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En complément de mes recherches sur la famille des propriétaires de la merveilleuse Cidrerie de Camino Berri, à Biriatou…

24déc

En complément _ en quelque sorte généalogique _ de mon article d’hier « « ,

ces précisions généalogiques-ci concernant la famille Beloqui,

et plus précisément les enfants de François (Fontarabie, 1885) et Maria (Lezo, 1888) Beloqui,

venus de Lezo _ où sont nés leurs enfants entre 1908 (Manuelle)  et 1921 (Martin) _ à Biriatou en 1922 _ où sont nés leurs enfants entre 1923 (Ignace) et 1932 (Jean-Marie).

Dont je retiens surtout :

_ d’une part Joseph-Manuel Beloqui (né à Biriatou le 1er novembre 1926, et décédé à Biriatou le 1er juin 1991),

le père d’Émile (Biriatou, 22 mai 1951 – Biriatou, 2 janvier 1977), Marie-Hélène, Yvette, Anne-Marie, Denise et une benjamine _ dont j’ignore à ce jour le prénom _ Beloqui ;

_ et d’autre part Jean-Louis Beloqui (né à Biriatou le 15 juin 1928, et décédé à Biriatou le 10 octobre 1990,

le père de Maïté, Michel (Biriatou, 13 février 1956 – Anglet, 21 février 2002) et Daniel Beloqui

Anne-Marie et Denise Beloqui _ épouses, la première, d’Etienne Echegaray et, la seconde, de Pierrot Ibarburu _ étant celles qui dirigeaient _ à la cuisine et en salle _ toutes ces dernières années la merveilleuse Cidrerie de Camino Berri à Biriatou,

et dont j’avais fait la connaissance au moment où je recherchais des nouvelles de mon ancien brillantissime élève Michel Beloqui _ je me souvenais bien que ses parents habitaient Biriatou !.. _, et où je revenais très fidèlement déjeuner avec un immense plaisir dès que je me trouvais à Saint-Jean-de-Luz,

et Michel Beloqui ayant été mon éléve _ stupéfiant d’intelligence ! _ en cours de Philosophie au Lycée technique de la rue Paul Bert dans le Petit Bayonne l’année scolaire 1973 – 1974…

Liste des décès avec le nom de famille Beloqui

19 décès dans l’annuaire des personnes décédées portant le nom de naissance Beloqui de 2023 à 1970.
Les résultats sont triées par ordre alphabétique, pour une recherche plus précise, utilisez notre moteur de recherche pour ce nom de famille.

 

BELOQUI Albert Martin
Naissance le 12/04/1945
Décès le 25/05/1974
29 ans
BELOQUI Anne Marie
Naissance le 03/01/1951
Décès le 01/03/1996
45 ans
BELOQUI Antoine
Naissance le 02/11/1924 à Biriatou
Décès le 21/05/1989 à Bayonne
64 ans
BELOQUI Charles Louis
Naissance le 10/05/1965
Décès le 20/11/2017
52 ans
BELOQUI Elena
Naissance le 01/10/1952
Décès le 17/03/2020
67 ans
BELOQUI Emile
Naissance le 23/05/1951 à Biriatou
Décès le 02/01/1977 à Biriatou
25 ans
BELOQUI Ignace
Naissance le 15/03/1923 à Biriatou
Décès le 02/03/1979 à Preignac (Gironde)
55 ans
BELOQUI Irene
Naissance le 06/03/1956
Décès le 29/08/2002
46 ans
BELOQUI Jean Louis
Naissance le 15/06/1928 à Biriatou
Décès le 10/10/1990 à Biriatou
62 ans
BELOQUI Jean-Marie
Naissance le 19/01/1932 à Biriatou
Décès le 07/12/1987 à Saint-Martin-d’Oney (Landes)
55 ans
BELOQUI Jesusa Consuelo 
Naissance le 10/06/1915 à Lezo (Guipuzcoa)
Décès le 23/04/2002 (Hendaye)
86 ans
BELOQUI Joseph Francois
Naissance le 18/06/1912 à Lezo (Guipuzcoa)
Décès le 31/07/1995 à Urrugne
83 ans
BELOQUI Joseph Manuel
Naissance le 01/11/1926 à Biriatou
Décès le 01/06/1991 à Biriatou
64 ans
BELOQUI Juan Jose
Naissance le 30/07/1913 à Lezo
Décès le 04/06/1996 Saint-André-de-Cubzac (Gironde)
82 ans
BELOQUI Juana Josefa
Naissance le 19/03/1919 à Lezo
Décès le 21/09/2005 à Bordeaux (Gironde)
86 ans
BELOQUI Luisa Ignaria
Naissance le 04/01/1910 à Lezo (Guipuzcoa)
Décès le 13/09/1997 à Ustaritz
87 ans
BELOQUI Manuelle
Naissance le 13/09/1908 à Lezo
Décès le 22/01/2000 à Urrugne
91 ans
BELOQUI Maria Jesus
Naissance le 22/01/1928 à Alza (Guipuzcoa)
Décès le 23/04/1995 à Anglet
67 ans
BELOQUI Michel
Naissance le 13/02/1956 à Biriatou
Décès le 21/02/2002 à Anglet
46 ans

