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En poursuivant la recherche du côté des Sartre de Dordogne : la confirmation de l’ancrage aquitain de Pierre Sartre…

08juin

En poursuivant ma recherche d’hier _ … _ du côté des Sartre de Dordogne,

et après avoir découvert le faire-part de décès de Madame Denise Sartre, la veuve d’André Sartre et mère de Pierre Sartre _ le premier époux de Bertille de Swarte et père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

je suis parvenu à dénicher _ enfin ! _ de très précieuses précisions biographiques de membres _ cruciaux dans la recherche généalogique _ de la famille Sartre (de Dordogne _ entre Thiviers et Périgueux _),

à commencer celles concernant les lieux et dates de naissance et décès d’André-Pierre Sartre, l’époux, donc, de Marie-Denise Lacroix :

André-Pierre Sartre,

fils de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – Périgueux, 24 décembre 1966) et son épouse Irma Olivier

_ qui ont eu, avant André-Pierre, deux autres enfants : Pierrette Sartre (future épouse de Pierre Gaillère, et mère de Michel Gaillère) et Odile Sartre (future épouse de Roger Verdier, et mère de Christine et Nicole Verdier) _,

est né à Saint-Pierre-de-Chignac _ où son père Gérard Sartre était instituteur _ le 5 février 1923, et est décédé à Bordeaux, le 7 juin 1983, à l’âge de 60 ans.

Il était inspecteur des impôts de profession. 

Son épouse, Marie-Denise Lacroix (Cublac, 20 avril 1922 – Périgueux, 13 décembre 2014 _ la commune de Cublac, située dans le département de la Corrèze, jouxte celle de Terrasson, située dans le département de la Dordogne _) et lui-même, André-Pierre Sartre (Saint-Pierre-de-Chignac, 5 février 1923 – Bordeaux, 7 juin 1983)

ont eu deux enfants, une fille, en 1950, et un garçon, en 1956 :

_ Françoise Sartre _ devenue ensuite épouse Simon, et mère de 4 enfants : François, Sophie, Adrien et Clément Simon _ est, en effet, née le 15 décembre 1950 ;

_ et Pierre Sartre _ qui deviendra l’époux de Bertille de Swarte, et le père de Sylvain (le 28 août 1979), Alexis et Camille Sartre _ est né, lui, le 1er juin 1956.

Ensuite, j’ai pu glaner diverses données permettant de préciser le parcours personnel et professionnel _ bien intéressant _ de Pierre Sartre.

Ainsi ai-je pu découvrir le parcours scolaire _ au lycée Laure Gatet, à Périgueux, de 1967 à 1974… _, puis universitaire _ à l’université Bordeaux -II  – Victor Segalen, à Bordeaux, de 1974 à 1979 ; et je remarque que c’est le 28 août 1979 qu’est né son fils aîné Sylvain Sartre ; j’ignore encore les dates de naissance de ses deux autres enfants, Alexis et Camille Sartre ; de même que j’ignore leurs lieux de naissance : à Bordeaux ?.. _ ; et enfin professionnel de Pierre Sartre :

attaché d’enseignement en odontologie à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Bordeaux-II de 1980 à 1985, Pierre Sartre débute une brillante carrière,

qui le fera passer par Bâle (2000-2007), Marseille (2006-2007), New-York (2007-2008).

Le 7 juillet 1990, divorcé de la mère de ses trois enfants Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ et j’ignore les dates et lieux de mariage, puis de divorce, avec Bertille de Swarte : à Bordeaux ?.. _,

Pierre Sartre se remarie avec la bordelaise Isabelle Mancini _ fille de Roland Mancini, le renommé musicologue, spécialiste du chant bien connu, et Elisabeth Monime Pichon (décédée au mois d’avril 2018) ; laquelle Elisabeth Mancini-Pichon, par sa mère Carmen-Louise Brahy (Hendaye, 19 juin 1903 – Hendaye, Novembre 1984), et sa grand-mère Marie-Elvira Isidori (Hendaye, 9 juillet 1983 -, Hendaye, 14 juin 1976), a des attaches hendayaises… Isabelle Mancini enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de Bordeaux.

Pierre Sartre et Isabelle Mancini ont deux fils, Adrien et Clément Sartre _ domiciliés à Bordeaux. J’ignore leurs lieux et dates de naissance.

Et chirurgien dentiste à Marmande,

Pierre Sartre réside désormais au sein de la forêt des Landes de Gascogne, non loin de Casteljaloux, en une commune du Lot-et-Garonne limitrophe de la Gironde _ assez loin, donc, de Perpignan et du château de L’Esparrou.

