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Quelques retouches-appoints à un article du 26 février 2021 sur un point que j’y faisais alors à propos de mes recherches sur les familles Bonopéra et Morand de La Genevraye d’Orléansville, en leur alliance, via les Gentet, Rey, Confex, Wachter, à la branche algéroise-algérienne d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey…

27fév

Les coups de fil reçus le 1er février dernier de MM. Matthias et Georges Bonopéra, fils et père, m’ont remis sur le chantier de mes recherches à propos des familles, alliées entre elles, d’Orléansville, entre 1850 et 1940, dans l’entourage immédiat d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ le neveu algérois de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen , 31 août 1920), l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  _, et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)_ j’ai tout récemment appris que le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey avait eu lieu à Orléansville le 10 juin 1896 _ ;

et plus spécialement à propos de la famille Bonopéra, dont le nom de « Bonopéra » apparaît dans le faire-part du décès, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1930, d’Eveline Ducos du Hauron _ là encore, c’est tout récemment que j’ai découvert que Marie-Aimée-Eveline Ducos du Hauron était née à Orléansville  au mois de mars 1898,  entre le 24 et le 30… _, l’épouse de Henri Ducros, et la fille aînée d’Amédée et Marie Louise…

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ou plutôt, et c’est très important, le nom « Bonopéra » n’y apparait, pour la première fois, pas !

Alors que figurait jusqu’alors, sinon nommément « Mme Vve Paul Bonopéra« , du moins le nom générique de la famille « Bonopéra » dans les divers faire-part des familles auxquelles celle-ci était au moins alliée.

On pourrait en déduire que c’est entre ces dates des deux avis de décès, celle du 8 octobre 1935, pour le faire-part du décès de Georges Morand de La Genevraye,  et celle du 2 janvier 1939, pour le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, qu’est probablement décédée, à Orléansville, cette « Madame Veuve Paul Bonopèra mère« …

Ainsi en est-il des divers faire-part de la famille Gadel, à laquelle appartient, depuis son mariage à Orléansville le 11 mars 1905, avec Victor Gadel, la sœur cadette de Marie-Louise Ducos du Hauron, née Rey : Aimée-Laurence Rey, devenue depuis le décès de son époux M. Victor Gadel à Alger le 30 mars 1930, « Mme Vve Gadel » ;

tel, par exemple, ce faire-part de décès-ci, paru dans l’Echo d’Alger le 31 mars 1930 :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

Ou encore, et bien sûr surtout, les faire-part de décès de la famille Morand de La Genevraye,

dont les descendants avaient pour ancêtre direct, cette fois, Marguerite Bonopéra _ l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye, maire d’Orléansville à l’heure de son décès le 25 mai 1904, à Orléansville _la mère des 7 enfants du couple qu’elle formait avec Auguste Morand de La Genevraye : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et enfin Georges Morand de La Genevraye

_ cf mon article «  » du 23 février 2021, dans lequel je mentionne que c’est un long échange téléphonique, entre 16h 44 et 17h 34, le dimanche 21 février 2021, avec Madame Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, qui m’a énoncé la liste complète de ces 7 enfants d’Auguste Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra ; dont elle-même, Françoise Pons, née Morand de La Genevraye à Alger en 1940, est la descendante directe : Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, est en effet arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genecraye, via son père Robert-Auguste Morand de La Genevraye, né à Blida entre le 29 février et le 9 mars  1915 (et époux d’Odette Gallais) ; et son grand-père Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 (et époux de Clémence Orgeret) : le sixième des 7 enfants de Marguerite et Auguste (et j’ignore la date du décès, peut-être à Rabelais, où il était propriétaire viticulteur, ainsi que conseiller municipal, de Jules-Charles Morand de La Genevraye : probablement après 1938, d’après des recherches généalogiques de flapalu, dont j’ignore les sources concernant cette famille Morand de La Genevraye)_ :

ainsi en 1935, lors du décès du dernier né de ce couple _ de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genevraye _, Georges Morand de La Genevraye, à Orléansville, le 7 octobre 1935,

si « Mme Vve Paul Bonopéra«  _ née Confex _ figure en bonne place sur le faire-part de décès du défunt,

c’est en tant que tante par alliance de celui-ci : en effet le défunt mari de celle-ci _ née Confex _, Paul Bonopéra (né à Miliana le 10 janvier 1856), était rien moins que le frère cadet de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1859), la mère de ce défunt Georges Morand de La Genevraye (qui était né à Orléansville le 21 février 1888)…