 

À suivre…

Ce dimanche 24 décembre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Dans l’actualité discographique Ravel, une interprétation du Trio pour piano, violon et violoncelle, en la mineur (de l’été 1914), de Maurice Ravel, par le Trio Metral, à La Dolce Volta…

13oct

Au sein d’une assez riche actualité discographique _ et c’est déjà un phénomène tout à fait notable… _ Ravel,

une nouvelle interprétation du Trio pour piano, violon et violoncelle, en la mineur, de Maurice Ravel _ composé en 1914 à Ciboure et Saint-Jean-de-Luz _,

par le Trio Metral (à La Dolce Volta) _ soit le CD LDV 122 _, a retenu mon attention…

Deux CDs surtout m’ont convaincu de cette brillante et justissime actualité discographique Ravel cette saison :

_ d’abord le merveilleux et totalement convaincant CD Avi-Music 855 3526 _ enregistré à Baden-Baden au mois de septembre 2022 _ « Maurice Ravel in Search of Lost Dance« , du formidable Linos Piano Trio

_ cf mes 3 articles des

13 juillet « « ,

14 juillet «  »

et 19 août 2023 «  »

dont les titres, déjà, parlent on ne peut plus clairement… _ :

je découvrais vraiment pour la toute première fois la vérité de ce chef d’œuvre ravélien jusque là pas assez clairement servi par les autres interprètes qu’est ce sublime « Trio pour piano, violon et violoncelle » de 1914… ;

puis l’excellentissime merveilleux double album La Dolce Volta LDV 109.0 _ enregistré à Metz au mois d’avril 2022 _ « Maurice Ravel L’Œuvre pour piano » de Philippe Bianconi…

_ cf mes 2 articles des

27 septembre « « ,

et 29 septembre 2023 «  »

dont, à nouveau, les titres disent déjà presque tout… _ :

rarement le piano de Ravel avait sonné aussi clairement et aussi justement…

Un tel élan d’enthousiasme ravelien _ justesse, clarté, force même et incisivité tranchante de la musique (à la Janacek ou à la Bartok, mais oui !), par-delà la timidité et pudeur de l’homme Ravel en son quotidien des jours un peu trop souvent gris, quand il ne se trouvait pas à ses Ciboure et Saint-Jean-de-Luz… _ était là donné

que je me suis demandé s’il ne me fallait pas devenir bien plus attentif aux présentes réalisations discographiques raveliennes…