Et l’épouse de Pierre Sartre, Isabelle Mancini-Sartre, enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de  Bordeaux, devenu en 2003 Conservatoire de Bordeaux – Jacques Thibaud…

À suivre, 

Ce mardi 8 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant un retour aux filiations Sartre de Dordogne : de Gérard Sartre et André Sartre à Pierre Sartre…

07juin

Dans mon article du jeudi 27 mai dernier, ,

j’avais un peu buté sur la descendance de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – Périgueux, 24 décembre 1966),

c’est-à-dire son fils André, et son petit-fils Pierre _ l’époux de Bertille de Swarte, et le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

dont je m’étais provisoirement résigné à laisser demeurer dans l’ignorance les données biographiques…

Mais je ne pouvais pas en rester là si je voulais comprendre tant soit peu ce qui avait pu participer à la décision de Bertille de Swarte, l’épouse de Pierre Sartre, de quitter la Région Aquitaine _ il semble bien que jusqu’en 1985, Pierre Sartre, né le 1er juin 1956, est attaché d’enseignement à la Faculté de chirurgie dentaire de l’Université Bordeaux II – Victor Segalen jusqu’en 1985 _

pour aller s’établir en Occitanie, dans le Roussillon _ en 1988, Bertille de Swarte, « professeur de chant« , est partie prenante à la création, à Perpignan, de L’IRVEM : l’Institut de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen.

Il me fallait donc revenir instamment préciser les données biographiques concernant d’abord André Sartre ;

puis son fils Pierre…

Par chance, et par patience _ d’obstination de recherche _ aussi,

je suis tombé hier sur la généalogie de la famille _ en partie bordelaise _ Fizet – Arsène-Henry, qui m’a permis de raccrocher le wagon avec la généalogie des Sartre _ Guillaume Fizet, né le 3 novembre 1975, étant, en effet, le premier époux de Camille Sartre, la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte ; et Guillaune Fizet et Camille Sartre étant les parents d’une fille : Romane Frizet (cf l’arbre généalogique de son ascendance, réalisé par Anita et Christian Fizet, l’oncle et la tante paternels de Guillaume Fizet, qui est le fils aîné de François Fizet (né à Paris le 20 juin 1947 ) et son épouse Dominique Arsène-Henry (née le 29 avril 1946)


Mais bientôt j’ai découvert aussi le faire-part de décès de Madame Denise Sartre, c’est-à-dire Madame Veuve André Sartre, née Marie-Denise Lacroix :

née à Cublac (Corrèze), le 20 avril 1922, et décédée à Périgueux, le 13 février 2014…

Un faire-part extrêmement précieux pour ma recherche puisque sur celui est bien présente _ quasiment toute _ la descendance de la défunte et de son défunt _ plus tôt _ époux, André Sartre ;

à partir de leur fille Françoise _ née à Périgueux le 15 décembre 1950 ; et épouse Simon _ et leur fils Pierre _ né le 1er juin 1956 ; et qui a été l’époux de Bertille de Swarte.

Y sont en effet présents, parmi les 7 petits-enfants Simon et Sartre de la défunte Denise Sartre :

Sylvain (le premier né des 7), Alexis (le troisième) et Camille (la cinquième).

Y figurent aussi, à cette date du faire-part de décès de Madame Denise Sartre _ le 14 février 2014 _ les prénoms de 7 arrière-petits-enfants : Louise, Ewen, Jacques, Nolan, Marin, Blanche et Aliénor _ je m’étonne un peu de ne pas voir figurer dans cette liste le prénom de Romane ; alors qu’y figure le prénom de Louise ; et aussi, sinon le prénom de Martin, du moins celui de Marin… Mais il est vrai aussi que j’ignore les dates et lieux de naissance des petits descendants d’André et Denise Sartre…

À suivre…

Ce lundi 7 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de données chronologiques un peu précises concernant la très active présence de Bertille de Swarte (et de ses enfants) en Roussillon (Suite)…

06juin

Dans la continuation du questionnement qui ouvrait mon article du 29 mai dernier  _ « je me suis demandé ce qui a pu occasionner la résidence de la sœur d’Alain de Swarte, Bertille de Swarte, dans les Pyrénées-Orientales : à Perpignan, à Céret, ou à Canet-en-Roussillon«   _,

ainsi que de la poursuite de mon effort de préciser la chronologie de la présence de Bertille, ainsi que des membres les plus proches de sa famille en Roussillon _ déjà, les deux derniers de ses enfants, Pauline et Théotime, sont nés dans le département des Pyrénées-Orientales _,

il m’est nécessaire de faire ici un point chronologique le plus précis possible sur cette résidence roussillonnaise de Bertille de Swarte, et de ses cinq enfants…