Et c’est sur cette piste prometteuse de la recherche de l’identité précise de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex _ Paul Bonopéra, son époux était donc né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville, 16 janvier 2016 _, apparentée _ via sa nièce « Mme Vve Louis Gentet » née Wachter, elle-même fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (née à Marseille le 28 décembre 1836, et décédée à Alger le 30 mars 1925 : cette « Mme Vve Wachter » née Confex, sœur de « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex) _ aux Rey-Gentet-Ducos du Hauron,

que je ne tardais pas à me pencher très bientôt aussi, cette fin du mois de février 2021, sur la famille orléansvillaise des Morand de La Genevray,

parce qu’il se trouve très précisément, et pardon si j’y insiste encore ici, que la sœur aînée de ce Paul Bonopéra, Marguerite Bonopéra, née à Miliana le 22 janvier 1849 _ et décédée très probablement à Orléansville entre 1892 et 1901, d’après ce que révèle la lecture des livrets militaires de 1892 et 1901 de deux de leurs deux fils : Alphonse-Jean Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872, et Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 ; le dernier né de leurs 7 enfants, étant ce Georges Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1888, qui est décédé .à Orléansville le 7 octobre 1935… _, se révélait être l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), et la mère de leurs 7 enfants : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et Georges Morand de La Genevraye…

Voici donc,

avec l’appoint-enrichissement de plusieurs retouches en fonction de quelques unes de mes récentes découvertes _ cf mes articles « « ,

«  »

et « «  des 18, 20 et 21 février derniers  _,

la reprise, avec ajouts, de cet article déjà crucial pour ma recherche généalogique de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron et des familles alliées à la famille de son épouse Marie-Louise Rey _ dont la mère était l’orléansvillaise de vieille souche Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886), et le tuteur, après le décès du père de Marie-Louise, Anatole Rey, à Oran le 28 janvier 1890, était son oncle maternel orléansvillais Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)… _,

un article en date, donc, du 26 février 2021 :  « « 


Et à suivre, bien sûr,

Ce mardi 27 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point d’étape sur de nouvelles avancées de mes recherches sur la branche algérienne-algéroise-orléansvillaise des Ducos du Hauron, à partir d’Amédée et son épouse Marie-Louise Rey…

20fév

Un courriel à quelques amis fait un point un peu utile sur quelques récentes avancées de cette recherche qui me tient très à cœur à propos de la branche algérienne-algéroise-orléansvillaise des Ducos du Hauron,

celle née d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1867 – Alger, 1935) et son épouse (à Orléansville le 10 juin 1896) l’orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933) ;

Amédée,

le second des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon 1837 – Agen, 1920),

le génial inventeur, à Lectoure en 1868, de la « photographie de couleurs« …

Voici ce point un peu utile :

Chers amis,

 
Suite à deux passionnants coups de fil de membres de la famille Bonopéra d’Orléansville jeudi 12 février dernier, Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950) et son fils Matthias (né à Paris 11e le 17 mai 1977),
qui, ayant découvert mon blog sur le web, sont curieux d’en apprendre un peu davantage sur l’histoire de leur famille Bonopéra,
j’ai repris mes recherches sur la généalogie d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey.
 
Toujours en quête de découvrir, en particulier, qui étaient
et Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter,
et sa tante maternelle, Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex…
 
C’est en effet par ce lien aux Gentet (dont Adrienne Gentet, la mère de Marie-Louise Rey ; et Louis Gentet, l’oncle et tuteur de Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence, qui épousera Victor Gadel à Orléansville le 11 mars 1905…),
que ces noms de Bonopéra et Wachter, ainsi que Ferrand, apparaissent dans certains avis (de naissance, de mariage, et de décès) de la famille Ducos du Hauron,
et que, réciproquement, le nom de Ducos du Hauron apparaît lui aussi dans certains avis (de naissance, de mariage, et de décès) de ces familles qui leur étaient alliées, en Algérie
 
 
Voici donc, ce jour, quelques unes des avancées de la reprise de ma recherche, forcément provisoires,
que viennent préciser
 