Il me faut dire d’abord que la déception que j’ai éprouvée à la première écoute de ce CD « Chausson – Ravel – Piano Trios » du Trio Metral a été probablement due à l’ordre d’écoute de ces deux œuvres en ce CD : d’abord le « Trio » Op. 3 de Chausson (Paris, 20 janvier 1855 – Limay, 10 juin 1899), composé _ en Suisse _ durant l’été 1881 , avant le « Trio pour piano, violon et violoncelle » de Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décempbre 1937), composé, lui, à Saint-Jean-de-Luz _ cf les précisions de mon article «  » du 14 juillet 2023 : « l’œuvre fut conçue à Saint-Jean-de-Luz, de fin juin à fin août 1914, à la maison Ongi Ethori, 23 rue Sopite, où réside alors Ravel (ainsi que sa Corrrespondance, de la page 374 à la page 388 de la somme magnifique publiée par Manuel Cornejo, en fait parfaitement foi)…« … _ ; or cette œuvre de relative jeunesse d’Ernest Chausson _ l’été 1881, le compositeur, d’abord autodidacte en musique, avant de recevoir, en 1878, les leçons de Jules Massenet et,  peu après, celles de César Franck, avait 26 ans _ ne possède pas tout à fait la maturité ni la perfection achevée du chef d’œuvre de Maurice Ravel de l’été 1914 _ Ravel, lui, était alors âgé de 39 ans…

Et ensuite que mon écoute de ce « Trio » de Ravel par le Trio Metral, ce mois d’octobre, a souffert de mon ravissement de l’interprétation éblouissante du Linos Piano Trio, au mois de juillet dernier :

jamais ce chef d’œuvre de Ravel _ il y tenait beaucoup ! _ n’avait été ainsi révélé en toute sa splendeur et richesses avant cette interprétation somptueuse de vie et de justesse du Linos Piano Trio !!!

Mais après comparaisons attentives avec 8 autres interprétations du « Trio » de Ravel,

par l’Altenberg Trio Wien (CD Challenge Classics, enregistré en janvier 1997), le Trio Wanderer (CD Harmonia Mundi, en janvier 1999), Pascal Rogé, Mie Kobayashi et Yoko Hasewaga (CD Onyx, en juin 2002), le Trio Chausson (CD Mirare, en mai 2007), le Trio Cérès (CD Œhms Classics, en juin 2008), le Trio Dali (CD Fuga Libera, en juillet 2008) et le Linos Piano Trio (CD Avi-Music, en septembre 2022),

il me faut ré-évaluer cette interprétation du Trio Metral : juste en dessous de celle du Linos Piano Trio…

De même,

j’ai procédé à une comparaison attentive de l’interprétation du « Trio » Op. 3 de Chausson par le Trio Metral en ce CD La Dolce Volta LDV 122,

avec 3 autres interprétations en des CDs de ma discothèque personnelle, celles du Trio Wanderer, de janvier 1999 ; celle de Pascal Rogé, Mie Kobayashi et Yoko Hasewaga, de juin 2002 ; et celle du Trio Chausson, de mai 2007 : elle me paraît tout à fait honorable, en cette comparaison…

Il me faut aussi mentionner aussi les avis diamétralement opposés des critiques Gérard Condé, plutôt assassin pour ce CD du Trio Metral _ en particulier pour sa prise de son et le mixage de Ken Yoshida (« les questions d’équilibre devraient être du seul ressort des instrumentistes« ) ; mais aussi : « Il y aurait quelques réserves à formuler sur l’attention portée au phrasé. Certes, ça avance… mais on se sent davantage poussé qu’entraîné vers un but«  _, aux pages 71-72 du n° 726 (octobre 2023) de Diapason,

et Gérard Belvire, élogieux, lui _ « Le trio fondé par le pianiste Victor Metral signe un troisième disque attestant que ce jeune ensemble reste l’une des meilleures formations hexagonales. (…) Le couplage Ravel/Chausson ne fait plus figure de rareté (…) mais, à l’ombre du Trio (1914) du premier, la partition juvénile (1881) du second paraît quelque fois laborieuse. Très marqué par l’influence de César Franck, ce Trio en sol mineur recèle pourtant une générosité d’inspiration qui ne requiert qu’une interprétation attentive et engagée pout toucher l’auditeur. Or le souffle, la vitalité des Metral transformeraient le plomb en or !«  _, à la page 86 du n° 256 de Classica (octobre 2023).

Oui, la qualité de l’interprétation est un medium tout à fait décisif pour l’accès du mélomane discophile _ en dehors du concert _ à la singularité même, en son idiosyncrasie, de l’œuvre laissée notée sur le papier, et à partager à part (ainsi qu’après…) lui, par le compositeur.

Et la qualité de la comparaison, par nous qui y accédons ainsi, de ces interprétations, est elle aussi très importante et décisive : il ne faut certes pas se contenter de la seule première écoute, partielle et par trop subjective, pour que notre accès à l’œuvre même, gagne, écoute après écoute de diverses de ses interprétations, en justesse et justice, tant à l’égard de la qualité de ces interprétations ainsi expérimentées, qu’à l’égard aussi et surtout, de la reconnaissance, voire connaissance, de l’œuvre elle-même du compositeur, en son unicité…

Ce magistral « Trio » de Ravel, de l’été 1914, est un immense chef d’œuvre, qui assurément se mérite, tant pour ce qui concerne les interprètes qui se confrontent à lui, avec leurs instruments, que pour les auditeurs qui y accèdent par leur écoute, au concert comme au disque…

À suivre…

Ce vendredi 13 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bref rappel rétrospectif : les tous premiers encouragements de Joël Petitjean à mon travail de recherche, absolument original, à propos de la descendance des trois neveux (Amédée, Gaston et Raymond) de Louis Ducos du Hauron, en date des 24 et 25 septembre 2021…

22juil

En matière de bref recul rétrospectif sur mon patient et suivi travail de recherche _ débuté très précisément le dimanche 6 décembre 2020, avec mon article « «  ; cf mon tout premier article consacré à ma découverte de Louis Ducos du Hauron (dont j’ignorais jusque là jusquà l’existence !!!), en date du jeudi 2 décembre 2020 : « «  _ sur la descendance des trois neveux, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et Raymond de Bercegol, de Louis Ducos du Hauron,

voici,

en forme de témoignage de l’amorce de notre amicale et féconde correspondance,

ces deux courriels reçus de Joël Petitjean en date des 24 et 25 septembre 2021 :

_ d’abord, celui-ci, en date du 24 septembre 2021, à 19h 58 :

« Cher Monsieur,

 
Il y a quelques mois _ décembre 2020… _, Claude Lamarque, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message, et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail _ et je retiens, bien sûr, cette extraordinaire expression ! _ (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) _ Wow !!! et c’est bien sûr moi qui mets cela en rouge _ ; je suis donc un de vos lecteurs assidus _ re-wow !
 
Vous m’avez beaucoup appris _ voilà qui grandement m’honore !
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean« …

Avec ma réponse du lendemain, le 25 septembre, à 11h  02 :

« Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé, et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, 
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie _ Alger, Orléansville, etc. _ d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient de près, puis de plus loin, apparentées,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, collaboré _ Amédée lui aussi ! pas seulement Gaston et Raymond ; et il faudra assurément revenir le creuser !.. _ à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses _ me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages _ tout particulièrement en Algérie, et notamment à Orléansville et sa région…
Je me suis pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance _ glanées via le web… _, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (1914 – 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Étrangers (G. T. E.) ; puis à Toulouse et à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (1914 – 1999) _ ma mère (1918 – 2008) est née Marie-France Bioy : elle était LA mémoire de la famille… 

Puis, sur la généalogie basquaise de la mère _ Marie Delouart (1840 – 1917) _ de Maurice Ravel (1875 – 1937) : 
j’ai ainsi appris à une luzienne _ Maylen Lenoir, née Gaudin _ le cousinage effectif _ ignoré et même nié jusque là !!! _ de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (1824 – 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (1809 – 1874),
était la gouvernante des enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (1875 – 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres de 1910  et 1914, à l’occasion des décès de Charles Gaudin, puis de ses frères Pierre (1878 – 1914) et Pascal (1883 – 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
 
Je suis bien sûr en lien constant avec le Président des Amis de Maurice Ravel, Manuel Cornejo, l’éditeur de la Correspondance de Maurice Ravel,
de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique _ni recherche originale de leur part ! _, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo en tiendra compte lors de la réédition à venir de cette très précieuse Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père de Jean-Paul Sartre était originaire de Thiviers, en Dordogne.
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
 
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué…
 
Voici mon numéro de téléphone : …
Et mon adresse : Francis Lippa …
 
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
 
Francis« …

Suivi de la réponse immédiate de Joël Petitjean, en date de ce même 25 septembre 2021, à 12h 48,

qui a constitué pour moi un encouragement magnifique, ainsi que le début d’une amitié de chercheurs curieux, honnêtes et généreux dans le partage de leurs découvertes… :

« Cher Monsieur,

Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron _ Wow !!!
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son œuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours _ telle était en effet l’intuition originaire qui m’a animé dès le départ….
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?) _ Claude Lamarque va bien, m’a répondu à Lectoure samedi dernier 15 juillet son neveu Louis Allard, auprès duquel je m’enquérais de nouvelles de son oncle Claude…
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives que j’ai retrouvées, je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre en place _ voilà ce qui est nécessaire à de telles entreprises ! _ à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ du 27 novembre 2021 _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles _ Sarion _ et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur« …

Voilà.

Le fait d’une pareille reconnaissance, précoce, de mon travail de recherche absolument original, et publié sur mon blog « En cherchant bien » dès le 6 décembre 2020, à propos des trois neveux de Louis Ducos du Hauron, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et leur cousin Raymond de Bercegol, ainsi que de la descendance de chacun d’eux trois, est on ne peut plus précieux pour moi, tout particulièrement de la part d’un chercheur aussi compétent et admirable que Joël Petitjean…

D’autant que Joël Petitjean m’a confirmé, samedi dernier, à Lectoure, qu’il continuait de suivre régulièrement la publication de mes articles sur mon blog…

À suivre…

Ce samedi 22 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Revisiter Ravel : la désormais incontournable « revisitation » de l’oeuvre subtilissime de Maurice Ravel ; un retour sur la renversante éblouissante réussite du CD « Maurice Ravel – In search of Lost Dance » du Linos Piano Trio…

14juil

Revisiter Ravel : la désormais incontournable « revisitation » de l’œuvre subtilissime de Maurice Ravel ; un retour sur la renversante éblouissante réussite du CD « Maurice Ravel – In search of Lost Dance » du Linos Piano Trio… :

ainsi le choix, ce jour, de ce titre d’article pour poursuivre dans l’élan, hier, de mon un peu trop bref « « …

Oui,

j’éprouve le besoin de venir donner un peu plus de précisions ici sur l’absolument réussi, et même éblouissant, renouveau actuel de l’interprétation de la musique de Maurice Ravel ;

et tout particulièrement d’œuvres de lui un degré de plus subtiles encore, que bien d’autres, tel, et après la renversante Heure espagnole M. 52 de François-Xavier Roth _ cf mes articles du 27 juin «  » et 18 juin «  » derniers…  _le bouleversant Trio pour piano en la majeur M. 67 du Linos Piano Trio,

pour des œuvres du catalogue de Ravel pas assez bien servies _ comparées à pas mal d’autres, mieux « attrapées« , elles, en leur si fin esprit, si singulier… _, jusqu’ici, au disque…

..

Venir revisiter l’œuvre la plus subtile et délicate à vraiment bien « attraper » et « saisir » du génie musical si singulier de Maurice Ravel, 

tel est en effet le défi que viennent merveilleusement relever ces derniers temps au disque les meilleurs interprètes d’aujourd’hui,

tel ce Linos Piano Trio, dans le répertoire de musique de chambre, avec ce stupéfiant CD « Maurice Ravel – In search of Lost Dance« , le CD CAvi-Music 8553526,

comme Les Siècles de François-Xavier Roth, dans le répertoire symphonique et opératique, avec leur tout neuf lui aussi brillantissime « L’Heure espagnole – Bolero« , le CD Harmonia Mundi HMM 905361…

Surtout,

j’aurais dû ne pas me contenter de seulement renvoyer à l’article _ excellent !!! _ « En trio » de Jean-Charles Hoffelé, mais le donner in extenso,

ainsi qu’un peu le commenter, de mes menues farcissures _ en vert _ :

EN TRIO

La Pavane, le Tombeau de Couperin, le Trio, les Linos les réunissent sous l’idée de la danse _ voilà, comme l’indique le titre si bien choisi « In search of the Lost Dance » de leur album _, et s’approprient _ et merveilleusement, rien moins ! _ dans des arrangements aussi sensibles que brillants _ voilà : les deux ! _ les deux premiers.

Dès les accords initiaux du Trio, le son _ très impressionnant, en effet _ du Érard _ Grand Concert de 1882 _ nous plonge dans l’univers de Montfort-l’Amaury, musique des songes, balcon ouvert sur la forêt, comme si Ravel était au piano ; illusion !, Ravel n’acquerra sa délicieuse bicoque qu’en 1921, le Trio _ achevé de composé, à Saint-Jean-de-Luz, au mois d’août 1914 _ et le Tombeau de Couperin _ dont les 6 pièces (Prélude, Fugue, Forlane, Rigaudon, Menuet et Toccata) ont été composées entre 1914 et 1917  _ cernent la Grande Guerre, la Pavane _ de 1899 _ remonte au siècle précédent, mais les teintes de ce Érard, la sonorité si colorée et élégante _ oui _ du violon (une copie d’un Guarneri _ de 1743 _ signée Peter Greiner), le ton intime _ oui _ du magnifique violoncelle napolitain des années 1880 que joue Vladimir Waltham avec tant de poésie nostalgique _ oui _, font que l’on a vraiment la sensation _ parfaite ! _ de se trouver dans le salon de Ravel _ et, outre l’art parfait des trois magnifiques interprètes que sont, au piano, Prach Boondiskulchok, au violon, Konrad Elias-Trostmann, et au violoncelle, Vladimir Waltham, le charme de ces instruments anciens ou copies d’anciens est lui aussi assurément très opérant en le stupéfiant succès de cette éblouissante réalisation discographique… 

L’interprétation est merveilleuse _ voilà, c’est dit ! _, un rien océanique et donc un peu fauréenne (le Modéré, même la Passacaille ! après tout l’œuvre fut conçue à Ciboure _ non, à Saint-Jean-de-Luz, de fin juin à fin août 1914, à la maison Ongi Ethori, 23 rue Sopite, où réside alors Ravel (ainsi que sa Corrrespondance, de la page 374 à la page 388 de la somme magnifique publiée par Manuel Cornejo, en fait parfaitement foi)… _, face à l’Atlantique), une pointe de fantasque _ oui : un trait éminemment ravelien ! _ anime un fabuleux _ oui !Pantoum _ écoutez et regardez ici ! _ porté par les registres si contrastés du Erard, un Final solaire _ absolument ! c’est un sommet !!! _ , merveille qui redistribue _ mais oui ! et c’est là-dessus que je désire en effet mettre l’accent ici ! _ les cartes d’une discographie abondante (et qui à mon goût a été dominée jusque-là par le grand geste _ en octobre-novembre 1970 _ de Georges Pludermacher, Gérard Jarry et Michel Tournus pour EMI Classics).