Pas mal de données chrono-biographiques concernant Bertille de Swarte me manquent pour le moment ;

notamment, et d’abord, sa date de naissance _ entre 1956,  l’année qui suit celle de la naissance de Thibault, son frère aîné (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955), et 1961, l’année qui précède celle de la naissance de sa soeur Béatrice (née le 29 mars 1962) _ ;

de même que la date de son mariage avec Pierre Sartre, le père de ses trois premiers enfants, Sylvain _ né, mais j’ignore où, le 28 août 1979 _, Alexis et Camille Sartre _ j’ignore les lieux et dates de leur naissance.

Ce dimanche, j’ai réussi à découvrir un embryon d’arbre généalogique de la famille _ en partie bordelaise, d’ailleurs _ des Fizet – Arsene-Henry, qui vient m’apporter les prénoms des trois enfants que la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte, Camille Sartre _ dont j’ignore toujours les lieu et date de naissance _ a eu de ses deux maris _ j’ignore aussi les dates de ces deux unions _ : Guillaume Touzet, puis Gaël de Swarte :

_ Romane Touzet ;

_ Louise et Martin de Swarte _ cependant, cette généalogie-ci ne m’apprend pas les lieux et dates de naissance de ces 3 enfants de Camille Sartre : pas plus pour ce qui concerne Romane, que pour ce qui concerne Louise et Martin…

Enfin, il va me falloir essayer d’estimer, faute de donnée plus précise, le moment important de la venue et installation de Bertille de Swarte en Roussillon ;

où elle donnera naissance à ses deux derniers enfants, issus de son union avec Hervé Langlois, professeur de chant, comme elle, qui sont Pauline Langlois de Swarte et Timothée Langlois de Swarte (ce dernier, à Céret, en 1995)…

C’est _ et c’est important à relever _ en 1988, qu’est créé à Perpignan l’IRVEM, l’Institut de de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen, dont Bertille de Swarte est une cheville-ouvrière.

De même qu’il faut relever aussi le décès à Prades, le 3 août 1990, de Pierre de Swarte, le grand-père-paternel de Bertille.

À suivre…

Ce dimanche 6 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nature et culture, ou une tension de tropismes : le côté de La Meynie, en Périgord, et le côté de L’Esparrou, en Roussillon _ le choix d’un lieu où venir exister…

02juin

En recherchant à remplir les quelques blancs qui demeuraient en ma recollection des données généalogiques des branches de Swarte _ cf la généalogie réalisée par Thibault de Swarte_ et Sauvy _ cf la généalogie réalisée par Philippe de Brancion…  _ de la famille de Swarte,

je viens de tomber sur une troisième généalogie, celle des Rendu _ réalisée par Thibault Bourillon _, qui vient confirmer une de mes intuitions,

née du point de vue apparu à travers le témoignage d’Eymeric de Swarte, dans le très intéressant article de Sud-Ouest du 18 septembre 2013, intitulé « La Mémoire d’Alain de Swarte«  ;

témoignage complété et notablement enrichi par le passionnant et très éclairant article de Pierre Villot, du 26 décembre 2009, intitulé « Alain de Swarte, 40 ans de combats pour la nature« …

Je veux dire l’existence d’une tension entre deux puissants tropismes :

le tropisme périgourdin du Domaine de La Meynie, à Trélissac,

et le tropisme roussillonnais du château de L’Esparrou, à Canet-en-Roussillon.

Non seulement, cette troisième généalogie (des Rendu) réalisée par Thibault Bourillon m’a effectivement permis de combler pas mal de blancs laissés par les deux précédentes généalogies (celle de Thibault de Swarte, et celle de Philippe de Brancion),

et m’a révélé une nouvelle alliance, à une génération de différence, entre des de Swarte et des Sartre ;

mais elle est aussi, et surtout, venue confirmer mon intuition _ née de l’article La Mémoire d’Alain de Swarte _ d’une tension de tropismes entre d’une part le Domaine de La Meynie en Périgord _ à Trélissac (Dordogne) _, et d’autre part le château de L’Esparrou, en Roussillon _ à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) _, quant au choix d’un lieu où préférer venir et demeurer vivre… ;

qui est aussi une tension entre un tropisme vers la nature (l’environnement, les paysage, la flore et la faune sauvages : à sauvegarder)

et un tropisme vers la culture (la musique, les concerts : où s’accomplir et s’exalter)…