 
 
 
En ce moment, je m’interroge sur les allers-retours entre Alger – Paris – Alger (et Orléansville) – Paris, 
de Gaston Ducos du Hauron,
probablement liés à son frère et sa famille, demeurant alors à Orléansville,
où Amédée, entamant sa carrière administrative en Algérie, était alors en poste de rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville :
 
entre
_ le départ d’Algérie de ses parents (ainsi que l’oncle Louis) en novembre 1896, d’abord pour Paris,
_ sa présence à Orléansville attestée le 21 janvier 1897 (notée sur son livret militaire) _ pour quelles raisons ? liées à son frère Amédée ? voire à l’éventuelle naissance, à Orléansville, d’Eveline ?.. Non : celle-ci naîtra l’année suivante seulement : à la fin du mois de mars 1898… _,
_ son mariage avec Edmée de Lamarque à Saint-Mandé le 8 janvier 1898,
_ sa résidence à Alger, 1 rue de l’échelle, attestée à la date du 7 mars 1898 (notée sur son livret militaire) _ une date très proche, en revanche, de la future naissance à Orléansille de sa nièce Eveline, à la fin de ce mois de mars là, entre le 24 et le 30… _,
_ la naissance à Saint-Mandé de sa fille aînée Etiennette (mais Gaston y était- il présent ? ou bien se trouvait-il encore alors en Algérie ?) le 26 novembre 1898
sait-on précisément de quand date le retour définitif en France de Gaston ?
_ sa résidence à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé, attestée à la date du 24 avril 1899 (inscrite sur son livret militaire)…
 
Et sait-on où et quand, à quelle occasion, Gaston avait fait la connaissance de sa future épouse Edmée ?
En France métropolitaine, assez probablement
… 
Et bien sûr,
je continue de rechercher
de la naissance (et du décès) de quels enfants a été marquée la vie familiale d’Amédée et son épouse Marie Louise,
depuis leur mariage à Orléansville le mercredi 10 juin 1896 
_  le 4 mars 1927, un très intéressant article de L’Écho d’Alger, à l’occasion d’une grande exposition des Anaglyphes de son oncle Louis Ducos du Hauron au casino d’Alger, indique que, à cette date, en 1927, donc, Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise avaient encore 5 enfants à charge : qui étaient-ils donc, ces 5 enfants ? Eveline, Gérard et Roger, oui ; mais qui sont les deux autres ? Yvonne, née à Orléansville entre le 20 août et le 4 septembre, est décédée à l’âge de 10 mois, à Paris 17e, au domicile de sa tante Alice Ducos du Hauron, le 20 juin 1902 ; et Edmée, née à Lamartine le 8 septembre 1904, est décédée à l’âge de 16 ans, à La Redoute, Birmandreis, le 19 novembre 1920… _ :
 
_ Eveline, dont j’ignore le lieu et la date de naissance  _ Orléansville, au mois de mars 1898 ! une découverte mienne le soir même de ce 20 février 2024 ! _ est décédée à Alger fin décembre 1938, très peu de temps avant le 1er janvier 1939, date de son inhumation, à Alger ;
_ Yvonne -Adélaïde-Madeleine-Alice-Marie, née à Orléansville entre le 20 août et le 4 septembre 1901 ; et décédée à Paris 17e le 20 juin 1902 ;
_ Edmée -Marie-Lyonelle, née à Orléansville le 8 septembre 1904 ; et décédée à La Redoute, Birmandreis le 19 novembre 1920 ;
_ Gérard -Yves-Alcide, né à Berrouaghia le 30 août 1909 ; et décédé à Avignon le 27 janvier 2000 ;
_ Roger -Louis, né à Alger le 13 juillet 1918 ; j’ignore le lieu la date de son décès (à son arrivée d’Algérie, il a résidé, à son tour, à Savigny-sur-Orge) ;
je sais seulement que Roger a épousé à Alger le 5 octobre 1940 Sylvia -Adrienne Schiano-Lomoriello (qui décèdera à Rennes le 13 novembre 2002 ;
et qu’ils auront 4 enfants :
_ Marie-José -Sylvia (Alger, 4 avril 1944 – Langrolaye-sur-Rance, 26 décembre 2009)
_ Jean-Louis (né en 1953)
_ Danielle
_ Denise…
 
Au décès d’Eveline,
son avis de décès paru le 2 janvier 1939 dans L’Echo d’Alger,
témoigne que la défunte n’avait plus alors que 2 frères en vie : Gérard (né en 1909) et Roger (né en 1918)…
 
Voilà où j’en suis.
 