Et les arrangements ? Celui de la Pavane est sage, mais décidément bien vu _ oui ! _, celui du Tombeau absolument _ oui, oui ! _ réussi en ce qu’il habille _ pour ce Trio _ la version pour le seul piano sans regarder la version orchestrale, du moins pour les mouvements qu’a choisi d’y transporter le compositeur. Les trois amis s’autorisent des libertés prouvant qu’ils ont tout compris _ oui ! et l’esprit ravelien est bien tout entier là !!! en dépit de l’avis de Roger Nichols, hostile à ces « libertés« , en son article « Ravel – In Search of Lost Dance (Linos Piano Trio)«  du 14 juin dernier sur le site de Classical Music… _ de ce TombeauRavel évoque pudiquement _ comme toujours, mais avec un engagement parfaitement sensible… _ ses morts de la Grande Guerre _ Jacques Charlot, Jean Cruppi, Gabriel Deluc, Pierre et Pascal Gaudin (ses amis luziens), Jean Dreyfus et Joseph de Marliave (l’époux de Marguerite Long) _ en célébrant l’esprit français _ d’où cette belle et noble référence-hommage du titre à Couperin. Même la difficile Fugue est une réussite, et écoutez les effets de « chats » dans la Forlane, clins-d’œil sonores à L’Enfant et les sortilèges ! _ à venir : l’œuvre sera composée, sur le livret de Colette, de 1919 à 1925 : « la seconde et dernière fantaisie lyrique de Ravel, après L’Heure espagnole (1907)« 

L’imagination au pouvoir, vertu ravélienne s’il en est, _ oui _ enchante _ et voilà le mot qui dit tout ! _ ce disque.

LE DISQUE DU JOUR

Maurice Ravel (1875-1937)


Trio pour piano, violon et violoncelle en la mineur, M. 67
Pavane pour une infante défunte, M. 19 (arr. pour trio : Linos Trio Piano)
Le Tombeau de Couperin,
M. 68 (arr. pour trio : Linos Trio Piano)

Linos Piano Trio
(sur instruments d’époque)

Un album du label CAvi-Music 8553526

Photo à la une : l’ensemble Linos Piano Trio – Photo : © Tim Mintiens

Ce somptueux CD du Linos Piano Trio

constituant désormais un incontournable absolu de la discographie ravelienne…

Ce vendredi 14 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Découvrir l’interprétation formidablement expressive du Trio Helios dans le sublime Trio en la mineur de Maurice Ravel…

05juil

C’est l’article, ce matin du mercredi 5 juillet 2023, de Jean-Charles Hoffelé sur son site Discophilia, intitulé « Les deux mondes« ,

à propos de la parution récente du CD « Bohemia » (Mirare MIR 662) _ consacré à des Trios de Vítězslav Novák, le Trio pour piano No. 2 en ré mineur, Op. 27 « Trio quasi una ballata », de Zdeněk Fibich, le Trio pour violon, violoncelle et piano en fa mineur, et Bedřich Smetana, le Trio avec piano en sol mineur, Op. 15, JB 1:64 _

qui m’a fait découvrir l’existence d’un précédent CD de ce Trio Helios, intitulé, lui, « D’un matin de printemps« , soit le CD Mirare MIR 564, paru, lui, le 22 avril 2021,

qui comportait surtout le merveilleux Trio en la mineur M.67 de Maurice Ravel :

un chef d’œuvre absolu !…

Une interprétation superlativement expressive _ par Camille Fonteneau, violon, Raphaël Jouan, violoncelle et Alexis Gournel, piano _ de ce chef d’œuvre de Ravel…

Voici donc cet article précieusement révélateur _ merci à Jean-Charles Hoffelé ! _,

lu ce matin même :

LES DEUX MONDES

Le piano égrène le motif de petite ronde qui ouvre l’œuvre, violon et violoncelle s’y joindront, quasi sotto voce, archet de soie, clavier soudain en tempête, quelle introduction pour ce chef-d’œuvre.

