ciboure le 7 mars 1875.
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La mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (1840-1917), avait bien eu un frère aîné, Pierre Casabon, né à Ciboure en 1838 ; mais jusqu’ici j’ignore quasiment tout de son existence, et d’une éventuelle descendance sienne, à l’exception de ce qu’en a rapporté Jean-Noël Darrobers à la page 142 de son article « Les ancêtres maternels de Maurice Ravel« , de 1997…
Et à nul moment le nom de Pierre Casabon n’apparaît, non plus, dans la Correspondance de Maurice Ravel rassemblée par Manuel Cornejo.
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Seconde fille (Saint-Jean-de-Luz, 20 novembre 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 30 novembre
1900) de la sœur suivante de la Marie-Baptiste Delouart n°1 (1782-1855), et qui portait le même nom de Marie-Baptiste Delouart _ d’où ont procédé pas mal de confusions… _, c’est-à-dire de Marie-Baptiste Delouart n°2 (
Ciboure, 17 juin 1784 –
Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842), et du mari de celle-ci (le mariage eut lieu à
Saint-Jean-de-Luz le 17 août 1814), Jean Curutchet, dit Jean Etcheverry (Ciboure, 6 août 1786 – disparu en mer, au large d’Hendaye, la nuit du 14 au 15 novembre 1841), je remarque qu’est toujours vivante à cette date du 7 mars 1875 la cousine germaine luzienne de Sabine Delouart (1809-1874) qui vient juste de décéder à Ciboure le 22 décembre 1874,
Marie Etcheverry n°2, veuve Dargaignaratz (
Saint-Jean-de-Luz, 20 novembre 1824, –
Saint-Jean-de-Luz, 30 novembre 1900,
Grand Rue n° 67).
La sœur aînée de celle-ci, Marie Etcheverry n°1 (
Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817,
rue Neuve maison n° 19 –
Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1850,
Grand Rue n° 67 ; et épouse, à
Saint-Jean-de-Luz le 10 novembre 1846, de Jean-Baptiste Hiriart (
Saint-Jean-de-Luz, 18 avril 1816,
rue d’Angoulême, maison n° 55 –
Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859,
Grand Rue maison n° 67)), étant alors déjà prématurément décédée des suites des couches de son second fils, Jean-Charles Hiriart, né une semaine plus tôt, à
Saint-Jean-de-Luz, le 20 décembre 1850,
Grand Rue n° 67 :
Et de ce couple Bernard Dargaignaratz (1815 – 1862) – Marie Etcheverry n°2 (1824-1900), à cette date du 7 mars 1875, vivent deux filles Dargaignaratz :
et
Marie-Clotilde Dargaignaratz (
Saint-Jean-de-Luz, 6 mars 1860 – Urrugne, 26 février
1943), qui épousera à Urrugne le 22 novembre 1905 Martin Zozaya (Urrugne, 1er août 1858 – Urrugne, 5 avril
1932).
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Dominique Hiriart (
Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849,
Grand Rue n° 49 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre
1926 en son domicile rue Gambetta, qui épouse à
Saint-Jean-de-Luz le 3 juin 1874 Marie Dimatz (
Saint-Jean-de-Luz, 28 octobre 1844,
rue Saint-Jacques n° 19 – Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet
1932 en son domicile 30 rue Gambetta) et
Jean-Charles Hiriart (
Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1850 – décédé en Uruguay, ?), qui épousera bientôt à
Saint-Jean-de-Luz le 30 mai 1877 Marie Arramendy (
Saint-Jean-de-Luz, 18 décembre 1858,