Et j’apprends beaucoup sur la vie quotidienne des familles en Algérie à ces époques d’avant 1940…
 
Bien à vous,
 
Francis, à Bordeaux
Ce mardi 20 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

En continuant à creuser autour des liens à préciser entre Adriaen Willaert, Hippolyte II d’Este, Matthias Werrecore, Peter Schöffer-le-fils, et Ferrare, Milan, Strasbourg, ainsi que Pierre Cadéac et Auch, à propos de la publication, en 1539, à Strasbourg, de l’étrange recueil de 28 Motets « Cantiones quinque uocum selectissimae » (et du CD « The mysterious Motet Book 1539″), quelques premières avancées de recherche…

21août

Toujours dans le sillage de mon article du 11 août dernier « « ,

je m’aperçois, ce lundi 21 août, que le musicologue, en poste à l’université de Cambridge, Daniel Trocmé-Latter _ arrière-petit-neveu du pasteur du Chambon-sur-Lignon André Trocmé (Saint-Quentin, 7 avril 1901 – Genève, 5 juin 1971) ; et petit-fils du grand universitaire strasbourgeois Étienne Trocmé (Paris, 8 novembre 1924 – Étretat, 12 août 2002)… _,

d’après les recherches très pointues duquel a été établi le programme _ de 12 Motets sur les 28 que compte l’étrange recueil « Cantiones quinque uocum selectissimae » publié, à Strasbourg, au mois d’août 1539, par l’éditeur Peter Schöffer-le Jeune, à partir d’un envoi milanais du compositeur Matthias Werrecore _, du passionnant CD Delphian _ DCD 34284, paru en 2022 _ « The mysterious Motet Book 1539« , de l’Ensemble Siglo de Oro sous la direction de Patrick Allies _ Daniel Trocmé-Latter a aussi rédigé le texte passionnant du livret de ce CD ! _,

a publié

non seulement un premier ouvrage (d’après sa thèse), intitulé « The singing of the Strasbourg Protestants, 1523 – 1541« , paru aux Éditions Farnham, à Ashbury, en 2015, et reparu aux Éditions Boydell & Brewer, en mai 2023,

mais aussi un second, intitulé « The Strasbourg Cantiones of 1539 – Protestant City, Catholic Music« , paru en 2023, aux Èditions Boydell Press, à Woodbridge ;

dont sont accessibles sur le web certaines pages choisies de son début…

C’est donc de ce travail absolument passionnant qu’est issu le très beau CD de Patrick Allies et son ensemble Siglo de Oro « The mysterious Motet Book 1539« ,

dont la découverte musicale enchantée

m’a non seulement mis sur la piste de la recherche de liens entre la source milanaise (le maître de chapelle Matthias Werrecore) de ce recueil de Motets, avec, non seulement l’éditeur strasbourgeois Peter Schöffer-le-fils, mais aussi, bien sûr, le maître compositeur Adriaen Willaert, et son mécène _ à Milan… _ Hippolyte II d’Este, et la cour si mélomane et si raffinée de Ferrare, etc. ;

mais aussi m’a fait découvrir l’œuvre splendide (!) _ en l’occurrence son Motet « Salus populi ego sum« , jamais enregistré jusque là ! _ du compositeur auscitain Pierre Cadéac :

cette pièce, qui ouvre le CD de Siglo de Oro, étant rien moins que probablement la plus belle (!) des 12 données en ce CD…

À suivre, bien entendu…

Ce lundi 21 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Recherches sur le cardinal Hippolyte II d’Este (Ferrare, 1509 – Rome, 1572) et sa présence-absence en l’archevêché d’Auch (1551 – 1563)…

13août

Afin d’élucider davantage les liens entre la cité d’Auch _ où résida le compositeur Pierre Cadéac (Cadéac, ca. 1505 – 1510 – Auch (ca. 1564 – 1565), dont le Motet « Salus Populi«  fait partie des 28 Motets du recueil « Cantiones quinque uocum selectissimae«  publié au mois d’août 1539, à Strasbourg, par l’éditeur Peter Schöffer le Jeune, en compagnie de Motets ayant des liens assez forts avac la cour de Ferrare, qui lui avaisent été adressé, de Milan, par le compositeur d’origine flamande Hermann Matthias Werrecore qui avait côtoyé de près, à Milan, et Hippolyte II d’Este, et Adriaen Willaert, quand ceux-ci y résidaient, de 1522 à 1525 ; cf mon article d’avant-hier, 11 août 2023 : « «  _

et la présence-absence, en cette cité épiscopale d’Auch, du cardinal (dit de Ferrare) Hippolyte II d’Este (Ferrare, 25 août 1509 – Rome, 2 décembre 1572),

très présent pourtant en France, entre son arrivée attestée à Lyon au moins en 1536, et son départ de Paris pour se rendre au concile de Trente, en 1562…

Beau-frère du roi de France François Ier _ Renée de France (Blois, 1510 – Montargis, 1575), l’épouse du frère d’Hippolyte, le duc Hercule II d’Este (Ferrare, 1508 – Ferrare, 1559), était en effet la sœur cadette de la reine Claude de France (Romorantin, 1499 – Blois 1524), l’épouse de François Ier (Cognac, 1494 – Rambouillet, 1547), et la mère du roi Henri II (Saint-Germain-en-Laye, 1519 – Paris 1559)… _,

le ferrarais Hippolyte II d’Este (1509 – 1572) était en effet aussi oncle par alliance du roi de France Henri II (1519 – 1559),

et grand-oncle de ses fils, les successifs rois François II (Fontainebleau, 1544 – Orléans, 1560), Charles IX (Saint-Germain-en-Laye, 1550 – Vincennes, 1574) et Henri III (Fontainebleau, 1551 – Saint-Cloud, 1589) ;

et il a eu ainsi à jouer toute sa riche et fastueuse vie durant un rôle diplomatique non négligeable entre les cours  de France, où il a durablement séjourné, celle des Este de Ferrare _ celle de son frère Hercule II (duc de Ferrare depuis le 31 octobre 1534 jusqu’à son décès, le 3 octobre 1559), puis celle de son neveu, le duc Alphonse II d’Este (Ferrare, 1533 – Ferrare, 1597) _, ainsi que celle des divers papes successifs, à Rome,

où Hippolyte II est décédé, à l’âge de 63 ans, le 2 décembre 1572…

Cependant, mes recherches, ce dimanche, ne sont pas encore parvenues à découvrir quelque attestation bien concrète de la venue et présence effective du cardinal Hippolyte II d’Este en cet archevêché d’Auch, dont il a  été le titulaire à dater du 22 avril 1551 _ et jusqu’au 10 octobre 1563, 12 ans durant… _ : ce 22 avril 1551, quand le très en cour cardinal François de Tournon (Tournon-Sur-Rhône, 1489 – Saint-Germain-en-Laye, 22 avril 1562) obtint d’échanger avec lui l’archevêché d’Auch, dont le-dit Tournon avait été jusqu’alors le titulaire _ le 6 juin 1538, le cardinal de Tournon avait en effet obtenu d’échanger avec le cardinal de Clermont l’archevêché de Bourges qu’il détenait alors contre l’archevêché d’Auch, plus riche… _, contre celui de Lyon, que le cardinal Alphonse II d’Este détenait depuis le 29 octobre 1539…

Peut-être ce nom d’Auch avait-il pourtant quelque vague lien en la mémoire mélomane d’Hippolyte d’Este avec celui du compositeur auscitain Pierre Cadéac, un peu étrangement présent, du moins a priori, dans le recueil des « Cantiones quinque uocum selectissimae » qu’avait collectées à Milan le maître de chapelle de la cathédrale Matthias Werrecore, recueil transmis en 1539 à Strasbourg, à l’éditeur Peter Schöffer le Jeune, assez probablement à des fins d’édition de ces pièces liées d’assez près à l’œuvre d’Adriaen Willaert, ainsi qu’à celles de maîtres très appréciés à la cour ultra-raffinée de Ferrare…

Des liens à essayer de démêler un peu…

À suivre…

Ce dimanche 13 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une piste de recherche à creuser : les liens entre le compositeur auscitain Pierre Cadéac (ca. 1505-1510 – ca. 1564-1565 ; actif à la cathédrale d’Auch…) avec surtout la cour des Este à Ferrare ; mais aussi les éditeurs à Milan, Venise, Strasbourg, Paris, Nuremberg, Anvers.., à partir du programme du CD « The Mysterious Motet Book 1539″, et de ma curiosité envers Adriaen Willaert (Roeselare, ca. 1490 – Venise, 1562)…

11août

L’intitulé de cet article mien de ce vendredi 11 août 2023 « Une piste à creuser : les liens entre le compositeur Pierre Cadéac (ca. 1505-1510 – ca. 1564-1565 ; et actif à la cathédrale d’Auch…) avec Ferrare, Milan, Venise, Strasbourg, Paris, Nuremberg…), à partir de mon intérêt pour le  CD « The Mysterious Motet Book 1539″, et ma curiosité envers le génie d’Adriaen Willaert (Roeselare, ca. 1490 – Venise, 1562…« ,

provient de la découverte _ cf le détail donné en mon article de 8 août dernier : « «  _ de la proximité des deux noms de compositeurs de Motets : l’auscitain Pierre Cadéac (Cadéac, ca. 1505 – 1510 – ca. 1565) et le flamand Adriaen Willaert (ca. 1490, Roselare, Venise, 7 décembre 1562),

dans la publication, à Strasbourg, au mois d’août 1539, par l’éditeur Peter Schöffer le Jeune (Mayence, entre 1475 et 1480 – Bâle, 1547) du recueil de 28 Motets, intitulé « Cantiones quinque uocum selectissimae« , de 15 compositeurs différents, dont « Adrian Vuillart » _  = Adriaen Willaert _ pour 3 Motets _ les numéros 7 (« Congratulamini« ), 21 (« Laetare sancta« ) et 22 (« Peccavi super numerum« ) de la listede ce recueil  _et « Cadeac » _ Pierre Cadéac _ pour un seul Motet _ le numéro 8 de la liste, « Salus populi« _,

recueil effectivement bien « mystérieux » de 1539, dans lequel a su superbement puiser pour son programme de 12 morceaux le CD « The mysterious Motet Book 1539 » (CD Delphian DCD 34284) l’Ensemble Siglo de Oro et son chef Patrick Allies,

ce passionnant et très intriguant CD sur lequel je suis tombé en cherchant à élargir ma connaissance de l’œuvre musical du génial Adriaen Willaert, enchanté que j’étais du sublime CD « Adriano 4 » (CD Evil Penguin EPRC 0054) du merveilleux Ensemble Dionysos Now! et son chef Tore Tom Denys… 

Le départ de la présente recherche mienne de ce jour étant la connaissance que c’est du compositeur Hermann Matthias Werrecore (Warcoing – Pecq, ca 1500 _ ?, après 1574), en poste de maître de chapelle à la cathédrale de Milan _ de 1522 à 1550… _, que l’éditeur Peter Schöffer fils, installé  alors _ depuis 1529, où il a quitté Worms, à 1539, où il gagne Bâle _ à Strasbourg, a reçu copie de la réunion même, par Werrecore, de ces 28 Motets,

passés ainsi par l’Italie… 

J’ai donc recherché à en apprendre davantage sur ce Pierre Cadéac, natif _ probablement _ du village bigourdan de Cadéac, situé en vallée d’Aure, juste en amont d’Arreau (actuellement dans le département des Hautes-Pyrénées), et qui fut actif sa vie durant en la cité épiscopale d’Auch ;

et dont la musique connut de son vivant un assez remarquable retentissement international :

au moins, pour ce qui concerne l’Italie, jusqu’à Milan (le compositeur Matthias Werrecore) et Venise (l’éditeur Antoine Gardane), et peut-être à Ferrare (la fastueuse cour des Este)…

Ainsi qu’en témoignent diverses publications de ses œuvres, non seulement en France, à Paris (une publication de ses Motets y eut lieu, selon Fétis, dès 1543 ; surtout chez les éditeurs Adrian Le Roy & Robert Ballard, en 1553, 1555 et 1558 ; Nicolas du Chemin, en 1553 et 1556 ; Pierre Attaingnant, en 1534, 1535, 1538 et 1541), et Lyon (Jacques Moderne, en 1543) ; mais jusqu’à Nuremberg (chez les éditeurs Johannes Montanus et Ulrich Neuber, en 1564 et 1568), Strasbourg (chez l’éditeur Peter Schöffer fils, en 1539), et Anvers (chez Tilman Susato, en 1546-47), ainsi que Venise (chez Antoine Gardane, en 1554) _ cf le très intéressant détail de la notice consacrée à Pierre Cadéac, à la page 152 du volume 2 de la « Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique » (1834-1835), de François-Joseph Fétis

C’est le fil ainsi tendu _ qu’il faudrait préciser ! _ entre les cités d’Auch et de Ferrare, qui m’a ainsi intrigué ; surtout connaissant les séjours _ si décisifs pour l’accomplissement de sa musique… _ à la cour de Ferrare d’Adriaen Willaert, dès 1515 et jusqu’en 1525… :

« en juillet 1515, il entre, comme chantre, au service de la cour du cardinal Hippolyte Ier d’Este _ Ferrare, 20 mars 1479 – Ferrare, 3 septembre 1520 _, à Ferrare » ;

puis « en 1520, à la mort du cardinal, Willaert entre au service du duc Alphonse Ier d’Este _ Ferrare, 21 juillet 1476 – Ferrare 31 octobre 1534 ; Alphonse Ier est en effet le frère aîné du cardinal Hippolyte Ier ; fils qu’ils sont du duc Hercule Ier d’Este et son épouse Eléonore de Naples… _, dont il sera le maître de chapelle de 1522 à 1525, année où il suit Hippolyte II d’Este _ Ferrare, 25 août 1509 – Rome, 2 décembre 1572 : le cardinal Hippolyte II d’Este étant, lui, fils du duc Alphonse Ier et son épouse Lucrèce Borgia _, neveu de son premier employeur _ le cardinal Hippolyte Ier d’Este _, à Milan« 

_ et à Milan, donc, va se conserver le souvenir très marquant de la présence musicale (de 1525 à 1527) du compositeur Willaert ! Cela n’a certainement pas échappé au correspondant de l’éditeur strasbourgeois Peter Schöffer fils, je veux dire le compositeur Hermann Matthias Werrecore, qui a été durablement (depuis 1522 jusqu’à 1550) en poste de maître de chapelle à la cathédrale de Milan, celui-là même qui a transmis à Strasbourg les 28 Motets du « Cantiones quinque uocum selectissimae«  comportant des œuvres du flamand Adriaen Willaert et de l’auscitain Pierre Cadéac ; et de 1525 à 1527, quand réside aussi à Milan, au service d’Hippolyte II d’Este, Adriaen Willaert, celui-ci et Matthias Werrecore se sont ainsi régulièrement cotoyés !…

Voilà donc précisée la proximité musicale entre ces deux flamands résidant à Milan qu’étaient alors, entre 1525 et 1527, Matthias Werrecore et Adriaen Willaert ; de même que ce qu’a pu transmettre à son compatriote Werrecore Adriaen Willaert des riches liens musicaux que celui-ci avait pu établir ou conserver avec tout un cercle de compositeurs (pas mal d’entre eux étants flamands) lors de sa présence prolongée de dix années, de 1515 à 1525, à la très aristocratique cour des Este à à Ferrare…

Et dont Werrecore a pu faire profiter l’éditeur de Strasbourg, entre 1529 et 1539, Peter Schöffler fils… _ ;

et « la réputation de Willaert, comme musicien et compositeur, rayonne » alors tellement « dans toute l’Italie » que « en 1527, à l’instigation du doge Andrea Gritti, il est nommé maître de chapelle à la basilique Saint-Marc de Venise, poste prestigieux qu’il occupe jusqu’à sa mort, en 1562« .