Les Hélios avaient, pour ce qui fut je crois bien leur premier disque, assemblé un programme tout français autour du Trio de Ravel, le détaillant à loisir, y infusant une poésie de tous les instants qui emportait l’auditeur loin dans les paysages océaniques du Modéré avant de faire danser la poésie épicée du Pantoum en la décorant d’arabesques un peu mauresques. Magnifique version qui ose vraiment interpréter l’œuvre, lui donne des affects, des reliefs, et un art de chanter que l’on retrouve au long d’un Premier Trio de Saint-Saëns sauvé du salon, soudain plus proche de l’ouvrage de Ravel que je ne m’en serais jamais douté.

L’esprit français sans doute, ce partage d’une même écriture claire et infiniment mobile _ voilà. En coda, deux poèmes de Lili Boulanger, la sombre élégie D’un soir triste où le violoncelle de Raphaël Jouan se fait baryton – comme cet archet met des mots derrière les notes ! –, puis métamorphosant le même thème après les abrasions harmoniques augmentées par le violon à la fin de la première pièce du diptyque, le fin soleil D’un matin de printemps, danse un rien hypnotique que les trois amis animent avec d’infinies subtilités.

Second opus en Bohème, et des plus saisissants. Le ton rhapsode donné au Trio de Smetana, l’abrasion des cordes portées par un piano symphonique, un Finale exultant d’une prodigieuse vigueur rythmique, c’est une tout autre sonorité d’ensemble que dévoilent ici les Hélios, comme l’envers des subtilités, du raffinement de leur album français. Ils ont tous gagné en corps, leur jeu s’est fait plus athlétique _ mais déjà ils l’étaient magnifiquement, et combien ! dans le Trio de Ravel ! _  dès l’énigmatique Deuxième Trio que Vítězslav Novák note « quasi una ballata », poème d’une seule coulée dont l’écriture aventureuse leur va comme un gant.

Et le Trio de Zdeněk Fibich ? Chef-d’œuvre méconnu de son auteur, rarement joué en dehors de la Tchécoslovaquie, c’est une symphonie à trois, ténébreuse et tendre à la fois, où la lyrique bouleversante du compositeur trouve un espace que ses pièces pour le seul piano ne lui offraient pas souvent. Magnifique version d’une partition à la discographie particulièrement mince, je n’en connais que deux autres versions assez loin du fini de celle-ci.

Si les Hélios veulent poursuivre leur voyage en Bohème, les trois Trios de Bohuslav Foerster leur font déjà les yeux doux.

LE DISQUE DU JOUR

D’un matin de printemps

Camille Saint-Saëns
(1835-1921)


Trio pour violon, violoncelle et piano No. 1 en fa majeur,
Op. 18, R. 113


Maurice Ravel(1875-1937)


Trio pour violon, violoncelle et piano en la mineur, M. 67


Lili Boulanger(1893-1918)
D’un soir triste
D’un matin de printemps

Trio Hélios
Camille Fonteneau, violon
Raphaël Jouan, violoncelle
Alexis Gournel, piano


Un album du label Mirare MIR564

Bohemia

Vítězslav Novák(1870-1949)


Trio pour piano No. 2 en ré mineur, Op. 27 « Trio quasi una ballata »


Zdeněk Fibich(1850-1900)


Trio pour violon, violoncelle et piano en fa mineur


Bedřich Smetana(1893-1918)


Trio avec piano en sol mineur, Op. 15, JB 1:64

Trio Hélios


Un album du label Mirare MIR662

Photo à la une : les membres du Trio Hélios – Photo : © Lyodoh Kaneko

Et par ce magnifique Trio Helios,

regarder et admirer cette admirable interprétation-ci (de 26′ 33), en concert, le 28 septembre 2019, au Festival de Musique de Chambre de Trondheim, de ce sublime Trio de Ravel :

une lecture somptueusement vivante et profonde, en toute sa subtile poésie, de ce chef d’œuvre, composé à Saint-Jean-de-Luz aux mois de juin, juillet et août 1914 !!.. _ sur les circonstances de cette composition, lire les passionnantes pages 371 à 397 de L’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel, publiée par l’ami Manuel Cornejo…

Ce mercredi 5 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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