rue Saint-Pée n° 2 – décédée en Uruguay ?) : leur descendance qui vit toujours en Uruguay a donné de ses nouvelles à leurs cousins de Saint-Jean-de-Luz…
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Issus de la troisième sœur Delouart, la cibourienne Marie Delouart n°3 (
Ciboure, 6 août 1886 –
Ciboure 15 décembre 1872) et de son mari le cibourien Michel Goyenague (
Ciboure, 11 janvier 1790 –
Ciboure, 20 novembre 1849), à cette date du 7 mars 1875 vivent, outre le fils aîné, et tenant lieu de parrain à Maurice Ravel le 13 mars 1875, le cibourien
Simon Goyenague (
Ciboure, 29 novembre 1821,
Maison n° 117 rue Pocalet –
Ciboure, 18 avril 1890,
rue du Quai n° 6) époux, à
Ciboure, le 15 novembre 1853, de Josèphe Joachine Albistur (Fontarabie, 4 février 1828 –
?), et son fils
Pierre Paul Goyenague (
Ciboure, 19 août 1854,
quartier de la place, maison Ganichicarrenia n° 139 – Ciboure, 6 mars
1929), qui épousera, à
Ciboure, le 20 août 1890, sa cousine germaine Nicolasse Goyenague (1864-
1945), fille de son frère Jacques Goyenague (
Ciboure, 16 octobre 1823 –
Ciboure, 22 novembre 1886,
maison Callebaita à Bordagain) et son épouse Catherine Larrea (
Ciboure, 9 octobre 1832, maison n° 17 à Bordagain –
Ciboure, 9 décembre 1895,
maison Callebaita, Achotarreta) ; ainsi que plusieurs autres enfants encore de ce couple Goyenague-Albistur ;
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Simon Goyenague (
Ciboure, 18 juin 1856,
maison Callebaita, 38, à Bordagain–
Ciboure, 14 janvier 1874,
quartier Chotarreta, maison Calebaita) ; Marie Goyenague (
Ciboure, 16 avril 1857,
maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain –
Ciboure, 18 décembre 1861,
maison Calebayta, n° 38, au quartier de Bordagain) ; Jean-Baptiste Goyenague (
Ciboure, 31 juillet 1862,
maison Sopitenia n° 38 au quartier de Pocalette –
?) ;
Nicolasse Goyenague (
Ciboure, 11 juillet 1864,
maison n° 38 à Bordagain –
Ciboure, 1er juin 1945) ; qui épousera, à
Ciboure, le 20 août 1890, son cousin germain Pierre-Paul Goyenague (1854-
1929) ;
Gracieuse Goyenague (
Ciboure, 14 juillet 1866,
au quartier Bordagain, n° 38 – Ciboure, 16 août 1950) ; Josèphe Goyenague (
Ciboure, 12 juin 1868,
au quartier de Bordagain, 38 –
? ) ; Alexandrine Goyenague (
Ciboure, 5 juin 1872,
au quartier de Bordagain, 38 –
Ciboure, 19 juillet 1872).
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De Marie Goyenague (1827-après 1898) et Martin Passicot (1824-1888), seul l’aîné de leurs 11 enfants, Jean-Martin Passicot (
Ciboure 17 mai 1851,
au quartier de Pocalette, dans la maison Miguelenia n° 183 – Buenos Aires, après 1895) est né en France, à Ciboure.
Les 10 autres enfants Passicot sont nés en Argentine ; les 7 suivants (Juan Tomas Gabriel, le 30 mars 1855 ; Marcelina, le 5 juin 1856 ; Pascuala, le 27 juin 1858 ; Pedro, le 21 avril 1860 ; Catalina, le 9 juillet 1861 ; Pedro, le 19 novembre 1863 et Bernarda Mariana le 20 novembre 1865) à Buenos Aires ; et enfin les 3 derniers (Maria-Luisa, le 26 juin 1867 ; Juan Maria, le 26 novembre 1869 et Francisco, le 15 juin 1873) à Las Lomas de Zamora.
Marie Goyenague, son époux Martin Passicot et leur fils aîné Jean-Martin, avaient embarqués pour l’Argentine au port de Pasajes en 1851.