Or, dans cette France « italienne » de la Renaissance _ cf le livre fort intéressant de Jean-François Dubost « La France italienne (XVIe – XVIIe siècle« , paru chez Aubier en 1997  _, marquée de nombreux liens matrimoniaux royaux, notamment celui du roi Henri II avec Catherine de Médicis,le 28 octobre 1533, et celui de Marie de Médicis avec le roi Henri IV, le 17 décembre 1600,

j’ai souvenir tout particulièrement du mariage, à Paris, le 28 mai 1528, entre la seconde fille du roi Louis XII et son épouse Anne de Bretagne, Renée de France (Blois, 25 octobre 1510 – Montargis, 12 juin 1575 _ sœur de la reine Claude de France (1499 – 1524), et ainsi belle-sœur du roi François Ier (1494 – 1547), et tante maternelle du roi Henri II (1519 – 1559)… _), avec Hercule II d’Este (Ferrare, 4 avril 1508 – Ferrare, 3 octobre 1559), qui, au décès de son père, Alphonse Ier d’Este, le 31 octobre 1534,  succèdera à celui-ci à la tête du duché de Ferrare.

Or, l’histoire du cardinal Hippolyte II d’Este (1509 – 1572), autre fils du duc Alphonse Ier, ne concerne pas que Ferrare ou Milan _ en  1519, en effet, Hippolyte II d’Este, succède, à Milan, au poste d’administrateur de l’archi-diocèse de Milan, que détenait jusqu’alors son oncle le cardinal Hippolyte Ier  qui décèdera un an plus tard, le 3 septembre 1520 _,

mais aussi … Auch !

Auch, dont Hippolyte II sera archevêque du 22 avril 1551 au 8 octobre 1563 ; comme il sera aussi, et parfois même simultanément, archevêque de Lyon du 29 octobre 1539 au 11 mai 1551, de Tréguier de 26 avril 1542 au 26 novembre 1548, d’Autun du 23 janvier 1547 au 17 juin 1550, de Narbonne de 27 juin 1550 à 1551, d’Auch du 22 avril 1551 au 8 octobre 1563, de Lyon du 24 avril 1562 au 14 juillet 1564, de Milan de 1555 au 16 décembre 1556, d’Arles de 1562 à 1567, et de Maurienne de 1563 à 1567.

Et la question se pose ainsi de la venue, ou pas, à Auch du cardinal Hippolyte II d’Este

 

Bien sûr, cette présence-absence _ à rechercher… _ à Auch, entre 1551 et 1563, du cardinal _ qu’il était déjà depuis le 20 décembre 1538 _ Hippolyte II d’Este, est bien postérieure à la publication, au mois d’août 1539, à Strasbourg _ alors ville d’Empire _, du Motet « Salus populi » de l’auscitain Pierre Cadéac, dans le recueil de 28 Motets « Cantiones quinque uocum selectissimae » du strasbourgeois Peter Schöffer fils, transmis, de Milan, par Hermann Matthias Werrecore ;

il n’empêche que le très fin mélomane qu’était aussi le fastueux cardinal Hippolyte II d’Este (né à Ferrare en 1509, et patron, trois ans durant, de Willaert à Milan, de 1522 à 1525), non seulement connaissait excellemment l’œuvre musical d’Adriaen Willaert, mais il avait possiblement eu connaissance aussi de la musique de l’auscitain Pierre Cadéac, connue au moins à Milan avant 1539, et liée, en ce recueil strasbourgeois de Motets d’août 1539, à plusieurs autres _ voire sinon tous ; et c’est à préciser… _ compositeurs liés, d’une façon ou d’une autre, à la trés mélomane cour des Este de Ferrare :

non seulement Willaert, mais aussi, exemple parmi bien d’autres _ sinon tous ceux réunis en cet effectivement bien « mystérieux » recueil strasbourgeois de 1539, au nombre de 15 : Maistre Ian, Nicolas Gombert, Consilion (Jean Conseil), Ioan Lebrun, Adrian Vuillart (Adriaen Willaert), Pierre Cadéac, Jacquet de Mantoue, Andreas Silva, Ioan Lupi, Dominique Finot, Simon Ferrarensis Ioannes Sartori (Jean Certon), Jhan de Billon, Philippe Verdelot, Jacques Arcadelt  ! _, ce Simon Ferrarensis (!)  compositeur du Motet « Ave & gaude« , le numéro 16 de ce recueil de 28 Motets…

Soit un décidément bien passionnant « mystérieux » Livre de Motets !!!

À suivre…

Ce vendredi 11 août 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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