Choisir où venir exister…

Une tension riche de contrastes et de diversité d’intensités…


Ce mercredi 2 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et maintenant la place de Théotime Langlois de Swarte au sein des filiations de la famille de Swarte…

28mai

Dans le parcours de mes recherches des liens existant entre certains membres de la famille de Swarte et certains cousins périgourdins de Jan-Paul Sartre,

parcours ouvert le 25 mai dernier ( ;

 ;

),

à partir du souvenir toujours vivace de mes conversations en voiture, entre la rue Emile Zola à Bordeaux, et le lycée Max Linder de Libourne, avec mon collègue Thibault de Swarte,

j’en viens à mes efforts d’établissement d’une généalogie des de Swarte,

au sein de laquelle situer le jeune et très brillant virtuose du violon baroque Timothée Langlois de Swarte, né à Céret en 1995…

Je me suis d’abord appuyé sur une généalogie très détaillée de la famille de Swarte, à partir de Joseph de Swarte (1859 – 1930) et sa seconde épouse Louise Tournier (1871 – 1966), et dans laquelle figurent effectivement

_ après leur fils Pierre de Swarte (1898 – 1990) et son épouse Suzanne Martin de Ramefort (1902 – 1997), et leur petit-fils Alain de Swarte (1926 – 2009) et son épouse Geneviève Rendu-Sauvy (1929 – 2008) _,

les quatre enfants d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy, soient Thibault de Swarte, ses deux sœurs Bertille et Béatrice, et son frère Eymeric,  ainsi que la plupart des enfants de ces derniers ;

mais pas tous : manquent en effet dans cet arbre généalogique

et Pauline Langlois de Swarte, et son frère Théotime Langlois de Swarte…

Il me fallait donc continuer de chercher…

Et avant même de découvrir une généalogie très fouillée de sa famille _ je vais bien sûr y revenir… _ composée par Thibault de Swarte lui-même (né à Neuilly en 1955),

j’ai découvert sur le Web plusieurs articles concernant le brillant virtuose violoniste qu’est le jeune Théotime Langlois de Swarte (né à Céret en 1995),

dans lesquels celui-ci délivrait, mais très éparses, quelques données de sa filiation personnelle,

concernant ses parents, ou ses frères et sœurs…

Par exemple, et surtout, cet article-ci _ rédigé par Nicolas Mathieu le 10 décembre 2020 _, intitulé « Théotime Langlois de Swarte, mad lover du violon baroque« ,

qui m’a appris, d’une part, que ses parents étaient tous deux professeurs de chant, et que sa mère dirigeait un chœur ;

et, d’autre part, que non seulement il avait pour sœur _ ce que je savais déjà _ Pauline Langlois de Swarte ; mais aussi pour frère le flûtiste baroque et co-directeur de l’Ensemble baroque Les Ombres, Sylvain Sartre :

une découverte éminemment décisive, forcément, pour ma recherche de la place de Théotime Langlois de Swarte (ainsi que de Sylvain Sartre) au sein des familles de Swarte et Sartre…

Voici donc le début de cet entretien.

À la question de Nicolas Mathieu :

« Quand s’est faite votre révélation de la musique baroque ?« ,

Théotime répond :

« Elle s’est faite très jeune, car mes parents _ et Théotime ne donne pas encore ici leurs noms ni prénoms : Bertille de Swarte et Hervé Langlois… _ sont professeurs de chant. J’ai toujours entendu de la musique baroque à la maison, et c’est une musique qui m’a toujours plu. Je me souviens des débuts du label Alpha _ auxquels, ami de Jean-Paul Combet, j’ai assez activement participé, et cela dès avant même la parution du premier CD, le CD Alpha 001, Le Musique di Bellerofonte Castaldi, de Vincent Dumestre, Guillemette Laurens et Le Poème Harmonique, en 1998… _, j’étais tout petit et j’écoutais tous les disques qui sortaient ! Tout cela m’a énormément influencé _ heureux de l’apprendre ! Je chantais aussi beaucoup de musique baroque dans le chœur que dirigeait ma mère _ celui de l’IRVEM (Institut de Recherche Vocale & d’Enseignement Musical Méditerranéen), à Perpignan. Ensuite, mon grand frère Sylvain Sartre jouait de la flûte traversière baroque, et ma sœur Pauline Langlois de la viole de gambe, du clavecin et du piano. À 9 ans, je me suis donc mis au violon baroque pour pouvoir jouer avec elle« …

Voilà ainsi établi _ et en quelque sorte confirmé _ le lien _ que je pressentais fortement _ de Timothée Langlois de Swarte avec la famille Sartre…

Ou encore cet autre entretien-ci _ avec Alain Cochard le 18 janvier 2020 _, intitulé « Théotime Langlois, radieux archet« ,

où est à nouveau affirmé que « c’est à Céret qu’il naît en 1995, dans une famille de professeurs de chant _ son père, Hervé Langlois, comme sa mère, Bertille de Swarte. Dès quatre ans, il se met au violon :

« J’étais attiré par les archets qui me faisaient penser à des épées, s’amuse-t-il. Il y a un rapport très fort à la voix dans ma famille ; ce qui m’a toujours plu dans le violon, c’est la dimension vocale »… » _ cela, d’ailleurs, s’entend fort bien…

Il ne m’a donc pas été difficile de comprendre que la mère de Théotime Langlois de Swarte n’était autre que Bertille de Swarte,

la sœur de mon ancien camarade du temps des Lycées Max Linder à Libourne et Grand Air à Arcachon.

_ cf cet extrait du CV de Thibault de Swarte (in Dossier d’habilitation à diriger des recherches en sciences de gestion, le 27 novembre 2012) :

« 1979-1982 : Professeur certifié de sciences économiques et sociales

Lycées Max LINDER et Marguerite de VALOIS

Chargé de conférences à l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux 

Actions de Formation Continue en milieu professionnel
Professeur agrégé de sciences sociales (1982-1989)
Lycée de Grand Air (Arcachon) puis Montesquieu (Bordeaux), classes de secondes, premières et terminales (1982-1988). 
Chargé de cours à l’Université de Bordeaux II (DEUG MASS, mathématiques appliquées aux sciences sociales), 1989. 
Chargé de cours à l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux (préparation au CAPES et à l’Agrégation de sciences sociales) et INSEEC (3°année), 1986-1988.
Vice-président ou Président du jury du Baccalauréat à différentes reprises
Conseiller pédagogique et membre du jury des épreuves pratiques du CAPES (1984)
Elu au Conseil d’Administration du lycée Montesquieu (1987)«    _ ;
et que celle-ci, Bertille, était mère de 5 enfants :
d’une part 3 enfants Sartre : Sylvain (né le 28 août 1979), Alexis et Camille ;
et d’autre part 2 enfants Langlois de Swarte : Pauline (née en 1993 ou 94) et Timothée (né en 1995).
Pierre Sartre est le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre ;
et le musicien et professeur de chant Hervé Langlois est le père de Pauline et de Timothée Langlois de Swarte.

Même si je n’ai guère trouvé à ce jour de données un peu plus précises sur certains des membres de cette généalogie, tels Pierre Sartre (le père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre), ou Hervé Langlois (le père de Pauline et Théotime Langlois de Swarte),

je suis tout de même parvenu à insérer Théotime Langlois de Swarte dans la parentèle de mon camarade Thibault de Swarte :

Théotime Langlois de Swarte est bien un des 7 neveux et nièces de Thibault de Swarte :

Sylvain, Alexis et Camille Sartre, Pauline et Théotime Langlois de Swarte, les 5 enfants de sa sœur Bertille de Swarte ;

et les 2 enfants Trouvé _ j’ignore leurs prénoms _ de son autre sœur, Béatrice de Swarte…

Et de même que certaines des trois filles de Thibault, Laure, Alice et Clotilde de Swarte, semblent avoir des pratiques musicales,

pas mal de ses neveux et nièces, aussi…

Et pour ce qu’il en est de la généalogie des Sartre périgourdins,

les trois enfants aînés _ Sylvain, Alexis et Camille _ de Bertille de Swarte, sont bien des Sartre cousins des Sartre de Corgnacq-sur-l’Isle et Thiviers.


Leur père, Pierre Sartre, est le fils d’André Sartre ;

et le petit-fils de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – 24 décembre 1968), l’instituteur de Saint-Pierre-de-Chignac,

cousin germain de Jean-Baptiste Sartre (Thiviers, 5 août 1874 – Thiviers, 17 septembre 1906), le père de Jean-Paul Sartre (Paris 16e, 21 juin 1905 – Paris 14e, 15 avril 1980)…

La boucle des filiations et apparentements des Sartre et des de Swarte

est donc ici bouclée.

Ce vendredi 28 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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