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Enfin, du frère cadet des 3 Marie (ou Marie-Baptiste) Delouart (n°1 : 1782-1855 ; n°2 : 1784-1842 ; n° 3 : 1786-1872),
Jean Delouart (
Ciboure, 27 août 1788 –
Ciboure, 23 septembre 1872,
rue Pocalette, 39) ; et son épouse, à
Ciboure le 30 avril 1823, la cibourienne Marguerite Larrea (
Ciboure, 18 décembre 1798,
rue de Pocalette 38 ? –
Ciboure, 30 septembre 1844,
au quartier de Pocalette, dans la maison Pilalbayta n° 175) à cette date qui nous intéresse du 7 mars 1875, vivent au moins 3 enfants Delouart issus de ce couple :
…
…
Jean-Baptiste Cerciat (
Ciboure, 20 septembre 1854,
dans le quartier de Pocalette, maison Pilarbayta n° 175 – Ciboure, 26 novembre
1914 ; qui épousera à
Guéthary le 4 juillet 1877 Marie Doyhenart (Guéthary, 28 novembre 1854 –
après 1923) ; et ce couple aura au moins 4 enfants Cerciat, dont :
Marianne Cerciat (
Ciboure, 3 mars 1890,
maison rue de Pocalette n° 135 – Ciboure, 13 avril
1950)
; Jean-Vincent Cerciat (
Ciboure, 15 décembre 1894, maison rue Pocalette n° 35 –
Ciboure, 28 avril 1961) ; qui épousera à
Ciboure le 6 avril 1921 Marianne Ochoteco (
Saint-Pée-sur-Nivelle, 28 septembre 1899,
maison Chorloteguia – Ciboure, après 1961) ; et qui auront pour fille Mercedes Cerciat (Ciboure, 18 septembre 1921 – Ciboure, 9 mars 2012) ; et Marie-Louise Cerciat (
Ciboure, 12 avril 1900,
rue du Chai n° 57 – Saint-Jean-de-Luz, 15 avril
1975) ; qui épouse à Ciboure le 27 février
1923 Adolphe Philippe Sagarzazu (Fontarabie, 5 mai
1900 – Ciboure, 1er janvier
1961 ; et qui auront 3 enfants : Marie-Jeanne Sagarzazu, elle-même mère de Marcel René Sagarzazu ; Jean-Baptiste Sagarzazu et Anita Sagarzazu)) ;
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Jean Cerciat (
Ciboure, 19 avril 1859,
dans la maison Pilarbaita, 175, au quartier de Pocalette – Nouméa,
?) ; qui épousera à Nouméa le 24 juillet
1893, Marie-Eudoxie Allard (12 septembre 1872 – ?) ; le couple aura au moins 3 enfants Cerciat :
Elisa Cerciat (Nouméa, 30 juillet 1894 – ?) ; Raymond Cerciat (Nouméa, 27 janvier 1897 – ?) ; André Cerciat (Nouméa, 3 avril 1899 – ?) ;
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Il faut ajouter aussi, et peut-être surtout, les descendants luziens de la Marie Etcheverry n°1 (1817-1850) et son époux Jean-Baptiste Hiriart (1816-1859), soient les deux frères Hiriart :
Dominique Hiriart (1849-1926 ; époux de Marie Dimatz (1844-1932)) ;
et Jean-Charles Hiriart (1850- ? ; époux de Marie Arramendy 1858- ?).
Ce dernier couple a quitté la France pour l’Uruguay suite à de mauvaises affaires de Jean-Charles Hiriart, maître bottier.
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Mais Dominique Hiriart et son épouse Marie Dimatz eurent, en 1875 et 1877, deux filles Hiriart :
Magdelaine Hiriart (
Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875,
rue Saint-Jacques 45 –
Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968,
2 rue Garat) ; qui épousa à
Saint-Jean-de-Luz le 28 septembre 1901 Charles Gaudin (
Saint-Jean-de Luz, 19 novembre 1875 , Grand Rue n° 41– Bimbo, 13 septembre
1910) le fils aîné d’Edmond Gaudin (
Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844,
rue Neuve n° 35 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre
1920,
en son domicile rue Gambetta) et Annette Bibal (
Saint-Jean-de-Luz 28 avril 1845,
Grand Rue n° 21 – Saint-Jean-de-Luz, 21 décembre
1936,
en son domicile rue du Midi), mariés à
Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875 ;
Magdeleine Hiriart et Charles Gaudin, dont le fils
Edmond Gaudin (
Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 –
Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988),
en son domicile 64 Boulevard Thiers) véhiculait, dans son automobile personnelle, Maurice Ravel par tout le pays basque, en Espagne comme en France, lors des séjours (ou moments) de villégiature du compositeur sur la côte basque, à la fin des années 20 et début des années 30 ; et que Maurice Ravel invita à plusieurs reprises à assister à des concerts, à Paris, et qui échangeaient alors des mots en basque…
…
…
La
Correspondance de Maurice Ravel connue à ce jour _ manque hélas la correspondance de toute la période d’enfance et adolescence, avant 1900 ! Dans quels tiroirs privés se cache-t-elle donc ? _ n’atteste de séjours à Saint-Jean-de-Luz ou Ciboure de Maurice Ravel qu’à partir de 1901. Cependant divers témoignages oraux de plusieurs membres de la famille Gaudin, tels ceux de
Marie Gaudin (
Saint-Jean-de-Luz, 2 mars 1879,
Grand Rue n° 41 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976,
en son domicile 14 rue du 17 Pluviose),
Jane Gaudin, qui deviendra veuve Courteault (
Saint-Jean-de-Luz, 16 octobre 1880,
Grand Rue n° 41 –
Saint-Jean-de-Luz, 28 mars 1979,
en son domicile 14 Place Ramiro Arrué), ou le fils de Jane, et son époux (à
Saint-Jean-de-Luz, le 22 avril 1906) Henri Courteault (Pau, 26 août 1869 – Saint-Jean-de-Luz, 2 novembre 1937,
en son domicile rue du Midi),
Pierre Courteault (Paris, 21 avril 1910 – Ascain, 15 décembre 2006), affirment, avec de très significatives et souvent pittoresques anecdotes à l’appui, la venue de l’enfant , puis du jeune homme Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz, rue Gambetta, chez les Gaudin, et y jouant du piano, et en particulier auprès de celle qui faisait fonction de gouvernante auprès des 6 enfants Gaudin (Charles, né le
19 novembre 1875 ; Pierre, né le 7 février 1878 ; Marie, née le
2 mars 1879 ; Jeanne (née le
16 octobre 1880) ; Pascal, né le
31 janvier 1883,
Grand Rue maison n° 41 ; et Louis, né le
23 février 1886 rue Gambetta n° 41 et décédé le
2 novembre 1899,
rue Gambetta numéro quarante et un): sa marraine et grand-tante _ la demi-sœur (1824-1902) de sa grand-mère Sabine Delouart (1809-1874) : toutes deux filles de Marie-Baptiste Delouart n°1 (1782-1855) _,
sa « chère tante Gachucha » …
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En 1900, pour prendre une date concernant davantage Maurice Ravel lui-même _ et ce que rapportent les premières lettres conservées (et connues à ce jour) à propos de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure _, plutôt que sa mère Marie Delouart accouchant à Ciboure en 1875, étaient donc bien présents à Ciboure et Saint-Jean-de Luz pas mal de parents collatéraux et cousins de Maurice Ravel, dont surtout ceux-ci, parmi ceux que j’ai pu repérer jusqu’ici :
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Gachucha Billac (1824-1902),
Dominique Hiriart (1849-1926) et son épouse Marie Dimatz (1844-1932),
Magdeleine Hiriart (1875-1968) et son époux Charles Gaudin (1875-1910),
Marie Hiriart (1877-1945),
Marie Etcheverry veuve Dargaignaratz (1824-1900) et sa fille Marie-Clotilde Dargaignaratz (1860-1943),
Pierre-Paul Goyenague (1854-1929) et son épouse Nicolasse Goyenague (1864-1945),
Gracieuse Goyenague (1866-1950),
Marie Delouart veuve Etchepare (1827-1917),
Jean-Baptiste Cerciat (1854-1914), et son épouse Marie Doyhenard (1853-après 1923),
Marianne Cerciat (1890-1950), Jean-Vincent Cerciat (1894-1961), Marie-Louise Cerciat (1900-1975),
Jeanne Cerciat (1864-1947),
Sabine Delouart (1868-1952)
Marie Gaudin (1879 – 1976)…
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Ce dimanche 4 octobre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
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En un article à venir, et d’après les actes d’état civil sur lesquels j’ai pu parvenir à mettre la main, je m’efforcerai de lister les domiciles de naissance et de décès des divers membres de la descendance des cibouriens Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1748) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, possiblement 1745 – Ciboure, 27 février 1845), dans les lignées issues des trois sœurs Marie Delouart et leur frère Jean Delouart,
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nés respectivement
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_ épouse de Michel Goyenague à Ciboure le 28 février 1821 ; d’où sont issus les Goyenague à Ciboure et des Passicot à Buenos Aires et en Argentine… _;
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_ époux de Marguerite Larrea à Ciboure le 30 avril 1823 ; d’où sont issus des Cerciat à Ciboure et à Nouméa, et des Sagarzazu à Ciboure…
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À suivre…
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Ce dimanche 27 octobre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa
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En espérant bien sûr que l’apport de ces indications de domiciles denaissance et de décès des membres des lignées descendant de Gratien Delouart et Sabine Laxague, apporte des éléments intéressants et exploitables pour de futures recherches sur ces cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel…
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Ce mardi 5 novembre 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa